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𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢'𝑢𝑛 𝑑𝑒 𝑠𝑒𝑛𝑠𝑒́.
𝑀𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑜𝑖𝑠, 𝑗𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑎𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́.
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À l'instant où il le voit s'éloigner d'un pas, le visage désormais orienté vers un coin de la pièce pour fuir leur échange, Katsuki se sent tomber dans le vide.
Lui qui se laissait porter par cette outrageante conversation, se sentant flotter dans les airs, soulevé par la force de leur attraction, atterrit assez brutalement sur le parquet de sa chambre.
Izuku se replie immédiatement, la pointe de folie qui animait ses paroles la seconde précédente semble s'éteindre d'un coup comme une ampoule grillée, et les voilà de retour au point de départ.

Pourtant, il y croyait cette fois ci.

Au fil des mots et des formules aguicheuses, l'attirance évidente qu'il ressent pour lui a explosé dans son ventre, prit de l'ampleur en un claquement de langue, jusqu'à lui faire ressentir ce frisson singulier qui traverse l'échine quand on se perd dans d'autres yeux.
Il se voyait déjà fondre sur sa bouche, l'embrasser comme si le monde entier n'attendait que ça, et ouvrir ainsi de nouvelles portes à ces sentiments tout juste naissants.

Mais soudain, Izuku verrouille les serrures, et l'expression fraîchement gênée qui s'empare de son visage trahit à elle seule l'infini malaise qui écrase ses épaules.
Les voilà maintenant coincés dans une bulle d'atmosphère lourde qui les fige impitoyablement sur place.
Dans le couloir, il perçoit de loin les pas calfeutrés de sa sœur, qui se dirige de toute évidence vers sa propre chambre d'adolescente, tandis qu'il s'interroge sur ses prochaines actions.

_ Ouais .. lâche-t-il sans intention et en soupirant. Je vais y aller. Tu vas faire quoi ? Tu vas réussir à dormir ?

_ Je vais envoyer un message à Mikumo, et appeler Ochaco pour savoir comment ça se passe là-bas. T'en fais pas pour moi, Eri a plus besoin de toi.

_ Hm, ok.

Couvert de frustration, se sentant prêt à imploser de toute sa contrariété, Katsuki hoche la tête en pinçant ses lèvres, le regard dans le vide et la mine absolument dépitée. 
Puis, avant de se décider à faire volte-face, il se laisse finalement submerger par sa consternation, jugeant tout compte fait qu'il ne peut simplement pas partir comme ça, sans avoir au moins exprimé un minimum de ce qu'il ressent. 
Alors, pour se donner le courage nécessaire, il se racle la gorge un peu plus bruyamment que prévu, faisant résonner sa toux simulée à travers la pièce, avant de s'avancer rapidement. 
Deux pas plus loin, sans prévenir, il jette un baiser furtif sur les lèvres d'Izuku, si bref et précipité que ce dernier n'a ni le temps d'y répondre, ni même de se rendre compte de ce qu'il se passe. 

Le contact dure moins d'une seconde, à peine le temps pour Katsuki de réaliser qu'il vient vraiment de l'embrasser, si vite qu'il n'a même pas pu profiter du goût de sa bouche, mais il l'a fait. 
Et l'instant d'après, sans oser observer la réaction de son ami, il s'échappe sans un mot de plus, fait demi-tour comme un automate, et disparait de la chambre en s'efforçant de ne pas claquer la porte, malgré son cœur qui bat désormais à tout rompre, et ses mains trempées de stress. 
Sa poitrine en tremble tant il n'en revient pas de ce qu'il vient de faire, et sa gorge le brûle de ne pas pouvoir rouvrir la porte pour capter l'expression de visage d'Izuku. 

Si ça se trouve, il l'a très mal pris, et peut-être que son geste l'a carrément mis dans le malaise. Peut-être même qu'il lui en veut, qu'il ne voudra plus lui parler, voire même qu'il s'en plaindra à son frère ! 
Dieu sait ce qu'il a provoqué, et il lui semble ne s'être jamais senti aussi nerveux de toute sa vie. 
Même ses jambes lui font défaut sur le moment, se transformant en blocs de coton instables, alors qu'il tente de rester à peu près droit sur ses appuis en gagnant la chambre de sa sœur. 
Finalement, il ne sait pas s'il a bien fait d'agir de la sorte .. 

Peut-être était-ce une terrible erreur. 

Et maintenant qu'il s'est enfui comme un enfant, il ne peut juste plus revenir en arrière, et l'idée qu'Izuku lui en tienne rigueur lui serre le ventre.

Mais, à défaut de trouver le courage de faire demi-tour et d'en parler ouvertement avec lui, il se contente d'avaler sa salive et de feinter un air aussi détaché que possible au moment de retrouver Eri dans ses quartiers.
Passant la porte, qu'il pousse doucement derrière lui, il traine ensuite ses pieds jusqu'au bord du lit, avant de s'échouer dessus, malgré tout épuisé par cette soirée.

Un coup d'oeil à son téléphone lui rappelle qu'il est bientôt trois heures trente du matin, et qu'à cette heure-ci habituellement, il roupille profondément depuis longtemps déjà.
Katsuki n'a pas l'habitude de veiller, et hormis les rares nuits blanches qu'il s'est autorisé à la fenêtre d'Eijiro pour parler du monde qui les entoure, il privilégie toujours un sommeil qualitatif.
Avec la famille qu'il se coltine, être en forme pour affronter les journées est une règle de survie.

_ Tu lui as laissé ta chambre ? chuchote sa sœur en entrant dans ses couettes.

La lumière toujours allumée, réalisant qu'il va devoir se relever pour l'éteindre, il peste entre ses lèvres avant de grommeler une réponse affirmative.

_ Je croyais que vous deviez rester là-bas toute la nuit ... ajoute t-elle.

_ J'en avais marre, j'avais plus de batterie et je préférais rentrer.

_ Mais avec Izuku du coup ..? taquine Eri en roulant dans ses draps. Intéressant ..

_ Commence pas !

Poussé dans son élan par les petites provocations de l'adolescente, il se redresse d'un seul bond sur ses jambes, et marche dans discrétion jusqu'à l'interrupteur principal.

_ Allume ta lampe de chevet. Je veux pas me casser la gueule dans ton bordel.

_ Gnagnagna, y'a même pas de bordel. conteste-t-elle en obéissant malgré tout.

Puis, en surveillant ses pas, s'assurant de ne pas mettre le pied sur un vêtement abandonné ou une bouteille d'eau sauvage, il peste à nouveau en réalisant qu'il n'a que les fringues qu'il porte sur lui.
S'il avait un peu réfléchi, il aurait au moins choppé un jog et un t-shirt pour passer la nuit, mais il comprend avec une pointe d'agacement qu'il va devoir dormir en jean.

Parce que pas question de se foutre en boxer dans le lit d'Eri. C'est peut être sa sœur, mais il ne faudrait pas pousser non plus.

_ Fait chier .. souffle t-il pour lui même.

_ Qu'est-ce que t'as ?

_ Rien. Laisse tomber.

Elle lui dirait sûrement d'aller se chercher des affaires dans sa chambre, sans savoir qu'il ne peut simplement pas y retourner comme ça, la bouche en cœur après avoir littéralement volé un baiser à Izuku.
Tant pis pour lui ...

Dépité plus que fatigué, il retombe sur le matelas, et entre dans la couverture en râlant sur la sensation désagréable du tissu de son pantalon raide frottant ses jambes.
Une horreur, vraiment ...

_ Katsuki ? relance discrètement sa soeur après avoir éteint la petite lampe de sa table de chevet.

_ Hm ?

_ Il faut vraiment que je parle à maman ? Pour le collège...

_ Ouais. Faut qu'elle parle à tes profs. Moi je peux pas y aller, et si je m'occupe directement de ces petits cons, ça va mal finir.

