Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Tension

Clyde

Je n'avais de cesse de repensée à son odeur. Un mélange de fruits rouges avec un brin de vanille. Cela me torturait l'esprit, jour et nuit. Ce jour-là, lorsque je l'ai vu entrer dans cette même pièce où nous sommes assis en ce moment même, j'ai perdu le contrôle de moi-même. Ce qui ne m'était encore jamais arrivé. J'avais cette facilité que tout vampires m'envier ; pouvoir me retenir. Dès lors que j'ai aperçu ses cheveux roux, bouclés, épousant parfaitement ses courbes. Ils lui arrivaient presque au niveau des fesses, recouvraient légèrement son visage terrifié. J'arrivais à entendre les battements de son cœur qui pressait contre sa cage thoracique. Dès lors que ses yeux se sont posés sur moi, mes canines sont sorties d'elle-même.

J'entendais sa respiration saccadée, sa poitrine se baisser et se lever de plus en plus vite, tout aussi perturbée que moi par notre tension artérielle qui s'élevais au fur et à mesure. Voir son ami la faire reculer, se placer devant moi, comme si je pouvais m'en prendre à elle, cela m'avait rendu fou. Je l'ai éjectée, d'un seul mouvement, pour pouvoir plaquer ma biche apeurée contre le mur. Je voulais la sentir. Son odeur, ses battements de cœur pulsé contre mes dents. Le contact de sa peau avec la mienne me donnait des coups de jus me faisant vibrer. Je sentais alors le peu de sang que mon cœur m'envoie, être envoyée entre mes jambes. Et dès lors qu'elle ouvrit ses beaux yeux émeraude, j'ai repris conscience. Elle était terrifiée. Je la terrifiée.

J'ai senti quelque chose en moi se briser alors j'ai pris la tangente. Préférant ne pas assister à cette réunion au risque d'envenimée les choses, mais je ne suis pas rentrée. Je l'observais depuis un arbre, tel un bon voyeur. J'ai un peu honte de moi-même, mais je ne pouvais pas me résoudre à la laissée ici. Je savais qu'un humain apprenant notre nature, n'était pas bon présage. Ils finissaient toujours par, mystérieusement, disparaitre.

Ce soir-là, comme maintenant, je n'ai pas su détourner le regard. C'est toxique et pervers, mais je n'avais pas réussi et alors qu'elle se déshabillée pour plonger dans son bain, je m'en voulais un peu d'être entrée dans son intimité sans une quelconque autorisation malgré tout j'avais pu lui évitée de se faire tranchée la gorge par un homme de main des V Doyens qui essayée d'escalader le mur de la salle de bain -chose qui était encore arrivée il y as quelques heures- et pu aussi appréciée ses courbes, ses fesses rombondies. Elle n'appartient pas à mon monde. Alors que dans le mien, les femmes était tous extrêmement fines, ne dépassant pas les cinquante-cinq kilos. Elle, elle avait un petit ventre -mignon-, elle n'était pas grosse, loin de là. Elle était parfaite. Je la trouvais parfaite. Avec ses légères taches de rousseur qui entourait son nez, son visage légèrement arrondi et ses yeux couleur émeraude. Ils avaient l'air de crier à l'aide, constamment.

Je suis un vampire. Un vampire chasse les humains. Ce sont nos proies. J'étais un lion et elle une biche, mais je n'avais aucunement envie de m'en prendre à elle. C'était une biche que je voulais protéger des autres prédateurs. Que je voulais câliner, dorlotée. Diable sait que ce n'était pas spécialement mon genre et que la seule humaine que j'avais pu aimer était ma mère.

"-Nous sommes sincèrement désolées qu'une autre attaque aie eu lieu. Ce sont les nôtres qui enfreignent les règles. Il n'y a pas seulement eu une attaque, mais deux. Ceci est inadmissible et sachez que cela sera réglé très prochainement. Toutes mes excuses les plus profondes à vous deux." Dit Selena, dans une voix douce mais néanmoins stricte qui me rappelle à l'ordre et me sors de mes pensées.

"-Joséphine. Au vu des circonstances, il n'y aura aucune conséquence pour toi. Hodwing a attaqué en premier, tu n'es pas fautive et tu m'en vois désolée qu'il est agis de telle sorte, mais maintenant, c'est un problème réglé. Nous avons aussi réglé le problème de votre voiture Amélia."

Amélia. Son prénom résonne en moi dans un bruit sourd et douloureux. Amélia. Ma biche.

"-En revanche, nous ne savons que faire de vous. Vous êtes un problème que nous nous devons de régler. Vous en savez trop sûr nous tous. Bien que nous n'avions pas encore eu le temps de délibérée."

Son regard apeuré se dirige immédiatement vers moi et je me sens de nouveau adoucie. Comme s'il en était de mon devoir de la protéger et bien que cela venait à l'encontre de nos règles, mais aussi de notre instinct, c'était une promesse intérieure que je me faisais.

Je la protégerai plus que ma propre vie.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro