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Chapitre 27

Djibril Ndiaye

Dans la voiture, je sentais que Zahra se calmait un peu. Elle ne pleurait plus mais fixait un point invisible.

On dirait qu'elle ne voit même pas ma présence, je n'avais qu'une seule envie la serrer fort dans mes bras pour lui montrer qu'elle peut désormais compter sur ma présence à ses cotés.

Arrivés à destination; je me gare et je mets à l'observer. Elle ne se rendait même pas compte que j'avais arrêté de rouler, tellement qu'elle était concentrée sur quelque chose que je ne saurai expliquer.

je la fixe quelques secondes, je me rends compte de combien elle était belle et fragile.

je regrette de lui avoir causé tout le tord que je lui avais infligé, elle ne l'a pas du tout mérité.

Il faisait un peu sombre et je constate qu'il n'y a pas beaucoup de monde à la plage, je profite de l'occasion pour briser le silence:

- Zahra?

-..........

- Zahra regardes moi.

Elle tourne sa tête pour me regarder mais ses larmes continuaient de couler, elle pleurait en silence.

- est ce qu'on peut descendre une minute.

-.......

- OK.

je descend de la voiture et vais lui ouvrir la porte:

- stp viens ( en lui tendant la main).

Elle hésite un instant avant de la prendre et de me suivre.

Ce contact anodin a fait naitre en moi des sensations inexplicables...

Je me sentais dans l'obligation de la protéger.

Contre qui?

Je ne sais pas, mais il faut que je la protège.

Elle me suit comme une automate et ne parlait toujours pas...je respecte son silence, tout ce qui m'importe c'est le fait d'être à ses cotes.

Arrivés dans un endroit très discret, je la tire un peu pour qu'elle s'assoit et je fais de même.

voilà maintenant plus de 5 minutes qu'on est là assis et personne ne parle, c'était un peu risqué pour moi, mais je devais lui poser la question:

- Zahra cava?

Elle hausse un peu la tête pour sûrement me dire oui.

C'était pour moi le moment de parler de ce qui la tracasse à ce point:

- qu'est ce qui se passe, qu'est ce qui t'a mis dans cet état?

- merci me dit-elle.

- pourquoi tu me remercies?

- je...je...( et ses larmes recommencent de plus belle).

- stp arrêtes de pleurer( en lui caressant un peu le bras).

Mon geste l'a tout de suite calmé, elle semblait mal à l'aise face à ce contact...je retire ma main pour ne pas rendre la situation plus compliquée qu'elle ne l'est déjà.

- tu sais tu n'es pas obligée de me dire ce qui s'est passé.

- oui je sais.

- je voulais seulement que tu te calmes d'abord avant d'aller chez toi...si tu veux aussi je te ramène tout de suite.

- non restons un peu...j'aime beaucoup la mer, j'aime les vagues....j'aime aussi la brise.

- oui c'est vrai que la mer nous apaise.

Un autre silence s'installe, je ne sais pas quoi dire...mais je dois dire quelque chose :

- cava.

Quel con je fais...je lui ai déjà posé la question.

- oui cava maintenant.

- OK.

- je peux te poser une question.

- oui vas-y.

- pourquoi tu avais tenté de me violer.

Sa question m'a achevé... Qu'est ce que je suis sensé lui répondre?

- tu sais( en me grattant la tête)... C'est du passé... Je t'ai déjà demandé pardon et je le regrette sincèrement.

- OK je vois mais j'aimerai bien que tu me dises pourquoi.

- la réponse est simple je n'étais qu'un con et un assoiffé de sexe.

- tu étais... Donc tu veux dire que tu as changé.

- j'essaie de changer...je veux devenir une personne meilleure...je regrette beaucoup de choses.

- ha je comprend.

- tu travailles toujours comme domestique.

- non mon frère ne veut plus que je fasse ce genre de travail.

- OK, il est où ton frère, vous vivez ensemble?

- oui c'est le mari de ta cousine et on vit ensemble.

- comment tu sais que Penda est ma cousine?

- c'est elle qui nous l'a dit.

- OK je vois...et tu fais quoi maintenant...

- je reste à la maison...

