¹⁹ | ⌫
¹⁹ | 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝙳𝚒𝚡-𝙽𝚎𝚞𝚏
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²⁶ ¹⁰ ²⁰²³
²⁰²³
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³²⁰³ ᵐᵒᵗˢ
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|• 𝓑𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓛𝓮𝓬𝓽𝓾𝓻𝓮 •|
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LEE MARK
16 Décembre
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CETTE HORLOGE N'EST JAMAIS À L'HEURE, elle dépasse de quelques minutes les vrais horaires du lycée. C'est comme une routine qui s'est encrée dans ma tête, dans la tête de chaque étudiant. Quinze heures n'est plus exactement quinze heures et, douze heures par exemple, est devenu midi trois. Un décalage grinçant qui retarde la satisfaction d'abréger la journée, une aiguille trop lente qui attire donc mon regard.
J'ai mes yeux glués à cette dernière quand la sonnerie retentit enfin.
Plusieurs élèves commencent à tirer leur sac de sous leur bureaux, les chaises grincent et quelques fissures se dessinent sur le front de monsieur Choi. Il nous jette un regard groupé, nous défit de quitter la salle de classe, une bretelle sur l'épaule, une salutation nonchalante. Monsieur Choi déteste les adolescents pressés. Surement car les types qui le sont n'ont jamais vraiment appréciés cet instituteur fana des mathématiques.
Ses doigts longs et ridés s'agitent sur sa craie alors que mes mains se tordent sur mon stylo, mon agenda ouvert à la prochaine date. Mes yeux détaillent les nombres qui s'agitent sous la main frénétique de l'enseignant, il ne fait même plus attention aux élèves qui s'agitent sur leur chaise, se concentrant uniquement sur la série de nombres qu'il note à la craie blanche.
La mine de mon stylo gratte sur ma feuille, son dos s'est poussé de face au tableau, il s'est exagérément tordu vers sa sacoche en cuir pour y ranger ses rares affaires.
— Vous pouvez y aller.
Personne n'a attendu, certains n'ont rien notés, j'ai personnellement commencé à ranger mon stylo dans ma trousse quand mon agenda s'est écrasé entre deux de mes cahier à l'intérieur de mon sac. Ma trousse l'a très rapidement suivit alors que je penche mes mains vers la fermeture éclair que je fais coulisser d'un rapide trait.
Mon sac finit sur mon épaule, ma veste enroulée autour de mes bras et sans prendre la peine de répondre au sourire que Taeyong m'adresse devant le couloir, à attendre devant une salle voisine, je longe les murs et les quelques élèves fatigués.
Je le suis aussi, bien sure que je le suis autant qu'eux.
Fatigué d'ouvrir les yeux pour voir continuellement la même chose se répéter inlassablement. Fatigué de me voir dans un miroir des toilettes du lycée ou de voir mon nom et mon prénom inscrit sur le haut d'une copie double à côté d'une note qu'un adulte écrit d'un trait rapide presque trop rapide. Juste pour écrire, juste pour dire " tiens, tu t'es foiré" ou, "Bravo, plus qu'à réitérer le même exploit sinon, toi aussi, tu vas te foirer".
Mais putain, je sais pas, l'envie de le voir est plus grande encore qu'une dernière heure éreintante sur laquelle s'accabler.
Dans la poche arrière de mon pantalon, je sens la vibration répété de mon portable. Je finis ma route au niveau des escaliers que je dévale en seulement quelques grands pas.
Ces messages, s'ils ne viennent pas du groupe avec les autres ou de Taeyong, je sais à quatre-vingt pourcent qu'il s'agit de Donghyuk : qu'il s'impatiente ou qu'il râle de quelque chose à l'entrée du lycée. Que Donghyuk en a marre d'attendre, que lui, il ne s'est pas habitué aux trois minutes de décalage, qu'il ne connait pas monsieur Choi et ses séries d'exercices qu'il note de son écriture vieille et tremblante sur son tableau en ardoise.
De toute manière, il attends.
Donghyuk attends toujours quand ça fait des jours qu'on ne s'est pas parlé, qu'il en marre de me voir loin et qu'il est, par conséquent, prêt à attendre autre chose plutôt que d'attendre mon retour.
Il sait que je reviens toujours à défaut de ne pas savoir que l'horloge traîne de trois minutes.
