𝑀𝑎𝑦𝑏𝑒 𝑦𝑜𝑢'𝑟𝑒 𝑟𝑖𝑔ℎ𝑡, 𝑚𝑎𝑦𝑏𝑒 𝑡ℎ𝑖𝑠 𝑖𝑠 𝑎𝑙𝑙 𝑡ℎ𝑎𝑡 𝐼 𝑐𝑎𝑛 𝑏𝑒.      𝐵𝑢𝑡 𝑤ℎ𝑎𝑡 𝑖𝑓 𝑖𝑡'𝑠 𝑦𝑜𝑢, 𝑎𝑛𝑑 𝑖𝑡 𝑤𝑎𝑠𝑛'𝑡 𝑚𝑒?

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Après leur cours, Jisung et Felix avaient rapidement quitté la salle, évitant le regard menaçant de Soojin qui n'inspirait rien de bon. Les deux garçons s'étaient installés dans un coin oublié de leur fac, sous un petit escalier du bâtiment principal. Le mur, couvert de plusieurs inscriptions, semblait témoigner des passages de nombreux élèves à travers les années. Personne ne venait jamais ici, alors c'était devenu leur coin à eux. Jisung ne supportait pas le bruit ni les lieux un peu trop remplis, alors c'était l'endroit parfait.

Lorsque la sonnerie avait retenti, Jisung s'était accroché à la manche de Felix en le suppliant de rester avec lui, il n'avait pas la force de retourner en cours et encore moins d'être seul dans cet état. Le brun n'avait pas hésité une seconde et s'était installé à ses côtés. C'était l'un des rares moments où son ami se permettait de baisser ses défenses et d'accepter le réconfort de quelqu'un d'autre. Jamais Felix n'avait vu le blond dans un tel état, car même s'il savait que la santé mentale de Jisung était fragile, c'était la première fois qu'il voyait une telle expression dans son regard.

-Jisung, tu ne veux vraiment pas m'expliquer ce qu'il s'est passé avec lui pour que ça te mette dans un tel état ?

Jisung hocha négativement la tête en simple réponse, ne voulant pas aborder le sujet avec le brun. Déjà, Même s'il essayait d'en parler, les mots ne quittaient jamais la barrière de ses lèvres. De plus, Jisung n'imaginait jamais révéler la vérité à Felix. Il craignait trop qu'il soit dégoûté, qu'il s'éloigne de lui, ou d'autres scénarios que Jisung ne voulait même pas envisager.

Il avait constamment l'impression d'être de trop. Il vivait avec la peur constante que l'on se moque de lui, que tout soit faux, que l'on joue avec lui. Il n'arrivait plus à donner sa confiance aux autres. Même s'il tenait à Félix, il n'arrivait pas à lui parler. Personne n'était au courant de ce qui lui était arrivé. Il en avait trop honte.

- Si nan, tu as enregistré ta nouvelle chanson ?

- Oui attends, j'ai l'enregistrement sur mon téléphone. Si tu veux, je te le fais écouter.

- J'attends que ça.

Jisung rigola légèrement à la remarque du brun. Il appréciait qu'il essaie de lui changer les idées.

Pendant que le blond cherchait la vidéo, Felix sortit ses écouteurs et en tendit un à son ami. Après l'avoir retrouvée, Jisung se rapprocha légèrement de Felix afin qu'il puisse également voir son écran. Il lança la vidéo et une douce mélodie parvint à leurs oreilles. Pour le blond, la musique était son refuge, le seul endroit où il se sentait pleinement en sécurité. Il espérait vraiment pouvoir en vivre un jour, bien que cela semblât être un rêve inaccessible pour l'étudiant qu'il était.

Le blond fredonna légèrement l'air tandis que Felix était absorbé par la vidéo qui défilait devant ses yeux. Jisung avait du talent, c'était indéniable. Sur la vidéo, on le voyait, sa guitare sur les genoux, chantant la chanson qu'il venait tout juste d'écrire, Le brun l'admirait pour cela. Il écrivait et composait toutes ses chansons seul, chaque note étant le fruit de son propre génie, chaque mot portant l'empreinte de son âme.

