²¹ | ⌫
²¹ | 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝚅𝚒𝚗𝚐-𝚎𝚝-𝚄𝚗
•
¹⁹ ¹¹ ²⁰²³
²⁰²³
•
²⁹⁸⁴ ᵐᵒᵗˢ
___
|• 𝓑𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓛𝓮𝓬𝓽𝓾𝓻𝓮 •|
___
•
LEE MARK
24 décembre
•
LA PORTE CLAQUE, j'ai l'impression que les quelques meubles de ma chambre ont vibré au claquement. En tout cas, si c'est pas le cas, ils ont bien finit par secouer quand ma mère a élevé la voix de tout en bas du salon. Assis sur une chaise, en face de mon bureau et le regard rivé sur les carreaux sales de ma fenêtre, j'ai pas pris dix secondes à comprendre que Donghyuk était arrivé.
Les voisins traînent des pieds dans le salon de leur maison, un gant de cuisson bloquer entre leur gros doigts, le vieux fait glisser ses pantoufles sur le carrelage de la cuisine, une fumée en souvenir juste derrière lui. Je me demande si c'est lui ou sa femme qu'à oublier la dinde dans le four, ce qui est certain, c'est qu'ils vont manger leurs pommes-de-terre sans accompagnement.
Je les plaint presque.
Presque car j'oublie pas leur orde de petits enfants qui crient et qui jacassent dans un coin de leur jardin, à faire hurler leur pauvre chien prit de folie.
— Mark ! Dépêches toi !
La lumière de la cuisine s'éteint, il n'y a que les reflets de leur frigo qui éclaire à peine les murs hideux de leur maison.
Ma voix part dans des notes étranges quand je répond à ma mère que j'arrive. Je ferme mon cahier, range mes écouteurs sur un tas de feuille et glisse mon portable jusqu'à la poche de mon jean.
J'avance au beau milieu de ma chambre, tout y est presque rangé. L'endroit est suffisamment propre pour que ma mère n'est rien à redire et Donghyuk est clairement la dernière personne à pouvoir faire un commentaire sur ça. Pas quand ça concerne le rangement.
Mes doigts tapent contre mon pantalon.
Donghyuk.
Mes ongles n'y font soudainement plus attention, je range ma main dans l'une de mes poches.
J'ai presque envie de ne jamais descendre, de tout mettre à pause ou de sauter par ma fenêtre rejoindre la table et le repas raté du couple de sexagénaire.
Presque.
Avant même que je ne puisse entre-ouvrir la porte de ma chambre, elle coulisse vers l'intérieur, un petit corps dépassant de l'ouverture.
Ses deux billes noires volent jusqu'aux miennes, un sourire scintillant qui vient soudainement écraser et se jumeler sur mon visage aussi. La jeune fille vient courir jusqu'à mes jambes, sa robe traîne derrière elle, ses tresses sombres avec.
— Mark Oppa !
Je viens la prendre dans mes bras, fermement dans mes bras.
Cette gosse est le comble de mon bonheur, plus que son frère, plus que son stupide de frère. Sa petite main s'installe dans la mienne, elle sourit en sautillant dans le couloir, me tirant jusqu'au salon. Mes parents sont à l'entré, Donghyuk et ses propres parents juste à côté.
Il est habillé tout en noir et je me sens soudainement ridicule avec mon pull rouge et vert de Noël. Je suis littéralement drapé de guirlandes, cerf, sapin et père noël qui se suivent en motif.
Donghyuk porte un pantalon satiné noir, une chemise légère et toujours noire qu'il a maladroitement fait rentré à l'intérieur de son bas. Ses cheveux tombent sur son front et brument par endroit ses yeux.
Sa mère est habillée d'une robe rouge et son père s'est âpreté d'un haut en cachemire, mes parents ont fait moins d'effort, à mon image, ils affichent eux aussi un pull moche de Noël. Ça n'a pas l'air de déranger les Lee qui ricanent juste avec habitude.
