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³¹ | 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝚃𝚛𝚎𝚗𝚝𝚎-𝚎𝚝-𝚄𝚗
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³¹ ¹⁰ ²⁰²⁴
²⁰²⁴
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³⁰⁰³ ᵐᵒᵗˢ
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|• 𝓑𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓛𝓮𝓬𝓽𝓾𝓻𝓮 •|
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Mark et Donghyuk
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Lundi 9 Janvier
IL A LES POCHES LOURDES. Pas vraiment celles sous ses yeux même si elles aussi sont un peu marquées. Mais ici, on parle plus des poches de sa veste, bourré de mouchoirs, des tissus qu'il entasse puis qu'il jettera ce soir, à moitié assoupie, mais surtout malade. La gorge qui lui gratte et son nez qui coule.
Chez ses grand parents, le radiateur fonctionnait une fois sur deux, il s'éteignait en pleine nuit, se rallumait parfois le matin. Alors en plus de ne pas avoir beaucoup dormi ces derniers jours, Mark avait attrapé la grippe.
Il reste figé devant le portail de chez donghyuk, ses mains dans ses poches et son manteau fermé jusqu'à tout là haut. Il fait encore froid dehors, peut être moins qu'en plein milieu de décembre mais qu'en même froid.
La porte s'entrouvre, il y a un minuscule fragment du bruit de l'intérieur de la maison, puis plus rien. Le brun ferme la porte, son sac dressé sur son dos, il se tourne en direction de Mark, le visage agacé, une grimace caractéristiques de Donghyuk puis, brutalement, un immense sourire qui germe. Sa veste est grande ouverte et de la voir comme ça, ça donne un frisson à Mark.
Donghyuk trottine jusqu'au portail, ses joues rougies à l'image de celle de Mark, comme si ça faisait mille qu'ils ne s'étaient pas vu, que pendant quelques secondes d'accommodation, tout allait être bizarre.
Quelques secondes rapidement parties en fumée.
C'est dans un reniflement cru de la part de Mark que Donghyuk s'est jeté dans ses bras. Ses bras dans son dos, son visage dans son cou.
Le bruit de la circulation autour, les joues de Mark qui chauffent, qui chauffent et qui chauffent encore et encore. En parallèle, celles de l'autre tout en symétrie aux siennes.
Puis, un éclair. Celui de Donghyuk et pas de Mark. Donghyuk qui se recule brutalement, un pied derrière l'autre, un type peureux qui se cache derrière une excuse, il crierait presque, le visage tourné ailleurs pour ne plus voir Mark.
Ne pas le voir dans les yeux, ne plus le voir dans les yeux.
Putain, c'est vrai, pourquoi c'était aussi bizarre d'être aussi proche de Mark, là, tout de suite ?
— Me dis pas que t'es malade !
Il exhibe ses bras, les bousculent vers Mark comme pour pointer du doigt. Il dévisage un instant son visage fatigué, le bout de son nez qui est tout rouge, irrité. Il descend même un instant un peu plus bas, vers la jonction de ses lèvres à son nez. Où le doigts de l'ange s'est posé, où, ses lèvres à lui, l'ont éraflé.
Il rougit de plus belle, le dos tourné sans chercher à entendre la réponse de l'autre.
— Si. J'ai la crève.
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— Tiens.
Donghyuk rougit. Il ne rougit pas vraiment comme d'habitude, quand il est gêné d'une blague, d'une remarque stupide qu'il a faite. Il est gêné comme un gosse, comme une gosse.
— Tu veux que je reste deux heures comme ça ?
Ses yeux s'ouvrent en grand, ses doigts s'ajustent à la hauteur de Mark, il récupère le bout de plastique qu'il lui tend. Ça le fait soupirer, son bras qu'il lisse le long de son corps, une main qu'il place dans sa poche, la tête détournée de Donghyuk, il plonge ses yeux en direction de la fenêtre de la salle de classe. Mark sait qu'il ne voit rien de là, trop loin du bord, juste le ciel en reflet.
