[Désolé du retard gros bug de mon ordinateur]

Ce méli-mélo c'est quoi ? Et bien c'est très simple je vais vous donner un extrait des chapitres 2 de tous les histoires présentes sur mon ordinateur mais aussi de celui de Daisy, ce ne sont que des brouillons donc à améliorer et bourré de fautes mais voilà. Bonne  découverte alors et n'hésitez pas à me dire lesquels vous ont intrigués ou plus. 

« Les deux adultes échangèrent un regard.

— Daisy, soupira son tuteur.

— Oui ?

Elle sentait qu'il y avait quelque chose de grave. La tension dans la pièce était plus que palpable. Ted reprit avec un ton plus doux.

— Elisa et moi avons convenu qu'il n'était pas bon pour toi de rester ici. Demain tu partiras à Philadelphie, avec elle, chez elle. Là-bas elle t'amènera dans un orphelinat où

— Je ne suis pas orpheline ! Mes parents sont vivants ! protesta la fillette.

Pourquoi personne ne voulait jamais la croire. Elle le savait pourtant, tout au fond d'elle. Ils étaient là quelque part. Et un jour ils reviendraient.

— Daisy, intervint Elisa, ton père s'il reviendra saura où me trouver. En attendant t ne peux pas rester ici. Et je ne t'emmène pas à l'orphelinat parce que tu n'as plus de parent. Mais parce que je connais quelqu'un là-bas. Quelqu'un qui saura te protéger et t'apprendre des choses que ni moi et encore moins Ted serions capable de t'enseigner. »

Daisy Perdison tome 1 – Chapitre 2 : Philadelphie

« Minuit sonna.

Du livre sortit doucement des branches qui avancèrent vers Selma avec lenteur. Cette dernière dormait encore. Les branches progressaient, s'enroulèrent autour de ses bras, de sa poitrine, de son cou, de son visage. Cela la réveilla mais elle ne pouvait plus bouger. »

Le livre de la forêt – Chapitre 2 : Terreur nocturne

« Elle aurait voulu le serrer contre elle, l'étouffer de son amour et ne plus le lâcher jusqu'à qu'il soit en sécurité. Mais elle savait qu'il n'appréciait pas cela ici. Néanmoins elle ne le quitta toujours pas des yeux, comme si son regard pouvait le sauver de toute tentative de meurtre. César était son enfant, elle l'avait désiré avant même qu'il ne pousse en elle et elle l'avait porté, pendant un moment ils avaient partagé le même corps, s'était nourris de la même nourriture, avait respiré le même air. C'était une expérience unique, surtout pour une créature comme elle, qui était née de la nature elle-même et non pas du corps d'une femme. On l'avait prévenu que certaine fée, ne connaissant pas ce genre de sensation, n'avait que peu d'affection pour leur progéniture, mais pour elle cela avait créé un lien indestructible entre son enfant et elle, pour lui elle se sentait capable de tout. Et pourtant elle était impuissante contre ces assassins qui avaient osé tenter de lui arracher son enfant. »

Révolution tome 1 : Complots - Chapitre 2 : Badinage

« Il était arrivé vingt ans plus tôt, alors que la ville avait déjà une guérisseuse. Mais ses talents exceptionnels lui donnèrent une place à Kalanche. Il lui suffisait de poser ses mains sur quelqu'un pour que la souffrance disparaisse ou qu'une blessure commence à se soigner. Malgré cela, on ne savait rien de son passé. Depuis son arrivée il n'avait pas vieilli, pas pris une ride et son visage parcourut d'une immense balafre paraissait presque juvénile. De plus il était très lunatique. Par moments il passait des jours entiers à la taverne de la ville pour voir du monde et discuter avec tous, à d'autre il s'enfermait chez lui sans voir personne. Tout cela poussait certaines personnes de la ville à rependre des rumeurs malveillantes à son sujet, l'accusant de sorcellerie ou de fricoter avec le Tentateur.

Les filles ne faisaient pas parties de ces gens et entrèrent sans crainte dans la maison désordonnée du guérisseur. Il les accueillit avec sa gentillesse coutumière. Lui qui était toujours bon et serviable pour la communauté et d'une extrême bonté pour les sœurs.

Iris expliqua la situation rapidement. Il n'hésita pas à les suivre chez elles aussitôt. »

La caste des enchanteurs tome 1 : L'esprit dans la pierre – Chapitre 2 : Les filles du meunier

« Mais ce fut surtout l'immense baie leur offrant une vue incroyable sur l'espace qui l'impressionnait. C'était un spectacle inédit, époustouflant qui la faisait se sentir plus petite que jamais.

— C'est génial ! s'exclama-t-elle.

Elle avait l'impression de n'avoir que ce mot à la bouche depuis quelques temps. Sébastien toucha du bout de ses doigts la vitre si épaisse et courbéé qui les séparaient du vide et approuva avec des yeux pétillants d'enfants :

— C'est fantastique !

Et il lui sourit avec bienveillance. Un sourire qu'elle n'avait pas vu depuis bien longtemps mais qui la rendit heureuse.»

Shirley – Chapitre 2

« — Koréus...commença-t-il.

Il n'était pas certain de vouloir mettre les pieds là-dedans. Ce mauvais pressentiment l'oppressait et le tentait dangereusement en même temps.

— Ton amie Nelsie est venue me voir tout à l'heure.

Le faune aux boucles rousses baissa la tête avec culpabilité. Voilà, plus possible de mentir ou de revenir en arrière pour l'un ou pour l'autre.

— Il parait que tu aurais recueilli une étrange créature en mon nom.

Il attendit que son jeune protégé fasse un commentaire. Mais ce dernier était désormais totalement immobile, le regard rivé vers sa tasse. Après avoir attendu en vain que son interlocuteur brise le silence, le centaure reprit.

— J'aurais aimé que tu m'en parles.

— J'ai hésité, lâcha enfin du bout des lèvres Koréus.

— Bon, ce qui est fait est fait. Maintenant je sais, alors on va oublier ça et se concentrer sur cette créature. Tu as bien fait de dire que ça venait de moi et de ne pas ébruiter sa présence.

— J'attendais juste que la fête soit passée. On lui fera bon accueil.

— Je n'en doute pas, mais tous les êtres ne sont pas aussi bon que les tiens. Tant qu'on n'est pas certain que cette créature soit inoffensive, il vaut mieux taire sa présence. Alors qui sait pour elle à part Nelsie et nous ? »

L'oracle de Salaam tome 1 : Chapitre 2 : Départs

« — Aujourd'hui Isméria a effectué un acte magique de grande ampleur devant de nombreux témoin.

Sans comprendre pourquoi, ses tuteurs la fusillèrent du regard. De son côté elle cherchait de quoi il parlait. Irma, elle, serra son bras très fort.

— Allez-vous l'arrêter ? demanda son oncle.

Elle se sentit affolée à cette idée, on n'allait pas l'arrêter alors qu'elle n'avait rien fait.

— Vous reconnaissez les faits ? demanda le deuxième homme qui ouvrait la bouche pour la seconde fois.

Il avait une voix rauque qui la fit frissonner.

— Eh bien oui.

— Et vous Mademoiselle Nadler ?

— Je... Je ne vois pas... De quoi vous parler, bafouilla-t-elle les yeux rivés au sol. »

L'institut Atlantis tome 1 – Chapitre 2 : Les invités

«

— Lequel d'entre nous iras ? interrogea Rigobert. Car il est clair que mes frères et moi nous nous soumettrons à vos ordres, vous qui nous avez offert la vie.

Six regards meurtriers s'abattirent sur lui. Lui ne risquerait rien bien sûr, il était le favori de leur père. Mais de quel droit parlait-il en leur nom à tous, alors qu'il était le plus jeune ? Pourtant aucun n'osa le contredire, craignant sans doute de signer ainsi son arrêt de mort et reconnaissais la justesse de ses paroles. Qui parmi eux oserait s'élever contre une décision de leur géniteur, leur souverain ?

— Arrangez-vous entre vous ! Choisissez l'heureux élu et vous viendrez m'annoncer son nom !

Il se leva et sans prêter attention aux mines atterrées de ses fils il quitta la pièce sur deux mots :

— Bonne chance ! »

Tueurs de dragon – Chapitre 2 : Les sept fils du roi

« On lui ouvrit les portes et le froid se glissa jusqu'à lui avec un plaisir trop longtemps oublié. Il faisait toujours si bon à l'intérieur du palais, pas comme chez lui où l'on étouffait excepté les soirs. Il pénétra à l'intérieur, ses pas résonnant dans le hall vide, il admira les lieux. C'était étrange que tout lui soit si familier alors qu'il n'avait même plus repenser à cet endroit.

Se dirigeant vers les escaliers et sa chambre on l'arrêta d'un mot :

— Votre père...

— Peut bien attendre que je m'installe ! protesta-t-il.

Il n'avait pas envie de le voir et espérer repousser ce moment le plus possible.

— Vos domestiques se chargeront de tout cela, votre père vous attend.

Il dévisagea les serviteurs de son père. Ce n'était pas les siens, eux ne se laissaient pas attendrir. Il jeta quand même un regard de détresse à ses gens espérant qu'ils pourraient influencer les autres, mais ils semblaient ébahi par la hauteur des plafonds.

— Bon, se résigna-t-il.

Il emboîta le pas d'un air penaud aux serviteurs marchant vers le diable en personne. Au moins ce serait fait. »

SF – Chapitre 2

« Et au quatre coins de l'univers, des gens se préparaient à partir pour une planète recouverte de verdure, dans le but d'y trouver une petite pierre qui ne brillait même pas. Ce qui paraissait ridicule au reste du monde, leur semblait excitant. Ils étaient tous convaincu qu'ils allaient enfin trouver la pierre, la toucher, et prouver à tous que leur quête en valait la peine.

Chacun, cherchait à en savoir plus sur cette région, consultant des cartes, des journaux et des ouvrages.

Chacun se prépara à partir le plus rapidement possible. Et le hasard, ou le destin fit que chacun arriva au même moment. »

La pierre des cœurs, tome 1- chapitre 2

« Le roi arriva enfin dans ses plus beaux atours, monta prestement à cheval et partit au grand galop vers les bois. Tous le suivirent gaiement, la chasse ayant toujours été un joyeux moment. Le roi lui-même semblait bien plus alerte et gai que lors des précédentes visites de Livio. La chasse ressembla à toutes les autres, même s'il lui semblait bien que le roi distançait de plus en plus les autres tout en s'agaçant néanmoins de sa garde rapprochée. Puis une biche argentée passa calmement devant eux, captant leur attention. Le roi eut l'œil pétillant et ordonna :

— Laissez-la-moi ! Elle m'a déjà échappée la dernière fois mais cette fois-ci je l'aurais. Quel beau trophée cela fera !

Était-ce donc cela qui l'avait tourmenté ? Il en doutait, mais il laissa le roi filer à quelques pas devant lui. Il l'avait dans son champ de vision et à porter de voix après tout et au cas où quelque chose se produirait, il serait à sa hauteur en quelques secondes. Ils galopèrent derrière la biche. Livio ne vit pas quelques minutes plus tard la biche disparaître sous un rayon de soleil, mais il en fut témoin quand ce fut au tour du roi son ami de passer sous le reflet de l'astre et de disparaître. Tirant brusquement sur les rennes, Livio observa autour de lui, examina la clairière, paniqué et incrédule. Que c'était-il donc passé ?

— Où est-il ? demanda Antonin. Il était là il y a encore un instant ?

Ils appelèrent Vangelis, fouillèrent les horizons, la chasse s'était subitement arrêtée, tous recherchant une trace même de leur souverain. »

De l'autre côté – Chapitre 2 : La chasse

«

— D'ailleurs ça doit être lui ! sussura-t-elle alors qu'un étrange frisson me prenait.

Le magicien noir qui passait dans le couloir à ce moment là semblait être celui de la veille. Tous se retournaient vers lui et je pouvais le concevoir, il avait quelque chose de magnétique. Il était grand, les cheveux sombres et fous, des bras musclés qui dans son blouson de cuir noir ressortaient bien, des cheveux sombres et des lunettes de soleil d'aviateur accroché à son col complétait parfaitement le cliché du mauvais garçon. Assuré, il avançait un sourire aux lèvres, les mains dans les poches, observant tout un chacun. Ses yeux d'ambre tombèrent sur nous, passèrent de moi à Erin et d'Erin à moi.

— Il faut que je lui parle ! affirma cette dernière qui déguerpit derrière lui.

Elle semblait s'énerver quand lui répondait avec calme.

— Je crois qu'il n'aura pas de souci pour se faire des amis lui ! Soupira Jocelyn

— Ça peut aussi lui faire plaisir de traîner avec une nouvelle. Mais je ne crois pas que tu perdes quoi que ce soit.

Je me mettrais des baffes parfois. Pourquoi fallait-il que je sois si gentil ? Je devais chasser Jocelyn pas la garder près de moi ! »

La trilogie de la magicienne noire – tome 1 : Chapitre 2

«

— Désormais tous le monde est là. On va pouvoir commencer les choses sérieuses. Vous serez ici chez vous pendant ce mois, et même après qu'on se quittes vous serez toujours accueillit à bras ouvert. Beaucoup de choses vous seront donc autorisés et peu serons interdites. Tous est fait pour que après les épreuves difficile que chacun de vous vient d'affronter, vous, vous sentiez ici chez vous. Pour les choses interdites il y a sortir du domaine sans autorisation et seul. Et si vous sortez rester à cotés de la cascade. Si dans le domaine vous tombez sur des tunnels condamné, ne les prenez pas, ils ne sont pas condamné pour rien. Demain vous en saurez plus sur ce qui va vous attendre. Et après demain on commenceras les cours. Mais tous cela je le détaillerais demain. Pendant que vous êtes là mon travail ne s'arrête pas pour autant. Il se peut donc que je m'absente ou que je reçoive quelqu'un. Dans ce cas je ne tiens pas à être déranger. Et si je ne suis pas là, quel-qu'en soit la raison, vous aurez cours. Ma fille, Dilya, dit-il en indiquant la fille du fauteuil, pourra vous faire cours, elle a de bonne connaissance.

Dilya jeta un regard impérieux sur l'assistance. Cambell se sentit gêné et Dana levait les yeux au ciel. Il y avait aussi quelques chuchotis parmi les autres apprenties. »

La saga des apprentis – Tome 1 : le nouvel apprenti – Chapitre 2 : Le domaine derrière la cascade

« Elle ouvrit les yeux sur un plafond immaculé. Des liens l'attachaient à son lit. Elle était dans un hôpital, seule, l'esprit embrumé, son corps tout entier hurlant de douleur. Était-ce à cause de l'accident ? C'était la dernière chose dont elle se souvenait. Ils étaient en voiture, puis il y avait eu un choc et....

Un homme en blouse blanche entra. Elle le reconnaissait. Il s'appelait Don Eliott. Il était scientifique ou médecin. Il l'avait déjà opérée ou soignée. En tout cas des images allant dans ce sens venait à elle, sans qu'elle puisse les remettre à un moment où à un autre dans le fil de son existence.

— Bonjour Gillian ! Je suis le docteur Don Eliott.

Pour un monde meilleur tome 1 : Sous les auspices de la fée – Chapitre 2 : Gillian Carter

«

— Mesdames il est temps pour vous de nous laisser discuter des affaires du royaume.

Aucunes protestations n'émanèrent d'elles et menées par sa Clovia toujours aussi gracile et svelte, elles quittèrent la pièce. Il ne lâcha pas sa femme du regard jusque son départ. Sa robe noire de deuil et sa coiffure compliquée relevant sur sa tête ses cheveux châtains lui donnait une apparence plus séduisante que jamais. Elle était bien différente de la défunte reine, elle qui avait de l'autorité, savait élever la voix et maîtrisait à merveille les intrigues tout en étant un roc pour lui. Elle ferait la meilleure des reines. S'il devait le faire pour quelqu'un c'était pour elle qui avait connu plus de souffrances que de joies dans ce mariage.

Les femmes parties il examina l'ensemble des ministres rassemblés devant lui, vêtu de noir, se tenant droit, les bars le long du corps. On aurait dit une réunion de manchots, alors que c'en était une de marionnette dont il allait tirer les fils.

— Messiers c'est un triste jour mais nous n'avons guère le temps de nous lamenter. Il faut prendre des mesures au plus vite. Rollan est trop jeune pour gouverner sur un royaume dans un état si misérable. Mais le temps où il prendra le trône approche et nous devons faire ce qu'il faut pour qu'à ce moment il le fasse dans les meilleures conditions.

Personne ne protesta, tous au contraire montrèrent leur assentiment, croyant sans doute qu'il allait s'appuyer sur eux.

— Chacun de vous va devoir faire des concessions, mais pour le bien de ce royaume nous nous devons de faire n'importe quel sacrifice. Ce qui refusent seront déchus de leurs titres, terres et exécuter comme traître au royaume.

— Tu n'as pas tous les pouvoirs ! Déclara une voix dans la foule de conseillers.

— En tant que régent il me revient de gouverner et de prendre toutes les décisions qui s'imposent. De plus je ne doute pas que le prince m'approuvera. Car il n'a besoin que d'un seul conseiller et moi d'aucun. »

Les changeurs - chapitre 2

« Josh allait protester, ou demander des explications, mais Scott lui expliqua :

— Les Hamilton sont une des plus puissantes familles de sorcières qui existent tu sais. Et sa sœur est la dernière génération d'une lignée entière de pure sorcière. Elle doit être une des plus puissantes sorcières au monde, si ce n'est la plus puissante.

Josh eut un regard effrayé.   

  — Peut-être qu'on pourrait en parler à un prochain coven. Ta sœur viendra ?

— Elle ne peut pas. Elle a déjà passée la décision. »

Le cercle de Nottingham tome 1 : Révélation chapitre 2

« La panique me gagna. Qu'était donc devenu le plus valeureux archer que je connaisse ? Je n'aurais pas du l'abandonner. S'il était mort je ne pourrais plus jamais me regarder ou même faire face à d'autre elfes. J'avais abandonné un frère. Il était même plus qu'un frère. L'unique personne qui était là pour moi, qui se souciait de moi, mon plus grand soutiens. Sans lui, je serais peut-être morte des centaines de fois. Il m'a sauvé la vie sans même me connaître, quand mon clan a voulu m'exécuter, et depuis ce jour il me protège dans un monde où je ne connais rien. Et pourtant je l'ai laissé.

J'aurais voulu pleurer. Je me haïssais comme jamais. J'avais abandonné celui que j'aimais.

Lui il ne m'avait jamais abandonné, même alors que j'étais une simple inconnue pour lui, une ennemie potentielle même. »

Drow tome 1 – Le repaire de la lamia : Chapitre 2