Sans poursuivre la conversation, elle soupire son désarroi d'adolescente contre son coussin, avant de se tortiller dans son lit pour trouver la bonne position.
Puis, dos à son frère, le nez dans le tissu de sa taie d'oreiller, elle remonte ses genoux en position fœtale, et ferme ses yeux sur une ultime plainte.
Quelques minutes coulent dans le silence nouveau, tandis que la jeune fille s'endort, épuisée d'avoir trop pleuré, et que Katsuki fixe le noir en battant des cils.

Les yeux dans le vide, aveugles de toute lumière mais bel et bien ouverts, il se fait bien rapidement rattraper par le hululement incessant de ses pensées.
Sans le vouloir, il se revoit embrasser Izuku sans cérémonie, lui lançant ses sentiments sur la face sans aucune explication, avant de fuir aussi furtivement que lâchement.
En y réfléchissant, il ne sait même plus ce qu'il lui a pris de faire un truc pareil.

En dépit de la tension électrique qui a précédé l'instant, il aurait dû accepter le fait que l'atmosphère venait de s'éteindre, et peut être que sa précipitation a gâché une potentielle future occasion.
Et son cerveau refuse de se taire, catapultant des remords et des inquiétudes à tout va, lui répétant en boucle qu'il n'aurait pas dû céder ainsi à lui-même.
A force de se faire ainsi envahir par toutes ses idées aussi bruyantes qu'intrusives, ses nerfs commencent eux aussi à rendre les armes, menaçant de lâcher d'une seconde à l'autre.

Il ne peut pas rester comme ça !

Si ça se trouve, d'ici demain matin, Izuku se sera enfui en catimini, et si les choses tournent mal et qu'il lui en veut, il ne voudra plus lui parler par la suite, et même entre les murs de Yuei il ne pourra plus engager la conversation. Encore moins si Mikumo s'en mêle. 
Et il ne manquerait plus que ce dernier se pointe chez lui avec sa pelle pour lui refaire le portrait après avoir appris qu'il s'est passé quelque chose entre eux ce soir. 
Alors, pour tenter une approche, il cherche son téléphone près de lui, et le déverrouille en grinçant des dents quand la lumière lui cogne les rétines. 
Puis, prit par le temps à cause de sa batterie qui présente un tout petit cinq pourcent restant, il s'empresse d'ouvrir son application de messagerie, et d'y chercher le nom d'Izuku. 

Les doigts un peu hésitants, craignant de se mettre à trembler comme un marteau piqueur à la seconde où il tapera sur le clavier, il prend sa respiration et la retient, comme s'il s'apprêtait à plonger en apnée. 
Puis, courageusement, il compose deux petits mots, qu'il envoie en bloquant l'air dans ses poumons, le cœur en furie et l'anxiété à son paroxysme. 

«Tu dors ?»

Ensuite, il prie pour obtenir une réponse. 
Il patiente une dizaine de secondes les yeux rivés sur l'écran qui ne bouge pas, avant qu'une petite bulle apparaisse en dessous de son message, et de sursauter de panique dans les draps. 
Sa bouche s'assèche instantanément, à tel point que même sa gorge le brûle de déshydratation, et pour tenter de compenser cet inconfort, il relâche enfin sa respiration, soufflant brutalement et bruyamment contre son portable. 

«Non. Pourquoi ?»

Et maintenant, il hésite. 
Il pourrait lui répondre, et lui demander la permission de venir lui parler, ou bien il pourrait aussi se contenter de ça pour se rendre directement dans l'autre chambre, et engager tout de suite la conversation. 
D'ailleurs, en temps normal, il n'aurait sans doute pas hésiter, mais sa bêtise le rappelle à l'ordre. 
Alors il reste figé, les doigts au-dessus de l'écran sans rien faire jusqu'à ce que celui-ci perde en luminosité, indiquant qu'il passera bientôt en veille. 
Les minutes défilent sans qu'il n'ose faire quoi que ce soit, et il attend finalement de recevoir une relance de la part d'Izuku, qui semble s'impatienter à l'autre bout du réseau. 

