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²⁴ | 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝚅𝚒𝚗𝚐-𝚀𝚞𝚊𝚝𝚛𝚎.

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³³⁰⁰ ᵐᵒᵗˢ
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|• 𝓑𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓛𝓮𝓬𝓽𝓾𝓻𝓮 •|








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LEE MARK

1er Janvier









MON VERRE GLISSE sur le bord de l'évier, mon assiette et mes couverts rangés docilement dans un coin du lave vaisselle. Entre les verres en plastique décorés de fleurs et les quelques autres fourchettes et couteaux. Les chaussettes encore blanches de Donghyuk traînent sur le sol derrière moi, elles glissent sur le carrelage nettoyé encore et encore par des litres de produits.

On y voit notre reflet, parfois, si nos yeux s'y perdent. 

Il n'y a rien de propre chez les Lee, il n'y a que du neuf même si ce neuf date d'il y a des décennies.
Il n'y a que la chambre de Donghyuk qui fait tâche. Toujours des livres et des vêtements qui s'y perdent mais pour lesquels Donghyuk ne veut pas montrer le chemin.

         —        Tu veux faire quoi maintenant ?

Mes yeux risquent les siens, une main dans ses cheveux il frôle sa peau mate de ses doigts, replace ses mèches.

Son corps est vaseux, il a les yeux fatigués, des heures de sommeil en moins sur le conteurs de l'horloge. Ses parents n'ont rien dit à la gueule qu'il tirait ce matin. Juste un regard moqueur et un roulement d'yeux.

On dit que les chiens ne font pas des chats.

         —        Je sais pas, comme tu veux.

Je pense plutôt que ce sont les chats qui ne peuvent pas faire de chiens.

On ne fait pas ce pour quoi on ressent de la peur et c'est bien connu qu'un chat sera plus souvent effrayé par un chien que le contraire.

         —          J'ai envie de dormir, Markou...

Ses yeux sourient, ses dents s'exibent, ses lèvres se tirent à la manière d'un fil, qui, minutieux, vient dessiner une expression au visage ensommeillé de Donghyuk.

Pourtant, ce même sourire disparaît a la seconde quand sa petite soeur débarque dans la pièce, ses tresses pendu le long de ses épaules, un sourire en miroir au sien, radieux. Elle range, de sa petite taille qu'elle cherche à agrandir pour atteindre la poignée du meuble, son assiette dans le lave-vaisselle.

L'une de ses mains, qu'elle vient éponger contre son pantalon, s'écrase contre la mienne. Maladroitement, elle vient essayer de lier ses doigts aux miens.

Donghyuk ne dit rien à l'action. Juste un regard moqueur, agacé et un roulement d'yeux.

Il finit par marmonner, juste, à peine :

         —          Je reviens ...

Et quitte la cuisine, toujours ses chaussettes blanches qui traînent sur le carrelage jusqu'aux toilettes.

Donghyuk s'agace souvent par automatisme, un regard dans le vague pour montrer qu'il l'est, agacé, puis une réplique timide, soufflée.

Il réagit comme ça quand sa soeur est trop collante ou, par exemple, lorsque Renjun s'est inscrit à un atelier de chant ou de je ne sais trop quoi sans qu'il ne l'ait prévenu au préalable.

Pour des raisons stupides, inutiles.

Soohyuk m'emmène jusqu'au salon, une main et les pensées dans le vide elle me pousse sur le canapé. Sa main lâche la mienne, et son petit corps se plie à côté de moi, ses tresses qu'elle jette à l'arrière.

C'est donghyuk qui les lui a faite, hier, à vingt heures passé, un élan de gentillesse sortie de nulle part. Ses doigts en ont fait un manège, des touches de Donghyuk un peu partout : une tresse ratée avec des plis de chaques côtés et quelques mèches qui dépassent d'un peu partout et un noeud qui s'est défait à peine quelques heures plus tard.

Il n'a pas voulu la refaire et encore moins que ça soit moi qui m'y prenne. Il a juste râlé prétextant qu'on se plaignait toujours de tout quand ça le concernait lui.

         —        On pourra jouer à Mario kart ?

Je la regarde, comme l'on regarde une gamine de dix ans qui demande une faveur à laquelle il est compliqué de dire non.

         —        Tu veux que j'te ridiculise sur Mario kart ?

Elle fait la moue. Ici encore, un énième Lee roule des yeux, il n'y a pas encore la marque de fabrique, le petits plies moqueur aux lèvres, mais je sais de source sûre qu'il fera son apparition dans quelques années quand elle aussi, pourra s'agacer de tout.

          —        C'est oppa qui est nul au jeu, pas moi !

Elle se replace sur ses jambes, l'une qu'elle coince sous l'autre, de manière à se tourner en ma direction.

Son visage en direction du miens, ses yeux de biche a l'image de son frère. Sa peau, sûrement moins mate que celle de Donghyuk mais moins pâle qu'un coréen "lambda".

On dit que c'est moche cette couleur, qu'elle est trop foncée et éloignée des critères de beautés d'ici.

Moi je dis qu'on n'a pas tout ce qu'on veut dans la vie et que, la couleur qu'on a c'est certainement pas ces critères stupides qui vont la changer.

         —        Papa et maman sont rentrés, y'a des glaces aux chocolats.

Donghyuk a ses main sur ses hanches, le dos tordu comme à son habitude mais la tête droite.

Sa soeur se lève dans un saut elle court jusqu'à l'entrée où on peut effectivement entendre des voix d'adultes.

En biais, Donghyuk lance un regard mesquin vers la silhouette de sa soeur qui est partie en trottinant.

Il n'a pourtant plus dix ans. Il n'a plus cette tête d'enfant agaçant qui cherche a manger dans les placards quand ses parents étaient absents. Il ne porte plus ces t-shirt roses et verts de dinosaures ni même ces baskets jaunes moutarde qu'il utilisait pour marcher jusqu'à l'école, son sac sur le dos qui trainait parfois sur son épaule droite, parfois sur celle de gauche mais jamais sur les deux.

C'est sans doute pour ça, qu'aujourd'hui, son buste n'est pas toujours droit.

On jouait tout le temps à Mario kart avec Donghyuk, quand on avait sept ans et même quand on en a eu dix-sept.

Donghyuk se penche vers moi après avoir contourné le canapé, ses dix doigts s'enroulent autour de mon poignée qu'il tire pour me lever.

Ses pas bifurquent au niveau de l'escalier, marche par marche il m'entraîne jusqu'à sa chambre qu'il ferme d'une manière pressante dès qu'il voit que je suis dans la pièce avec lui.

Ses doigts fins se jettent sur le verrou qu'il enclenche d'un minuscule et rapide mouvement.

Son dos s'écrase sur son lit quand il se défait de mon bras nonchalamment.

        —       Arggg elle me soule.

C'est vrai que Donghyuk a grandit. Mais il garde pourtant toujours les même mots, les même phrase à répéter, jour après jour, année après année. Donghyuk n'aime pas parler quand il doit dire des choses qui le concerne donc il se contente de rouler des yeux, de s'avachir naturellement sur son lit, d'écraser son visage sur l'un de ses coussins, et, de soupirer.

J'en ricane, les bras ballants le long de mon corps.

Il y a toujours le matelas sur lequel j'ai dormi cette nuit, sur le sol, au pieds de son lit. Il a fait l'effort de ranger ses quelques bouquins en pile sur une étagère, non pas rangé par série mais par hasard.

Donghyuk a sorti son téléphone qu'il a allumé un instant puis qu'il a éteint, treize heure et quelques, j'imagine que c'est ce qu'il y a vu danser.

Il tord sa tête, sa nuque et son buste. Sa taille est pliée, son t-shirt légèrement surélevé, on y voit le bas de son ventre, l'os de ses hanches. Mes yeux battent l'air, gêné d'avoir regarder trop où il ne fallait pas.

Ses lèvres sont luisantes, il y a appliqué du baume à lèvre d'un geste précis juste après avoir finit de manger.

Donghyuk s'écrase une seconde fois sur son lit, sa voix tombe jusqu'à mes oreilles.

          —         J'ai tellement pas envie que les vacances se finissent...

Je remonte mon visage vers ses yeux, fermés. Sa tête penchée vers le plafond.

         —         En plus tu vas chez tes grands parents donc j'vais pas te voir jusqu'à la rentrée !

Ses lèvres bougent, oui, mais son corps si l'on met de côté ses mains qui se débattent parfois avec l'air, est immobile.

On parle d'une statue quand rien ne bouge, quand tout y est beau même si cassée, même si brisée, même si fissuré.

Rien ne devrait être beau, pourtant, brisé.

         —        Tu vas pouvoir enfin travailler, bosser tes examens.

Rien ne me répond, ses yeux, fermés, ne peuvent pas rouler donc, vraiment, rien ne me répond.

Je me détourne de son visage, regarde son corps, ses cuisses, sa taille, sa nuque, ses clavicules.

Si le monde était aussi parfait que lui je me demande si, a l'autre bout de cette terre, il y aurait encore la fonte des banquises.

Mes mains glissent le long de mon jeans, j'en essuie les frissons qui me traverse, les genres de limitation, de stops qui essayent de brouiller ma vision par le biais des pulsations de mon cœur qui bat,

Qui bat;

Peut être un peu trop fort, peut être un peu trop vite.

         —        Hyuk ?

Ses paupières libèrent son regard, il murmure un "Hum." Toujours en direction du toit.

            —        Si j'te demandais quelque chose et que t'étais obligé de dire oui,

Donghyuk m'écoute, il n'incline pas son visage vers moi mais son attention, je suis persuadé qu'elle est braquée sur le Mark qui parle. Sur le Mark qui hésite mais qui dit quand bien même.

             —        Tu le ferais ?

Sur le Mark qui panique dans le silence, en silence. Sur le Mark qui a en modèle l'inimaginable, l'inatteignable mais qui veut quand même sauter plus haut pour l'atteindre.

Donghyuk se redresse, son dos si souvent à l'étroit qu'il érige à l'instant, pourtant parfaitement droit. Il balance ses jambes l'une sur l'autre, croisée, la tête en avant complètement comme le Donghyuk de sept ans au t-shirt de dinos.

          —         Tout ce que tu voudras !

Ses yeux s'implantent aux miens, deux billes noires, sincères, innocentes sans trop l'être.

Trop Donghyuk.

Meilleur ami.

Ami.

Où est la place du putain de mot "ami" dans ce à quoi je pense ?

Fort. Vraiment fort. Mes battement, ils le sont. 

Comme une cloche, comme un marteau, un large marteau qui englobe mon crâne, qui l'écrase dans un grand coup et revient au galop.

Des mots se précipitent dans ma gorge, des dizaines de mots qui entaillent mes entrailles.

Qu'est-ce-que je suis con.

          —         Non, non... Non c'est stupide... C'est trop con en fait. Oublie. Je, j'aurais pas du; j'suis bizarre putain....

Je me masse la tempe, essuie mes mains moites.  Surtout, détourne le regard.

Donghyuk fronce les sourcils, il s'installe convenablement sur le lit : son dos tordu de retour à la normal et ses yeux, ses yeux grands ouverts qu'il doit sans doute se retenir de faire rouler. Comme si, stupidement, la discussion prenait un tournant trop sérieux pour un premier janvier, pour un premier jour tout court.

          —       Mark.

Nos yeux se croisent. Mon coeur s'arrête, il repart aussitôt.

           —         J'suis sur que c'est vraiment rien de "bizarre"... Et en plus je veux savoir maintenant que t'as commencé à.../

           —        Oppa !!!! Laisse sortir Mark Oppa !!!

Mon visage se tord, d'un geste brusque, en direction de la porte verrouillée. Des coups plus ou moins forts sont écrasés sur le bois, comme pour nous indiquer que la pièce de théâtre vient de s'achever ou, au contraire, qu'elle venait à peine de commencer.

Donghyuk me regarde, et c'est là qu'il finit enfin par rouler des yeux, cette fois-ci plus agacé que moqueur. 

C'est en le voyant passer une jambe sur l'autre pour quitter le lit que je me rend compte de ce que j'allais faire.

Mon coeur a repris un rythme constant, désormais habitué aux tambours dans ma tête.

Le verrou tombe, la porte s'ouvre immédiatement dans la volée.

Donghyuk n'a pas le temps de se décaler que Soohyuk rentre dans la salle, un sourire immense et les bras chargés de deux consoles Switch. 

           —          Elle est sérieuse là ?




































☁︎

           —        Quand les gens sont méchants avec toi tu dois l'être avec eux aussi !

Donghyuk place le pansement, il le colle délicatement contre la peau claire mais rougeoyante de Renjun.

Il n'y a plus de sang qui s'en écoule, Donghyuk a pris soin au préalable de tout nettoyer avec un cotton et un antiseptique.

Il n'y a plus de mot non plus, il y en a toujours du côté de Donghyuk mais Renjun, lui, il ne parle plus

Plus trop, en tout cas, pas maintenant.

Son coeur bat vite, il bat sérieusement vite pour un coeur qui n'a pas l'habitude de battre à cette allure.

           —          Si y'a encore quelqu'un du lycée qui t'emmerde tu viens directement me voir.

Ses yeux, oui, ses yeux, Renjun fait tout pour les éviter.

Il regarde le sol, le sol mate de la salle de bain, la céramique du bain, les planches des murs.

           —         Sinon tu peux aussi aller voir Mark ou Jeno, ils font plus peur que moi, c'est peut être mieux en fait !

Donghyuk ricane dans le vide, il range le surplus de cotons qu'il a sorti et plie le tout dans une boîte à cet effet.

Quand Donghyuk est de dos, c'est là que Renjun prend son courage a deux mains et qu'il se décide à déposer son regard sur ce dernier.

Ses cheveux tombe sur ses yeux, il y voit pourtant a travers la silhouette du brun. Cette carrure pas plus grande que la sienne ni même plus imposante mais pourtant qui lui semble plus courageuse. Plus rayonnante.

Beaucoup, mille fois, infiniment plus étincelante que la sienne.

La porte ne s'ouvre pas dans un fracas, elle coulisse lentement, délicatement pour s'abattre sans un bruit contre le mur.

Mark passe par là, la tête ailleurs, la tête dans la vide, son sac de cours se le dos et son portable coincé entre trois de ses doigts.

Sa mère vient de l'appeler, elle rentrerait tard, "passe chez Donghyuk, on arrive dans la soirée". C'est ce qu'elle lui a dit, mot pour mot, avec un accent peut être un peu plus prononcé que dans sa tête et un sourire fatigué caché derrière la phrase mais rien de plus.

Rien de plus.

Mark passe donc par là, une main sur son téléphone une autre sur la sangle de son sac.

Et son regard a lui, celui de Mark, il est coincé sur Renjun.

Sur le sourire qu'il a quand il regarde Donghyuk, les étoiles qui culminent au sommet de ses iris quand il regarde, même de dos, Donghyuk.

Et ça, putain qu'est-ce-que ça l'agace à Mark.       

☁︎























Ses mains glissent le long du mur, elles s'arrêtent sur l'armature de la porte quand Soohyuk m'adresse un dernier sourire avant de quitter la chambre de Donghyuk, ses tresses qui traînent contre son dos.

Puis il y a un long silence, des sons, des bribes de sons flashés qui sortent du téléphone de Donghyuk mais jamais de mélodies complètes.

Mes mains tombent sur le bord du lit, contre chaques extrémités de mon corps, ça me maintient droit à moitié assis, en partie debout.

Je regarde Donghyuk, sa tête posée sur un coussin et écrasé sur le ventre à côté de moi, le visage étroitement penché vers son portable à trainer sur ses réseaux.

C'est comme s'il avait senti mon regard lorsqu'il se met abruptement à parler :

           —         Tu voulais dire quoi tout à l'heure ?

Il ne m'adresse pas un regard quand il demande, ses yeux sont pourtant inutilement concentrés sur son écran et sur une image qui reste fixe, immobile.

J'attends,

J'attends le détour d'une autre question, peut être. Celle qui ne viendra pas, jamais, mais que j'espère arriver.

Ou un regard, peut être que j'attends aussi et en contre partie un regard.

Une oeillade, un coup d'œil qui pourrait me donner du courage.

Même s'il fait semblant d'être réel, juste un semblant de courage.

Boum.        Boum.    Boum.  Boum.

Le bruit d'une pression, d'une sensation.

D'une détonation.

Un pistolet qui tire, une flèche qui se décoche.

Son visage penchée vers son écran, le mien vers le sien, je me demande où la flèche va finir par tomber.

         —        On peut s'embrasser ?

Encore une pression même si celle là est plus légère, moins brutale. Surtout, volatile.

Ça change quoi finalement, c'est trop tard, j'ai déjà parlé et, son regard, il s'est déjà brusqué en ma direction.

Mécaniquement, j'essuie mes mains sur le tissus rugueux de mon jeans, mon visage que je détourne de Donghyuk qui, pour sa part, est planté là, à me fixer.

J'ai un soupir, désagréable, qui dégorge ma trachée.

Étonnamment, ma voix ne part pas dans des virages quand je me risque à renchérir, mes yeux de nouveau plongé momentanément dans les siens :

           —         J'veux vraiment savoir ce que ça fait.

Ses yeux s'ouvrent en grand, de nouveau le son d'une détonation, d'un bombardement cette fois ci, au niveau de mon coeur, pétrifié. Pourtant, cette lueur d'étonnement s'évapore l'instant suivant, quand il s'assied comme si de rien n'était, sur le matelas.

Ses joues, elles deviennent rouges, et cette main qu'il glisse à l'arrière de sa nuque pour se la masser, elle n'est pas anodine.

On parle de gêne, d'embarras lorsque la situation ne met pas en confiance.
On parle de dégoût quand la mine devient sale, devient moche.

Donghyuk n'est pas dégouté, sérieusement, Donghyuk n'est pas à proprement parlé dégouté.

Il a l'air embarrassé, comme le premier jours, quand on était gosse et que sa mère et la mienne nous ont mutuellement présenté et qu'il n'osait pas me dire son nom.

          —         C'était pas une blague Mark ? T'as vraiment jamais embrassé personne ?

Mes mains sont soudainement plus fébriles sur mes cuisses, c'est à mon tour de sentir mes joues chauffer. Je sens ses yeux être fixés sur mon visage, dévisager les traits tirés et fatigués de mes yeux ou l'arrête de mon nez.

Ma tête se secoue dans un "non", le regard braqué sur mes phalanges.

            —         Sérieusement Mark ?

Il ricane, pas moqueur mais pas admiratif non plus.

            —          J'ai l'impression que toutes les filles bavent sur toi mais t'as jamais embrassé personne ?

Cette fois ci, je fais un détour en sa direction, je regrette immédiatement lorsque mes pupilles tombent dans les siennes. Il détourne les yeux, rapidement, furtivement, puis les ramène comme s'il n'y avait pas eu un éclair qui les a fait s'enfuir.

            —        T'es fou... J'suis pas si... Si beau que ça...

Sa main s'écrase sur mon bras puis repart. Agacé, un roulement d'yeux lui prend. 

             —         Bien sûre que si tu l'es connard !

Il y a un énième silence. Long, lent, qu'est-ce-que j'en sais, en tout cas, il y a un silence.

             —         Mais... Genre... J'suis un garçon et, et toi aussi en fait, ça... Fin... Ça te dérange pas ? Je veux pas te voler ton premier baiser comme ça... Fin c'est pas cool, tu vas regretter après, peut être... 

La flèche est tombée, au pied du lit.

Elle a riccoché sur le matelas et s'est couchée sur le sol, brisée en deux. Sauf qu'ici, elle n'est pas belle comme une statue même si brisée.

Mes yeux bifurquent vers Donghyuk, Jaemin m'a dit, "Si tu perds tes couilles pendant le moment Crucial avec un grand C, en plus de regretter, tu vas te retrouver comme un Con et ici aussi, tu pourras retrouver le grand C."

            —          DongHyuk, c'est vraiment la dernière chose qui me préoccupe.

Il rougit, un sourire bizarre et crispé aux lèvres.

Ses doigts, hésitants, sans que je comprenne ce qu'il cherche a faire viennent se saisir de mon visage. Visage qu'il scelle dans une position, m'invitant, ironiquement à ne plus bouger.

Ses doigts, dans un frisson, quitte ma peau et, cette fois-ci, c'est le visage de Donghyuk que je vois s'approcher.

Timidement, toujours aussi ombragé par du rose, sans que je ne sache quoi faire, Donghyuk vient déposer ses lèvres sur les miennes. 











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Lflckzldkdj

Bonjour ? Mdrrr

J'aime bien ce chapitre mais j'ai pris genre presque cinq heures à l'écrire et j'arrivais pas à rester concentrer donc j'allais toutes les 30min sur insta et jperdais mon temps

En vrai le chapitre va peut être un peu vite mais j'avais pas envie de développer plus la fin j'aime bien l'idée d'écrire en une phrase le baiser comme si c'était le point finale d'une phrase  mdrrrr

Par contre jsuis la seule à trouver trop stylé de mettre en italique des mots au hasard dans le texte ?

Bref.... j'ai commencé à stan dxmon, tws et trendz pcq j'aime trop leur sons et leur dernier comeback m'ont motivé. Déjà que je regrette de ne pas avoir suivis trendz dès leur debut mais là Glow cest vrmt un son incroyable

Bonne journée / Soirée !

Koeur, koeur <33

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