En fait, juste son regard loin de Donghyuk. Faut pas qu'il le voit rougir, sérieux, faut surtout pas qu'il le voit rougir. Donghyuk va le prendre pour un idiot, il va comprendre pourquoi Mark lui a offert un pain au lait soigneusement emballé dans du plastique. Il va comprendre pourquoi Mark a fait tout le chemin jusqu'à sa salle de cours.
Il détourne finalement le regard de la fenêtre, une œillade en direction de son meilleur ami et des sourcils qu'il fronce. Finalement, des deux, c'était peut être donghyuk qui avait l'air le plus idiot.
Ses yeux plantés sur sa table où il avait déposé la friandise.
C'est peut être le geste innocent de Mark qui la encore plus fait bugger, cette main volatile qu'il a posée sur son dos, qu'il a fait glisser de bout en bout le visage déjà tourné vers la sortie de la classe.
Ou peut-être que c'est cette légère tape que le Canadien a asséné à Jaemin, étalé sur sa table, le visage fermé par le sommeil.
Cette soudaine alte que Jaemin a fait, les sourcils froncés et sa peau tordue par les plies de sa trousse qui se sont figés sur son front. Puis ce léger geste, Jaemin qui reconnaît Mark et qui se rendort aussi vite sur sa table.
Avec, de l'autre côté, Donghyuk la tête tournée, ses doigts grippés sur le pain au lait sans jamais prendre la résolution de l'extirper de son paquet. Toujours figé.
Mardi 10 Janvier
DONGHYUK TRAÎNE DES PIEDS, il sent qu'aujourd'hui il ne va pas vraiment aimer sa journée. Entre sa sœur qui s'énerve contre la porte de la salle de bain alors qu'il prenait sa douche, et Mark qui l'abandonne pour être emmené en cours par ses parents.
En réalité, peut-être que Donghyuk n'aurait pas été agacé ce matin, si en arrivant au niveau de son lycée, il n'avait pas vu Jaemin prendre Mark dans ses bras.
Non, en vérité, il n'aurait pas été agacé, si ce geste ne lui avait pas entaché son sourire.
Pourtant, ce sourire, il est rapidement revenus en détour quand Mark a répondu négativement au noiraud, qu'il l'a décalé d'un simple revers, et qu'il s'est, bien que faussement, énervé :
— Arg, dégage !
Le rire de Jaemin a un instant résonné, et c'est ce détail, spécifiquement, qui a autant fait grimacer Jeno que donghyuk.
Et c'est peut être pas Donghyuk qui a demandé, mais pour être honnête envers lui même, il y pensait sérieusement :
— Depuis quand vous êtes aussi proche ?
Et c'est d'un sourire mesquin et de ses grands yeux noirs que Jaemin a répondu à Jeno :
— Depuis qu'on parle ensemble de ses peines de cœur.
Alors bon, sa sœur, ce matin, c'est vrai qu'elle l'a agacé mais en comparaison au léger clin d'œil que Jaemin a envoyé en direction de Mark, ce n'était rien.
Alors, son visage baissé vers le goudron, il n'a pas entendu la sonnerie retentir et, surtout, il n'a pas vu Mark. Mark qui lui jette un regard, un coup d'œil méfiant, stressé.
•
Il y a du bruit autour d'eux mais le seul son que donghyuk retiens, c'est celui du plateau de Mark qui vient légèrement taper contre le sien. Ça fait vibrer son eau à l'intérieur de sa gourde. C'est le plateau de Jaemin qui suit ensuite, posé proche de celui de Mark sans jamais le toucher. Jeno et Chenle absent. Jisung face à Jaemin exagérément penché en direction du noiraud, ses lèvres déjà entrouvertes à déballer quelques événements neufs de sa vie.
C'est Mark, d'une voix claire et sans aucune ancienne trace de maladie qui s'exclame presque trop joyeusement :
— Bon appétit !
Ils commencent un peu tous à parler, et Donghyuk, lui, il écoute. Pas spécialement parce-qu'il n'a pas envie de parler mais plus parce-qu'il n'y a pas, par exemple, Renjun avec qui se disputait, qu'il n'y a pas non plus Chenle avec qui agacer la tabler avec des cris et des voix hystériques.
Alors, Donghyuk est calme et sans doute que sans s'en rendre compte, il l'est plus que d'habitude.
Que, ces œillades pas trop indiscrètes qu'il jette en cascade aux lèvres de Mark sans même s'en rendre compte, elles non plus elles sont pas trop habituelles.
Il quitte ses couverts, ses quelques pâtes en salade qu'il embrauche tout au bout de sa fourchette. Et, d'un air penaud, il fait glisser ses doigts jusqu'à la boisson de Mark. Donghyuk sait que c'est un mélange d'agrume, pas trop sucré, pas trop amer. Une canette que Mark achète de temps à autre au distributeur avant d'aller à la cafétéria.
C'est pas vraiment la première fois que Donghyuk fait ça, alors sans doute que personne n'y fait attention. Mais s'il y avait bien une première fois à quelque chose, c'était bien de son regard qu'il faudrait parler.
Ses deux billes noires purement innocentes accrochées inlassablement à Mark et à la peau charnu qu'il rêve de toucher, une seconde fois, depuis quelques jours.
C'est quand Mark relève son regard de son plat et qu'il finit par tomber sur Donghyuk qu'un nouvel éclair fend son attention en deux.
Paniqué, sans que son cœur ne batte trop vite pour autant, il devient écarlate, repose la cannette sur le plateau et manque d'en renverser quelques gouttes.
Mark, lui, répond d'un typique froncement de sourcils.
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— Tu vois qui c'est Han Minju ?
Donghyuk fait un vague signe de tête, ses mèches qui tombent sur ses yeux bougent en même temps que son visage. Pourtant, ses yeux eux, sont immobiles. Il y a cet écran, son téléphone allumé et un peu salis par les traces de ses doigts. Il le fait défiler, hypnotisé par les lettres qui s'y affichent, le petit pseudos sur le côté accolé à une image.
— Hé, tu vois qui c'est Han Minju ?
Chenle lui lance un regard, il hausse aussi le ton persuadé d'avoir été ignoré. Son portable qu'il pose sur le côté, ses yeux perçants sur ceux de Donghyuk abaissé sur son propre écran. Il le voit grimacer et ne pas vraiment l'écouter.
Ses doigts s'agrippent à un coussin qu'il jette droit sur le brun. Et c'est cette secousse abrupte qui brusque son attention qu'il fixe enfin sur Chenle.
— J'ai dit que oui, je la connaissais !
Sa voix part un peu fort, elle cogne dans la pièce, irritée pour pas grand chose.
Le chinois roule des yeux, lui aussi tout comme Donghyuk, il retombe sur son portable.
— On m'a dit que tu lui plaisais bien.
Oui, Minju cette fille du club de musique, elle joue d'un instrument et personne n'a jamais entendu sa voix. C'est certainement pour ça qu'elle joue d'un instrument plus qu'elle ne chante.
Silence.
Chenle relève une énième fois son visage, donghyuk qui fronce et qui défronce ses sourcils dans son viseur.
Il le voit déplier d'un large touché une conversation, du premier au dernier message. Il repasse et s'arrête sur certains et si Chenle n'avait pas été juste à côté de lui, il n'aurait pas pu voir de quelle conversation il était question. Mais ici, très clairement, c'était la leur. Celle de tout leur groupe d'amis.
Ça dure moins d'une minute pour que Donghyuk remarque que la tête de Chenle dépasse de son épaule, à regarder ce qu'il fait.
— Tu sais quoi ?! Ça me soule !
Son téléphone finit sur ses cuisses, l'écran noir, mis en vieille ou complètement éteint.
— Hein ?
Leur visage se croise, l'un offusqué l'autre incrédule.
— Tu savais, toi, que Mark il aimait quelqu'un ?
Tout étonnement disparaît, y'avait rien de réellement étonnant à cette question
En vérité, pour Donghyuk, ce fut le ricanement de Chenle qui l'a été.
Jeudi 12 Janvier
C'EST PAS COMME SI le monde allait s'arrêter de tourner, si ?