«??»

Cette fois, l'adrénaline lui monte à la tête, elle circule follement le long de son crâne, et explose en feu d'artifice en atteignant son front.
Il n'a définitivement pas de temps à perdre, et piapiater par message ne le fera pas avancer efficacement dans ses troubles.
Ses gestes se débloquent un peu, il abandonne son téléphone sur le matelas, livré à lui-même et à sa batterie presque morte, avant de jaillir hors du lit.

Métamorphosé en tornade humaine, il traverse la chambre dans le noir, piétine un vêtement et renverse une bouteille vide, avant de se jeter sur la porte, qu'il ouvre à la volée et referme d'un grand geste mal maîtrisé.
Il ne se donne même pas le temps de respirer, de réfléchir, de préparer ses mots, ni même d'avaler le restant de salive pâteuse qui traîne sur sa langue.
Il n'a plus le temps.

Enfin, il débarque devant sa propre chambre, oublie de frapper pour signaler son arrivée, et fait une entrée magistrale dans la pièce.
Silencieux, mais bien agité, il les isole enfin en refermant derrière lui, trouvant Izuku encore debout près de la fenêtre, et le lit toujours parfaitement fait, indiquant qu'il n'y a pas touché.

Dans sa main, le brun surprit tient son téléphone déverrouillé, mais surtout, il ouvre de grands yeux stupéfaits en voyant Katsuki débarquer sans un mot, le corps tendu au possible et le regard infiniment déterminé.
Pour dire, même l'atmosphère n'a pas le temps de réagir en direct, montant avec un moment de retard sur la situation, tandis que le blond décidé avale la distance qui les sépare en quatre enjambées.

Puis il se fige.
Désormais tous les deux face à face, avec moins d'un mètre d'espace entre eux, ils se dévisagent curieusement sans parler.
Izuku n'arque pas de sourcil, mais son regard trahit sa nervosité, au même titre que ses bras légèrement fléchis, qui semblent attendre un quelconque top départ pour se défroisser.

Katsuki lui, pince ses lèvres, se trouvant à cours de mots, incapable de prononcer quoi que ce soit de cohérent, tandis que son ventre tourbillonne de toutes ses forces, emportant son souffle et son rythme cardiaque dans un tempo infernal.
Il n'a rien prévu, rien préparé, et le voilà maintenant devant Izuku, muet comme une carpe mais aussi crispé qu'un barbelé.
Du reste, il ne doute pas une seconde de son air ridicule en cet instant.

Plus rien ne se passe.

Dix secondes, trente secondes, deux minutes, passent ainsi dans le malaise le plus complet.
À elles seules, leurs respirations tendues font vibrer l'espace par leurs échos tremblants, et le reste se tait.
Puis, tout comme on abaisse un drapeau noir et blanc pour lancer la course, Izuku avale sa salive, brise l'immobilité, et prend la plus grande inspiration de sa vie. Pour, enfin, se pendre subitement à son corps.

Sur un mouvement mal dirigé, le brun au cheveux ondulés détruit les centimètres d'écart en un pas, et braque son torse sur celui en apnée de Katsuki.
En vitesse, comme s'il ne pouvait plus attendre une seconde de plus, il noue ses bras à son cou, l'emporte avec lui dans le geste brute, et écrase sa bouche sur la sienne.
Le baiser prend immédiatement des airs précipités, presque violents, mais leurs lèvres qui s'unissent enfin s'agitent ensemble, enchaînant les baisers passionnés sans délicatesse.