Et, c'est en pensant idiotement à lui que je me rend compte que j'ai l'air d'un abruti à me presser dans le lycée juste pour voir son visage d'ahuri.
L'idée de ralentir me traverse un instant l'esprit mais étrangement, cette possibilité est vite balayée par l'air frais de dehors qui s'écrase contre mes bras nus quand j'ouvre l'une des quatre portes en verre qui bordent l'une des façades de l'endroit.
Mes yeux balayent la sortie du deuxième bâtiment, la cours en béton et le chemin en gravier qui mène jusqu'à l'entrée du self. Certains élèves s'y pressent, d'autre la dépassent d'un bref regard. Le mercredi midi, il n'y a pas grand monde qui y mange, certains s'y présentent car leur horaires de bus leur permettent. Jeno, parfois, s'y rend pour tenir compagnie à Hye-Sun même s'il déteste la bouffe qu'ils y servent.
Puis il y a ceux qui s'entassent devant le lycée, qui bloquent la sortie de leur uniformes et des cigarettes qu'ils laissent tomber dans des gros blocs en béton qui leur servent de cendrier. Évidemment, tout le monde ici ne fume pas mais l'odeur y traîne et ça monte à la tête au lieu de juste monter vers le ciel.
Du coin de l'œil, je repère enfin Donghyuk.
Il porte sa veste, fermée jusqu'au dessous de son menton. Son manteau est agrafé lui aussi, il n'y a que ses chaussures qui laissent traîner ses lacets à moitié faits, à moitié défaits. Il a ses mains tantôt enfoncées dans ses poches, tantôt perdue à taper sur son portable. Je sais que mes messages viennent de lui quand une énième fois je sens mon portable vibrer quand son regard se lève en ma direction.
Le temps ne s'arrête pas. Ce serait cliché que de dire ça, mais mon cœur, lui, il s'arrête et repart aléatoirement.
Son sourire s'agrandit quand il me voit, le mien fait maladroitement apparition.
— T'as pas froid ?!
Je lui jette un regard en biais, ses lèvres et ses yeux exagérément ouverts, ses mains plongées dans les poches verticales de son haut, son portable rangé dans l'espace qui y est étroit.
Lui, en tout cas, j'avais l'impression qu'il sortait du pôle nord.
— Non, ça va.
Ses yeux se perdent dans les miens, des plis nouveaux sur son visage que je ne vois d'habitude pas souvent. Il cherche le vrai du faux même quand c'est inutile, même quand c'est juste une réponse stupide.
Mais Donghyuk n'aime pas quand mes mots sont secs et froids.
Je n'aime pas voir son expression devenir fade non plus mais en parlant, j'avais pas imaginer ma réplique sortir aussi tranchante. Justement, j'avais juste rien imaginé du tout.
Peut être que j'aurais dû.
Donghyuk aime bien prévoir les trucs à l'avance, savoir que, justement, il sait. Il sait qu'on allait se réconcilier même s'il pleurait en pensant que ça ne serait pas le cas. Car il a Renjun et que moi, j'ai Taeyong, en grande partie. Je ne sais même pas comment je peux affirmer que Donghyuk est ce qui ressemble le plus à un meilleur ami pour moi quand l'une des seuls personnes à laquelle je raconte mes problème s'appelle Lee Taeyong.
Des problèmes, stupides, de cœur.
Ou juste des soucis quotidiens que je répète traits pour traits à Taeyong quand il fait la même chose en plus vague avec moi.
J'ai commencé à marcher, Donghyuk derrière moi et un sourire aux lèvres.
Je sais que si Donghyuk a recommencé à me parler c'est juste grâce à Renjun. C'est tout le temps grâce à Renjun.
Quand c'est entre Donghyuk et moi qu'il y a un problème, c'est toujours Renjun qui s'y jette corps et âme pour le régler.
Je ne lui ai jamais dit merci, je ne lui dirait jamais ce mot, même si, parfois, je le pense plus qu'une centaine d'autres.
Ce serait comme avouer que Renjun prend plus soin de Donghyuk que moi, qu'il est celui qui règle toutes les déviations quand je suis celui qui les trace avec mes actes et mes paroles irréfléchis.
J'apprécie Renjun, c'est mon ami mais l'idée de le remercier ramènerai à jeter toutes les mauvaises pensées que j'ai eu de lui depuis qu'il côtoie Donghyuk, à les cacher. À faire disparaitre ces tas de mots sous un lit et y installer un tapis pour cacher les traces d'un désordre.
Alors non, la seule personne qui remerciera à jamais Renjun, c'est et ce sera toujours Donghyuk.
— Tu veux manger à la maison ?
Donghyuk demande, la manche de son manteau autour de ma peau nu.
Quand il marche, il fait toujours ça.
Surtout quand ça fait longtemps, qu'il a l'impression de tout avoir perdu pendant plusieurs jours et qu'il veut revenir à avant.
Qu'il veut me montrer qu'il est là même quand il est encore énervé ou agacé.
Car Donghyuk, il marche comme ca.
Il fonctionne de cette manière.
Il n'aime pas vraiment parler alors son corps le fait tout seul. Moi, je ne sais pas parler mais stupidement, j'ai besoin de le faire.
— On pourra commander s'tu veux ? Tu peux dire non, j'le prendrais pas mal.
Ses yeux balayent les miens, il m'implore, me pousse à dire oui d'un simple coup d'œil qu'il fait passer comme hasardeux. Donghyuk ne supplie pas, Donghyuk ment avec ses mots pour espérer que ses actes ne soient que pures vérités.
Il a ce rictus moqueur qu'il colle sans le faire exprès à ses traits, un visage d'indifférence et de nonchalance qu'il rend souvent ridicule quand on le compare à son expression lorsqu'il sourit.
J'ai envie de dire non, ma raison me pousserait à dire non. Car je sais que même si on se reparle, il y a toujours quelque chose qui dérange, un truc qui s'est immiscé là où il ne devrait pas être.
Que si c'est pas Renjun qui lui a mis des idées dans la tête, c'est Taeyong qui m'en a mis à moi.
Ou peut être que c'est seulement moi qui m'en suis mis à moi et à lui à la fois.
Que je me rend lentement compte que notre situation est dérangeante. J'ai pas oublié le soir où j'ai déposé ma frustration contre Donghyuk, il a bien évidemment le droit de garder des choses secrètes mais ça m'avait égoïstement rendu fou. J'ai pas de droit sur lui et mes sentiments pour lui ne devrait pas me faire réagir au quart de tour.
Pourtant, dès qu'il est question de quelque chose par rapport à lui, mes pensées s'entassent dans un coin de ma tête pour prendre une porte de sortie qui traine à l'arrière de mon crâne.
Comme là. Bien sure que j'avais envie de dire non, de lui laisser de l'espace et de me laisser un peu plus de temps.
Mais de toute manière, quand il s'agit d'Hyuk, je ne sais pas dire non.
On s'est donc retrouvé tous les deux à attendre sur sa table à manger, à regarder du coin de l'œil la map sur laquelle se déplaçait notre livreur représenté par un petit point bleu. Il est arrivé en quelques minutes et le repas était déjà finis qu'aucun de nous deux n'avions vraiment parlés si ce n'est de stupides et inutiles choses concernant le lycée. Il parlait de ses connaissances et des quelques événements qu'il estime "important", que moi, j'ai loupé en restant une grande partie de mon temps avec Taeyong et son copain.
Je ne sais même pas si ce qu'il disait s'était vraiment passé ou s'il voulait juste me montrer que lui, réussissait à exister sans moi.
C'est vrai quoi, Donghyuk sourit à d'autre gens quand, moi, je me perds dans ses yeux pour le faire et sans jamais me forcer.
Donghyuk me connait mieux que quiconque alors que je n'ai l'impression de connaître Haechan que comme les autres le font. C'est pas comme s'il agissait différemment car il est avec moi qu'avec les autres.
Il sourit, ris, cri, parle... avec tout le monde.
Et des silences, je suis sûr que pourtant il n'en a qu'avec moi. Qu'avec moi, après une dispute ou qu'importe comment on peut appeler ce qu'il s'est passé.
Il ne s'agit pas ici d'un silence calme et relaxant qui berce une pièce ou un couple de personnes. Ici, c'est dérangeant, le genre de silence qui s'accroche trop longtemps et qui amplifie les sons alentours.
Le frigidaire qui tourne en fond, les bruissements de papier qui renferment la nourriture et peut être même qu'on pouvait entendre le bruit des voitures qui tournent dehors.
Pourtant, Donghyuk est bien là, Donghyuk, le type le plus bruyant de la planète est bien là. Actuellement, son corps étalé sur la table alors qu'il soupire d'un léger son.
— J'ai trop mangé...
Mon rire écrase la pièce, il fait brusquement dégager le silence. Comme s'il n'avait jamais existé.
Je me lève de sur ma chaise, une tonne de papiers entre les bras, je fais en sorte de les rassembler dans un tas uniforme, l'enseigne du fast-food éparpillé un peu partout sur les papiers.
Je ne fais même pas trois pas en direction de la cuisine que j'entend la sonnerie du portable à Donghyuk.
Ses yeux s'y sont rapidement braqués, sa fatigue évaporée. Pendant un instant, je m'arrête au milieux de la pièce à fixer Donghyuk qui sourit à son écran, à essayer de comprendre de qui ça vient.
Parce-que je n'arrives pas à me sentir bien sans savoir de qui ça vient.
Parce-que je sais que c'est mauvais, que c'est dégueulasse que d'attendre de savoir quelque chose qui ne me concerne pas.
Ses deux billes noires fondent une seconde dans les miennes, il me jette juste un rapide regard et comme s'il savait ce que j'attendais, il a juste expliqué :
— C'est Jeno, il demande si on veut venir voir un film.
Mon corps s'allège et je reprend comme si de rien était ma marche jusqu'à la cuisine. Je connais sa maison comme si c'était la mienne et pas seulement car elles sont plus ou moins jumelées comme la plupart des habitations ici. Ma godasse s'écrase sur le clapet de sa poubelle, le couvercle se lève et laisse entrevoir une poche poubelle entièrement noire, certainement changée il y a peu.
Donghyuk s'est levé, j'entends ses pas marteler le carrelage de sa maison quand le couvercle se referme. Je demande :
— Maintenant ?
Il s'adosse contre un mur, son portable en main qu'il feuillette d'un regard distrait.
— Ouais. Tu veux y aller ?
Même s'il veut paraître peu enthousiaste, son sourire harnaché à son visage montre le contraire. Il sait pertinemment que si lui y allait, j'allais y aller aussi.
— Si tu veux.
Son corps s'éloigne du mur et ses yeux me traversent d'un regard amusé.
— Parfait !
Il sautille jusqu'à moi, prêt à le repousser ses bras sont déjà encerclés autour de mon corps. J'abandonne rapidement l'idée de l'éloigner quand son torse cogne contre mon cœur et qu'il s'agite comme bousculé.
Donghyuk s'éloigne rapidement, la tête baissée vers son portable, un grand sourire qui dévoile ses dents.
— J'envoie un message à Nana et on y va !
Ah. Évidemment.
J'arrive pas à retenir mes yeux de rouler quand il marche en direction de sa chambre, me laissant planter au milieu de la cuisine agacé mais satisfait.
Toujours agacé car Donghyuk s'appelle et s'appellera toujours Lee Donghyuk et que son comportement va de pair avec ce prénom.
Mais satisfait car tenir Donghyuk entre mes bras restera toujours une bénédiction.
De l'autre côté de la maison, je l'ai entendu hurler approximativement bien mon prénom, m'approchant par la même occasion de la chambre de mon meilleur ami. Elle est à deux pas de celle de ses parents dans un couloir où le trois quart des portes sont fermées.
Je pousse de la paume de ma main le bois blanc de la porte où une pancarte avec des lettres en capitales est clouée en son centre.
« DONGHYUK »
Sans déconner ? Comme s'il allait se perdre dans sa propre maison.
La porte ouverte, l'intérieur m'est visible.
Il y a des tas de vêtements étalés ci et là sur le sol et parfois sur des meubles, et si ce ne sont pas des habits, il s'agit de mangas.
Désordonné. Tout chez Donghyuk l'est.
Et au lieu de trouver ça franchement agaçant voir carrément invivable, le simple fait que de laisser tomber mon regard sur un ourson en peluche traînant au pied de son lit me fait affreusement sourire.
Pourquoi il devait naître aussi mignon ?
M'enfin, c'est Donghyuk donc il y aura toujours quelque chose qui dérange. Et là, c'est le fait que Donghyuk soit torse nu sur son lit qui me dérange moi et surtout, mon corps.
— Donghyuk putain rhabille toi !
Il s'est tourné vers moi en rigolant enfilant son t-shirt et mettant en désordre par la même occasion ses cheveux.
Et putain qu'est-ce qu'il est beau comme ça.
Il est presque, sur le moment, l'exception qui rend sa chambre plus resplendissante. Parce qu'il a pas sa place ici et que moi, je l'ai encore moins.
J'ai l'air d'un intrus à le dévisager comme je le fais. Peut être qu'il serait effrayer s'il savait comment je le regarde, pas comme un ami est sensé le faire en tout cas.
C'est pas comme s'il est homophobe ou une autre connerie dans le genre mais quand tu connais quelqu'un depuis aussi longtemps que nous on se côtoie, apprendre que cette personne l'envisage différemment de comment elle le devrait serait, genre, complètement déplacé ?
Déplacé. Oui voilà.
Follement déplacé.
Je me suis approché de lui alors que ses yeux étaient bloqués sur son portable, toujours assis sur son lit.
Ses cheveux traînent sur son regard, j'ai une vision claire sur l'écran de son portable mais ça m'intéresse même pas un peu.
Tellement mon corps, debout, est proche du sien, que mon ombre s'écrase au dessus de lui.
On est collé, j'avais envie de l'être encore plus.
Et c'est peut être à cause de cette soudaine obscurité qu'il a relevé son visage pour plonger son regard dans le mien en contre-plongée.
Donghyuk a rougit à notre proximité, un sourire embarrassé sur ses lèvres. Ses yeux faisaient défiler mille et une émotion sans jamais s'arrêter sur une seule d'entres elles. De toute manière je ne comprenais rien, et j'ai encore moins compris quand il a encerclé ma taille de ses bras, écartant ses cuisses pour laisser une place à mes jambes quand il m'a maladroitement tiré vers lui, collant sa joue à mon ventre et ses mains autour de ma taille.
Je sentais l'un des angles de son portable appuyer contre ma peau, mais j'entendais encore plus, de manière entêtante, mon cœur s'abattre dans ma poitrine.
Il a fermé ses yeux. Son corps tout entier s'est détendu, dans un souffle il a dit en bousculant de ses lèvres quelques bêtes volantes qui bruissent dans mon ventre.
— Tu m'as tellement manqué.
S'il savait comment, lui, il m'avait retourné de son absence.
Le monde a décidé que je serais amoureux de Lee Donghyuk, qu'est-ce-que j'avais à en redire ?
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J'aime beaucoup ce chapitre même si je l'avais clairement oublié 💀
Pavé qui n'a aucun rapport avec l'histoire mdr :
Alalala meilleure semaine de ma vie : TVXQ là, pépite le son qu'ils ont sorti ?!?!
( d'ailleurs jsais pas si j'avais parlé de tbz mais eux aussi ils sortent que des pépites,
Honey c'est vrmt l'un de mes sons préférés !
franchement entre la discographie de nct et tbz jvous jure jles aime à la même hauteur mais différemment)
Après NMIXX aussi j'ai bien aimé mais A.C.E ?! Je les suis pas trop mais je me suis mise à ecouter leurs sons et ils sont geniaux ?!
Ahhh et le son de chenle, kun, xiaojun et renjun alfkzkjz jvous jure ça a refait ma journée après que je me sois rendu compte que bientôt on va devoir attendre 7 ans (je crois ?) avant de revoir 127 au complet... MDR ( J'ai chialé premier degrés juste en voyant Taeyong)
Et on en parle du cb qu'ils ont prévu pour décembre ? Ça va ouuu ?? Haechan et mark qui n'ont littéralement aucune pause en plus c'est certain qu'après il va y avoir un cb pour dream donc encoreeee du travail ? Genre ok c'est l'une des meilleures nouvelles possibles et imaginable mais svp évitez de les tuer
Après si je devais parler de tous les cb qu'il y a eu lieux dernièrement, jparlerais pendant des heures mdr ( genre dkb, atbo, taeyeon, omegaX, MCND aussi ! Ils sont incroyables, écoutez les !!!)
J'ai tellement de groupe géniaux à recommander, ils méritent tous tellement et c'est dommage qu'une grande partie des grp qui méritent vraiment sont si peu reconnus :,)
Bonne Journée/Soirée <33
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