round 2
La nature nous met au monde, mais c'est nous qui devons façonner notre monde.
Je m'appelle Phen Rosales, oui Phen, et je suis la petite voix que vous entendez quand vous lisez ceci.
Je suis né en Haïti, dans une petite ville qu'on appelle Jérémie, surnommer la cité des poètes. Comme son nom l'indique, c'est bien évident quand on est né là bas notre seul don c'est la poésie. Malheureusement, moi je n'ai pas eu cette chance. Mon père à larguer ma mère quand il a su qu'elle était enceinte, et ma mère est morte dans un naufrage. Depuis je vis seul à fleur de ma jeunesse, mais, comme un ami me disait toujours quand la détermination se présente, l'impossible ne peut pas trouver une place.
Bah oui tout ça c'est moi.
***
tout à débuter le jour où ma mère et moi avons décidé de rentrer à la capital pour trouver mieux, chez nous il n'y avait pas de boulot suffisant pour le nombre d'habitant qui y vivaient, et nous étions plus pauvres qu'un rat. Nous avons décider de partir pour la capital.
On arrive sur le port et on fait notre réservation parmi les marchands. On s'installait parmi les marchandises, en attendant le bateau qui enlèvera l'ancre.
Il était 10h du soir, environ 5h de temps du décollage.
Au beau milieu de la nuit, j'ai étendu quelqu'un crier d'une voix fracassante, remplit de peur.
Distribuer des gilets, allez vite! plus que ça et n'oublie pas de préparer les canons de sauvetage.
Je restait figer, essayant de comprendre ce qui se passe, nous n'étions pas dans des cabines parce que à l'époque c'était cher.
J'enlaçais ma mère, j'avais très peur et un homme apparait et nous dit subitement avec une voix de rock
- tenez!!! enfilez! le bateau est entrain de naufrager.
- Mais, mais dit nous monsieur que devons nous faire? Dis-je d'un ton inquiétant.
- va prendre un canon de sauvetage.
- D'accord merci!
Maman, on y va vite .
Nous avons pris quelques affaires importantes et nous sommes parti pour ne pas rater le canon, quand nous sommes arriver, l'embarquement était déjà commencer mais cette embarquement était différent que celui du Titanic, au lieu les femmes et enfants en premier ce soir là c'était d'abord les plus riches.
Ma mère essayait de trouver un moyen, elle parla au capitaine d'une voix faible et tremblante...
- Mr, j'ai un fils avec moi laissez nous passer stp, je t'en supplie "tout en pleurant".
Elle suppliait tellement le capitaine j'avais l'impression elle voulait même s'agenouiller devant ce bourreau qui repoussait les gens pauvres.
- OK mais tu as de quoi payer ?
- Non Mr!
répondit maman.
- Alors dégagez d'ici madame, attendez la première classe .
Nous sommes parti, nous n'avons eu pas d'autres choix.
Maman ne faisait rien d'autre que prier .
Et un petit moment a suffit pour que nous entendons des grincements , et ça commençait à secouer. Personne ne savais où allez ni quel dieu interpeler. C'est dur de voir la mort en face et qu'on peut pas l'épargner .
Soudain blouufff et tout le monde criait Jééésuuuuus!!! L'eau montait et le navire était casser en deux .
Cette nuit là, Dieu dormait profondément et Jésus lui, peut -etre qu'il jouait un jeu vidéo beaucoup plus amusant.
Personne n'écoutait nos cries ni les canons, les assistants immédiate même les divinités .
Cette nuit là, tout était très bouleverser , la mer agiter et le dieu de la mer *Agwe* était droguer, saouler avec d'autres dieux.
Comme toujours on se résignait à la mort, doucement l'eau montait et le navire disparaissait.
Ma mère me regarda et me dit
- Phen si je meurs tu dois te battre pour survivre et toi vie ta vie!
- Oui maman .
Il faisait si froid, j'étais à coté d'elle on flottait ensemble sur une porte.
Elle fredonnait et moi, après quelques temps , je me sentait tout léger et le plancher me bouleversait.
- Maman! Il y a un gros poisson près de nous.
- Attention! accroches toi à moi Phen.
Elle criait de tout ses forces même à l'autre bout de l'océan on pouvait l'entendre mais son Jésus ne faisait rien pour nous sauver.
Le poisson nous saccage encore et encore et je suis tombé dans la mer.
je criais très fort, -Au secours! "maman je n sais pas nager" , nonhhhh!!!
Je pleurais
La planche s'est effondrée et moi j'ai pu trouver un morceau de planche à laquelle je me suis attaché.
La dernière chose qui me reste en souvenir sur cette eau c'est de voir la planche de ma mère s'effondrer.
- Mais dit moi, on a retrouver ma mère?
- On ne sait pas encore petit.
- ma mère, elle est morte, c'est ça?
Où suis-je?
- à Brooklyn .
Répondu le Mr .
Et je me taies, je restait figer quand j'ai entendu dire brooklyn .
Mais pourquoi brooklyn et ce ne sont pas des blancs qui me parles, je commençait à douter de l'endroit.
- Pssssiiitttt! Petit, viens par ici. Comment s'appelle cette endroit?
- Tu es à cité soleil neggo, dit-il d'un air gangster
- Cité soleil! Non, non viens, arrête je veux que tu m'aides.
- il me regarda et me dit "sa e nan boudaw frè" (ce sont tes oignons mon frère).
Je ne savais plus quoi faire, perdu dans un nouveau monde où je ne connais personne et exposé à tout danger. Je ne souhaitais pas finir ainsi, mais maman m'as toujours appris qu'on doit profiter de tout ce qui arrive pour en faire notre faveur.
Et moi, je suis déjà prês à vivre ma nouvelle vie.
The shadow to the light
J'espère que ça vous à déjà plu, cette première partie de shadow of the light.
N'hésite pas de commenter, surtt j'attends aussi vos attentes.
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