Pdv de Daryl:

Glenn: Porte la. On doit la ramener à la prison.

- Eh pourquoi c'est à moi d'la porter hein?

L'chinois soupire et me regarde.

- Quoi?

Glenn: Elle est déjà à moitié dans tes bras Daryl fait un effort.

Un grognement de mécontentement sort de ma bouche et je la lâche. Son corp fin s'écrase au sol.

- Plus m'tenant.

Bon elle était qu'à quelques dizaines de centimètres du sol elle va pas mourir non plus.

Glenn: Mais t'es malade! Tu aurais plus la blessé encore plus qu'elle ne l'est!

- Mais c'est pas le cas. Dis-je en soupirant.

[...]

C'est après au moin trente longue minutes que le chinois me fait chier pour que je la porte et j'ai finis par cédé.

Me voilà donc à porter cette parfaite inconnue dont j'ai déjà oublié le prénom en sac a patate sur l'épaule.

C'est Carl qui nous ouvre la grille.

Carl: Une nouvelle? Dit-il septiques mais à la fois heureux.

Je lui lance un regard puis rentre dans notre bloc.
Ça fait un moment qu'on ramène tous les survivants qu'on voit, enfin presque tous. Certain nous ont d'ailleurs créé pas mal de merde.

Glenn: Mets la dans la cellule la.

Je la pose sans délicatesse sur le lit et pars en allumant une énième cigarette. La nicotine m'aide à aller mieux ou même à me calmer. Mais si je continue à en fumé dix par jours je serais vite a court, il faut que je ralentisse mais pour ça il faudrait que les autres arrête de m'emmerder.

Pdv d'Adélaïde :

Mes yeux s'ouvrent avec difficultés, ma bouche sèche s'entrouvre et je cligne plusieurs fois des yeux pour habitué à la lumière.

J'ai des courbatures partout, l'impression d'être le lendemain de mon cours de sport quand j'étais au lycée. À chaque fois mes muscles me faisait souffrir mais maintenant je me suis beaucoup plus endurci heureusement, ma très longue marche m'a épuisé malgré tous.

Mes sourcils se fronce alors que je ne reconnais pas l'endroit où je suis, je suis dans quelques choses de moue.. un lit?

Mes yeux vert parcours l'endroit où je suis avec attention, les quatre murs gris a l'aspect sale rend la chose glauque... Dans la petite pièce se trouve une petite table où se trouve un plateau remplie de nourriture dessus. Je me lève les jambes tremblentent et m'assois sur la chaise qui est accompagné au petit bureau en métal. Je commence a manger rapidement, mon ventre me remercie d'enfin manger quelque chose. Je sais pas où je suis tombé mais il faudrait que je remercie celui ou celle qui a cuisiner, après je partirais. Il n'est pas question que je reste dans un endroit où je ne connais personne. C'est même impensable pour moi.

Une fois mon plateau et la bouteille d'eau vidé je me lève et sors de ce qui ce représente plus a un cellule qu'autre chose. En sortant de celle ci ça confirme ce que je pensais, je suis dans une prison. Ils sont nombreux pour avoir réussi a nettoyé cette endroit qui était sûrement infesté. Ce qui m'effraie, ils ne faut pas qu'ils me voient.

En voyant personne je sors en toute discrétion et place ma main devant mes yeux clairs pour les caché du soleil qui m'aveugle. Une fois ceux ci habitué à la lumière je prends le temps de regarder. Ils sont équipés aussi... Des potagers et des enclos, des véhicules et plein d'autres trucs.
Ils sont beaucoup à être dehors et certains me regarde curieusement, ils sont tous propre aucune crasse, rien. Ils n'ont pas l'air de non plus réagir à ma présence ce qui m'étonne fortement. Certains auraient crié à l'intrus et d'autres m'auraient sûrement tué.

Je marche rapidement mais pas trop pour pas que ça paraisse suspect vers la porte qui mène à la forêt.

??: HÉ!

Je tourne la tête et vois un rouquin vraiment baraqué. Zut ...

J'ouvre en grand les yeux et me mets à courir le plus vite possible vers la sortie. Il y a un garçon avec un chapeau de shérif a la grille qui ne m'a pas encore entendu approché.

Au moment où j'étais à deux doigts de sortir je me fais violement plaqué contre le sol ce qui m'arrache une plainte de douleur.
On me tient contre le sol. Je ne vois pas qui c'est.

La respiration est rapide à cause du sprint que j'ai fait malgré les courbatures qui me font souffrir.

Le roux de tout a l'heure arrive dans mon champ de vision accompagné d'un homme brun avec une chemise bleu.

??: C'est bon Daryl tu peux la lâcher.

Daryl ça me dit quelques choses.

Ah oui c'est le Robin des bois que j'ai vue accompagné du chinois avant de m'évanouir.

La pression sur mes poignets se faiblit puis disparaît.
Je me redresse directement après.

- Je veux partir.

??: moi c'est Rick et lui Abraham.

- Je m'en fous de savoir vos prénoms je veux partir j'ai dit.

Le roux ou plutôt Abraham rit d'un rire grave qui pourrait vous rendre sourd tellement son rire est fort.

Abraham : Elle a du caractère la p'tite.

- Allez vous faire voir je veux partir.

Rick: Tu ne peux pas tu es blessé.

- Et alors en quoi ça vous regarde hein?

Rick: Reste seulement le temps que tu guérisse complètement. Si tu veux après tu pourras partir.

Je le regarde septique.

- Je peux partir quand je veux?

Rick: Quand tu seras guéri oui.

Après tous je peux tenter... Mais je les aiderais pas.

- Mmh.

Abraham: On prend ça pour un oui!

Il rit et me regarde de sa grande taille.

Pdv de Daryl :

Alors que je suis entrain de trifouiller a la moto de mon frangin, j'entends la grosse voix d'Abraham.

Je relève la tête et vois la fille de tout à l'heure courir comme une gazelle vers la les portes qui mène à dehors. Je réagis au quart de tour et me mets à courir aussi vite que possible.

Alors qu'elle était presque à la porte je la plaque au sol et la tient contre le sol en tenant fermement ses poignets.

Rick et Abraham arrivent. Le chef me dit de la lâcher ce que je fais. Cette nana va nous apporter que des problème j'en suis sûr, mais Rick a insisté a ce qu'elle reste disant qu'elle nous serait utile. Bien-sûr Glenn a ramené son cul et a dit qu'elle était fiable. Mon cul ouais. Ils parlent d'un truc clairement pas intéressant pour moi alors je pars chasser. Ça me changera les idées et j'aurais pas a la supporter.

À suivre...