Lorsque Jisung regarda son ami, les yeux rivés sur l'écran, admiratif de son travail, il ne put s'empêcher de sentir son cœur se serrer légèrement. Felix était son rayon de soleil. Dès qu'il était avec lui, il se sentait un peu moins seul. Par moments, il s'en voulait d'avoir autant de mal à lui faire confiance. Il savait qu'en revanche, le brun avait pleinement confiance en lui et n'hésitait pas à lui confier tous ses secrets.

-Jisung, plus le temps passe, plus tu as du talent.

Jisung sourit timidement au compliment du blond, ses joues prenant une teinte rosée sous le regard bienveillant de Felix.

- Tu vas la poster quand sur ton compte Instagram ?

-Cette semaine, je ne pense pas qu'il y ai d'autre modification à faire.

Jisung avait commencé à explorer la musique dès son plus jeune âge, attiré par les mélodies qui dansaient dans son esprit. Il se souvenait à peine de l'âge qu'il avait lorsque ses doigts avaient touché les cordes de sa première guitare. Pourtant, aucun de ses parents ne partageaient son engouement pour la musique, ce qui le laissait souvent se sentir déconnecté de sa propre famille.

Jisung s'imaginait parfois être né dans la mauvaise famille, se demandant s'il n'avait pas été échangé à la naissance. La musique était son refuge, son univers où il pouvait être pleinement lui-même. C'était son moyen d'expression, un langage qu'il maîtrisait mieux que les mots.

Au fil des années il s'était totalement refugié dans ses compositions. Pourtant, il gardait ses créations secrètes, ne partageant que rarement ses chansons avec les autres. C'était ainsi qu'était né le pseudonyme de J.ONE, une identité cachée derrière laquelle il pouvait s'exprimer librement, loin des regards critiques de son entourage. Seul Felix était au courant que c'était Han Jisung qui se cachais sous le profil de J.ONE.

Jisung et Felix avaient passé l'heure entière à écouter les nombreuses compositions du blond. Même après les avoir écouté des centaines de fois, Felix ne se lassait jamais. Lui aussi, il voulait avoir ce talent. Il avait l'impression d'être doué uniquement pour faire la fête et enchaîner les conquêtes d'un soir. Il enviait cet aspect chez le blond, cette assurance et cette passion évidente pour son art. Jisung avait trouvé quelque chose dans lequel il était vraiment doué et qui lui plaisait plus que tout. Contrairement à lui, Felix ne savait pas ce qu'il voulait faire de sa vie. Il n'avait aucune passion clairement définie et il cherchait encore une raison à son existence.

Felix fut rapidement sorti de ses pensées par la voix familière de Jisung :

-Je pense que je vais rentrer, je ne me sens pas de rester à la fac.

Felix afficha une moue triste mais hocha la tête. Jisung avait déjà passé une journée difficile, alors c'était mieux s'il rentrait se reposer, histoire de remettre ses idées au clair.

-Je comprend, c'est mieux, repose-toi.

-Oui merci, Répondit simplement le blond, alors qu'il attrapait son sac avant de le jeter sur son épaule.

-Bon j'y vais, à demain.

Oui, envois moi un message si ça ne va pas surtout.

Jisung hocha la tête et salua son ami avant de ce diriger vers la sortie de son établissement, ses pas résonnant sur le sol carrelé. Il pria intérieurement pour ne pas retomber sur le noiraud. Heureusement pour lui, il ne le recroisa pas. Lorsqu'il sorti du bâtiment le vent frais caressant son visage, il observa les feuilles mortes tourbillonner autour de lui tandis qu'il se dirigeais d'un pas lent vers son bus.

