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LOUIS'S TALKING
Richmond manor - 1 octobre 2084
La nature était étrangement silencieuse autour de moi, comme si pour une fois, le sicle de vie s'était complètement arrêté. J'y portais un regard ennuyé, ma tête reposant lourdement contre ma main. Je n'avais pas espéré une pause en cette journée, mais on me l'avais imposée.
Je travaillais comme un défoncé depuis ces deux derniers jours, souhaitant, pour une raison inexpliqée, effacer le regard que je portais à Lilia.
Cette fille était beaucoup trop parfaite pour moi, misérable petit travailleur esclave et rebelle de la société. Je n'étais rien et elle était tout, l'innconcence à l'état pur et la bonté incarnée. Je ne souhaitais que parler d'elle et d'à quel point elle était magnifique à qui voulait bien l'entendre.
''Tu es complètement fou amoureux d'elle'' avais rigolé Daniel, le seul et unique ami que je possédais ici et aussi mon compagnon de chambre. Et j'avais nier, comme n'importe qu'elle personne normale aurait fait, bien évidement.
Jamais je ne pourrai avouer de vive voix à quelqu'un mes sentiments sauf à une personne. Harry me manquait, me confier à lui me manquais et nos rires interminables.
-Toi.
Je sursaute et fixe L'homme m'ayant brusquement adressé la parole. C'était lui, l'homme que j'envihais le plus au monde.
Celui-ci cracha vulgèrement au sol et s'appuya contre l'arbre voisin à lequel j'étais appuyé pour manger mon dîner qui s'avérait n'être qu'un vulgère sandwich au pain à la limite de la date d'expiration et aux tomates défraichies.
La joie d'être un esclave.
-Que puis-je pour vous? marmonnai-je sarcastiquement.
Ses sourcils se froncèrent durement et ses lèvres se plissèrent en une moue rigide et froide. Il semblait n'être qu'une statue de pierre.
-Tu sais pourquoi je suis là, grogna-t-il et j'hausse un sourcil.
-Éclairez-moi, souris-je, jouant nettement avec ses nerfs.
Je savais exactement pourquoi il était là mais pourquoi laisserai-je passer une aussi belle occasion de me foutre de sa gueule?
Il prit quelques pas vers moi et empoigna mon chandail, me plaquant ainsi durement contre le tronc de l'arbre. La colère faisait luire une lueur sombre dans ses yeux et je dus me retenir de rire. Même en étant en colère, ce gars ne semblait pas menaçant.
Je grogne tout de même pour étouffer mon rire et lui livre un sourire qu'il dut prendre mal puisque quelques secondes plus tard, je me retrouvais au sol, l'acarde sourcilière ouverte et mon épaule brûlante sous l'effet de la douleur.
Mon épaule ne c'était pas encore remise du fait qu'elle avait dut encaisser une balle d'un soldat américain au nord du manoir quand j'avais, en vain, tenté de m'échapper.
À croire que le destin ne voulait pas me laisser partir sans Lilia.
-Espèce de con de rebelle, jura Nathan et je rigole.
-Qui es-tu pour me traiter de con, espèce de gosse de riche. Tu ne sais même pas comment te laver seul.
Je reçus encore une fois un coup pour mon aplomb et cela fut assez pour me mettre un colère.
Je me lève brusquement et Nathan recula sous l'effet de la surprise, les sourcils froncés. Il ose me frapper alors que je suis en position faible et recule en me voyant en position dominante.
-Tu me frappes et je te jures que dans la prochaine heure, tu es mort, grogna-t-il et je soupire bruyamment.
Je recule de quelques pas et m'appuis contre l'arbre derrière moi, tentant de réprimer une grimace sous la douleur que me provoquais mon épaule.
-Et approche encore une fois Lilia et je te fais torturer, connard.
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UNKNOWN'S TALKING
Zayn's bed room - 19h36
Zayn venait de relâcher la belle brune en face de lui qui se dépechait à se rhabiller, les joues cramoisies. Il n'avait jamais été friand des coups d'un soir, mais cette journée qui venait de passer avait été trop dure et trop longue.
Il voulait juste arrêter l'espace d'une heure ou deux et la jolie brune s'était elle-même portée volontaire. Il n'avait alors pas put résister à ses avances plus que répétitives.
-À plus tard Zayn, grogna-t-elle en replacant comme il se le doit son débardeur rose clair.
Il ne fit que lui adresser un regard et celle-ci disparue.
Il soupira alors et déplaça ses bras derrière sa nuque courbaturée par les nombreuses heures d'entrainement qu'il s'était imposé dernièrement. S'entrainer intensivement l'empêchait de trop penser à ce qui le tourmentait que bien trop ces derniers temps.
Il balança ses jambes au sol en un grognement et enfila son boxer ainsi que son chandail qui trainaient négligemment au sol de bois froid. La chaleur qu'il ressentait faisait naitre une couleur rouge au niveau de ses jours et ses cheveux étaient ébouriffés.
Il venait de se servir un verre d'alcool d'une couleur ambre et ayant une odeur forte quand la porte de sa chambre s'ouvrit à la volée. Il leva les yeux de son verre et fronca les sourciks en apercevant la mine furieuse d'Harry.
-Mais qu'est-ce que tu as fais bon sang Zayn! Hurla celui-ci, ses yeux dangeureusement sombres.
-Bonsoir à toi aussi, en passant, grogna Zayn en prenant place sur le coin du matelas de son lit.
Harry fronca les sourcils et s'appuya contre le mur opposé au lit où Zayn se trouvait, les bras croisés sur son torse.
-As-tu au moins essayé de l'aider ? Soupira le bouclé, ses doigts pinçant l'arrêt de som nez.
-Essayé? Craqua Zayn, ses yeux étant dangereusement devenus sombres. J'y ai presque laisser ma vie bon sang !
Celui-ci releva son chandail et pointa la longue cicatrice longeant son abdomen, celle-ci étant rose foncée et fraichement recousue d'un fil argent. Il prouvait ses dires férocement.
Harry soupira et ferma les yeux.
-Comment avait-il l'air? Avait-il l'air bien, Zayn?
-J'imagine... Je suis désolé Harry, mais un soldat est apparu de nulle part avant que j'aille pu faire quoique ce soit. Il a reçut une balle dans l'épaule et moi dans l'abdomen. Nous savions tous les deux que son plan d'invasion venait d'échouer. Louis est retourné sur ses pas d'un accord commun.
Le plus jeune des deux retenu difficilement ses larmes et se déplaça vers le bar pour se servir un verre à tour.
-Il me manque, Zayn, soupira Harry.
-Il me manque aussi.
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Hello chicas, laissez moi un petit commentaire si vous avez aimé ce chapitre :)
L. xx
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