Mais putain, Donghyuk, Qu'est-ce qu'il est beau.
Peut être que je vais remonter finalement. Que je vais jeter ce sweat hideux par la fenêtre et que, peut être, je reviendrais comme si de rien n'était.
Comme si Lee Donghyuk n'était pas là incroyablement bien habillé en comparaison à ma tenue à moi.
Mes mains deviennent moites, je le sais car mon visage chauffe et qu'elles commencent à désirer tripoter l'un des fils de mon jean ou l'un de mes bracelets qui collent trop à ma peau.
Mes yeux se libèrent de l'emprise qu'ils subissaient à cause de Donghyuk quand Soohyuk s'enlève de ma main. Je lui jette un regard, Ses yeux rieurs scrutent la pièce après m'avoir jeté elle aussi un regard en biais.
Est ce qu'elle sait comment mon corps fonctionne, là, tout de suite ?
Ma respiration se calme comme si elle était devenue folle avant. Ma sueur dégage d'un coup de bras, je sais qu'elle ne s'est pas accumulée sur mon visage mais qu'elle a juste glissé comme si elle avait toujours été là.
Je déteste stresser pour des choses débiles.
Putain, je déteste ça...
— Mark Oppa est là !
... Je déteste vraiment ça.
Toutes ces paires d'yeux qui bifurquent d'une attention à une autre, d'une conversation à quelque chose d'autre.
À moi. Oui, précisément à moi.
Je suis certain que mon visage est devenue rouge, que ma main qui a glissé jusqu'à l'arrière de ma nuque s'est perdue a essayer de ne pas appuyer trop fort, à paraître trop gêné.
Donghyuk a plongé son regard dans le mien, ses parents me souriaient, lui, il me regardait juste.
Ses yeux n'ont même pas glisseé jusqu'à mon pull ni jusqu'à mes chaussures, ils se sont juste et purement arrêtés sur mes yeux.
Ses lèvres ne souriaient pas et lui non plus.
Soudainement, j'avais l'impression d'être le moins déstabilisé de nous deux. Alors que personnellement, je l'étais déjà énormément.
Noirs.
Noirs. Noirs. Noirs. Noirs.
Ses yeux sont noirs, plus noirs que ceux de sa sœur, plus noirs, beaucoup plus noirs que le sang qui pulsent frénétiquement à l'intérieur de mon cœur.
— Même avec des pulls ridicules, vous êtes plus beaux que nous !
Détourné, mon visage s'est porté jusqu'à celui de madame Lee, ses mains fraîchement manucurées ont glissé sur mon épaule et ses lèvres se sont claqués discrètement sur chacune de mes joues.
J'avais même pas remarqué qu'elle s'était autant approchée.
— Tu ressembles vraiment à ton père !
Je lui ai sourit, la tête ailleurs.
Je ressemble à mon père ? Cool.
Donghyuk lui, il ressemble plus à un dieu qu'à n'importe quel mortel.
— C'est pas un compliment chérie.
Presque tout le monde a ricané, mon père lui a seulement roulé des yeux, habitué aux commentaires de sa femme.
— Moi j'aime bien son pull à Mark Oppa !
Les doigts de la jeune fille viennent caresser le tissus, ses yeux s'allument comme des lampadaires en pleine soirée quand elle sent que c'est doux.
Une seconde main vient s'écraser contre mon pull, plus grande et j'arrive pas à la voir aussi innocente que celle d'une enfant de six ans.
Les doigts de Donghyuk caresse le tissu, il les glissent jusqu'à la main de sa sœur qu'il dégage avec un sourire moqueur.
— T'as pas le droit de toucher à Mark.
Soohyuk qui ne s'y attendait pas, braque son expression énervée sur Donghyuk qu'elle fusille du regard. Elle donne une légère tape sur le dos de sa main avant de lui tirer mesquinement ( en réalité, d'une manière affreusement mignonne) la langue.
— Toute façon, Oppa il me préfère à moi !
Je lui sourit avec amusement, Donghyuk, lui, roule juste des yeux, un air agacé sur ses traits.
C'est comme si, même après toutes ces années à se côtoyer, il n'était toujours pas habitué à voir sa sœur être plus tactile avec moi qu'avec n'importe qui d'autre.
— Ton "Oppa" il t'aime bien juste parce-que t'es la sœur du splendide Lee Donghyuk.
Ses sourcils se sont froncés, ses yeux rivés dans les siens, elle s'est avancée vers lui, son pieds tendu jusqu'à son mollet auquel elle a donné un coup de pieds.
Donghyuk a lâché un cri aigu et j'ai éclaté de rire à l'image d'un Donghyuk victimisé par sa soeur de douze ans de moins.
Ses tresses se sont agitées dans l'air, un sourire fière aux lèvres, quand elle a tourné les talons pour rejoindre sa mère plus loin dans le salon.
— Elle est chiante ! Tu devrais me consoler toi... !
J'ai tourné mon visage vers lui à l'entente de sa voix chouinée, nos yeux se sont croisés, je me suis dépêché de les détourner.
Tomber une fois dans son regard c'était déjà trop alors deux fois en moins de dix minutes, c'est une idée catastrophique.
— Demande à quelqu'un d'autre, j'suis pas payé pour ça.
Il a soufflé à ma réponse, ses mains se sont alors réinstallées sur mon pull, sur mon torse. Donghyuk a glissé ses bras jusqu'à ma taille, il m'a poussé vers lui, collant abruptement mon torse au sien.
J'entends pas son cœur battre mais, putain, j'entends le mien comme s'il était lui aussi dans un coin de la pièce à hurler qu'il aimait un peu trop ça.
Qu'il aimait un peu trop Donghyuk.
— Moi aussi j'l'aime beaucoup ton pull tout moche, Markou.
Cette phrase a suffit à me faire reprendre mes esprits, j'ai dégagé rapidement le corps de Donghyuk de contre le mien, il a tangué légèrement en reculant, ricanant aussi à ma réaction.
Qu'est-ce qu'il est chiant.
J'ai le visage rouge, les oreilles rouges, les joues brûlées.
Sérieusement, qu'est-ce qu'il est chiant.
— Ta gueule.
Donghyuk a éclaté de rire.
Je me suis toujours demandé comment serait le monde si j'étais avec Donghyuk.
Le monde, lui, évidemment qu'il ne changerait pas. Ici, je fais plutôt référence à la circonférence de mon monde à moi et, évidemment, aussi à celui de Donghyuk.
Je sais que, idéologiquement, j'aimerais ça. J'aimerais vraiment ça. D'un point de vue idyllique, tout mais rien ne changerait vraiment.
Il y aurait bien cette idée, général, celle qui dit et qui décide de quand deux personnes sont ensemble, c'est qu'elles sont en couple.
En couple.
Comme deux personnes assorties, deux personnes qui s'embrassent, qui se tiennent compagnie, qui s'acceptent, qui se disent je t'aime.
Mais comment accepter soit même de sortir avec quelqu'un quand l'étiquette couple ne va pas à ces deux personnes ?
J'ai pas envie d'y penser mais je le fais quand même. Je finis toujours pas le faire de toute manière.
Encore une fois, il s'agirait d'un monde parfait où Donghyuk ne serait pas attiré par les femmes et qu'il me retournerai mes sentiments.
Mais après ? Oui, après.
Après ça, après les "je t'aimes aussi", les sentiments, l'acceptance, les embrassades et la compagnie, c'est quoi qui arrive ?
Les regards ?
Tu sors avec quelqu'un pour qui il est, les gens, quand il s'agit d'un couple, regardent qui ils sont.
Et si, le "ils", c'est deux hommes, il ne devrait plus être question de couple.
Alors oui, oui, après, il y a quoi ?
Rien.
Rien. Jamais et toujours rien.
— Mark ? Hé, Mark... ?
