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𝑆𝑖 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑚𝑒 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑒̂𝑡𝑒,
𝑄𝑢'𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑚𝑒 ?
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Le reste de la journée, Izuku est resté anormalement studieux, comme si, tout à coup, il avait quelque chose à se faire pardonner auprès de la direction de Yuei.
Après l'incident Inasa, puis le long briefing de son frère, il s'est rendu très docilement à l'intérieur du bâtiment pour suivre le cours suivant, faisant bonne figure autant que faire se peut, dans l'espoir que le directeur soit tenu informé de son attention soudaine et exemplaire.
Sage et silencieux, assit à sa place et faisant mine de suivre assidument les paroles du professeur en face de sa classe, il n'en demeurait pas moins atrocement nerveux.
Contrairement à Mikumo, il n'a jamais eu à jouer cette comédie de défense auprès d'un proviseur, et sans même savoir si l'échéance tomberait dans une heure ou deux jours, il se rongeait les ongles.
Ce midi même, lui, son frère et son petit ami se sont réunis sur une table de la cours, tel un avocat et ses clients juste avant le grand procès, préparant leur discours pour espérer remporter la bataille du tribunal.
Parce que si Izuku se moque pas mal de se faire foutre dehors, Katsuki lui, a tout donné pour accéder à cette école et obtenir la bourse qui le lui permet, noircir son dossier et son avenir avec un évènement aussi pesant pourrait tout remettre en cause.
Ils ne peuvent pas se louper face à Inasa et ses parents, qui n'auront au passage aucun scrupule à mettre en avant la situation des Bakugo pour valoriser leur propre parole.
Toute l'après midi qui a suivie les a stressés, tendus, crispés au possible, et la convocation est finalement arrivée autant comme une punition qu'une libération.
Dix sept heures quarante cinq, et les voilà debout dans les bureaux de la direction.
Tournant en rond près des chaises en plastiques qui bordent l'accueil, ils attendent péniblement que monsieur Yagi vienne les chercher pour s'entretenir avec eux.
Par chance au moins, ni Inasa ni ses parents ne semblent se joindre à cette convocation, même s'ils devinent parfaitement que ces derniers ont passé de longues minutes aux téléphone avec le proviseur.
Aussi, et pendant qu'ils s'impatientent devant la porte à l'intérieur, Mikumo les attend à l'entrée du bâtiment, et pour une fois, Izuku regrette ne pas avoir pris la peine de prendre plus souvent exemple sur son frère pour se tirer de là sans ressentir le doute.
_ Les parents d'Inasa sont plus riches que les tiens ? questionne Katsuki, plus pour passer le temps qu'autre chose.
_ Je crois qu'ils sont plus ou moins plus riches que tout le monde. Si même Ochaco le définit comme un gosse de riche, c'est que c'est pas n'importe qui.
_ Les parents d'Ochaco sont si riches que ça ?
_ Ce sont des investisseurs, ils sont parti de rien, mais maintenant ils sont propriétaires d'à peu près tout ce qui existe dans cette ville.
Réfléchissant un instant, s'arrêtant pour l'occasion de tourner en rond, Katsuki soupire discrètement, avant de se décider à prendre place sur une chaise, le regard vers le vide.
_ Je comprends pas. Les gens ont vraiment besoin d'avoir autant d'argent pour vivre ? Pourquoi en faire autant ?
_ Ils en ont besoin pour leur image, pas pour vivre. corrige Izuku en le rejoignant à ses côtés.
_ Et ça leur sert à quoi, concrètement ? Toi, tes parents, ça leur sert à quoi ?
_ A n'avoir jamais aucun problème. Avec la notoriété on accède à tout tu sais. Si demain mon père me découpait en morceaux pour m'enterrer dans le jardin, il n'aurait presque aucun effort à faire pour ne pas être puni par la justice.
Katsuki, sur sa chaise, semble peiner à comprendre le principe qui anime toute cette mascarade, et Izuku, qui esquisse un sourire gêné, s'avoue qu'il ne comprend pas toujours très bien non plus.
Même en étant né dedans, il lui arrive souvent de se demander s'il serait véritablement moins heureux sans l'argent de ses parents.
_ Mes parents sont pas riches, reprend Katsuki, mais si ma mère me découpait en morceaux pour m'enterrer dans le jardin, je suis sûr qu'elle trouverait quand même un moyen de s'en sortir. C'est un démon sans âme.
_ Vraiment ? Tu me fais peur, je suis censé les rencontrer un jour, tes parents. Même si tu n'es pas beaucoup mieux servi avec les miens ...
_ J'ai vu ton père une fois, j'avoue que ça m'a suffit.
_ Je suis désolé pour ça, c'était-
Bien que sincèrement désolé pour l'épisode gênant et honteux de cette rencontre, le soir de la soirée de Jirou, Izuku se raidit immédiatement en percevant un léger grincement de l'autre côté de la porte du bureau de Yagi.
Rapidement, la poignée s'abaisse, et le visage du directeur à la fois souriant et contrarié leur apparait.
Cette homme, décidemment, semble ne jamais sortir de cette petite pièce, toujours vêtu de vêtements similaires de jour en jour, coiffé avec toujours autant d'incertitude, les cheveux en vrac, juste peignés sur le devant et emmêlés derrière.
A se demander s'il est véritablement le directeur d'une des écoles les plus prestigieuses du pays, dans son t-shirt trop grand pour son corps tout maigre, et son pantalon en toile verte absolument mal taillé.
Mais surtout, ses yeux et ses cernes témoignent de la fatigue qui lui tient définitivement compagnie, et avec tout ça, il parvient encore à sourire à ses élèves, et même à se montrer juste et accueillant.
En un échange de regard, Izuku d'admire déjà.
_ Excusez moi pour l'attente. débute le proviseur en ouvrant plus largement la porte. Vous pouvez entrer.
Debout en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, les deux garçons retiennent leurs souffles au moment d'accéder à la pièce, s'avançant sans bruit jusqu'à obtenir l'autorisation de s'assoir près du bureau.
Enfin, quand le directeur les rejoint, de l'autre côté du plateau sur son siège à roulettes, il se laisse lourdement tomber dans l'assise, avant de plaquer ses deux mains sur sa pile de dossiers.
_ Bien. J'ai souvent eu affaire à Mikumo dans ce bureau, mais Izuku, c'est la première fois que je te vois ici. Je ne te cache pas mon étonnement. De même pour Katsuki. Mais lors de notre dernier entretien, il s'agissait en vérité d'une erreur. Alors j'ose espérer que c'est encore le cas aujourd'hui.
Suivant les conseils de Mikumo, les deux garçons restent muets tant qu'aucune question ne leur a été adressée.
Surtout, ne pas parler le premier, au risque de s'enfoncer soi-même en tentant de se justifier trop ardemment.
_ Vous savez pourquoi vous êtes là, n'est-ce pas ?
_ En ce qui me concerne, débute Izuku comme le script l'indiquait, je n'ai rien fait de problématique à ma connaissance. Je me pose d'ailleurs la question quant à ma convocation.
Mentir sans mentir.
Izuku sait très bien ce qu'il fait là, mais il n'est réellement pas à l'origine de la mandale qui a séché Inasa plus tôt dans la journée, et le but de la manœuvre est évidemment de faire parler le directeur. Le forcer à donner des détails sur les faits qui leur sont reprochés, pour mieux manipuler la conversation par la suite.
Katsuki et Izuku ne doivent surtout pas se laisser guider par la discussion, au contraire.
_ Je vois. sourit le directeur, visiblement pas aveugle à son manège. Il se trouve que les parents d'Inasa Yoarashi m'ont contacté cette après-midi par téléphone. Ils m'ont fait savoir que leur fils a été victime d'une agression de votre part ce matin, qui lui a d'ailleurs valu une importante blessure au visage.
Serrant les dents, Katsuki se retient de lui sauter à la gorge en découvrant la version d'Inasa et de sa famille, les accusant d'agression sans aucun scrupule.
Mais ça fait partie du jeu, et ils doivent connaitre les dires exacts des parents pour mieux s'en défendre par la suite.
_ Une agression ? s'indigne exagérément Izuku en ouvrant de grands yeux. Je suis navré de compliquer votre travail monsieur, mais je n'ai jamais agressé Inasa.
_ Vous ne l'avez pas vu ce matin ? renchérit le directeur, un air de défi au visage.
_ Si, effectivement nous l'avons vu ce matin, mais s'il fait référence à ce qu'il s'est passé ce matin, alors sa version me parait tout à fait mensongère.
En faire des tonnes, sans hésiter à étaler la sauce.
Le but n'est pas d'avoir l'air honnête, mais parfaitement sûr de soi et de son discours, quitte à mettre les formes plus que de raison.
Ne jamais en dire plus que nécessaire, attendre les questions et y répondre sans aller plus loin.
_ Donc selon vous, vous n'êtes pas responsables de sa blessure ?
Laisser Izuku parler, éviter au maximum la parole de Katsuki pour ne pas devoir avouer les faits de but en blanc et pouvoir mieux mettre en avant la culpabilité d'Inasa en amont.
_ Ses parents ont seulement évoqué une blessure ?
_ Il y a autre chose que je devrais savoir ? questionne le directeur, conscient de se faire gentiment mené à la baguette par son élève.
_ Plutôt oui, puisque c'est lui qui s'est présenté à nous pour tenir des propos insultants et dégradants.
Faire savoir qu'ils n'hésiteront pas à user des codes pour défendre leur position, et retourner la conversation pour exposer uniquement les torts d'Inasa.
Parfois, Izuku se demande pourquoi son frère ne s'est pas lancé dans des études de droits pour devenir avocat.
_ De quels propos s'agit-il ?
_ Pardonnez moi pour les termes mais ils nous a traité de salopes et a insinué que Katsuki avait recours à des actes humiliants, et si je peux me permettre, il a dit ça parce que nous sommes ensemble. Puis-je en déduire qu'il s'agit d'une agression homophobe si je décidais de déposer une plainte ?
Izuku n'en est pas particulièrement fier de celle-là, mais Mikumo a lourdement insisté dessus, jouer les cartes sensibles pour mettre la pression au directeur et l'inciter à clore l'affaire sans punition notable, pour éviter toute action supplémentaire de leur part.
Dans ce grand monde qu'est l'univers du pognon, il n'existe rien de pire que d'avoir une mauvaise image.
_ Les propos de ce genre sont effectivement strictement interdit par notre règlement. assure le directeur en s'enfonçant dans son dossier. Est-ce pour ça qu'il a été frappé par la suite ?
_ J'ai d'abord essayé de discuter avec lui, et de lui faire savoir que ses propos nous dérangeaient, avec l'espoir qu'il s'en irait. Mais il s'est montré insultant de nouveau. Effectivement, ses paroles ont vraiment blessé Katsuki, qui s'est défendu physiquement. Je sais qu'il n'est pas censé réagir de cette manière, mais Inasa a porté atteinte à son honneur, et ça aussi c'est interdit.
Dépassé, le Yagi soupire en fermant les yeux.
Puis, après une seconde de silence, il réajuste les mèches de ses cheveux pour reprendre la discussion.
_ Je vois .. Quelqu'un peut affirmer que ce que tu me dis est vrai ?
_ Mon frère et Ochaco sont témoins.
Enfoncer le clou en affirmant qu'ils ont des témoins, à l'inverse d'Inasa qui ne sera défendu par aucun d'entre eux.
Jusque là, l'opération se déroule à merveille, et le directeur masse ses tempes pour réfléchir convenablement, sans doute plus agacé qu'autre chose par cette plainte qui lui est tombée dessus en plein après midi.
_ Et je peux savoir pourquoi vous n'étiez pas en cours tous les quatre ?
_ Est-ce que ça rend notre témoignage moins honnête ? Parce qu'Inasa n'y était pas non plus par définition.
_ Je vois. grogne le directeur, excédé. Aller, sortez de ce bureau. Et remercie ton frère pour le coaching, ça ne marchera qu'une fois. Si je vous revois ici, ce sera un avertissement. Pour tous les deux.
Soufflé, Izuku clignote des paupières pendant deux secondes avant de se ressaisir pour se lever, suivi de très près par son petit ami, qui lui emboite le pas en vitesse pour sortir de la pièce.
Puis, traversant l'accueil, ils passent la portes du service administratif en éclatant d'un rire victorieux, avant de s'empresser de rejoindre la sortie principale du bâtiment.
_ J'ai cru que mon cœur allait lâcher tout du long. précise Izuku en marchant dans les couloirs. J'espère ne jamais avoir à le refaire.
_ Pourtant t'es sexy quand tu parles comme ça. Un peu plus et je faisais sortir le directeur pour te sauter dessus.
_ Je ne suis pas sûr qu'on s'en soit sortis aussi facilement s'il fallait justifier de s'être envoyé en l'air dans le bureau de la direction. Même Mikumo ne pourrait plus rien faire pour nous.
Puis, souriant avec une idée derrière la tête, Izuku lance un regard en biais à son petit ami, attendant de le voir s'étouffer avec sa salive en reprenant.
_ Mais tu sais, j'ai aussi un bureau dans ma chambre, des fois que tu veuilles me prendre dessus.
Et il s'étouffe, comme convenu, avec sa salive.
Katsuki, en dépit de son tempérament explosif la majeur partie du temps, se révèle bien plus réservé en matière de sexe, très attentif à chaque étape, qu'il ne veut surtout pas précipiter soit dit en passant.
Mais Izuku l'avoue, même si les caresses et les fellations l'excitent et lui plaisant beaucoup à n'en point douter, il n'en reste pas moins très impatient de lui faire découvrir de plus amples horizons.
_ Je m'attendais à ce que tu me demandes l'inverse en premier. se reprend Katsuki après coup.
_ Si c'est une proposition, fais très attention à ton cul parce qu'il ne va pas falloir me le dire deux fois.
_ Va savoir. C'en est peut-être une.
Aguiché de la sorte, Izuku fait siffler l'air entre ses dents, signe qu'il ne risque pas d'oublier cette conversation, et que le week-end à venir pourrait se montrer bien chargé pour Katsuki.
Mais, songeant à remettre cette discussion à plus tard, il franchit finalement la grande porte principale, et retrouve son frère à l'extérieur.
Assit sur un banc de la cours, Mikumo, son téléphone dans les mains, relève le nez en les voyant approcher ensemble, le visage illuminé et le sourire aux lèvres.
_ Ah ! s'exclame t-il en se redressant sur ses jambes. C'était long, je commençais à croire qu'on vous avait enfermé dans un cachot.
_ Si y'avait un cachot ici, il serait réservé pour toi, avec ton nom sur la porte. chambre immédiatement Katsuki.
D'avance, Izuku soupire doucement, conscient que son frère va surenchérir dans la seconde, et qu'il n'est pas encore sorti des ronces avec ces deux là.
_ Quel honneur d'avoir mon nom sur une porte. Le tiens sera nul à côté du mien. Je suis sûr que t'auras même pas de chiottes.
_ Je viendrai dans les tiens. Et je ferai exprès de pisser à côté.
Malgré tout, après cette journée lourde de stress et de doute, après l'intervention d'Inasa, les longues heures d'attente et l'entretien dans le bureau du directeur qui a failli lui couter une crise cardiaque, Izuku clôture cette journée en souriant, heureux de voir les relations s'arranger entre son frère et son copain.
Ils peuvent se cracher dessus autant qu'ils veulent désormais, ils ne peuvent plus vraiment cacher le soutien mutuel qu'ils seraient prêts à se donner dans une situation qui le nécessiterait.
Et il suffit, pour le comprendre, de voir l'expression taquine de Mikumo, qui s'amuse bien plus qu'il ne s'énerve en jouant au ping pong verbal avec Katsuki.
_ Moi au moins, Izuku viendra m'apporter à manger. nargue Mikumo en gesticulant comme un enfant.
_ Que dalle. Il te jettera une pomme pourrie entre les barreaux, et après il viendra m'apporter à manger à moi.
_ Sachez que je ne vous apporterai rien du tout, ni à l'un ni à l'autre. corrige Izuku en s'incrustant dans leur délire. Débrouillez vous tous les deux.
Enfin, déshonorés tous les deux, ils s'insurgent à l'unisson en ouvrant de grandes bouches scandalisées, s'alliant maintenant contre Izuku pour lui faire remarquer son hypothétique égoïsme.
Cependant, malgré le soleil encore relativement haut au dessus d'eux, la journée touche à sa fin contre leur gré, et à cette heure ci, plus personne ne traine encore sur l'établissement de Yuei.
Le prochain tram se pointera dans cinq minutes, et Katsuki doit, lui, rentrer à pied faute de bus avant quarante cinq longues minutes.
_ Ma mère va me faire un cinéma. soupire Katsuki en surveillant l'heure. J'ai pas prévenu que je rentrerais plus tard et je vais avoir le droit à toute une scène en rentrant.
_ Au moins la tienne s'inquiète pour toi. souffle Mikumo en levant les sourcils.
_ S'inquiéter ? Non, je suis juste en retard pour faire à bouffer et m'occuper des devoirs de ma sœur. Elle est pas inquiète.
Et sur cette dernière déclaration emplie de désespoir, voyant que son petit ami devra très bientôt rejoindre l'arrêt du tram, Katsuki prend son courage à deux mains pour partir affronter la terrible maternelle.
Avant de s'en aller, évidemment, il pose un baiser sur les lèvres d'Izuku, qui lui glisse un dernier mot d'amour au creux de l'oreille, avant de s'éloigner à son tour aux côtés de son frère.
Attrapant de justesse le grand véhicule monté sur rails, les jumeaux s'installent tranquillement pour le trajet qu'il leur reste à parcourir, et Izuku peut enfin apaiser son esprit stressé pour penser à nouveau.
_ Au fait ! s'écrit-il dans un sursaut. Je ne t'ai pas demandé comment ça s'est passé avec Ochaco !
_ On a pas vraiment eu le temps de finir, et après qu'Inasa se soit tiré, on a pas eu l'occasion d'en reparler .. Mais je dirais que c'est sur la bonne voie .. Elle m'en veut toujours .. Mais je la comprends, maintenant.
_ Maintenant ?
_ J'ai jamais été vraiment amoureux. Mais toi tu m'as parlé de tes sentiments pour Katsuki, et j'ai vu .. ce que ça a pu te faire vivre. Et juste .. Les sentiments c'est trop sensibles pour jouer avec, de quelque manière que ce soit. Je prends toujours tout pour un jeu parce que ça me paraissait plus facile comme ça. Mais en vérité j'ai juste fait beaucoup de mal à plein de gens... Pas vrai ?
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Hey !
Il y avait beaucoup de choses mine de rien dans ce chapitre, j'espère qu'il ne vous a pas paru trop lourd !
Le prochain va être .. je ne vous spoil pas mais ça devrait s'énerver très très fort dans les commentaires ...
Mais en attendant, des bisous bisous 😘
Prenez soin de vous ❤🦩
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