- tu ne veux plus travailler.

- si mais pour l'instant non.

- OK...bon on a jamais eu l'occasion de nous présenter moi c'est Djibril Ndiaye plus connu sous le nom de beau gosse.

- quel prétentieux qui t'a dit que tu es beau.

- toi par exemple.

- non je ne t'ai jamais dit ça.

- c'est tes yeux qui me le disent.

- donc mes yeux parlent.

- c'est seulement moi qui ai le don de savoir ce qu'ils disent.

J'ai dis ces derniers mots en la fixant très intensément, elle détourne son regard.

Elle reprend la parole:

- bon moi j'avais un autre nom pour toi.

- attend je vais deviner...bon peut être tu m'appelais le plus beau...le charmant...le...tombeur...

- ha ha ha arrêtes c'est pas tout ça.

Mon Dieu je lui arraché un sourire.

Que c'est beau de la voir sourire.

- Hercule.

- hercule?

- oui je t'avais surnommé hercule...parce-que je trouve que tu es beaucoup trop grand.

- sans blague...dis plutôt que j'ai de très beaux muscles.

- non du tout...je me disais que tu n'es pas normal.

- ha ha ha, tu crois que je ne suis pas normal...c'est toi qui es juste trop courte.

- donc je peux continuer à t'appeler Hercule.

- tu exagères, le Hercule que je connais est trop fort et a des muscles inimaginables... Je préfère que tu m'appelles Dji.

- d'accord.

Un autre silence s'installe, elle jouait avec le sable de la plage, au moment où je voulais ouvrir ma bouche elle me devance:

- pourquoi tu m'ignorais ces temps ci?

- je ne t'ignorai pas je respectais tout simplement ton envie de ne plus rien à avoir avec moi.

- mais tu as fait comme si je n'existais pas.

- tu m'as demandé de te laisser en paix.

- oui mais tu pouvais continuer à me demander pardon.

Je la fixe un moment avant de l'attirer vers moi.

Nos nez se touchent et nos lèvres se réclament.

On s'embrasse.

Elle suivait le rythme de mes lèvres en s'abandonnant carrément à mes caresses.

Elle aime ce qui est entrain de se passer.

J'aime ce qu'on est entrain de faire.

Je ne sais pas combien de temps a duré notre baiser, mais c'était un moment magique.

Elle se détache difficilement de mes lèvres en disant:

- il se fait tard, je crois qu'on ferait mieux de partir.

Je n'étais pas du même avis, j'étais pas assez rassasié de ses lèvres, je les capture encore une fois pour un long et doux baiser.

Elle n'y a opposé aucun refus ce qui a doublé mon envie.

Je me sépare d'elle pour reprendre mon souffle et lui dit:

- c'est bon maintenant on peut partir.

C'est main dans la main qu'on rejoigne la voiture.

Dans mon cœur, c'était la paix, l'amour et la passion.

Durant tout le trajet je lui tenais la main, comme ci j'avais peur de la perdre.

Je ne veux pas la perdre, elle est à moi.

Arrivés devant chez elle, je lui dis:

- j'espère que tu ne vas pas encore pleurer.

- non j'ai assez pleuré pour aujourd'hui.

- donc c'est bien....tu sais j'ai pas envie de te quitter là maintenant.

Elle semble surprise avant de me lancer:

- ta petite amie n'aimerait sûrement pas que tu me dises ça.

- quelle petite amie.

- cette fille avec qui tu étais l'autre jour.

- ha Sonia.

- bon je dois descendre merci de m'avoir changé les idées.

- de rien..est ce que je peux avoir ton numéro... Histoire de savoir si tu as bien dormi ou pas.

- OK prend c'est le 78 23......

- merci et bonne nuit.

Quand elle a touché à la porte pour sortir j'ai fait le verrouillage automatique, elle se retourne vers moi pour me dire:

- ça ne s'ouvre pas.

J'en profite pour encore l'embrasser jusqu'à en perdre la notion du temps.

On se sépare très difficilement, et elle finit par sortir de la voiture.

Je me sentais tout d'un coup très seul, elle me manque déjà.

J'ai vraiment envie de la revoir....