C'est pas parce que Donghyuk sent son organisme entier trembler qu'il allait faire bouger celui de cette bonne vieille Terre, si ? C'est peut être sa voix, tremblotante, qui allait causer le déluge.
C'est pas comme si Donghyuk était peureux, oh ça non, il ne l'a jamais été. Un pied devant l'autre et la tête droite, c'est comme ça qu'il reussisait à répondre à ses professeurs ou à ses camarades de classe. Il a jamais été très grand, Donghyuk. Peut être qu'il a toujours eu de longue jambe mais c'étaient pas elles qui l'aidaient tous les jours, ça a toujours été sa tête, pleine de lettres, pleine d'émotions, pleine d'un tas de chose mal rangé mais qui faisait l'affaire.
C'est peut être ça, d'ailleurs, que Renjun aime chez Donghyuk. Ce courage, qui sait ?
Et c'est peut être ça, d'un autre côté, que Mark redoutait parfois, ce trop plein de courage.
— Mark ?
Là, y'a pas un grain de courage. Juste, et de toute manière c'est ce qu'il a toujours fallu, ce que Mark a toujours voulu avoir, de la volonté.
Parce que quand on veut on peut mais quand, finalement, on peut, on ne veut pas forcément.
— Humm ?
C'est bizarre, ces jours-ci c'est Mark qui détache rarement son regard de son portable. Et si avant c'était Donghyuk qui le faisait plus souvent, ça en est risible que de voir que les yeux du brun sont, maintenant, plus souvent encore sur Mark.
Alors, quand Mark s'est contenté de s'étaler un peu plus sur la table sur laquelle ils étaient pour lui répondre, ça l'a agacé.
Un peu. Un tout petit peu. Mais un peu quand même.
Mark qui pianote sur son écran en horizontal, concentré. Donghyuk qui devine qu'il est connecté à un jeu mobile. Et c'est certainement pas ça qui l'empêche de parler.
— J'crois que j'ai un problème... Un gros, énorme, gigantesque problème.
Mark ricane, penché et aucun œil ne dépasse de son écran.
— C'est quoi ? T'as pas encore fait ta dissert' de philo ?
Cette fois-ci, c'est Donghyuk qui se redresse d'un grand geste, les yeux grands ouverts.
— Hein ? Quoi ? On a une dissert.
Mark le regarde enfin, le regard amusé et un doux sourire sur les lèvres. C'est peut être cette image de son meilleur ami qu'il aimait le plus, son visage expressif à son paroxysme. Aucun filtre, juste Donghyuk, Donghyuk à cent pourcent.
— Non j'voulais juste te faire paniquer.
Et puis celle-là aussi, cette légère expression penaude, ses lèvres qui se croisent puérilement. Ses yeux qui roulent, sa main, légère, que Mark trouve mignonne en s'écrasant sur son épaule.
Et cet air, celui que Mark ne voit pas la tête de nouveau baissé, cet air agacé. Agacé justement parce que Mark n'a pas toute son attention pointée en direction de Donghyuk.
Et c'est peut être pour ça qu'il s'est aussitôt levé, qu'il s'est avancé de deux pas en traversant l'espace de la table à manger le séparant de Mark. Et, posé devant lui, c'est d'un léger toucher qu'il a dégagé la main de Mark de sur son portable.
Et c'est, peut être, parce que Donghyuk n'avait pas l'air amusé ou rieur que Mark n'a rien dit, qu'il l'a immédiatement pris au sérieux.
— Quoi ?
Et même si Mark essayait de se donner un air, si les yeux de Donghyuk ne quittent pas quelque-chose c'était bien les rougeurs proéminentes sur les joues du canadien. Parce que la peau de Donghyuk sur la sienne, même si fait innocemment, ça lui a toujours fait un truc bizarre.
— Mark...
Il le dit dans un soupir préoccupé, une main après l'autre qu'il enroule comme un enfant au cou de Mark, ses cuisses nouvellement posées en poids mort sur celles du Canadien. Ses cheveux entortillés sur eux même, réveillé mais pas de la meilleure manière qu'il soit. Sans doute parce-qu'il n'y a jamais eu une bonne manière de se réveiller.
— Quoi Hyuk ?
Il le dit d'un rire Cristallin, perturbé par la sensation des mèches sur son cou. Pourtant, ce n'est pas la première fois que Donghyuk le prend comme ça, accroché en koala à son cou, ses paupières qu'il devine fermées tout contre sa nuque.
Et c'est ça, ce sont ces bouts de lèvres qui viennent couvrir sa peau quelque secondes de papillons qui le font frissonner.
— J'ai envie de t'embrasser.
Un murmure, même Donghyuk n'est pas sûr de s'être entendu.
Il y a de la chaleur. Pas dans la pièce, oh ça non, il y fait même un peu froid dans la pièce. C'est sur Donghyuk qu'il y fait chaud, de la gêne apparente camouflé tout contre Mark.
— T'as envie de quoi ?
Rapide rire moqueur. Sans doute que donghyuk au delà de se moquer de Mark, il se moque de lui même.
— De feur.
— Hahaha très drôle.
Évidemment que Donghyuk était drôle. Quand ils étaient enfants, ça a toujours été lui qui faisait rire Mark, par son humour déplacé et ses remarques tranchantes mais bienveillantes.
Donghyuk recule, toujours sur Mark mais moins à proprement parler collé à lui. Il y a donc leurs yeux, eux, bien collés les uns aux autres. Un duel étrange de regard ou l'un après l'autre, prend la fuite. Parfois, c'est Mark qui regarde sur le côté dérangé par le regard trop trop de chose de l'autre. Et, d'autre fois, c'est aussi Donghyuk.
Pourquoi ? Parce-qu'il sait que ce qu'il va dire ça va être bizarre.
Ses mains qu'il tend vers le visage face à lui, ses joues qu'il prend en coupe, atrocement pincées dans une grimace.
Un instant, Donghyuk s'en moque. Mark et ses sourcils froncés d'agacement et ses lèvres repliées ridiculement.
— J'ai encore envie de t'embrasser.
Et peut être que ça pouvait paraître hors sujet, que là, Mark, le visage défiguré, il donnait tout sauf envie de l'embrasser. Mais sérieusement, si Donghyuk a osé le dire à voix haute, c'est parce-qu'il en a sérieusement envie.
Et Mark, en manquant de s'étouffer sous la surprise qui lui postillonne presque au visage, c'est quelque chose qu'il n'avait pas vraiment envisagé.
Mais sûrement que c'est ce léger détail qui rends tout ça plus authentique.
— Oh merde, pardon !
Mark qui se penche vers lui, qui essaye désespérément d'essuyer sa potentielle bêtise.
Donghyuk, tout sourire, qui n'y fait même pas attention, hilare sans en rire. Juste un Silence.
Mark paniqué, lui qui sourit.
Mark qui panique encore plus, finalement, quand Donghyuk prend réellement son visage en coupe, ses lèvres, de nouveau, posées sur les siennes, possédant les siennes.
Un baiser qui dure pas longtemps, qui dure trop ou peu longtemps.
Un baiser du temps, qui marque un instant peut être celui entre Donghyuk et Mark, ou entre Mark et Donghyuk.
Un baiser qui dit tout haut que "jamais" c'est faux.
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🎃 JOYEUX HALLOWEEN 🎃
( je sais ça n'a aucun rapport avec le chapitre mdr )
Quelle année de merde pour être un multistan
Kyungjun 🩶
Seunghan 🧡
Tous ceux qui suivent riize on est d'accord qu'on est passé du meilleur jour de notre vie au pire en genre 48h ? 💀
J'ai juré que j'ai jamais été autant déterminé à boycott un groupe que là...
Je vais même pas parlé du cas Taeil, j'avais écrit un grossss pavé quand la nouvelle a été annoncé, j'ai tout supprimé. Les seuls mots que j'ai envie de dire c'est qu'il aille se faire foutre et qu'il disparaisse comme je l'ai fait disparaître de tous mes posters 🤡
À plus tard pour un prochain chapitre qui arrivera aussi aléatoirement... 💚
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