Alors qu'il se perdait une nouvelle fois dans ses pensées, il repensa à sa discussion avec son ami, laissant ses souvenirs s'entremêler avec les bruits de la rue et la sensation du vent sur sa peau. Bien que sa conversation avec Felix lui ait quelque peu changé les idées, Il redoutait de devoir passer l'année avec le noiraud. Le souvenir des échanges passés, empreints de sarcasme et de mépris, lui nouait l'estomac. Il espérait simplement que le garçon la laisse tranquille.

Il sortit de ses pensées lorsqu'il entendit son bus au loin, le bruit du moteur résonnant dans l'air. Il accéléra le pas, ne voulant pas attendre vingt-cinq minutes pour le prochain bus. Après avoir grimpé à bord, il chercha rapidement un siège disponible, finalement s'installant à un siège côté fenêtre. Alors que le bus redémarrait, il cala sa tête sur la vitre à sa gauche et ferma lentement les yeux, bercé par les secousses régulières du véhicule.

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Lorsque son bus s'arrêta à son arrêt, le blond descendit rapidement après avoir salué le chauffeur. Il avança jusqu'à sa maison, les pensées encore embrumées par les événements de la journée. Une fois à l'intérieur, il retira ses chaussures avec un soupir de soulagement, appréciant la sensation de libération que lui procurait le fait d'être enfin chez lui. Alors qu'il s'apprêtait à monter dans sa chambre pour se détendre, il fut interpellé par sa mère qui se dirigeait droit vers lui, son visage affichant un air énervé, ses sourcils froncés et ses bras croisés, exprimant clairement son mécontentement.

- Je peux savoir ce que tu fais là ?

- Bah, j'ai fini les cours, alors je rentre.  Répliqua froidement Jisung avant de reprendre sa marche vers sa chambre.

- Ne te moque pas de moi, Jisung. Je sais très bien que tu as cours à cette heure-là. Et ne me fais pas croire qu'ils ont été annulés. J'ai bien vu sur le site de la fac que ton prof était présent.

Jisung s'arrêta net sur les marches de l'escalier, puis se tourna vers sa mère, visiblement énervé.

-Tu m'espionnes maintenant ?!

-Ne change pas de sujet, cria sa mère.

-Je ne me sentais pas bien, c'est tout.

-Pourtant, tu as l'air d'aller plutôt bien. Je te préviens, Jisung, c'est la dernière fois que tu sèches les cours. Déjà que tu n'es pas capable de réussir ton année en ayant de bonnes notes, alors si maintenant tu te mets à sécher les cours, tu fonces droit dans le mur.

-Mais combien de fois je vais devoir vous répéter que je veux faire de la musique moi ! J'en ai rien à foutre de votre putain école de commerce !

-Mais tu n'y arriveras jamais, Jisung, d'accord ? Mets-toi ça dans la tête. Ce n'est pas un avenir. Arrête de te bercer d'illusions. Et tu ne me parles plus jamais sur ce ton c'est clair ! cracha sa mère.

Je m'en fou de votre avis cria Jisung en se dirigeant vers sa chambre.

-tu ferais mieux de prendre exemple sur ta sœur.

Arrivé en haut, il claqua sa porte avant de s'effondrer contre celle-ci, le souffle court, le cœur battant a un rythme effréné. Les larmes roulaient sur ses joues, dessinant des traînées humides sur sa peau. Il maudissait ses parents. Ils étaient incapables de voir la vérité en face : Jisung n'allait pas bien, ça sautais aux yeux, mais ils étaient trop obsédés par ses notes pour s'en préoccuper.

Aucun de ses deux parents ne semblait s'inquiéter à son sujet, du moins pas concernant sa santé mentale. Ils passaient leur temps à lui dire ce qu'il devrait être sans jamais lui laisser le choix d'être celui qu'il voulait être. Il avait l'impression d'être piégé dans un monde où il ne pouvait pas être lui-même.

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Le blond passa son après-midi enroulé sous sa couette, sans avoir la force de se lever. Les heures s'étaient écoulées rapidement et Jisung n'avait pas vu le temps passer.

À plusieurs reprises, ses parents l'avaient appelé pour manger, mais il n'avait pas répondu. Sa mère, lasse et contrariée, n'avait pas insisté davantage, toujours en colère contre son fils et déçue de son comportement.

Lorsque la nuit était tombée, Jisung s'était enfin levé et avait entrepris de jouer un peu de sa guitare. Les premières notes résonnaient dans sa chambre à peine éclairée, et il fredonnait les paroles de sa nouvelle chanson : "Until the End of Time". Il fut interrompu par la vibration insistante de son téléphone, posé négligemment sur le coin de son bureau. Jisung marqua une pause dans sa musique, sa main suspendue au-dessus des cordes de sa guitare, alors qu'il se tournait vers son téléphone avec une légère frustration.

➤Vous avez reçu un nouveau message :"Inconnu""

Salut, j'espère que je te dérange pas. Tout va bien ?

Jisung sourit en voyant le message, au moins quelqu'un s'inquiétait pour lui. Il se sentit un peu réconforté, même s'il ne savait pas qui était l'expéditeur.

Hello comment tu va ? Et t'inquiète pas tu me dérange pas je faisais pas grand choses. J'ai connu mieux on va dire.

Comment ça ? Tu veux m'en parler ? Sinon, moi ça va à peu près, comme hier.

C'est pas grave, t'inquiète.  J'veux pas te dérangée avec mes problèmes alors que t'as sûrement les tiens aussi.

Tu ne me déranges pas. Tu m'as bien aidé hier soir, Laisse-moi t'aider aussi. Sache que si jamais t'a besoin, je suis la .

J'ai pas l'habitude de parler de moi, je me sens pas super légitime sachant qu'il y'a bien pire. J'ai juste l'impression de trop me plaindre pour rien.

Ecoute, j'ai aucune idée de ce que tu a vécu, mais je suis sûr d'une chose : y'a mille raisons de souffrir. C'est pas parce qu'il y a pire que toi que t'as pas le droit de souffrir. C'est ta vie, tes peines, tes sentiments, et de toute façon, y'a toujours pire que pire, c'est comme ça.

J'ai l'impression de m'entendre, c'est toujours moi qui dis eu ces ok de pas être ok pourtant je suis en train de faire l'inverse de ce que je dis. C'est stupide.

Tu sais des fois ça fait du bien de parler de ce que l'on ressent au lieu de tout garder pour soit.

J'ai peur que mes paroles se retournent contre moi. Je me dis que c'est mieux de pas en parler.

Si tu a peur que je me moque de toi dit qu'on se connaît pas du tout. Je peux rien te faire avec ce que tu me dit, je sais même pas qui t'es.

Tu es sur de toi?

Si ça peut te rassurer, je connais ni ton nom, ni tes potes, ni où t'habites, absolument rien. Je peux rien te faire.
C'est toujours plus facile de parler de ses problèmes à quelqu'un qui te connaît pas. Comme ça, on reste neutres, et je pourrai être totalement objectif.

T'a pas tort. Tu es un parfait inconnu, tu ne connais rien de moi, donc théoriquement, tu ne peux pas me faire grand-chose.

Sache que si t'as besoin, tu peux m'envoyer un message à n'importe quel moment, même si tu penses que c'est pas super important. Je serai la pour t'écouter.

Jisung ne savait pas trop quoi répondre. Déjà qu'il avait du mal à se confier à Felix, qu'il considérait presque comme son meilleur ami, alors parler de ses pensées les plus sombres à un parfait inconnu l'intriguait. Mais plus il y réfléchissait, plus il était d'accord avec lui. Il ne pourrait jamais se servir de ce que Jisung lui confierait car il n'avait aucune idée d'à qui il avait affaire. En plus de ca, le courant passait étrangement bien entre eux, alors pourquoi pas ? Dans tous les cas, il n'avait rien à perdre, n'est-ce pas ?

dans ce cas si jamais je me sens un mal, je t'enverrai un message . Et toi aussi si jamais t'as besoin de discuter ou juste de passer le temps, je suis là pour toi aussi.
Par contre, je préfère qu'on soit clairs : on évite de partager des informations trop personnelles comme nos villes, nos prénoms, ou d'autres infos qui pourraient nous identifier.

Merci pour la proposition. Et c'est noté, on évite de partager des infos qui pourraient nous identifier.

Alors que Jisung tapotait toujours sur son téléphone, il quitta sa chaise de bureau pour rejoindre son lit qui se trouvait en face, à quelques pas seulement. Plongé dans sa discussion, il ne remarqua pas tout de suite que la nuit s'était déjà installée, obscurcissant lentement la pièce.

J'me disais que l'on pouvait ce présentez, officiellement.

Ok. Qui commence ?

Je t'en prie à toi l'honneur

OK, OK. Alors, tu peux m'appeler Ji. J'ai dix-huit ans et je suis à la fac. J'ai pas grand-chose d'autre à dire sur moi.

Heureux de te connaitre Ji.  Perso j'ai vingt ans, je suis également étudiant, et tu peux m'appeler Lino. Si, non, tu ne m'as toujours pas répondu. Pourquoi tu ne te sentais pas bien tout à l'heure ?

Rien d'important, je me suis seulement engueuler avec ma mère cette après-midi.

Ho j'espère que ça va mieux. je peux savoir pourquoi ?

J'ai séché les cours.

HA oui d'accord, pourquoi ?

Je me sentais mal, alors je suis rentré chez moi et ma mère m'est tombée dessus. Puis, elle a commencé à débattre sur mes études, elle m'a dit que je fonçais droit dans le mur et tout ça.

Comment ça, "tu fonces droit dans le mur" ?

On n'est pas d'accord sur mes études. Elle insiste pour que je continue mes études pour avoir une carrière stable, alors que moi je veux juste faire de la musique.

Tu fais de la musique ? C'est génial ! Je comprends pas pourquoi elle veut pas, il est ou le problème ?

Je sais pas pourquoi elle comprend pas. Elle ne fait que me répéter que ce n'est pas un vrai métier et que je devrais prendre exemple sur ma sœur.

Je vois pas en quoi c'est pas un vrai métier et ces idiots de te comparer a ta sœur. En tout cas, j'espère que tu vas mieux.

Oui, je me suis calmé. Et toi, depuis hier, ça va mieux ?

Oui, ça va un peu mieux. Cette après-midi je suis passé voir ma grand-mère chez elle. Elle se sent super seule depuis que mon grand-père est parti, alors je lui rends visite le plus possible.

                                                                                                            Tu es proche d'eux nan ?

Oui, c'est eux qui m'ont éduqué. Je les considère comme mes parents.

Désolé si c'est indiscret, mais pourquoi ces eux qui ton éduqué ?

Mes parents ne pouvaient pas s'occuper de moi, alors je suis allé vivre avec eux.

Ah, d'accord. Désolé pour toi... Quand je pense que j'étais en train de me plaindre de mes parents....

hey y'a pas de soucis. Comme je t'ai dit ces ok de pas être ok. J'étais petit, j'avais onze ans quand je suis parti vivre avec eux.
Bon par contre je suis désolé Ji, mais je vais devoir te laisser là, mes chats me demande.

Tu as des chats J'en apprends de plus en plus sur toi.

Est oui, je te les présenterai une prochaine fois, si tu veux. A plus Ji

Au revoir Lino .
Lu a 22:49

Vous avez renommé ce contact en "Lino"

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Hey, me voilà avec le chapitre 2 de PHOBIA. Il m'a pris énormément de temps à écrire, je suis passée par toutes les émotions possibles en l'écrivant, mais il est enfin là. J'espère qu'il vous aura plus.
Si vous êtes toujours là n'hésitez pas à laisser un commentaire.
Sur ceux à la semaine prochaine pour le chapitre 3.
⇝Enolysis