Zahra Fall.

Hoo quelle belle soirée pour moi, bien que le début a été des plus malheureux.

Comme les gens peuvent changer, Tata Saly qui a toujours été si gentille avec moi, voilà qu'elle se comporte comme une sorcière.

Elles nous a accusé d'être des prostituées ma mère et moi.

Je me demande ce que son monstre de mari lui a bien raconté sur nous pour qu'elle me crache autant de cruauté.

Ce qui m'a fait mal c'est le fait que Hamza ne m'est même pas donné le bénéficie du doute.

J'avais l'impression qu'il croyait à tout ce que sa mère a raconté.

Je ne demande pas à ce qu'il me croit mais au moins qu'il ne me pose pas la question sur un ton accusateur.

Quand j'ai quitté la maison, il n'a même pas chercher à me rattraper, c'est quel genre de petit ami ça.

D'abord je ne l'aimais pas mais là il baisse à zéro l'estime que j'avais pour lui.

Je n'ai même plus envie de le voir.

Il n'arrête pas de m'appeler mais je l'ai mis sur la liste noire.

Qu'il ne m'embête plus.

Il n'a qu'à croire à sa mère et me laisser en paix.

Ma rencontre avec Dji n'est pas le fruit du hasard, mais parce-que Dieu le veut.

Quand je l'ai vu, je ne voulais pas le suivre au début...mais j'ai comme eu l'impression que c'était la bonne décision.

On était à la plage à discuter comme de bons vieux amis.

Il n'était plus le même qu'il y'a quelque temps c'est à dire celui qui avait tenté de me violer.

Il était non seulement gentil mais dégageait une simplicité sans pareille.

Il était l'homme parfait, je me sentais vraiment à l'aise avec lui.

On a discuté de tout et de rien jusqu'à ce qu'on commence à s'embrasser.

Cette fois ci au-lieu à la place des fourmis c'était des papillons qui me parcouraient tout le corps.

J'aimais cette sensation, c'était juste magique.

Je ne voulais pas me séparer de lui, mais il le fallait.

Je vois que lui aussi n'avait pas du tout envie de se séparer de moi.

Je me sentais comme une reine devant lui...il me regardait avec des yeux changés.

On dirait qu'il avait envie de me protéger et qu'il ne voulait plus que je souffre.

Sur le chemin du retour il avait emprisonné ma main dans la sienne...et ne l'a lâché que quand on est arrivé devant chez moi.

Il ne voulait pas que je descende, il m'a encore donné un doux et long baiser, cette fois ci je sentais mon truc en bas réagir de manière pas du tout catholique.

J'étais vraiment mal à l'aise, je ne connaissais pas encore cette nouvelle sensation qui naissait en moi.

Il l'avait probablement senti car il avait arrêté de m'embrasser et m'a laissé partir.

Je lui ai donné mon numéro, j'attends son appel avec impatience.

Mon portable sonne, je vois un numéro inconnu, mais je décide de décrocher en me disant que si c'est Hamza je raccroche sur le champ.

J'ai eu l'agréable surprise d'entendre cette voix rauque et pleine de virilité :

- allô zahra...tu dors.

Non jamais j'attendais que tu m'appelles.

- oui j'étais sur le point.

- ha OK bon je voulais seulement savoir si tu es bien arrivée.

Bien sûr puisque c'est toi qui m'a déposé devant chez moi.

- oui merci de m'avoir ramené.

- ce sera toujours un plaisir de le faire.

Woooy cette manière de le dire m'amène au 7 ème ciel.

- en tout cas merci.

- j'ai adoré le baiser...c'était tellement sensuel... Tu es époustouflante.

- bonne nuit.

- bonne nuit belles et douces lèvres... J'ai envie de les gouter encore...et encore et encore....

Mon Dieu s'il n'arrête pas il va me tuer.

On finit par raccrocher.

J'ai passé une nuit des plus inoubliables car l'objet de mes rêve n'a été autre que Dji.












Bonsoir les amours.

Une nouvelle partie pour vous.

Donnez vos impressions.

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Excusez les fautes, écrire n'est pas facile dé.

A très bientôt.




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