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𝑂𝑛 𝑛'𝑎𝑣𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑝𝑟𝑒̀𝑠 𝑙'𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒.
𝐼𝑛𝑢𝑡𝑖𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑙𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒́𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒,
𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠 𝑙𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒𝑟𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒.
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C'est définitivement de plus en plus compliqué pour Izuku de savoir quoi faire, et surtout quoi penser, de ces dernières journées.
Son esprit s'embrouille continuellement et inlassablement, perturbé par une surcharge de questionnements, qui l'empêchent même parfois de dormir la nuit.
Aussi, il ne se laisse plus avoir par les faux espoirs, la précipitation et les plans tirés sur la comète. Son esprit se gorge alors de pessimisme et d'abandon, jusqu'à le rendre apathique et peu souriant.
Lundi matin, en arrivant dans l'enceinte de Yuei, et alors que Mikumo venait de lui demander de bien vouloir lui faire confiance, il l'a bien vu partir vers Katsuki et Inasa, virer ce dernier et s'installer aux côtés du blond.
De là où il se tenait, il ne pouvait évidement pas entendre leur conversation, mais il la devinait sur leurs visages.
Mikumo si sérieux, Katsuki à la fois contrarié et embrouillé..
Il comprit immédiatement ce que faisait son frère.
Il ne lui en a pas voulu d'agir ainsi sans l'inclure dans la discussion, et pour dire vrai, il a même espéré très fort qu'un miracle en ressorte.
Parce que si Mikumo se pointait devant Katsuki en secouant le drapeau blanc, prêt à enterrer la hache de guerre pour lui promettre de ne plus jamais se présenter comme un obstacle entre lui et Izuku, peut être que le blond aurait pu recevoir ça comme une invitation à revenir sur sa décision.
Après tout, c'était réellement possible et plausible.
Mais peut-être pas tant que ça finalement, puisque pour l'heure, ils en sont tous toujours au même point.
Le reste de cette journée, tout a demeuré incroyablement calme et silencieux, Katsuki semble avoir soigneusement évité de le croiser jusqu'à la fin des cours, et sans rien connaitre de son ressenti vis à vis de l'évolution de la situation, Izuku a dû rentrer chez lui les mains bien vides.
Faire de lui-même un pas en avant vers le blond lui paraissait bien trop risqué, et surtout peu pertinent dans la mesure où, tant que celui-ci ne revenait pas sur sa décision de mettre un terme à leur relation, l'approcher ne le mènerait à rien.
Sans doute aussi fuyait-il la confrontation par peur de la déception, mais dans tous les cas, il en demeurait que rien ne bougeait.
Alors, mardi, il posa le pied sur la propriété de Yuei avec la boule au ventre, déjà décidé à ne pas revenir le lendemain, maintenant qu'il avait donné à son père trois jours de présence, suffisant pour le faire taire un moment.
Mikumo s'est voulu rassurant, en lui proposant entre autre de retourner voir Katsuki, et éventuellement de lui secouer les puces avec, mais Izuku a refusé, jugeant que forcer la main du blond n'arrangerait rien.
Après tout, sa décision reste la sienne, et lui courir après comme un dragueur de cité ne le fera assurément pas revenir.
Néanmoins, ce mardi, un changement plutôt gênant est apparu, et il ne s'agissait pas des agissements de Katsuki. Mais bien d'Inasa qui, furieusement, s'appliquait à lancer des regards aussi noirs qu'haineux à Izuku à chaque fois qu'il l'apercevait dans un coin de couloir.
Presque comme lançant des menaces, ses yeux semblaient le poursuivre et vouloir l'intimider, avec tant de rage que des frissons naissaient parfois sur la peau d'Izuku.
Il pouvait presque le sentir le transpercer avec ses pupilles, puis triturer la plaie jusqu'à ce qu'il fuit l'échange en premier.
L'espace d'une minute lors d'une pause, Izuku a hésité à aborder le garçon aux iris vengeurs, à minima pour lui demander d'arrêter de chercher à l'intimider en le couvrant de haine, mais ses réflexions ne l'ont mené qu'à abandonner cette idée.
Car, au contraire de Mikumo, Izuku n'est pas un homme qui fait peur ou qui inspire la crainte d'une quelconque manière. Il ne se bat jamais, n'ouvre jamais sa gueule comme le fait son jumeau, il n'assied pas son autorité autour de lui. Izuku demeure la face calme et tranquille de la pièce qu'ils représentent ensemble. Tenter de s'imposer face à Inasa n'aurait probablement fait qu'encourager ce dernier à se montrer encore plus virulent.
Alors il n'a rien fait, à part attendre très impatiemment que cette journée se termine enfin.
Puis, à l'heure où il pouvait enfin se tirer d'ici, tandis qu'il refermait rapidement son casier métallique pour y stocker ce qui ne lui servira plus, une présence s'est infiltré à ses côtés.
Peu encline à la discussion joyeuse, un peu plus haute que lui, emmitouflée dans un manteau à fausse fourrure, elle s'est penché près de son épaule pendant moins de cinq secondes, juste le temps de souffler à son oreille :
_ Fallait y penser plus tôt si tu voulais le garder. Maintenant il est à moi et je te déconseille d'essayer de me le reprendre.
Sa voix, soufflée dans un murmure élevé pour n'attirer l'attention que du concerné, grésillait d'une colère profonde et manifeste, qu'il venait de répandre sur sa nuque et ses omoplates comme une couverture explosive, prête à lui sauter au visage s'il ne suivait pas son conseil.
Bien malgré lui, Izuku comprit le jeu tordu d'Inasa qui, à défaut d'oser tenir tête à Mikumo, ne craignait aucunement de s'en prendre à Izuku, conscient que ce dernier ne dirait rien à son jumeau par peur du conflit.
Et c'est effectivement le cas ..
Convaincu que Mikumo mettra moins d'une seconde à coller la tête d'Inasa dans une cuvette de toilettes jusqu'à ce que mort s'en suive, Izuku ne lui a rien dit des petites menaces de son rival.
Pas qu'il protège le garçon en manteau, mais bien parce qu'avec un tel incident, il va de soi que son jumeau se verrait renvoyé de Yuei s'il passait à l'acte.
Izuku ne veut pas ça pour son frère, il sait qu'en dépit de son comportement plus que borderline, ces études lui plaisent et qu'il souffrirait de devoir repartir de zéro avec un dossier scolaire qui lui fermera toutes les portes.
En définitive, il se sent totalement soulagé de ne pas être allé en cours aujourd'hui, comme prévu, préférant l'apaisement de l'école de musique au stress permanent des couloirs de Yuei.
Les heures se sont enchainées bien plu docilement et joyeusement entre les murs de l'institut Todoroki, aux côtés de son ami et professeur attitré, qui l'a écouté faire jouer les notes toute la journée.
_ Finalement, t'as même plus besoin de moi. sourit Shoto en s'accoudant au piano.
_ Bien sûr que si, regarde j'ai fait plusieurs fausses notes tout à l'heure. J'ai besoin d'entrainement encore.
_ Tu jouais Les Etudes*. ricane Shoto en levant les yeux au ciel. Même ma mère faisait des fausses notes là dessus, tout le monde en fait. Rien que de voir la partition je saigne du nez.
Baissant la tête, Izuku observe ses mains, et ses doigts effleurant les touches blanches.
A ses touts débuts, il avait l'impression de patiner affreusement, incapable de s'accorder au niveau de ses camarades, mais pour une raison obscure, Rei a fait de lui son poulain, et malgré un démarrage plus lent, il semble qu'il atteigne aujourd'hui des capacités qui dépassent ses pairs de l'école de musique.
Pourtant, il ne leur trouve rien de particulier, à ses mains, elles ressemblent à toutes les autres.
Pourquoi diable la famille Todoroki en a fait un diamant à polir comme un chasseur d'or devant la plus belle pépite de sa carrière ?
_ Dis, Shoto.. Qu'est-ce que je pourrais faire ?
_ De ?
_ Le piano. Tu crois que je peux vraiment faire ma vie dedans ? Comment je suis censé gagner ma vie avec mes mains ? Il y a des milliers de personnes qui jouent mieux que moi.
_ Tu te sous-estimes tu sais. Je t'assure que personne à part toi n'a l'autorisation de trainer ici de huit heure à vingt heure pour utiliser les instruments le plus gratuitement du monde. Le fait que tu sois mon ami ne fait pas tout Izuku, tu es ici comme chez toi parce que ma mère savait qu'elle pouvait parier sur toi en étant certaine de ne pas se tromper. Tu sais, elle n'a rien à en tirer si tu deviens un musicien réputé, mais elle pourra simplement finir ses jours en se disant qu'elle façonné un grand nom de la musique avec son cœur. Alors j'ai envie de te dire que tu peux tout faire. Tu peux continuer de t'entrainer, intégrer une grande école, te produire jusque dans des opéras et composer pour le cinéma. Ou alors tu peux signer un contrat ici et enseigner le piano à d'autres personnes. Ca ne dépend que de toi, tu as tout le talent nécessaire pour aller tout en haut. A toi de voir ce que tu veux en faire.
Tout en haut ? Et que ferait Izuku une fois tout en haut ?
Sur la route à des centaines de kilomètres de son frère, qui regardera les rediffusions de ses prestations depuis son bureau de comptable.
_ J'aurais dû me douter que t'allais faire ça. peste Shoto en se redressant. Arrête d'imaginer le pire, on t'a pas demandé de quitter femme et enfants que tu n'as pas pour partir à la conquête du monde. C'est à toi que tu dois adapter ton projet de vie, et si tu ne veux pas t'afficher sous un projecteur, ne le fais pas, mais garde en tête que tu peux tout autant faire valoir ton talent depuis chez toi aussi. Tout ce que je veux dire, c'est que ce serait dommage de le garder enfermé ici, alors que le monde entier devrait te connaitre. Maman dit tout le temps qu'elle t'a choisi parce que tu as de l'or dans les mains, et je le pense aussi.
C'est sans doute très bête comme réaction, mais les larmes remontent violemment à ses paupières, passant et repassant les derniers mots de Shoto, et cette idée folle que ses mains pourraient le mener à des horizons inespérés.
Ce sont ses mains à lui, rien que les siennes, qui bougent avec son talent à lui.
Le piano sait faire la différence entre les doigts d'Izuku et de Mikumo, et il n'y a que sous les siens qu'il fait naitre des mélodies capables d'ouvrir des portes vers de nouvelles étoiles.
Et .. s'il pouvait faire sa vie là-dessus ..
_ Ma mère m'en a parlé l'autre jour .. soupire Shoto en tournant en rond. Elle n'a plus la force de gérer l'école, et elle veut que je la reprenne. J'aurai moins de temps pour enseigner, et elle m'a suggéré de te proposer un contrat à la fin de tes études. Tu pourras continuer de jouer et de progresser en même temps, et quand tes ailes seront prêtes à se déployer, tu partiras là où tu dois aller. Dans deux ans, cinq ans, dix ans .. Mais je ne veux pas que tu te contentes de ça pour arrêter d'essayer d'aller plus loin tu comprends ? Je ne veux pas que ton talent se tarisse ici, dans cette petite école.
Et il pleure encore plus, les mains désormais posées sur les genoux, les épaules légèrement en avant et la tête baissée au dessus des touches, étalant de l'eau sur le piano tandis que sa respiration se fait plus bruyante.
Son cœur bat plus fort qu'à l'accoutumé, ses coups résonnent brutalement contre ses côtes, alors qu'une étrange sensation colonise sa peau et ses muscles.
Une forme de reconnaissance, l'impression soudaine de pouvoir devenir quelqu'un pour lui tout seul, et cette idée aussi belle que farfelue d'être un imminent génie de la musique.
Il sait que ce n'est pas la première fois que Shoto lui parle de son talent, mais c'est bien la première fois qu'il y ouvre son esprit, qu'il envisage ses mots comme une promesse d'avenir ..
_ Je ne serais quand même pas obligé de t'appeler monsieur, ou patron j'espère ? tremble-t-il entre deux sanglots.
_ Non. assure Shoto. Maitre ça suffira. Et tu n'oublieras pas de me porter mon café sur un coussin en velours tous les matins.
Le rire qui se décroche de la gorge d'Izuku fait fuir les larmes salées qui mouillaient ses joues une seconde plus tôt. D'un revers de la main, il chasse les dernières traces d'humidité, renifle peu gracieusement, et frotte enfin ses yeux irrités.
Un contrat, ici, dans cette école qui représente toute sa vie ?
L'année scolaire n'est pas terminée, mais il dit déjà oui de toute son âme.
_ Mais tu dois me promettre de ne pas abandonner l'idée de t'envoler tout en haut des grandes affiches. ajoute Shoto en fronçant les sourcils. Sinon je te vire.
_ Je suis même pas encore embauché.
_ Je te pré-vire.
Ce sont ces instants de légèreté qu'Izuku chérit tant dans ce lieu, dans le sourire taquin de Shoto, dans sa manière de le materner tout en lui mettant un coup de fouet, et tous ces espoirs qu'il place en lui sans pour autant l'enchainer à des rêves qu'il ne désire pas.
C'est pour ces mêmes raisons qu'il s'est penché dans ses bras par le passé, contre sa peau et ses lèvres, et c'est toujours pour ses mêmes raisons qu'il ne veut jamais le perdre de vue.
Existe-t-il beaucoup d'hommes comme Shoto ?
Probablement que non.
Katsuki, à sa manière, présente-t-il ces mêmes qualités ?
_ Aller, joue. sourit finalement Shoto. Je donne cours dans une heure avec les débutants. Que je profite de mon ouïe avant de la perdre.
Ce soir, Izuku navigue entre plusieurs sentiments et émotions ..
Le tout ne semble pas s'équilibrer, mais le regard plein de promesses de Shoto l'aide à affronter le souvenir des iris en colère de Katsuki.
Puis, il n'est pas obligé de penser à tout en même temps, n'est-ce pas ?
Son avenir vient de se dessiner, peut-être qu'il peut donner un peu de répit à son cœur pour l'occasion.
Alors, en frottant ses mains l'une à l'autre pour les dégourdir, il prend une inspiration lente et profonde, le temps pour lui de faire le tri dans ses mélodies préférées, et d'en choisir une.
Divenire*.
Il aime tout particulièrement le mélange de liberté et de nostalgie que sa poitrine perçoit de cette mélodie, comme un chant du passé à l'attention du futur, une lettre d'encouragement à celui qu'il sera demain, soufflée dans l'oreille par celui qu'il était hier.
Ses mains la connaissent tellement qu'il ne réfléchit pas en les laissant naviguer au-dessus des touches, elles jouent d'elles-mêmes, elles flottent, volent, sur la gamme, et il ferme les yeux.
Il sent ses cheveux chatouiller son front à chacun des mouvements de son corps, ses épaules devenir de plus en plus détendues, suivant les gestes de ses bras en parfaite harmonie.
La pièce semble aussi se mettre à tourner en-dessous de lui, le sol virevolte comme les notes dans les airs, les murs s'effacent comme il oublie le poids de son corps sur son âme.
Seule la musique traverse sa peau, il lui apparait si naturel de faire vivre ce son, il semblerait presque que ses mains ne soient faites que pour ça, pour ces instants de rêve et de détachement, pour faire vibrer l'oxygène, le décortiquer, en faire une autre forme de vie.
Doucement, sans inquiétude, il ne sent plus ses jambes, ni ses bras, pas plus que son visage, il se dissipe tout entier dans l'harmonie musicale, ne serait-il pas en train de fusionner avec son instrument ?
Finalement, il ne saurait plus dire s'il joue la mélodie ou si la mélodie le joue, mais il fait bon dans cette bulle, il pourrait y rester des heures, des années, des éternités.
Comme à travers le tissu d'une couverture chauffante et réconfortante, il perçoit un brin de mouvement lointain dans son environnement, peut-être que Shoto se déplace, ou peut-être est-il déjà parti, Izuku ne sait plus s'il joue depuis une minute ou une nuit entière.
Peut-être que le temps s'est détaché de sa personne, le piano est-il toujours vraiment là ?
Son instinct lui souffle qu'il n'a pas encore terminé son voyage, et il fait confiance à ses mains qui emportent son être dans les notes.
Son corps connait la chanson, il n'a plus besoin de le contrôler.
Alors, quand la composition touche à son terme, et que la bulle se dissipe progressivement autour de lui, se préparant à le laisser ressortir, il fronce les sourcils sur ses paupières closes en enfonçant les dernières touches.
Il retrouve la notion de son corps, qui soudain lui parait tellement lourd, dix fois plus lourd qu'avant, lui qui se sentait si nu et léger regrette déjà de devoir retourner dans sa peau.
Les contours de son visage récupèrent leur sensibilité, la pulpe de ses doigts se réveillent aussi aux sensation de toucher, son ventre réapparait, ses épaules renaissent.
Et enfin, en pressant la toute dernière note, quelques secondes de flottement envahissent son âme à l'image d'une transition douloureuse.
Le revoilà sur terre, aussi brutalement qu'il s'était envolé.
Il ouvre les yeux, cligne des cils, ouvre la bouche et avale sa salive.
Vient-il d'oublier son corps sur une chaise pendant que son esprit s'en allait ?
Prudemment, il ramène ses mains sur ses genoux, prenant conscience d'avoir disparu de la surface du globe pendant plusieurs minutes, et la gêne le rend terriblement timide quand il relève la tête.
Sa nuque grince.
_ Qu'est-ce que tu fais ?! s'affole-t-il en voyant Shoto debout derrière le piano, son portable dans les mains.
_ Il fallait que j'enregistre ça Izuku. Tu n'as jamais joué avec autant de .. Ah ! Attend j'ai encore des frissons. Ma mère va pleurer en voyant la vidéo. Tu étais .. Merveilleux.
Dans les yeux de Shoto, il devine une lueur brillante, presque comme la menace d'une larme d'émotion, trahissant les sensations que la musique de son ami à soulevé sous sa peau.
Ses épaules en tremblent presque, il cherche ses mots.
_ D'ailleurs. continue-t-il en rangeant son téléphone. Tu as de la visite mais ils n'ont même pas osé entrer tellement tu transcendais la pièce ..
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* Les Etudes de Chopin, un ensemble d'opus composés par Chopin, particulièrement techniques et difficiles à jouer, même pour des professionnels.
*Divenire, de l'album Divenire, composé par Ludovico Einaudi
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Hey !
J'aime beaucoup ce chapitre, il se détache un peu de l'intrigue de Katsuki, mais il a une réelle importance dans le développement d'Izuku, et j'aime toujours autant mettre ce Shoto en avant, il est adorable ❤
J'espère qu'il vous a plu également !
Et je vous fais des bisous 😘
Prenez soin de vous ❤🦩
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