Emporté par la fièvre soudaine, Katsuki referme ses mais sur les flancs d'Izuku, enserrant la chute marquée de ses reins entre ses paumes pour mieux le maintenir contre lui. En fermant aussi les yeux, il s'oublie totalement et se livre tout entier à cet échange furieusement impatient.
Sur sa nuque, il sent la pression agréable des poignets d'Izuku qui le collent à lui, et sur sa bouche, le goût enfin révélé de ses lèvres se répand à toute vitesse.
Il devine maintenant les nuances de saveurs déposées là, alors même qu'il continue de nourrir leur étreinte d'une colonie de baisers.

Un pas en arrière se déclenche tout seul, porté par leurs mouvements saccadés, et il profite de cette seconde de lucidité pour chercher l'entrée entre ses lèvres.
Il faufile la surface humide de sa langue dans sa bouche, visitant l'espace avec plaisir, et sentant la chaleur de son corps monter d'un cran à mesure qu'Izuku joue avec lui.
Dans sa poitrine, tout valdingue et s'entortille, ses côtes se détachent pour flotter, son cœur se promène librement dans sa cage thoracique, et son sternum part en voyage à travers son abdomen.

L'envie d'aller encore plus loin lui brûle la peau, et parce qu'il ne saurait s'en empêcher, il permet à ses mains de se déplacer sur son corps.
Quittant la place immobile de ses flancs, il les laisse investir la courbe plus nette de son bassin, et tout naturellement le galbe irrésistible de ses fesses.
Un crépitement d'excitation file sous sa peau en réveillant des frissons sur son passage, avant qu'il ne force un déplacement de quelques pas vers sa droite.

Se sachant tout près de son lit, il invite sensuellement Izuku à se laisser tomber dessus, l'envoyant s'allonger sur le dos, le crâne contre le matelas. Haletant, il le rejoint l'instant d'après en se glissant entre ses jambes, ouvrant machinalement ses cuisses pour s'y faire une place et imbriquer son bassin contre son pelvis.
Prenant appui sur ses coudes et ses avant-bras, il respire chaotiquement contre ses lèvres, parvenant à peine à emmagasiner de l'air dans ses poumons entre deux baisers brûlants. 
D'ici, Izuku défait le lien de ses bras dans sa nuque, et lâche vulgairement son téléphone d'entre ses mains, le laissant tomber à côté d'eux quelque part sur le lit, puis s'en va visiter les plaines de son dos, caressant ses omoplates à travers le tissu de ses vêtements, ses épaules, et la ligne de sa colonne vertébrale.

En dessous d'eux, les draps se froissent ici et là, suivant approximativement les mouvements saccadés de leurs corps en fusion, tandis que l'oxygène se fait si rare que les deux garçons doivent s'interrompre un instant pour ne pas s'évanouir d'asphyxie. 
Enfin, dans ce minuscule interlude, qui ne leur permet qu'à peine de reprendre leurs esprits, Izuku en profite néanmoins pour enfoncer davantage son crâne dans le matelas, fixant son regard sur le plafond blanc en humectant ses lèvres. 

_ Je ne sais pas si on devrait aller ... aussi vite. murmure-t-il après avoir avalé sa salive. Je veux dire, comprends moi bien, j'ai très envie de toi là tout de suite .. Mais .. Je ne suis même pas censé être là, et Mikumo pourrait appeler n'importe quand, et puis .. c'était si .. rapide. 

_ J'comprends. Et t'as raison. affirme Katsuki en retrouvant un souffle normal. 

Puis, en acceptant de calmer ses ardeurs en dépit de sa frustration, il se laisse doucement retomber de ses appuis, venant simplement s'allonger sur lui sans demander quoi que ce soit, le nez dans son cou et une main jouant dans ses cheveux. 

_ J'peux rester là quand même ? 

_ Tu peux rester là. sourit Izuku en l'enlaçant à nouveau.

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Heeeeeeeey !

Comment allez vous mes petits mouflons ?
Le chapitre vous a plu ? 🥳🥳

Avouez vous jubilez !
Profitez en 😈

Je vous laisse sur ce petit moment crépitant, et je vous dit à bientôt pour la suite !

Des bisous 😘
Prenez soin de vous ❤️🦩

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