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⁶| 𝙲𝚑𝚊𝚙𝚒𝚝𝚛𝚎 𝚜𝚒𝚡

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²⁸⁷⁰ ᵐᵒᵗˢ
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|• 𝓑𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓛𝓮𝓬𝓽𝓾𝓻𝓮 •|


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Tooru a le dos voûté, les épaules écrasées par le poids de son meilleur ami. Parfois, il entend d'immondes sons sortir de la gueule du blond. Des ronflements ? Des bâillement ? Il n'en a aucune foutu idée, Tooru sait seulement que ses lèvres se mouvaient à quelques centimètres de son haut tout juste neuf.

Quand il sent le visage d'Atsumu glisser contre sa nuque puis vers l'arrière de son dos, il le décale d'un geste vif vers la droite. Même pas étonné qu'il ne se réveille toujours pas, atsumu s'étale dans une position étrange contre les côtes de Tooru.

Pourquoi devait-il se coltiner un Atsumu bourré ?

Pendant que l'ensemble des gens de la fête étaient soit rentrés chez eux, soit à l'arrière de la bâtisse. Ils étaient -Atsumu ayant été forcé- les deux seuls idiots à s'être réfugiés dans le salon sur son canapé. Oui, Tooru s'était permis de le nommer ainsi. Il se demande même si un autre fessier que le sien d'y était posé aujourd'hui.

D'où il était, la musique s'infiltre par la baie vitrée, le laissant profiter de quelques morceaux synonyme d'été (en hiver). Des rires fusaient par moment et des cris hystériques brisaient parfois son silence à lui. Ça devait être l'effet qu'il aimait nommer : "jeux de bourrés qui le deviennent encore plus".

En bref, il était le seul saint d'esprit à ne pas s'être jeté dans la gueule du loup. Déjà qu'il n'aimait pas boire plus que ça si en plus il devait faire des choses gênantes, Tooru se serait déjà muni d'une corde et d'une chaise. Exagère-t-il ? Très probablement.

Tout ce qu'il faut savoir sur ses occupations actuelles, c'est qu'il se fait drôlement chier à traîner sur son portable.

Quand il se lève enfin pour fuir le fauteuil, le corps du blond s'écrase sur le canapé. Tooru croit apercevoir un sourire satisfait traverser les lèvres d'Atsumu ou peut-être bien que c'était un râle pour avoir perdu la chaleur de ses côtes.

Tooru enjambe quelques traces de liquides non identifiés, des boissons certainement renversées par les idiots se trémoussant un verre plein à la main. Puis il arrive enfin devant l'une des grandes tables accueillant divers breuvages.

La table est entièrement vide de présence, il y a plusieurs bouteilles qui jonchent sur sa surface et les assiettes offrant quelques apéritifs se retrouvent entièrement vides. Intérieurement, il se plaint de ne pas avoir goûté une seule des choses proposées. Ce qui l'intéresse réellement, les carafes de mélange qu'il espère pouvoir qualifier d'acquis, sont toutes en bord de table. Pratiquement et étrangement, toutes rassemblés.

Bien qu'il soit persuadé de ne jamais retrouver la délicieuse collation que son cadet lui avait offerte, il n'y a aucune raison pour qu'il ne trouve rien du tout à son goût.

Sa première mainmise s'avère être une collation légèrement violette, l'odeur n'a pas l'air ragoûtante alors il s'en verse un léger fond dans un verre en plastique qu'il extirpe d'un paquet neuf.

En quelques secondes, le temps que le liquide traverse sa trachée, Tooru se rend compte que l'arrière goût est réellement immonde. Il manque de recracher l'ensemble de sa gorgée sur la table alors qu'il se force à avaler. Finalement, peut-être qu'avoir connaissance des noms des boissons aurait été plus simple pour trouver quelque chose de potable.

À un moment, alors que le châtain enchaîne des fonds de boissons pour tester son palais, il entend des rires et des pas s'approcher. Tooru à l'impression d'être pris en flagrant délit pour un crime qu'il n'aurait pas commis. En vain, il essaye de rester concentré à sa tâche. L'affreuse envie de se retourner pour observer les nouveaux arrivants empoignée quelque part en lui.

Est ce plus étrange de se retourner pour les regarder arriver ou, de ne pas se retourner et de savoir qu'ils sont là, tout proche de lui ?

Tooru ne sait pas trop, il sait juste que c'est sérieusement gênant. Et puis, pourquoi l'ensemble des boissons étaient-elles réunis en un même endroit ? Était-ce son mauvais karma qui jouait contre sa faveur ?

Il essaye de garder ses mains le plus proche de son torse, comme s'il cherchait à cacher son verre en plastique de ces deux inconnus.

