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𝐼𝑙 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖̂𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒
𝑀𝑜𝑖 𝑗𝑒 𝑑𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑜𝑚𝑚𝑎𝑔𝑒
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C'est une bien courte nuit que vient de passer Katsuki, qui plus est dans un confort plus que discutable, tout habillé et installé de travers sur son lit.
Néanmoins, il semble qu'il ait dormi un peu plus profondément qu'il ne le pensait, et pour cause ...
Les volets restés ouverts depuis hier soir, ce sont les rayons jaunes éclatants du soleil qui le sortent complètement de son sommeil au levé du jour, venant titiller son visage et ses paupières closes.
Allongé sur le ventre, une joue enfoncée dans la mousse du matelas, il gigote en grognant de mécontentement au contact de la lumière, râlant sur ces trop maigres heures de repos.
Néanmoins, les images de sa nuit lui reviennent en mémoire, avec la sensation immédiate de chaleur dans son ventre en repensant aux baisers chargés de désir, les lèvres d'Izuku contre sa bouche, ses mains dans son dos, son corps contre le siens.
Rien qu'en les revoyant, un picotement grisant agite sa poitrine, lui rappelant le flot de sensations folles qui parcouraient sa peau alors qu'ils s'embrassaient comme si le monde en dépendait.
Aussi, il repense à la douceur qui a suivi, les caresses tendres dans ses bras, le souffle discret de sa respiration contre son visage, l'étreinte délicate dans laquelle il s'est endormi.
Son cœur en frétille, et avec lui, l'envie insurmontable d'aller chercher un nouveau câlin le submerge instantanément.
Alors, dans un mouvement mécanique, alors qu'il récupère progressivement la sensation de ses muscles, il se redresse pateusement sur ses avant bras pour chercher la présence d'Izuku près de lui.
Au final, il ne constate que son absence.
A ses côtés, personne. Et plus la moindre trace d'une visite quelconque.
Ses sens s'en alarment, et tout de suite son corps sursaute, il se redresse, tourne la tête à droite et à gauche.
A croire qu'il n'a que rêvé les baisers et l'étreinte enflammée de cette nuit, il fronce les sourcils en sortant du lit, puis tourne en rond autour du matelas à la recherche d'une présence, d'une preuve, n'importe quoi pouvant expliquer cette absence.
Sa gorge se serre instinctivement face à l'échec de ses investigations, son ventre se noue aussi, tandis qu'il s'imagine ce qu'il ne veut pas imaginer.
Izuku n'a quand même pas pu lui faire un coup pareil !
Convaincu qu'il peut encore se tromper, il défroisse machinalement sa tenue avant de quitter sa chambre en ouvrant grand la porte.
Par formalité, il tend l'oreille vers la chambre de sa sœur, qui se révèle absolument silencieuse, et descend les escaliers en quatrième vitesse.
Il s'affole à l'idée qu'Izuku se soit tiré en catimini, et même s'il espère très fort le retrouver au rez de chaussée, son instinct lui souffre à l'oreille que seule la déception l'attend en bas.
Après la dernière marche, il s'empresse de gagner le centre du salon, à l'affût de la moindre agitation, priant tout ce qu'il peut pour que son sixième sens soit dans l'erreur.
Pourtant, sur place, il ne croise que sa mère, encore en pyjama, buvant un café à la table de la cuisine, et qui le dévisage curieusement en le voyant débarquer de la sorte.
Haussant les sourcils, elle pose sa tasse brûlante devant elle.
_ T'es tombé du lit ? Qu'est ce que tu cherches comme ça ?
Soudain, le nœud de son ventre prend de l'ampleur, il grandit jusqu'à englober toute sa poitrine, et insinuer en lui un violent sentiment de colère et de rancune.
_ Nan rien. T'as vu personne ce matin ? demande t-il dans un ultime espoir.
_ Qui veux tu que je vois ? Bien sûr que non j'ai vu personne. Il est huit heures.
Alors voilà ..
Pendant qu'il roupillait sagement après avoir livré ce qu'il ressent, Izuku a profité de son inattention pour se barrer en pleine nuit.
Outre l'inquiétude de la savoir seul dans les rues endormies, c'est la colère qui prend le dessus sur lui, songeant à la lâcheté de son départ juste après l'avoir copieusement galoché dans sa chambre au beau milieu de la nuit.
Il ne peut pas croire qu'Izuku soit ce genre de mec, et il aurait juré qu'il était incapable d'agir de la sorte. Pourtant, les faits sont là, et il ne peut que les constater.
Il lui a fait le coup.
Le salaud.
Furieux, enragé et blessé dans ses sentiments, Katsuki rebrousse chemin aussi rapidement qu'il était arrivé, et remonte les escaliers en dix secondes pour s'enfermer à nouveau dans sa chambre.
