The cut that always bleeds
Sur une balançoire emportée par le vent
Je fais des vas et viens perdue dans l'émotion
Mes rêves et mes doutes formant un tourbillon
J'observe d'un air las le beau soleil couchant
Ces mots me reviennent en mémoire de nouveau
Ces paroles infligées par ma propre personne
Qui m'étranglent et me brûlent et dès lors me sectionnent
Des mots tranchants qui laissent mon âme en lambeaux
Ces éclats de rire sincères mais fragiles
Ces sourires heureux d'une fausseté agile
Cachant ces vieilles blessures qui saignent encore
La lueur de la Lune éclaire mes pensées
Qui contemplent la beauté du monde qui dort
Dans la nuit calme je me retrouve apaisée
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