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40☆ the first time i cried for u

LITHIUM°40




Pendant longtemps, un peu trop longtemps, j'ai eu du mal à accepter que le garçon dont j'étais tombée amoureuse puisse être faible. Je pense que les belles histoires que l'on me contait quand j'étais petite y étaient pour quelque chose. Dans aucune d'elle, le prince charmant ne montrait de signe de faiblesse, physique ou morale, encore moins morale, pardi. Ça m'a travaillée pendant des années parce qu'une partie de moi ne pouvait pas comprendre. Les gens qui se droguent sont faibles, ils n'ont aucune volonté, c'est ce que m'avaient toujours répétée mes parents pour ne pas que je m'en approche. Dans un sens, ça avait marché jusqu'à présent. À part quelques joints et un malheureux space-cake qui m'avait valu le pire et bien évidemment le seul badtrip de ma vie, je n'y avais jamais touché. Et dans mon crâne, c'était pas compliqué : ceux qui ne pouvaient pas s'arrêter, ceux qui devenaient accros, effectivement, c'était tous des faibles. Les nerfs ne les tenaient pas, le cerveau flanchait, j'sais pas. Mais c'était pas normal.

Donc comment j'avais pu tomber amoureuse de ce type, complètement accro à cette merde ?

Je me suis posée la première fois la question quand je l'ai vu, le visage déformé par la peur, alors qu'il perdait connaissance dans les bras de Chan. Félix avait entendu des cris, ça l'avait alerté, et moi, assise à côté de lui, et puis parce que c'était de Jisung dont on parlait, aussi, je l'avais suivi. Je n'aurais pas dû. Quelque chose en moi s'est cassé ce soir-là. Le truc que je refusais catégoriquement de voir depuis tout ce temps s'est imposé à moi presque aussi violemment que les claques que foutait Chan au guitariste pour le maintenir conscient : Jisung n'était pas comme dans mon esprit. Ce n'était pas un garçon dont je pouvais gommer les défauts et ne retenir que le positif, non, il était humain, pire humain que moi peut-être même, et il pouvait être faible. J'ai eu peur pour lui, d'abord, puis... il m'a fait de la peine. Peut-être un peu pitié aussi, faut être honnête. Je méprisais ça, moi, j'étais censée le mépriser bordel ! Les camés, c'était que dans les films qu'ils atteignaient ce point de non-retour, jamais... dans la vraie vie.

Donc, debout comme une imbécile dans l'encadrement de la porte, je me suis pris en pleine poire que Han Jisung était bel et bien dépendant, et qu'il était en train de faire un bad de l'enfer, jusqu'à en perdre connaissance. Félix a été plus réactif que moi, il s'est précipité vers les deux garçons en me bousculant par mégarde.

Douche ?! il s'est écrié en chopant l'un des magazines musicaux de Chan, avant de faire de l'air au guitariste qui avait toujours les yeux fermés.

Est-ce que j'étais la seule à avoir vu la larme rouler sur sa joue creusée, s'échappant de sa paupière close ? Chan a acquiescé, et Félix s'est tourné vers moi, les sourcils froncés. C'était la première fois que je le voyais si sérieux. J'ai compris l'ampleur de la situation à ce moment-là et je suis revenue à moi.

Aïka, va chercher Changbin s'il te plaît.

Le couloir m'a paru si long que j'ai dû m'appuyer contre le mur pour ne pas flancher. Dans le salon, la musique m'a vrillée les tympans, j'ai cherché le groupe du regard, je suis tombée sur Changbin qui allait justement aux toilettes en rigolant avec un gars que je ne connaissais pas, j'ai failli lui rentrer dedans, il m'a rattrapée au dernier moment, visiblement amusé.

Bah alors, un peu pompette Aïka ?

Mon regard l'a fait stopper son rire tout de suite. J'ai divagué sur la salle jusqu'à choper le regard très noir de Minho, qui me fixait, l'air plus sérieux que jamais.

Jisung, dans... dans la chambre, j'ai réussi à souffler un peu dans les vapes.

Changbin m'a lâchée le bras et a foncé, il avait compris. Je suis restée plantée au milieu du salon, ne sachant quoi faire, et c'est le parfum de marque de Minho que j'ai reconnu.

Ça va ?

Nos regards se sont croisés, il était près de moi, alors je lui ai fait « non » de la tête et j'ai mis la main devant ma bouche : il a foncé aux toilettes avec moi. Je me suis agenouillée et j'ai vidé le contenu de mon bide dans la cuvette des deux australiens. J'en ai eu mal aux tempes tellement j'avais l'impression que ma cervelle allait se faire la malle. Les larmes ont commencé à perler aux coins de mes yeux, et j'ai cherché à tâtons à relever mes cheveux, mais c'était déjà fait, Minho était juste derrière moi.

C'est rien, c'est rien... il a soufflé pour me rassurer mais j'ai senti dans sa voix qu'il n'en était pas certain.

J'ai vomis encore une fois. Cette fois-ci, je n'avais plus rien dans l'estomac, plus une goutte d'alcool. Ma tête s'est mise à tourner, j'ai attendu quelques secondes avant de me redresser, le corps tremblant. Minho m'a ordonnée de m'assoir par terre. Je l'ai écouté, je ne pouvais plus prendre de décision par moi-même à ce moment-là. Il a tiré la chasse, j'ai maté mes mains qui tremblaient sur mes genoux, je l'ai entendu s'agenouiller devant moi. Son parfum a envahi mes narines. Je me suis mise à fixer son tee-shirt noir et la chaîne en argent qui pendait à son cou pour ne pas tourner de l'œil.

Lentement, sa main a pris la mienne.

Je l'ai laissé faire. Je ne savais plus ce qui se passait. Sous les yeux, je n'avais pas la chaîne de Minho, j'avais le dernier regard de Jisung pour moi avant qu'il ne perde connaissance.

...ka ? Aïka ?

La voix de Minho revient de loin, du fin fond des ténèbres. Enfin, nos regards se croisent. Il m'impressionne toujours autant, pardi.

Ça va aller, okay ? C'est pas la première fois que ça lui arrive, c'est rien. Il va se réveiller, c'est rien.

J'ai compris qu'il ne me disait pas tout, je n'ai pas cherché à en savoir plus, c'était déjà gentil de sa part de s'occuper de moi. Il a esquissé son petit rictus significatif, celui qu'il faisait parfois pour se moquer de moi, mais là, je pense qu'il était surtout inquiet.

Ça va mieux ?

J'ai hoché la tête. J'ai eu un peu honte de moi.

Pourquoi vous vous êtes tous fait la malle... Aïka ?!

C'est Soojin. Elle se précipite vers moi, Minho lâche ma main. Je regarde ma meilleure amie et là,

je ne sais pas pourquoi,
je fonds en larmes.

Surprise, parce que c'est la première fois, elle me prend dans ses bras. J'entends qu'elle demande un peu trop sèchement à Minho ce qu'il se passe, mais je n'entends pas la réponse. La coréenne me tapote gentiment le dos, et la porte des toilettes se referme, Minho est parti. C'est le plus gros chagrin depuis un moment, sûrement depuis que je suis arrivée ici, tiens. Je pleure tellement que j'en ai même du mal à respirer. Je ne sais pas pourquoi tout est sorti à ce moment-là pour être honnête, avec le recul je me dis que c'était peut-être le choc, ou l'accumulation de beaucoup trop de choses, y n'empêche que c'est la première fois que je craque devant quelqu'un, et ça me fait bizarre. Soojin ne dit rien, se contente de me serrer contre elle, et c'est exactement ce dont j'ai besoin. Nous restons un bon moment sur le carrelage, on entend des bruits sourds dans le couloir et les échos des voix de Changbin, Chan et Minho. J'imagine les pires scénarios en un quart de secondes et ça me fait pleurer de plus belle; Jisung que l'on arrive pas à réanimer, Jisung qui gît sur le sol, en pleine overdose, Jisung que l'on emmène à l'hôpital et que je ne revois plus jamais... Le bonhomme dans mon crâne s'est laissé bêtement submerger et j'en paie les frais. Il patauge et se vautre dans l'eau glaciale, il ne fait rien pour s'en sortir, il se noie, progressivement, il se noie...

Ma belle ? chuchote Soojin en se reculant un peu.

Excuse-moi... je souffle en reniflant.

Ne t'excuse pas, idiote, sourit la brunette en remettant une mèche de mes cheveux en place. Comment tu te sens ?

J'hausse les épaules. Elle me tend plusieurs bouts de papier toilette, je la remercie. J'essaie de me calmer un peu, progressivement, je reprends le contrôle. Les remords ne tarderont pas à arriver, c'est certain. Elle t'a vu faible... Soojin me regarde me moucher, un petit sourire navré aux lèvres.

Ça va aller, tu vas voir. Les garçons s'occupent de lui.

Qu'est-ce... qu'est-ce qu'ils font ? je peine à demander.

Ce n'est pas mon genre, tiens, mais la question sort toute seule.

Ils lui font prendre une douche froide, répond simplement Soojin. Ça va l'aider à se calmer. C'est pas cool les crises d'angoisse.

J'hoche péniblement la tête, pas réellement convaincue. C'est à cause de toute la drogue qu'il a pris qu'il a fait cette crise, c'est sûr. Lentement, je me relève, j'ai les jambes qui flageolent. Dans le miroir, ça fait peine à voir, vaut mieux éteindre la lumière quand c'est comme ça. Soojin me serre de nouveau dans ses bras.

C'est fini la soirée, okay ? On va rentrer. Tu viens faire dodo à la maison.

Je tente de me dépatouiller de l'affaire, horriblement gênée :

Non, je vais rentrer chez m...

Pas de discussion, me coupe Soojin et je comprends que c'est peine perdue au ton qu'elle emploie. Je récupère nos sacs et on y va. Attends-moi dans l'entrée.

Dans le couloir, je fais pitié. La porte de la salle de bain est fermée. La lumière est allumée et j'entends les garçons s'activer à l'intérieur. Un frisson glacé me parcourt le dos. Seungmin débarque depuis le salon, les sourcils froncés. Quand il me trouve, il semble soulagé, mais c'est de courte durée en voyant mon état. Derrière lui, Jeongin, qui a tout compris et reste en retrait, par égard pour moi.

Tu vas bien ? s'enquiert directement Seungmin en me prenant par les épaules.

Je peine à hausser la tête.

J'attends Soojin, on va y aller.

Oh, ma Aïka...

Il me serre dans ses bras. J'apprécie l'étreinte, comme j'ai appris à apprécier sa présence et ce qu'il représente pour moi depuis que je suis là. Je ne pleure plus, mais ma joue se pose sur son épaule et ça me fait du bien.

Tu m'appelles demain, d'accord ?

Il me fait promette, je promets. Au même moment, la porte de la salle de bain s'ouvre, et Minho en sort, l'air préoccupé. Il se fige en nous voyant. Mes lèvres se mettent à trembler.

On stoppe la fête, fait-il simplement. Innie', aide-moi.

Le plus jeune le suit sans rien dire dans le couloir et je les entends mettre un terme à la soirée. Ça ne présage rien de bon, ça. Soojin sort de la chambre en même temps que Chan de la salle de bain. Son regard passe de ma copine à moi, et puis il soupire, et lui lance fermement :

Partez.

Et il est censé bien aller après ça ?! Je manque vomir de nouveau, alors que mes mains se remettent à trembler. Soojin ne demande pas son reste et m'attrape par le bras pour me traîner dans le couloir de l'immeuble.

Minnie', viens please, l'appelle le leader de Lithium.