Dépassé par l'événement, il hésite un long moment sur la marche à suivre, s'interrogeant sur ce qu'il est supposé faire dans cette situation.
C'est vrai, son cœur lui intime d'essayer d'appeler Izuku, ou au moins de lui envoyer un message, avec l'espoir de comprendre son acte.
Mais la colère qui s'est installée en lui assure que la meilleure solution reste de le snober aussi fort que possible.
Et de toute façon, son téléphone est toujours dans la chambre d'Eri, probablement éteint, faute de batterie.
Si ça se trouve, Izuku lui a écrit même, pour s'excuser ou se justifier, mais Katsuki n'est pas même pas sûr de vouloir lire ou entendre ses explications.
La finalité reste la même, il s'est tiré en catimini en pleine nuit.
Alors, puisque ladite nuit a été trop courte, que ses vêtements le gênent et que la lumière le soule, il s'active d'un pas rageur à aller fermer ses volets. Les fenêtres claquent tant ses gestes transmettent sa colère. Puis il se défait de ses fringues, ne gardant sur lui que le boxer qu'il portait déjà hier, et s'engouffre sous sa couverture, avant de s'enrouler complètement dedans.
Le nez dans l'oreiller, l'esprit tiraillé de déception et de peine, il ferme les yeux tout en sachant qu'il ne trouvera jamais le sommeil dans ces conditions.
Tant pis.
Il se contente de rester dans le noir, la tête remplie d'insultes et de questionnements, la respiration étouffée par le tissu qui englobe son visage.
De toutes les mauvaises tournures qu'il s'était imaginé, il ne voyait pas celle ci en haut de la liste. Essentiellement parce qu'il ne pensait pas Izuku capable de lui faire ça, et tout à coup il se demande très sérieusement ce que signifiaient ces baisers enflammés quelques heures plus tôt.
Peut être qu'il ne s'agissait que d'une erreur de jugement, un faux pas regretté, et qu'en réalité, ce qu'il prenait pour un rapprochement intime n'était rien de plus qu'une parenthèse sans fond ..
Et il doit le dire, ça lui fait mal.
Alors il reste là, sur son lit, à écouter les minutes passer sans rien faire, attendant simplement que la colère s'apaise un tout petit peu pour lui permettre de prendre une décision.
Katsuki ne sait vraiment pas comment réagir à ce qu'il se passe, ses expériences en relations intimes restent très limitées, et ce coup là est une première pour lui.
Dans son ancien lycée, il s'est offert quelques amourettes, trois-quatre flirts, et une poignée de roulage de pelles à la sortie des cours.
Mais ça s'arrête là.
Littéralement.
Il faut dire que dans sa cité bancale, les relations amoureuses sincères et solides se faisaient plus que rares, encore plus entre garçons.
Mais Katsuki a toujours souhaité faire sauter sa virginité pour une personne qui en vaudra la peine, et avec qui il sera certain de ne jamais le regretter, quoi qu'il advienne par la suite, quitte à prendre du retard sur ses potes.
Après tout, personne n'a jamais dit qu'il s'agissait d'une course, si ?
Pendant qu'il rumine, en songeant à la manière dont il pourrait en foutre plein la gueule à Izuku demain lorsqu'ils se verront dans l'enceinte de Yuei, ses pensées sont interrompues par l'écho discret de la porte de la chambre d'en face.
Son attention se focalise alors sur les mouvements qu'il devine dans le couloir et, en bondissant de son lit, il s'empresse d'aller intercepter sa sœur avant qu'elle n'emprunte les escaliers.
_ Eri ! appelle t-il sans discrétion en ouvrant la porte à la volée.
A moitié réveillée, l'adolescente pivote mollement sur elle même, et pose sur lui un regard encore partiellement endormi.
Les cheveux en vrac, emmitouflée dans un pilou pilou bien épais, elle semble s'étonner de trouver son frère en caleçon au milieu de la maison.
_ Qu'est ce qu'il y a ? dit-elle en baillant. Pourquoi t'es à poil ? Il est où Izuku ?
_ Il s'est tiré... En pleine nuit.. sans prévenir.
Comme si ses mots agissaient tel un électrochoc, la jeune fille bondit sur elle même en écarquillant les yeux.
_ Sérieux ?! Mais pourquoi ?
_ J'en sais rien .. Mon portable est dans ta chambre. coupe t-il pour changer de sujet. Je vais le récupérer, le brancher, et après on descend parler à maman avant que l'autre se lève ..
_ Attends .. Parler à maman .. déjà? Tout de suite?
_ Ça te sert à quoi d'attendre ? Autant le faire maintenant, et de préférence avant qu'on ait le père dans les pattes.
_ Mais- mais- panique t-elle en baissant le volume de sa voix. S'te plaît lui dis pas que je suis sortie cette nuit, je vais me faire dégommer.
_ Je lui dis pas si tu lui dis pas que j'ai ramené Izuku à la maison en pleine nuit sans leur en parler.
Mimant une bouche cousue, l'adolescente promet de garder le secret de son frère en échange du sien, et Katsuki profite de cette conclusion pour la laisser rejoindre le rez de chaussée pendant qu'il s'en va récupérer son téléphone dans sa chambre.
Sans surprise, il le trouve éteint, complètement déchargé et emmêlé dans les draps de sa soeur. Alors, sans tarder, il traverse le couloir en sens inverse pour s'empresser d'aller le brancher à côté de son lit, avec, malgré tout, l'espoir de voir apparaitre un message d'Izuku.
Pendant les premières secondes, l'écran reste noir, le temps d'accumuler suffisamment de batterie pour s'allumer, et Katsuki s'impatiente en tapotant les côtés de l'appareil pour le presser légèrement.
Enfin, il saisit les quatre chiffres de son code pin, puis laisse couler une minute en attendant de voir ses notifications s'afficher.
Tandis que le téléphone se remet en route, il vibre à plusieurs reprises entre ses mains, annonçant une mise à jour, une nouvelle publication sur ses réseaux sociaux, et l'actualisation de la météo.
Mais dans tout ça, aucun message d'Izuku, et ce même après plusieurs minutes supplémentaires.
Dans un ultime espoir, il ouvre directement son application de messagerie, essayant de se convaincre lui même qu'il a pu louper quelque chose.
Mais ici non plus, il ne trouve rien ..
_ Fait chier .. chuchote t-il en grinçant des dents. Tu fais chier.
Il n'en revient pas, de penser qu'Izuku a véritablement fait ça.
Pendant un moment ensuite, il hésite à lui écrire, peut être pour lui demander où il est, ou bien pour l'insulter copieusement, mais aucun mot ne vient à son clavier.
Ses doigts farfouillent les touches tactiles, mais rien ne se forme, les phrases lui échappent, et il finit par capituler en verrouillant rageusement l'écran, avant de jeter le téléphone sur le lit d'un geste furieux.
_ J'te déteste ! marmone t-il pour expulser sa colère.
Réellement touché, se sentant trahit et moqué dans ses sentiments, il se promet d'obtenir des explications et des excuses plates dès demain, jurant de le faire payer pour cet acte atrocement blessant.
Mais en attendant, sa sœur l'attend toujours au rez de chaussée, et puisqu'il ne peut pas régler le problème Izuku maintenant, alors autant s'occuper de celui d'Eri.
Ses bras tremblent encore d'énervement quand il ouvre ses placards à la recherche d'un short et d'un débardeur à se mettre pour couvrir sa peau.
La rage lui donne presque envie de pleurer, il sent ses yeux le piquer malgré lui, et sa respiration se saccader à mesure qu'il essaie de penser à autre chose.
Pour tenter de faire disparaitre les signes de tristesse et de déception sur son visage, il s'offre un détour par la salle de bain en sortant de sa chambre, et se plante devant le miroir qui surplombe la vasque.
Dedans, son reflet le fait soupirer, alors qu'il se voit tout décoiffé, à moitié sanglotant comme un gosse et une marque d'oreiller imprimée sur la joue.
Voilà qu'il fait pitié maintenant ...
Lentement, il se saisit de sa brosse à dents pour se refaire une haleine, puis d'un peigne pour arranger sa tignasse, avant de conclure par un grand coup d'eau froide sur sa face, espérant que le choc thermique lui rendra une meilleure mine avant de retrouver sa mère et sa sœur en bas.
Enfin, il déserte officiellement l'étage.
_ Vous êtes bien matinaux tous les deux pour un dimanche. Qu'est ce que vous avez fait comme connerie ? interroge Mitsuki sur un ton accusateur.
_ Hein ? s'énerve immédiatement Katsuki, dont la patience sera très limitée jusqu'à la fin de la journée. On a rien fait, commence pas avec tes accusations de merde.
_ Tu es prié de me parler sur un autre ton Katsuki.
_ Ouais bah commence par le faire toi même. Putain tu fais chier, on peut même pas parler avec toi sans que tu foutes la merde.
Furieuse d'entendre son fils s'adresser à elle de cette manière, la mère de famille traverse le salon en deux enjambées pour se poster en face de Katsuki, menaçant d'une main de lui en coller une tandis qu'il la défie du regard sans aucune crainte.
_ Ne me parle pas comme ça ! Je te conseille de te calmer immédiatement ou tu risques d'avoir de gros ennuis.
_ C'est ta fille qu'a des ennuis, peut être que tu daigneras t'y intéresser quand t'auras fini ta crise à la con.
Surprise par ses propos, Mitsuki défroisse instantanément son visage, avant de le plisser à nouveau dans un froncement de sourcils.
Après une seconde de flottement, elle tourne lentement son visage vers son deuxième enfant, qui semble raser les murs dans un coin de la pièce, la tête basse et les mains croisées sous son nombril.
_ C'est quoi encore cette histoire ... soupire la mère de famille en s'éloignant de Katsuki.
Moins inquiète que désabusée, elle se traîne sans motivation jusqu'au canapé, sur lequel elle se laisse mollement tomber, attendant des explications de sa fille en lui lançant un regard impatient.
_ Accouche Eri. menace t-elle en haussant le ton.
La jeune fille sursaute dans son coin, incapable d'aligner deux mots sous la pression que lui impose cette conversation.
Ses cheveux tombent sur son visage nouvellement sanglotant, qu'elle tente de dissimuler au possible derrière une de ses mèches bleues.
_ Pourquoi tu l'engueules ?! s'emporte Katsuki, témoin de la scène. Je te dis qu'elle a des problèmes, tu peux pas faire un truc de mère normale pour une fois ?
_ Commence pas à me prendre la tête Katsuki parce que ça va mal finir.
_ Alors occupe toi de ta fille putain !
_ Katsuki ! crie t-elle sans retenue.
Au milieu d'eux, Eri se recroqueville davantage dans son coin, les larmes perlant aux coins de ses yeux brillants.
_ Mais au lieu de t'en prendre à moi, regarde Eri deux secondes, tu vois bien qu'elle va pas bien !
_ Eh bah dites moi ce qui se passe alors au lieu de me faire attendre deux heures, j'ai pas que ça à foutre de mes journées.
Il déteste le fonctionnement de cette famille. Ou plutôt le dysfonctionnement, puisqu'il est clair que ce n'est pas comme ça qu'une mère devrait réagir.
La colère lui monte à la tête, si fort qu'il se sent sur le point de craquer un boulon, et de se tirer de cette barraque sans demander son reste.
Mais la vue de sa petite sœur, toute renfermée sur elle même, les joues humides de quelques pleurs fuyant ses paupières, le convainc de tenir encore quelques minutes, au moins le temps de faire ce qu'il était venu faire.
_ Elle se fait emmerder au collège. Ils s'en prennent à elle.
_ Qui ? renchérit sa mère en grimaçant.
_ Qui à ton avis ? Faut que tu fasses quelque chose pour qu'ils lui foutent la paix.
Savoir que sa sœur subit des discriminations lui déchire la poitrine, en plus de soulever en lui une rage sans fin, mais le fait de voir sa mère réagir à ça avec mépris et agacement le blesse au moins tout autant, alors qu'elle soupire de lassitude en s'enfonçant dans le dossier du canapé.
Comme si les problèmes et difficultés de ses enfants n'étaient que des corvées dans sa vie, elle roule des yeux avant de jeter sur sa fille un regard sans compassion.
_ J'en peux plus de vous .. râle t-elle en croisant ses jambes. Ça va .. je vais t'emmener au collège demain et je demanderais un rendez vous avec le directeur. Et arrête de faire cette tête, on dirait un chien battu.
Blessée plus que soulagée, Eri hoche machinalement la tête avant de se faufiler hors de la pièce, regagnant l'étage sans faire de bruit pour fuir cet environnement étouffant.
Puis, en soupirant de colère, Katsuki s'empresse d'en faire de même.
_ Tu vas où comme ça ? demande sa mère, qui attendait visiblement de lui qu'il lui prête main forte pour le ménage de la maison.
_ Me recoucher. crache Katsuki sans se retourner. J'en ai déjà marre.
Cette journée, à peine commencée, le dépasse déjà, et s'il doit jongler entre le caractère dégueulasse de sa mère et son ressenti vis à vis de la fuite d'Izuku, il ne tardera pas à devenir complètement fou.
Alors, au moins pour se protéger lui même d'un pétage de plombs imminent, il retourne en effet s'enfermer dans sa chambre, puis dans son lit.
Peut être devrait il envoyer un message à Eijiro ...
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Hey !
Je vous avais prévenu qu'il fallait en profiter 🤐
Ce chapitre est pas mal chargé, j'espère que le rendu n'est pas trop lourd à la lecture.
J'imagine que vous avez hâte de la confrontation Izuku/Katsuki, et je vous répondrais que je n'ai pas fini de vous torturer 😈
Mais chaque chose en son temps, on se retrouve bientôt pour le prochain chapitre 🥰
J'en profite pour vous (re)parler de la communauté des Bakudekurangers, que vous pouvez rejoindre par le serveur Les rangers du BL (une sorte de bibliothèque j'ai regroupe toutes les œuvres des auteur.e.s de la commu) ou par MangaStreet, un serveur d'actu manga et anime.
Les liens sont dans ma bio ❤️
Des bisous 😘
Prenez soin de vous ❤️🦩
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