Mes paupières tremblent, mon cœur bat plus vite et plus fort, ma tête va exploser. Elle va vraiment finir par exploser.
Puis, rien.
Tout s'arrête. Mes yeux se calment, ils me clament.
Je sens une main caresser mes cheveux, délicatement, s'emmêler puis tout lisser. Du bout de ses doigts, elle caresse mon front, le bord de mes oreilles. Un baiser fantomatique est déposé sur ma peau, il caresse, comme cette main, d'une douceur bizarre les plies de ma peau. Il y en a un second sur le haut de mon crâne, cette fois ci l'empreinte est plus distincte, et le baiser, il est moins volé.
Puis, soudainement, la douceur s'envole, mes yeux s'ouvrent en grand quand je sens le poids d'un humain s'écraser sur moi.
J'ai aucune surprise quand je me rend compte qu'il s'agit de Donghyuk, et qu'il est installé désormais comme une loque sur mes cuisses, son dos écrasé contre mon torse et l'arrière de sa tête perdu dans mon cou.
Ses cheveux font frissonner ma peau et je me déteste d'apprécier chaque millimètre de sa peau contre la mienne.
— Je voulais te réveiller en douceur mais tu fais aucun effort.
Je le regarde, en contre plongée, sa tête tournée vers le plafond, appuyée contre mon épaule. Ses yeux sont fermés, ses lèvres à peine ouvertes, du gloss qui les rendent plus lisses, plus luisantes.
Sa peau est cachée par un peu de fond de teint, il a une peau mate.
Magnifique.
Est-ce que, en l'embrassant, ma peau, il l'a aussi trouvé ne serait ce qu'un peu regardable ?
— Ils sont allés faire un tour dehors, Soohyuk voulait te réveiller pour que son Oppa chéri vienne avec elle mais je l'ai menacé de brûler ses poupées si elle le faisait.
— T'es un gamin.
Le nez de Donghyuk s'est plissé, une moue amusée au visage. Mais ses yeux ne se sont pas une seule fois ouverts.
Je ne me souviens que du film stupide de Noël que ma mère a choisit au détriment de toutes les autres personnes. Je n'ai pas attendu une dizaine de minutes pour m'endormir, sans aucun indice sur le sujet même du film.
Les lumières sont éteintes, la télé l'est aussi.
Il n'y a que les vitres de la cuisine, à l'arrière du salon, qui éclaire encore l'endroit où nous sommes.
Je laisse tomber ma tête contre celle de Donghyuk, il ne bouge pas au mouvement, mon cœur n'a subit qu'une légère secousse d'appréhension avant de se rassurer face à l'absence de réaction de l'autre.
Je dois avoir la tête explosée par le sommeil pour ne pas réagir.
Mes yeux se ferment. Il y a un silence dans la pièce. Il n'y a que ma respiration qui part parfois dans des virages quand Donghyuk bouge ne serait ce qu'un peu.
— Joyeux Noël Mark.
Sa voix est cachée par un ample silence. Il n'y a que nous deux mais j'ai l'impression que c'est faux, que ça ne peut juste pas être vrai.
On est le vingt-quatre ? Oui, et donc ?
— Humm ?
— Joyeux Noël.
Merde. On est le vingt-quatre.
J'ai les sourcils froncés quand je décale ma tête de contre celle de Donghyuk, il râle à l'absence soudaine de contact. Mes yeux cherchent les siens, ça tombe bien, il vient à peine de les rouvrir.
— Il est quelle heure ?
Donghyuk se recale contre moi, il tourne son visage en ma direction, ses yeux noirs de biches plongés dans les miens. Si lui ne fait pas attention à l'écart ridicule qui sépare nos visages, moi j'y accorde une grande attention.
Mon visage chauffe, mal à l'aise j'essaye de me décaler, d'éloigner son stupide sourire de mon propre visage.
Ça le fait visiblement rire mais moi pas du tout.
Comment il peut ne pas être dérangé par cette proximité ?