Seungmin m'adresse un regard se voulant rassurant, mais il pue le désastre, et la porte d'entrée se referme entre nous. Immobile, derrière, il faut que ça soit Soojin qui me tire pour me faire avancer.

Je l'ai vu, finit-elle par dire alors que nous sortons au grand air et que je ne ressens même pas la température négative de décembre. Il était conscient.

Je n'ai jamais su si elle avait menti, cette nuit-là.

Le lendemain matin, je suis réveillée par plusieurs bips de mon téléphone. Je suis dans le King Size de Soojin, dans sa belle maison. Nous sommes rentrées en taxi, et sa mère n'était pas encore couchée. Elle nous a fait du thé et m'a demandée de la tutoyer. J'ai pu prendre une douche et Soojin m'a prêtée l'un de ses pyjamas. Sa chambre est bien rangée et sent bon la vanille. Là, à demie consciente, je me demande si un jour, elle a fait le moindre faux pas. Quand je tourne la tête, la brunette dort encore à côté de moi. Je me sens assez bien, du moins, mieux que le soir d'avant.

minniverse.___ : Heyy
minniverse.___ : Il va bien, il s'est réveillé peu de temps après que vous soyez parties. Il a dormi chez Chan et ils s'occupent bien de lui pour aujourd'hui avec Lix'. T'as pas à t'inquiéter
minniverse.___ : Dors bien ma Aïka !

Je le remercie et referme les yeux, les images de la veille se bousculant sous mes paupières. J'ai vraiment cru qu'il allait y passer. Jamais personne n'avait fait une telle crise d'angoisse devant moi, je ne savais pas comment ça marchait, mais ce qui était certain, c'est que j'étais persuadée que la drogue ne devait rien arranger à cet état. J'ai passé la journée chez Soojin, je m'y suis sentie comme si j'étais chez moi et dans chaque geste qu'a fait sa mère, j'y ai vu la mienne, perdue quelque part entre un tablier bleu et un sourire blanc, le bruit des vagues en fond. J'ai dû me battre pour rentrer chez moi, Soojin tenait absolument à ce que l'on passe le week-end ensemble. Je lui ai dit que j'avais besoin d'être un peu seule, elle a compris. J'ai dormi toute l'après-midi, j'en avais mal au ventre de m'inquiéter autant pour un type, c'était vraiment usant.

Et puis, vingt-deux heures passées, Han Jisung a décidé de m'adresser la parole.

hanjisunglithium : T'es chez toi ?
hanjisunglithium : Il faut que je te parle

Laissez-moi vous dire que j'ai vu rouge, et pas qu'un peu. Le gars s'évanouit en face de moi, les yeux révulsés, et là quoi, il veut se comporter comme si rien ne s'était passé ?

aïkalin : non
aïkalin : j'veux pas te parler

hanjisunglithium : Je sais mais je te promets que c'est important
hanjisunglithium : S'il te plaît Aïka

aïkalin : ça va durer jusqu'à quand cette mascarade? t'arrêtes pas de me cacher des choses, tu me mens tout le temps
aïkalin : t'écris tes textes à la con, tu m'en parles même pas et c'est moi qui me mange ça une fois que c'est trop tard
aïkalin : ça finit quand? j'en ai ma claque de te courir après, parce qu'apparemment c'est ce que je fais, alors que je voulais plus jamais le faire, donc laisse-moi te dire que ça va pas durer très longtemps cette histoire
aïkalin : t'es loin d'être irremplaçable jisung

J'ai menti. Le dernier message c'est juste pour le blesser, parce qu'il me fait un mal de chien depuis le début. Les trois petits points à côté de sa photo de profil apparaissent, puis disparaissent. Il me fait le coup deux ou trois fois, et puis je n'en peux plus d'attendre alors je balance mon portable à l'autre bout de l'appart' et j'vais me griller une clope. J'ai repensé à la première fois que l'on s'est vus, chez Seungmin, à son regard de défi. À la première fois que je l'ai vu sur scène, et à l'effet qu'il m'a fait. Quand il s'est excusé sur notre banc et qu'il a oublié son carnet. Les rues sont si joliment décorées, dehors, que j'ai honte de laisser couler mes larmes. Je me suis demandée quand est-ce que ça allait s'arrêter, tout ça, toute cette peine, quand est-ce qu'on allait enfin me laisser un peu tranquille. J'en ai voulu à la Terre entière, ce soir-là, mais surtout à mon père. Parce que s'il ne s'était pas pendu et que je ne l'avais pas retrouvé, jamais je n'aurais foutu un pied à Séoul. Jamais. Finalement, plusieurs bips ont retenti, et je me suis forcée à attendre deux bonnes minutes avant d'aller récupérer le bigo :

hanjisunglithium : Me laisse pas
hanjisunglithium : C'est bientôt Noël, me laisse pas Aïka
hanjisunglithium : Je te jure que je t'expliquerai tout, mais faut qu'on se voit
hanjisunglithium : Me laisse pas, pas toi

Je ne sais pas comment t'aider.

C'est réellement ce que j'ai pensé, en lisant ses messages. Comment aider un dépendant ? Comment aider un malheureux qui a vécu quelque chose de traumatisant et qui ne sait plus comment remonter à la surface ? Moi, Aïka Lin, qui étais-je pour trouver une solution au problème de Han Jisung ? J'avais vingt et un ans. Lui aussi. Je ne savais pas comment faire. Mais j'ai eu comme un poids qui s'est envolé de mes épaules, ce soir-là. Alors que j'étais en train de lui écrire ses quatre vérités, de mettre un terme à cette mascarade, ce que je faisais tout le temps quand une relation devenait « trop » pour moi, je me suis arrêtée.

Ce n'était pas la faute de Han Jisung. Lui aussi avait vécu un deuil, je ne savais juste pas encore de qui il s'agissait. Mais ça l'avait assez bouffé pour qu'il sombre. Ce n'était pas sa faute. Comme ce n'était probablement pas la mienne non plus, cette fuite à l'autre bout du monde. Alors, j'ai tout effacé, j'ai soufflé la dernière taffe dans l'air, et j'ai écris.

aïkalin : je ne vais pas te laisser
aïkalin : laisse-moi juste du temps avant qu'on se revoit
aïkalin : tu m'as fait peur, jisung

C'était la première fois que j'étais aussi honnête, surtout avec lui. Je me suis dis que c'était une preuve de maturité et que c'était un pas en avant. Reste à savoir s'il allait faire pareil, bien sûr.

hanjisunglithium: Je suis désolé
hanjisunglithium: Tu n'aurais jamais dû voir ça

aïkalin: tu vas bien maintenant?

hanjisunglithium: Oui t'en fais pas
hanjisunglithium: J'voudrais juste qu'on se voit
hanjisunglithium: Pour que je puisse tout t'expliquer

Le mystère Han Jisung était sur le point d'être percé, mais je n'ai pas su dire si j'en étais heureuse ou non. J'ai comme eu un pressentiment, et j'ai pensé qu'une fois que je saurais la vérité, rien ne serait plus jamais comme avant.

Une bourrasque plus forte que les autres m'a fait frissonner, et j'ai fermé la fenêtre. J'ai dit à Jisung que ça ne serait pas ce soir, il n'a pas insisté, et m'a souhaitée une bonne nuit. J'ai longuement fixé ses derniers mots, puis son profil, auquel je n'étais toujours pas abonnée, j'ai éteint mon portable et j'ai cessé de rêver.



LITHIUM°40
han jisung



bichette Aïka elle a été choquée 😭 vous êtes pas prêts pour les prochains chaps ils vont prendre en maturité les 2 🥹🥹

j'vous love merci de votre soutien!
p.s: le new don de chase atlantic on en parle?? j'aime trop j'ai hâte de l'album! j'espère qu'ils passeront en europe olala

gros bisous! 🫶🏼

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