awake ?
Je commence à me réveiller je pense
Après avoir difficilement reprit mon essence...
Je reprend conscience peu à peu malgré les doutes subsistant aléas.
Mon corps réagissant enfin, infime certes, mais je ne vais pas m'en plaindre.
Mes yeux s'ouvrient difficilement, mon corps endormie sur le sol humide. Ressentent dans mon âme cette douleur glaciale me brûlant lors de son passage.
Une vision flou, clair dans la noirceur de l'être. Je ne pourrait dire où je suis.
Je suis sure d'une chose, je ne sais qu'es ce que je fait là.
Je pense que je ne devrait pas être ici, mais alors pourquoi.
Pourquoi, ma chair endolorie semble ravie, mon inconscient soulager, néanmoins méfiant
Et moi, n'ayant ni peur, ni joie...
Juste à rester là, me demandant pourquoi
Je posa mes mains, étonné de la chaleur émanant prés de moi
Ma tête me fit ressentir mille vertige, mes bras tremblotant par le poids de mon corps inerte
Malgré ça, je lève la tête espérant mieux voir, ironie l'impact m'as fait disparaître la vue qui aurait dû être superbe
De ma vision noir s'ajouta du rouge au flou tissu recouvrant ma vue
Essayant de m'essuyez le front, je m'écrasai la tête sur le sol, un bruit sourd retenti dans les environs
j'eut presque l'impression que des rires émané non loin, pourtant je ne ressentit personne
Ne revenons pas au chapitre précédent ma folie, aucun intérêt de remettre cette affreuse penser que j'aurait aimer faire disparaître à la place de mes souvenirs
Je retentit encore, encore, encore, encore...
Pensant que ma tête exploserai à un moment donné
Se fissurant comme le verre
Un sourire sur mon visage, giclant le sang de ma gorge en toussant légèrement
Mon front saignait toujours, mes n'obstruer plus le regard que je porti au paysage
Suis-je sur une colline ? Une montagne ?
Pour cas quelques centimètres,
Un trou béant s'offrait à moi
A deux doigts d'y laisser ma chair s'écrouler, l'instinct me fit reculer sans même m'en apercevoir.
Cognant le sol à l'arrière, car comme je l'avait dit, je sui sûrement sur une colline
Je m'assis sur le sol, fleurit ?
Tournant ma tête vers le bas
Un gigantesque manoir était là, devant
Lui aussi me regardait suspicieusement
Il parut hanté, près à le fuir au moindre contacte
Etonnement , j'y ressentait une paix
Comme ci cette endroit m'était familier, ou que mon corps courrait pour s'y réfugier
Qu'est ce qu'il faut bien faire à quelqu'un pour qu'il coure souriant vers la...
Ce n'est pas à moi dit répondre après tout
N'est ce pas ?
Je retiré d'une traite les dernières gouttes embrassant le sol
Admirant le désespoir, avec un cœur, léger ?
Ne remarquant point le temps s'écoulait
Profitant de ce moment de répit et reposant
Levant doucement la tête pour admirait, je l'espère un ciel bleu
Imaginant des nuages de coton aussi doux que de la laine
En rêvant de leur tendresse, le sifflement y ajouter un pointe de magie
Le vent fessant virevolter mes cheveux, caressant tendrement ma joue, comme-ci cette sensation venait d'être découverte pour espérer que le temps s'arrête.
Comme un tableau que ne peut détourner le regard, la passion
Avant de sentir, se qui me fit comprendre qu'un rêve n'était point un option
Un frissons d'effroi parue derrière moi
Le susurrement d'un sourire macabre
"Pour Qu'elle étrange raison, n'ayez vous point prévenue votre chute ?"
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