Donghyuk bouge une énième fois, il appuie ses mains contre mes cuisses pour pouvoir mieux se placer face à moi. Je me tords au contact, comme électrocuté.
— Minuit passée.
Je dois avoir l'air surpris car il se met à ricané de mon expression encore une fois.
J'essaye alors maladroitement de me lever, de dégager ce poids mort qui croit avoir trouvé un refuge sur moi, mais Donghyuk ne daigne pas bouger d'un pouce. C'est presque s'il ne fait pas entièrement exprès d'y encrer tout son poids.
Un léger râlement quitte mes lèvres, qu'est-ce-que j'ai fait pour mériter ça ?
C'est quand je glisse mes mains autour de sa taille pour le pousser à se lever que Donghyuk se réveille enfin de sa léthargie. Il grogne au mouvement mais se laisse entièrement déplacer, j'ai l'impression de rêver en le sentant frissonner sous mon toucher.
Peut être que, finalement, je retire ce que j'ai dis plus tôt.
Je me rends compte que Donghyuk fait quand même plus mon bonheur que sa sœur cadette, quand j'aperçois son visage se tourner vers moi pour me demander d'une petite voix :
— Qu'est-ce qu'il y a ?
Ses yeux sont perdus sur moi, sur cette mine déstabilisée peinte partout sur mon faciès.
Il doit me trouver bizarre mais c'est désœuvrant à quel point il peut être mignon sans même le vouloir.
— Viens j'ai un truc à te donner.
Un sourire immense expose sa dentition, ses yeux scintillent et il a l'air de rapidement avoir oublié de quoi on parlait plus tôt.
Soudainement, je m'en fous que de me perdre dans l'étendu de ses yeux si c'est seulement pour me rendre compte que Donghyuk est vraiment magnifique.
— Markou m'a fait un cadeau ?!?
Il s'extasie, d'un ton suraiguë et surtout super chiant.
Évidemment que ça ne pouvait pas durer plus de deux secondes.
Je me décale de lui en faisant quelques pas sur le côté, je sais qu'il me suis comme un chiot derrière moi quand on monte les marches de l'escalier.
Pourquoi j'ai l'impression de monter jusqu'à ma propre mort ? Alors que pour mourir, techniquement, je devrais plutôt descendre en direction de la terre.
Arrivé dans ma chambre, Donghyuk n'ose pas vraiment y entrer, ses pas se sont arrêtés au pas de la porte alors que je suis en train de chercher dans mon armoire une masse jaune en papier.
Mes mains tremblent.
Elles tremblent juste un peu mais suffisamment pour que je m'en rende compte, pourtant, c'est la première fois que mon système nerveux tout entier ne surchauffe pas.
J'espère que Donghyuk va aimer.
Non, en fait, même s'il n'aime pas, j'espère juste qu'il ne va pas me le dire, je le verrais à son expression et j'irais insulter Jaemin pour m'avoir donné cette idée foireuse.
Je me tourne vers lui, il a ses yeux désormais rivés sur le papier cadeau, un sourire timide et embarrassé sur ses lèvres.
Donghyuk ne rougit pas vraiment encore mais c'est comme s'il n'était question que de temps.
Je ne remarque que trop tard l'étiquette accroché au cadeau, idée numéro deux stupide de Jaemin que j'avais prévu d'arracher avant de donner à Donghyuk.
Je me retiens soudainement de m'éclater la tête contre un mur.
Donghyuk ne fait aucun commentaire, se contentant juste de rougir démesurément.
Et nom d'un chien, Donghyuk, il n'est pas connu pour rougir souvent.
[ PARCE QU'IL ME FAIT PENSER À TOI
Joyeux Noël,
Mark ]
___☀︎︎___
Bonne Année !
Sachez que j'ai pas écrit un seul chapitre ces vacances mdr il m'en reste que trois d'avance LAUL
Alllez écouter "Nightmare" de Junghoon avec Xen (Omegax) !
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro