Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

🂪🂪🂪🂨

╭─━━━━━━━━━━━━─╮
𝑈𝑛 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐œ𝑢𝑟,
𝑠𝑖 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑡, 𝑠𝑖 𝑏𝑟𝑒𝑓 ..
𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑠𝑖 𝑝𝑢𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑝𝑒𝑢𝑡
𝑐𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑖𝑟 𝑡𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑣𝑖𝑒.
╰─━━━━━━━━━━━━─╯

»»----- ♥ -----««


Trois minutes et douze secondes.
C'est le temps passé depuis qu'Izuku a invité Katsuki a entrer dans sa chambre.
En pleine après-midi, au lieu de suivre leurs cours comme tout étudiant le devrait aujourd'hui, une heure à peine après s'être fait surprendre par Mikumo dans un coin de rue, ils se tiennent là, entre les quatre murs clairs de sa chambre, encore tout près de la porte fermée.
Installée dans son bureau, Inko ne les a même pas franchement remarqué, quand bien même leur arrivée a dû se faire entendre, il n'en demeure pas moins qu'elle n'y a pas réagi.
Katsuki sur ses talons, Izuku a gravi les marches en silence, tout en sentant la présence discrète mais certaine de son jumeau derrière eux.

Sans doute parce qu'il jugea que les deux amoureux éperdus devaient prendre le temps de se parler, de se chercher et de se comprendre ailleurs que sur un coin de trottoir, c'est bien Mikumo lui-même qui a proposé cette escale par chez eux.
Il ne les dérangera pas, d'après la promesse qu'il a fait de son propre chef, mais Izuku le sait droit comme un i dans sa proche chambre, incapable de se poser un instant, la tête embrouillée d'inquiétudes mélangées.
Ainsi, sans parler, lui et Katsuki se sont enfermés ici, loin de la rue et de ses voitures bruyantes, des piétons curieux et du ciel observateur.

Ici, les murs et le plafond font office de bulle, de bouclier au monde, ils offrent leur protection à deux êtres qui ne peuvent plus attendre pour se dire leurs vérités, leurs sentiments.

Même si ..

Trois minutes et douze secondes.
Et pas un mot, pas un bruissement d'air, un froissement de vêtement.
Trois minutes et douze secondes, c'est bien le temps qu'il faut pour structurer des semaines de mots enfouis, de maux bruyants, de battements de cœurs échoués, de soupirs abandonnés.
Tant d'heures de silence et de secrets, un million huit cent quatorze mille secondes passées muselés, bâillonnés comme des condamnés.
Trente mille minutes, assez pour vivre et mourir, bien suffisant pour s'aimer, pour se fuir et s'écarteler, se trahir et s'observer, se mentir, se perdre, se chercher, ne pas se trouver.
Se rencontrer.

Alors, trois minutes et douze secondes, n'est-ce pas le minimum nécessaire pour récolter des mots à mettre sur tant de beautés et de cruautés enchainées, les unes aux autres comme autant de cadenas bouclant les portes d'un cœur qui ne sait pas comment s'ouvrir ?

Le calme, pour autant, ne se fait pas menaçant, ni même pesant.
Il reflète la brise douce qui remplace la tornade après les cataclysmes dans la poitrine d'Izuku.
C'est vrai, et si surprenant que ça puisse le paraitre, il se sent apaisé, plutôt serein finalement, debout sur son parquet, le corps droit et immobile, envahi par la sensation de se trouver enfin au bon endroit, et sur le bon itinéraire.
C'est drôle du reste, il n'imaginait pas que le confort et la plénitude ressemblaient à ça, à ce silence plat de l'esprit, semblable à celui d'un lac, sans vague, sans bruit, qui ne risque pas de virer au tsunami d'un instant à l'autre.

Dans cette eau si sereine, stable et rassurée, même si quelqu'un venait à jeter une pierre sur la surface pour la faire bouger, elle ne ferait que frémir légèrement, se froisser de quelques remous, avant de retrouver rapidement sa quiétude naturelle.
Maintenant, il sait qu'il ne risque plus rien. Et pour la première fois, le silence est véritablement silencieux.
Il ne se remplie pas de pensées fourbes, de cris étouffés, de doutes insidieux, d'angoisses grinçantes.
Il ne savait pas que l'atmosphère pouvait se faire accueillante, qu'elle pouvait le bercer, lui laisser le temps de respirer, d'exister autrement qu'en se noyant d'interrogations et d'appréhensions.

_ Katsuki ? souffle t-il calmement, comme à moitié hypnotisé.

_ Hm ?

_ Tu veux t'assoir ?

Il n'attend pas sa réponse, son corps retrouve lentement ses propres mouvements, ses jambes se dévissent du sol, et il s'avance sans empressement vers la chaise de son bureau, qu'il tire de quelques dizaines de centimètres pour la proposer à Katsuki.
Ce dernier ne parle pas d'ailleurs, il ne sourit pas, mais il ne fait pas la tête non plus, son visage aussi neutre qu'un paysage vierge se couvre d'apaisement lui aussi, tandis qu'il accepte l'invitation en investissant le petit fauteuil.
Les épaules bien appuyées contre le dossier, il demeure calme en observant Izuku prendre place, à son tour, sur le coin de son lit, à deux mètres de lui tout au plus.

_ Je suis heureux que tu sois là. déclare simplement Izuku, les jambes croisées en tailleurs et les mains sur ses cuisses.

_ Moi aussi. Je ne pensais pas que ta maison était aussi grande. Je suis sûr que mon salon fait la taille de ta chambre. T'as même un balcon.

Souriant, Izuku se tourne vers la porte fenêtre à sa droite, menant sur le petit espace extérieur perché.
C'est vrai que ce balcon est agréable, et qu'il lui arrive de s'y installer parfois pour observer les alentours ou pour prendre l'air. Mais il n'en serait pas moins heureux s'il n'était pas là.

_ On pourra y aller tout à l'heure si tu veux. Même s'il n'y a pas grand chose à voir.

_ Oui. Tout à l'heure.

Puis, avant que le silence complet ne revienne s'installer, Katsuki fait tourner la petite chaise montées sur roulette jusqu'à se retrouver en face du bureau, sur lequel il pose ses mains.
Du bout des yeux, il balaie les brouillons qui s'y trouvent, les crayons qui trainent, les résidus de gommes et de taille-crayons.
A tâtons, il fait promener ses doigts sur le plateau, et Izuku, en le regardant faire, ne s'oppose pas à son initiative. Katsuki peut fouiller tant qu'il veut dans ses affaires, il ne lui cache rien de toute manière.

_ Ce sont tes dessins ? questionne Katsuki, même en connaissant déjà la réponse.

_ Quelques-uns oui, la plupart sont là-dedans. indique t-il en pointant une petite chemise plastifiées, pleine au point que les élastiques ne la retiennent plus correctement.

_ Je peux regarder ?

_ Tu peux oui.

Alors, lentement, le regard curieux et les gestes tranquilles, Katsuki se saisit de la pauvre pochette au bord de la rupture, le faisait glisser sur le bureau sans la soulever, peut-être de peur de la voir céder entre ses doigts, avant de l'ouvrir doucement.
Des centaines de feuilles s'entassent ici dans le plastique, mais la première qui lui apparait arbore une floppée de croquis, presque identiques et en même temps différents, représentant des mains.

_ Tu aimes dessiner des mains ? s'étonne furtivement à Katsuki en soulevant la première feuille, découvrant tout autant de mains sur la suivante.

_ Pas spécialement.

_ Pourtant t'en as partout. sourit-il, l'air un peu perplexe.

_ Oui, ce sont les tiennes.

Tout comme une machine qui se met soudainement en veille, Katsuki s'arrête de bouger et de respirer pendant quelques secondes, la bouche entrouverte, les yeux vissés à ses mains, avant de détourner lentement le regard vers Izuku.
Lui, ne se sent pas mal à l'aise de lui avoir révélé ce petit secret.
Il pourrait s'inquiéter de sa réaction, craindre de passer un type légèrement dérangé, obsédé sur les bords, mais il sait que Katsuki le connait, et qu'il ne s'imaginera rien de tordu venant de lui.
Alors il attend simplement que ses iris rejoignent les siens, et il lui sourit quand ils se rencontrent enfin.