Son épaule se fait bousculer alors que Tooru voit enfin un semblant du visage de l'un des deux hommes. Sa peau mate et ses mèches brunes. Il dirige sa main en direction de l'une des carafes. Gêné au possible, Tooru sent la peau dénudé de son vis-à-vis entrer en contact avec son veston. Prit au dépourvu, entre deux inconnus qui discutent comme si de rien n'était, il fait un mouvement soudain pour fuir la table. Où, son seul souvenir reste son verre figé dans les airs, le liquide transparent rose formant une tâche sur le corps de quelqu'un qu'il ne connait ni d'Ève ni d'Adam. (Peut être que si en fait)

Mais, les seules pensées qui le traverse à l'instant présent sont destinées à sa boisson.

Ah.

Aussi, il avait pris si longtemps à trouver un goût potable !

Il fait des allés retour du visage indescriptible de l'inconnu à ce t-shirt précédemment d'un blanc immaculé repeint en rose.

- T'es sérieux là ?

Sa salive passe difficilement sa trachée, un sourire embarassé sur les lèvres. Sérieux, il ne savait pas. Mais, paniqué, ça, oui.

Sakusa, qu'il reconnaît à côté, laisse échapper un rire moqueur. Le brun le dévisage tout en imaculant Tooru d'un regard agacé.

L'homme, qu'Oikawa imagine être le second ami d'enfance de Semi, fixe alors le noiraud en murmurant en son encontre :

- C'est qui lui ? Un de tes potes ?

Sakusa fronce les sourcils, Tooru aussi.

- Non, j'le connais pas. Mais si c'est l'ami du jaune pisse, il doit être l'associal.

Jaune pisse ? Certainement Atsumu.
Associal ? C'était lui ça ?

Même de ses plus lointains souvenirs il ne se rappelle pas avoir déjà parlé à Kiyoomi et encore moins d'être qualifié d'associal. Et puis, c'est quoi cette manie de parler de quelqu'un devant la personne concernée. Étaient-ils tous les deux fou ?

Ne sachant pas où se mettre, Tooru fond en excuse à plusieurs reprises accusant sa maladresse. Kiyoomi est à côté, un sourire moqueur collé à son visage alors que le second reste bloqué sur son t-shirt qui collait contre son torse.

Sans trop comprendre, Tooru voit sa victime monter vers l'étage, son verre en plastique tout juste délaissé sur la grande table. La salle de bain ? Sûrement.

Il y a un moment gênant, où ni Sakusa ni Tooru ne parlent. Ils sont simplement là, lui à se perdre dans les yeux mystérieux du noiraud et l'autre à l'observer de haut en bas sans aucune trace de son ancien sourire. Souriait-il seulement quand son ami le brun était à côté ? Là, il avait l'air bien moins avenant.

Tooru ne sait pas trop quoi faire, il a ses pensées qui apparaissent et disparaissent l'une après l'autre. Devait il prendre ses responsabilités et potentiellement aller aider cet inconnu qu'il pensait ne pas vraiment l'être, ou, avait il le droit de retourner s'assoir sans dédommagement ?

Dans un souffle encourageant, il quitte l'endroit pour rapidement monter les escaliers. Il tombe sur un long couloir, des portes de chaque côté. Beaucoup de porte. Quand il estime avoir trouvé la salle de bain, Il s'arrête devant une porte fermée.

Il toque une première fois mais aucune réponse ne lui parvient.

Et si, derrière cette porte il n'y avait personne ? Pire. S'il y avait quelqu'un d'inconnu au bataillon.

Le robinet s'ouvre, l'eau s'en écoule.

Pris d'une soudaine détermination, il essaye de tourner la poignée fermée. Sans grande surprise, elle reste bloquée. Et c'est là qu'il entend le brun jurer en lui disant qu'il pouvait partir.

Tooru grimace, peu sûr de lui, il réussit à articuler :

- Je peux t'aider pour m'excuser !

Un rire amusé traverse le bois de la porte. Oikawa ne se rappelle pas avoir l'adjectif "drôle" dans ses qualités.

- Pas la peine, rentre chez tes parents. Il se fait tard et ton couvre feu va être dépassé. L'autre répond, ironiquement.

Tooru rigole amèrement. Avait-il autant l'air que ça d'un pauvre adolescents perdu ? Il éloigne les doigts de la poignée pour les lier entre eux. Au juste, qu'elle était la raison qui le pousse à se ridiculiser ainsi ?

Puis, il reste un certain moment devant la porte de la salle de bain, ses mains liées dans un soupçon de réconfort. Il entend l'eau couler et des tiroirs s'ouvrirent.

Quand il n'y a enfin plus un seul bruit, le châtain se recule légèrement de la porte. Des pas s'approchent de l'intérieur de la salle de bain et la porte s'ouvre dans un cliquetis sonore.

L'inconnu, torse nu, se présente face à lui, à le dévisager comme un malpropre. Pourtant, il ne paraissait pas du tout surpris de le voir encore ici.

Et bon dieu, il n'est pas déçu d'être resté. Depuis quand Tooru semblait-il si intéressé par autre chose que ses études ?

Le torse du brun était incroyablement bien dessiné, ses lignes étaient impeccablement fines et sa poitrine délicieusement musclé. Tooru se perd dans ses pectoraux vraiment très peu discrètement. Son vis-à-vis fronce les sourcils alors qu'il lance, un peu agacé :

- Tu peux partir, mon t-shirt n'est pas encore sec. ( Voyant l'absence de réaction du plus grand, il ajoute : ) T'as l'air d'un puceau extrêmement gênant là.

Tooru rougit en moins d'une millisecond. Et, avant même qu'il ne se rende compte que les lèvres rosé de cet inconnu s'étaient tirées en biais, la porte s'était refermée dans un claquement.

Hein ?

Il n'avait pas tout compris là.

[. . .]

- Pourquoi Atsumu il est venu ?

Kuroo demande, une paille entre ses lèvres emmenant un liquide rouge vers sa bouche. Goût framboise, sa saveur favorite pour les smoothie et sûrement toute autre boisson à base de fruits.

Atsumu, son portable en main, roule des yeux alors qu'il sourit avec amusement. Le problème n'est pas tant qu'il soit là mais plutôt qu'il prend la moitié d'une banquette à lui tout seul. Il a les jambes grandes ouvertes alors que chacun de ses genoux sont à deux opposés, écrasant Oikawa tout au bord du fauteuil, pressé contre le mur du petit café.

Oikawa soupire alors qu'il dévisage la position de son cadet :

- Ne te poses pas la question, personne ne sait.

Akaashi, qui est face à lui, des fiches de révision par dizaines entre les mains, laisse échapper un rire harmonieux. Tetsurō tourne l'une des pages de son manuel alors qu'il dit en même temps :

- Surtout qu'il est bien inutile actuellement.

Atsumu pouffe en déposant son portable sur la table, une image peu valorisante de son frère en fond d'écran.

- Hé ! Je vous entends hein.

Tooru le dévisage en écrasant sa main sur la cuisse du blond histoire de la pousser le plus loin possible de ses jambes. Le Miya ricane face au visage agacé de son meilleur ami, il pioche dans l'assiette du châtain, y arrachant un bout de son muffin. Oikawa fronce les sourcils en insistant rageusement sur ses traits. Le fou, il avait osé lui voler son gâteau ! Il lui assène une tape à l'arrière du crâne alors qu'Atsumu se contente de rire un peu plus.

- En plus, je suis venu pour étudier aussi !

Il ajoute, en brandissant fièrement l'un de ses cahiers. Tooru devine qu'il s'agit de celui de maths en observant la calculatrice dessiné vaguement sur la couverture. Et ce qu'il a déjà dit que c'était moche ? Non ? Bah, c'est vraiment moche.

- Tu vas apprendre ta table de deux et t'auras déjà fini. Akaashi rétorque rempli d'une mauvaise fois certaine.

À l'image d'un cheval, atsumu souffle en mouvant ses lèvres. Il fixe alors Akaashi, une lueur de défi dans le regard :

- Deux, quatre, six, hu-

Dans une phrase commune, ses trois amis l'incitent à se taire. Ce qu'il fait dans un énième rire.

Puis, le silence s'installe.

À un weekend des examens, ils s'étaient tous donné rendez-vous dans le petit café qu'Oikawa destine à Atsumu. S'ils s'y retrouvaient tous ensemble aujourd'hui, c'est grâce au blond et à ses goûts luxueux en termes de conquête. Comme d'habitude, Tooru ne jugera pas malgré tout. (Quoique...)

Bref, cela fait une semaine que Tooru travaille pratiquement toute la soirée sur ses cours et le voilà lancé sur la dernière ligne droite. Il aurait d'ailleurs préféré étudié, aujourd'hui aussi, chez lui et sur sa petite table dans sa chambre. Mais, que voulez-vous, l'appel de la nourriture a été plus forte que lui.

Depuis la soirée chez Semi, une nouvelle connaissance à lui, il n'avait eu aucune nouvelle du fameux inconnu et du serveur impoli. Quant à Shirabu, ils se suivent désormais mutuellement sur certains réseaux suite à l'initiative du cuivré, sans pour autant s'échanger des messages.

Devait-il le considérer comme son ami ? Il n'en a aucune foutue idée.

Puis, il y avait l'histoire d'Akaashi et de l'étrange garçon venu le kidnapper. Pas la peine de préciser que ce garçon n'était pas étrange du tout et qu'il était encore moins venu pour kidnapper le méché à la chevelure d'abeilles.

Kuroo avait longtemps essayé de soutirer les vers du nez de Keiji mais ce fut peine perdu et il n'eut aucun nom. Même pas le début d'un prénom. Il restait jusqu'à nouvel ordre l'étrange garçon venu kidnapper Keiji. Enfin, jusqu'à ce que Tetsurō ait l'intelligence de demander à Atsumu qui semblait connaître le jeune homme.

À peine avait-il évoqué la fête et Akaashi que le blond avait pondu un prénom et une fiche synthèse de l'existence de la personne. Bokuto Kotarō, troisième année et boursier en fac de sport, a vingt-et-un ans et ses hobbies sont : le volley, les peluches d'hiboux et Keiji lui-même. Oui, oui, Akaashi Keiji.

Cette dernière information avait fait s'esclaffer Kuroo et avait fortement étonné Oikawa.

Ça devait être une blague, Tooru en était persuadé. Bon à part ça, Tooru ne comprenais pas grand chose à toute leur histoire et il ne cherchait pas de réponse non plus. Comment Kuroo connaissait-il Shirabu et Semi ? Comment diable Keiji connaissait-il Bokuto ? Mais surtout, comment lui, ne connaissait-il personne ? Ce n'est pas nouveau, Oikawa est le seul idiot a ne suivre aucune de leur histoire.

- Vous voulez autre chose ?

Ils relèvent la tête, chacun leur tour. Atsumu plus vite que les autres, il n'avait pas une phrase à finir de lire sur son téléphone. Il acquiesce vivement, comme un enfant qui obtiendrait ce qu'il voulait.

- Un muffin au chocolat s'il vous plaît !

C'est au tour de Tooru de lever son visage en direction du serveur. Il avait changé depuis leur première commande, lui était plus petit que le précédent. Plus musclé aussi. Son t-shirt à l'image de l'enseigne a l'air d'être vachement grand alors que ses épaules font la structure de son haut. Sa peau a une couleur légèrement caramel et ses yeux ont une couleur spectaculaire ! Un vert sapin légèrement plus écorce que feuillage.

C'est quoi cette sensation qui s'empare de tout son cœur par petits picotements ?

Au-delà d'être plus différents de l'ancien employé, cet inconnu là, il est plus comme "quelqu'un qu'il reconnaît vaguement".

Alors que Tooru faillit à sa tâche de respirer correctement, il se rend enfin compte que l'ensemble des regards de la table étaient braqués sur lui. Celui de Kuroo plus appuyé que tous les autres. Son sourire espiègle sur le visage, il fixe avec mesquinerie le visage légèrement empourpré du châtain.

C'est quoi ça ?

Puis il détourne le regard pour le poser sur le serveur qui le fixait comme on fixe une personne folle.

- Vous voulez quelque chose ?

Et rien qu'au ton qu'il emploie, oikawa comprend que ce n'est pas la première fois qu'il se répète. Incapable de répondre autre chose, Tooru bafouille un simple et idiot :

- Hein ?

Un rire de hyène coupe la table.

- Non merci, il ne voudra rien d'autre.

J'ai nommé, Akaashi Keiji, le sauveur en personne. Applaudissez le !

Dans un sourire à peine dissimulé, le serveur fait demi-tour, un post-it à la main avec les commandes de ses clients.

- Hein~ Fit le noiraud d'une voix exagérée.

Tooru rougit d'autant plus alors que lui-même ne comprend pas sa sur-réaction. Afin de camoufler sa gêne, il replonge dans ses cours.

Là, c'était définitivement son karma qui ne l'avait pas à la bonne. Sa vie entière allait elle tourner autour de ses moments gênants? Lui manquait-il une case pour réagir à l'image d'une adolescente en pleine puberté ?

Tooru voit du coin de l'œil Atsumu se tortiller. Il n'est plus installé sur la moitié de la banquette mais carrément collé au torse du châtain. Ne connaît- il pas l'espace personnel ? Est-ce une expression trop enrichie pour sa pauvre cervelle ? Il grimace lorsque le blond glisse et croise ses bras sur son épaule. D'un chuchotement amusé, il lui glisse à l'oreille :

- Tu sais, c'est pas grave si t'as pas de personnalité pour kiffer un mec qui travaille au même endroit que mon futur mari.

Oikawa rit franchement en dégageant soigneusement le poid logé sur son épaule.

- Je ne suis pas en kiffe sur lui. Il répond, d'une certaine amertume.

Et, il n'a encore moins pas de personnalité ! C'est simplement eux deux qui avait le chic de se retrouver dans des situations extravagantes.



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Bonjour / Bonsoir !

Je m'excuse de ne pas avoir posté hier, j'avais pas écrit le chapitre ptdrr
Mais j'ai écrit un chapitre de presque 3000 mots aujourd'hui. Ça compense ? :)

Bref !!

Bonne journée/soirée !

<333
Passez une bonne semaine !

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