Un sourire à la fois tendre et très légèrement intimidé.

_ Elles ne sont pas vraiment parfaites, j'aurai aimé les réussir un peu mieux, mais je n'ai pas l'habitude d'en dessiner.

_ Elles sont très bien faites tu déconnes !

Izuku se sent rougir un peu, il baisse la tête un tout petit instant, par réflexe, avant de la relever aussi sec, déjà en manque du regard sincère de Katsuki, qui parcourt son visage.
L'espace de ce moment, il se sent comme une muse, exposée aux yeux fascinés de son artiste, il lui semble que Katsuki pourrait le décortiquer rien qu'en l'admirant de la sorte.
Ainsi, un glissement d'émotions fait vibrer l'intérieur de sa poitrine et, témoin impuissant du tremblement d'amour qui secoue son corps de l'intérieur, il se laisse submerger par la puissance de ce bonheur.

Son cœur ne bat pas plus vite qu'à l'habitude, mais il résonne différemment, peut-être un peu plus fort, un peu plus bruyamment, il disperse son écho au-delà des limites de son enveloppe charnelle.
C'est étrange, déstabilisant, intriguant, mais agréable.

Puis, il réajuste sa posture sur le coin de son lit, s'avançant près du bord en décroisant ses jambes pour poser ses pieds sur le sol.
Désormais dans une position permettant plus de liberté de mouvement, il se penche légèrement en avant, tendant sa main vers Katsuki pour lui intimer de lui donner la sienne.
Katsuki accepte en silence, et ses doigts viennent effleurer sa paume en s'y déposant.
Doucement, Izuku caresse ses phalanges, la pulpe de son index et de son majeur, et se mord en même temps la lèvre inférieure.

_ J'aime beaucoup quand tes mains me touchent. déclare t-il ouvertement, suivant du regard les caresses qu'il donne à ses doigts.

Katsuki ne répond rien, mais Izuku conçoit qu'il n'y a simplement rien à répondre.
Alors il poursuit :

_ Tu te souviens quand on s'est tenu la main en partant de la fête ?

_ Oui.

_ J'avais l'impression que tu pouvais m'emmener n'importe où. Je t'aurais suivi. Tu me tenais la main. Est-ce que tu me tiendras toujours la main, maintenant ?

Sans parler, agissant pour mieux s'exprimer qu'avec des paroles, Katsuki agite ses doigts pour les refermer solidement autour de la paume d'Izuku.
Puis, en maintenant son étreinte, il tire sur sa main pour la rapprocher de ses lèvres, et poser un baiser délicat sur le dos de celle-ci, tout en le regardant intensément dans les yeux.
Izuku se sent soudainement tout grisé, frissonnant comme une feuille sous le vent, la peau réchauffée par le contact de cette bouche couverte de promesses silencieuses.

Katsuki l'observe avec tellement d'attention, ses iris à la couleur de l'ambre se changent maintenant en rubis, brillants et irradiants de lumière, si férocement qu'ils pourraient facilement engloutir les perles d'émeraude des yeux d'Izuku.
Et cette manière d'embrasser sa main, presque sans prétention, alors même que son geste l'électrise jusqu'à la pointe de ses cheveux.
Finalement, de tout ce qu'il a pu vivre jusqu'à aujourd'hui, ce baiser on ne peut plus chaste demeure l'expérience la plus sensuelle qu'il ait connu.

Il voudrait lui chuchoter de recommencer, encore, encore.
De l'embrasser jusqu'à la fin de sa vie, sans jamais s'arrêter.

_ Je peux te montrer un autre dessin, si tu veux. murmure t-il quand Katsuki éloigne doucement sa main de ses lèvres.

_ Montre moi.

Pour la première fois depuis le début de la discussion, Izuku descend de son lit, aussi calmement qu'il est possible de le faire, pour contourner la chaise de son bureau et récupérer, posée contre un mur, une plus grande pochette à dessin.
Celle-ci, qui n'en contient qu'un seul, est en bien meilleur état que celle du bureau et, en la posant justement sur ce dernier, il l'ouvre lentement sur le portrait de Katsuki, celui sur lequel il a passé des nuits et des nuits, à perfectionner les ombres et les reflets.
Il s'est appliqué, il a tout donné sur les lignes de son visage, les contours de ses lèvres, leurs reliefs charnu, et les nuances détonantes de son regard.

_ Merde, Izuku ! Pourquoi tu m'as jamais dit que tu dessinais aussi bien ?

_ Ce n'est qu'un passe temps, tu sais.

_ Tu es cinglé.

Katsuki, penché en avant sur son portrait, semble ne pas en revenir.
Ses yeux arpentent chaque coup de crayon, à chaque fois plus éblouis que la seconde précédente, s'écarquillant sur tous les détails qui composent l'œuvre.

_ C'est super beau .. chuchote t-il, presque seulement pour lui-même.

Encore, Izuku sourit et rougit en même temps.

_ Viens. lui propose Katsuki en faisant tourner la chaise pour se mettre désormais face à lui.

Il ne s'attendait pas à le voir lui faire une telle invitation mais, alors que Katsuki ouvre ses bras pour lui créer un espace, Izuku s'approche calmement, le ventre soudain vrillé, les sens en émois et la peau en ébullition.
Retenant son souffle, embrouillé par les émotions et les crépitements d'envie qui se soulèvent en lui, il parvient tout de même à ne pas s'effondrer sur lui-même, venant enjamber la chaise, plaçant ses jambes de chaque côté de celles de Katsuki, pour s'assoir sur ses genoux, face à lui.

Autant intimidé qu'exalté par la situation, il continue de mordre sa lèvre inférieure, priant toutes les divinités de l'univers de lui donner la force de ne pas devenir fou instantanément.
Son bassin en appui sur le sien, ses jambes ouvertes autour des siennes, et ses bras qu'il accroche à son cou pour maintenir l'équilibre, chacun de ses contacts plus ou moins directs réveillent ses sensations, agitent sa peau, et affolent son cœur.
Cette fois, ce dernier se met véritablement à pulser plus vite.
Pas de panique, mais de tentation, d'envie, d'impatience.
Comment est-il supposé ne pas se mettre à fondre comme neige au soleil ?

Avec un sourire sincère, et ouvertement dénué d'arrières pensées, Katsuki aussi referme ses bras sur lui, il dépose sagement ses mains contre son dos, de part et d'autre de sa colonne vertébrale, juste au-dessus de son coccyx.
A travers ses vêtements, il caresse très légèrement la courbe qui suit le creux de ses reins, et son regard se fait plus fragile, annonçant des révélations à venir, ou peut-être des confessions.

_ Tout va bien ? questionne Izuku, sentant sa poitrine battre en harmonie avec la sienne.

_ Je vais bien. assure Katsuki, avant de plaquer calmement son front contre le sien.

Le silence revient.
Mais il ne vient pas seul cette fois ci, et s'accompagne d'un grésillement dans l'air, une forme d'onde imperceptible au commun des mortels, mais qui, pourtant, les transperce à ce moment.
Malgré l'éclairage de la chambre, illuminée par le soleil qui les observe par la fenêtre, il semble tout à coup que la lumière s'estompe, qu'elle se tasse dans un petit coin de la pièce, jusqu'à ce qu'il ne reste autour d'eux qu'un halo discret, parsemé d'ombres et de reflets sombres.

_ J'aime beaucoup quand tes mains me touchent. réitère Izuku, les yeux braqués sur ses iris.

_ Qu'est-ce que tu veux ?

Katsuki sourit, Izuku frémit.

_ Touche moi.

Et il ne désobéit pas.
En redescendant ses mains pour passer sous son t-shirt, Katsuki les aventure ensuite à même sa peau, près de ses hanches et de son dos.
Izuku frissonne.
Le contact brûlant, exaltant, contracte ses muscles et libère sa gorge d'une expiration plus lente, plus sourde. Ses doigts le parcourent, son ventre se tend, et toute la chaleur du monde se concentre en un point, là, à l'intérieur de lui.

_ Embrasse moi. quémande t-il ensuite, au bord de la rupture.

Encore, Katsuki répond à ses appels suppliants, et sans cesser de le caresser, épouse ses lèvres.
Sa bouche se presse doucement sur la sienne, elle y dépose un baiser, puis un deuxième, un troisième, et enfin sa langue prend part à l'échange.
Elle s'invite entre ses dents, sous son palais, elle joue avec sa patience, et Izuku approche de la combustion spontanée.
Le petit jeu brûlant perdure au fil des secondes, leurs lèvres se touchent, s'éloignent, se retrouvent, s'explorent, et quand le désir termine de l'étrangler, Izuku cède à ses envies.

Précautionneusement, ses mains se délient de la nuque de Katsuki, elles s'en vont naviguer sur d'autres courbes, sillonnent ses épaules, ses clavicules, et descendent le long de son torse.
Le baiser ne s'interrompt pas quand il défait un à un les boutons de son uniforme, jusqu'à ouvrir entièrement sa chemise.
Ses gestes s'entraînent les uns les autres, à la suite comme un réflexe naturel, et le tissu disparait bientôt du corps de son amant, qui laisse Izuku faire glisser les manches le long de ses bras.
Enfin, il découvre ses formes, ses muscles, les grains de sa peau, les reliefs de son anatomie.
Il pose ses deux mains dessus, et baisse la tête pour mieux admirer le tableau, observer les frissons qui apparaissent à son passage, savourer les réactions de Katsuki quand il le touche.

_ Déshabille-moi. mendie Izuku en sentant son souffle se briser.

En relançant ses mouvements, Katsuki accepte la troisième requête, et ses doigts s'en vont effleurer la peau brûlante, soulevant avec eux le tissu du t-shirt, qui dévoile progressivement son corps à lui.
En passant, il caresse lascivement la structure de ses côtes, les plaines de ses omoplates, jusqu'à ce qu'Izuku lève les bras pour laisser fuir le vêtement.
Cette fois enfin, il peut l'enlacer pleinement, coller son torse à sa poitrine, et sentir le contact direct de leurs êtres.
Leurs peaux fusionnent quand elles se rencontrent, et la chaleur de cette éteinte fait davantage bouillir Izuku.

Tout est si doux, contre son corps.
Il distingue si bien les courbes de ses pectoraux sur son torse, la musculature de ses bras qui s'enroulent autour de lui, la texture de ses hanches, qu'il caresse à s'en brûler la peau.

_ Katsuki .. implore t-il, incandescent tel un tas de braises.

Mais Katsuki, cette fois, stoppe ses gestes, s'écarte prudemment de lui, et capture son regard.
Ses iris ambrés se remplissent de vagues, de lueurs floues, semblables à de la préoccupation.
Sa respiration ralentit, ses muscles se défroissent, et Izuku incline la tête sur le côté, inquiété par ce soudain changement d'attitude.

_ J'ai envie de toi .. avoue Katsuki en laissant planer la fin de sa phrase.

_ Mais ? se soucie Izuku, sentant que quelque chose le tracasse.

Pour le rassurer, le voyant se perdre en réflexion, il promène délicatement ses mains sur ses épaules, se voulant patient et bienveillant, jusqu'à ce que les mots de Katsuki se délient enfin.

_ Je ne l'ai jamais fait.

____________________

Hey !

Il est tard ! (ou tôt, ça dépend du point de vu 😅)
Ca faisait longtemps que je n'avais pas écrit un chapitre en pleine nuit !
Et j'en suis plutôt contente, j'ai beaucoup aimé écrire ce chapitre, alors j'espère qu'il vous plaira aussi 🥰🥰

J'ai hâte de connaitre vos retours 🥰

Je vous donne rendez vous la semaine prochaine pour le prochain chapitre,
Et d'ici là, des bisous bisous 😘

Prenez soin de vous ❤🦩

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro