🂪🂩
┏━━━━━━━━••°•❈•°••━━━━━━━━┓
𝐼𝑙 𝑛'𝑦 𝑎 𝑑𝑒 𝑣𝑒́𝑟𝑖𝑡𝑒́ 𝑞𝑢𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑡𝑒𝑠.
𝐼𝑙 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑖 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑓𝑎𝑙𝑠𝑖𝑓𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑡𝑠. ┗━━━━━━━━••°•❈•°••━━━━━━━━┛
»»————- ⚝ ————-««
Tout tremblant de l'intérieur, les jambes en coton effiloché, Izuku respire aussi profondément qu'il le peut, dans l'espoir de faire ralentir son rythme cardiaque.
Déréglé et complètement affolé, son cœur se balance et s'entortille sur lui-même, irradiant d'une douleur sourde et inquiétante à travers sa poitrine.
Debout, droit comme un i en regardant Ochaco et son groupe revenir de leur escapade dans les branches, il sent sa bouche s'assécher de nouveau, encore plus que lorsqu'il a accepté la proposition de Katsuki, une bonne heure plus tôt.
Depuis, il n'a cessé de tourner en rond, de piétiner le sol en réfléchissant, s'imaginant tout ce qui pourrait arriver de grave et de dramatique pendant qu'il sera loin de son frère.
Son esprit s'envole dans des scénarii tous plus catastrophiques les uns que les autres, qui augmentent son affolement minute après minute.
Une multitude de "Et si" lui tambourine le crâne, jusqu'à invoquer la nausée dans sa gorge, qu'il tente de retenir en avalant le peu de salive qu'il lui reste.
Pourtant, en dépit de son propre état, il n'est pas revenu sur sa parole.
A vrai dire même, il comprend les insinuations de Katsuki, quand celui ci affirme que sa relation avec Mikumo l'emprisonne, le ficelle à une vie qui n'est pas la sienne, et la manière dont il semble vouloir s'investir pour sa liberté lui donne envie de lui faire confiance.
Il n'envisage pas un seul instant de rompre sa complicité avec son jumeau, non, ce qui les lie ensemble reste bien trop précieux.
Mais peut être que Katsuki a raison, et qu'il doit quand même tenter de trouver un plus juste milieu, pour s'offrir un avenir à lui, et pour apaiser les angoisses qui le submergent dès qu'il doit tenter de prendre un autre chemin que celui de son frère.
Alors cette nuit, il accepte de faire un essai.
Bien sûr, il va l'avouer, si l'invitation venait de n'importe qui d'autre, même d'Ochaco ou Shoto, il ne l'aurait pas accepté.
Mais Katsuki lui inspire une forme de confiance qu'il n'a jamais vu auparavant.
Comme s'il possédait la capacité de lui offrir des ailes, une route, et des projets.
Il le croit quand il lui promet de ne pas insister si la séparation se passe trop mal, il sait qu'il ne l'empêchera pas de faire demi tour si la panique le submerge, et rien que pour ça, il se sent plus fort dans cette initiative.
Néanmoins, il n'en demeure pas moins qu'Ochaco vient d'arriver, et qu'après un signe de main de la part du blond cendré, elle se dirige bien gaiement vers eux, un sourire braqué sur son visage rayonnant.
Sans son uniforme scolaire, elle porte une courte jupe en tulle noir, un débardeur de la même teinte, et bien sûr ses éternelles Doc Martens.
Les clochettes de ses cheveux tintent à son arrivée.
_ Hey ! Ça a été ? Vous êtes restés par là toute la soirée ?
_ Ouais. soupire Katsuki. Trop de monde là bas.
_ Je te comprends. Et bah nous on a tourné en rond un bon moment avant de retrouver notre chemin. Je crève de soif et j'ai les jambes en compote. Ça va vous ? Vous avez l'air ... Tendus.
Son enchaînement de paroles ne parvient même pas à apaiser les réflexions d'Izuku, dont le cerveau turbine à plein régime.
Qu'arrivera t-il dès qu'il sera loin de son frère ? Comment va t-il supporter la nuit ? Est ce qu'au moins il va la supporter ? Et comment faire s'il ressent un danger dans les émotions que Mikumo lui envoie sans le vouloir ?
Si jamais il se blesse ? S'il se sent mal ? Et s'il souffrait de son départ au point de faire une crise d'angoisse ?
Pendant qu'il se perd dans les questions de son esprit, que son ventre se tord et que sa respiration s'embrouille au gré de l'appréhension qui lui griffe la nuque, il ne peut que rester spectateur sourd et lointain de la discussion entre Katsuki et Ochaco.
Sans parvenir à entendre leurs mots, ni à suivre la conversation, il les devine en train de parler de leur départ imminent, et du service qu'ils demandent à la jeune femme pour assurer un peu plus d'apaisement à Izuku.
Il observe les changements d'expression sur le visage de son amie, l'étonnement qui se dessine au fil des secondes, un fin sourire entre ses joues, puis son regard conquis.
Puis, quand il la voit se tourner vers lui, et toucher son épaule pour l'interpeller, son cerveau se reconnecte progressivement.
Lentement, il parvient à s'accrocher à son regard, à sentir la pression de sa main sur le haut de son bras, puis à entendre sa voix.
_ Je suis impressionnée, mais je trouve que c'est une très bonne idée, et c'est super que tu aies accepté d'essayer ça. Katsuki va devoir nous donner son secret pour réussir une telle prouesse !
Elle ricane un peu à sa propre réplique, tandis qu'Izuku n'arrive même pas à lui sourire en retour.
_ Bon. continue t-elle en soufflant doucement. Je suis toujours fâchée contre ton frère, mais la situation justifie une exception. Je vais m'en occuper jusqu'à demain matin, je le surveille, et promis je t'appelle s'il se passe quoi que ce soit.
Izuku inspire, sa gorge brûle et sa poitrine lui fait mal, mais il serre les dents pour dissimuler toute cette panique.
Ce qu'il fait est bien, et Katsuki l'accompagne, il veille sur lui, il le rassure. Sa présence le rend plus sûr et plus fort, comme s'il pouvait, au travers de ses regards, lui insuffler la confiance nécessaire à toutes les folies du monde.
Même s'il n'a aucune idée de ce qu'il va se passer à compter de maintenant, il le sait à ses côtés, et se sent prêt à s'accrocher à sa main si nécessaire.
Il n'est pas sûr d'y arriver autant qu'espéré, mais il est certain d'essayer de la bonne manière.
_ Et puis, ajoute son amie pour conclure, tu as aussi mon numéro. Si jamais t'as besoin de te rassurer, tu m'appelles et je te dirais tout ce qui se passe en temps réel.
Cette fois, il fait l'effort de hocher la tête pour signifier son accord, voyant la jeune femme se préparer à aller se chercher à boire, tandis que Katsuki l'invite à passer à l'étape suivante : prévenir Mikumo.
Et son cœur s'emporte encore, si fort qu'il craint même de s'évanouir d'une seconde à l'autre, de perdre le contrôle de son corps et de ses sens, de se mettre à pleurer et à supplier par automatisme.
Il tremble, ses jambes tanguent quand il amorce le premier pas, et la paume d'une main qui s'enroule doucement à son poignet le surprend.
_ Ça va le faire, arrête de stresser. assure Katsuki.
La chaleur de sa main, de ses doigts contre sa peau, se répand comme une caresse brûlante le long de son bras.
Son poignet frissonne, son cœur ralentit un peu, son ventre se noue, et sa gorge pétille bizarrement.
S'il n'avançait pas en direction de Mikumo, il se permettrait sûrement d'aller crocheter ses phalanges dans les siennes, de poursuivre le contact et de s'accrocher à lui.
Mais, à mesure qu'ils entrent dans la zone peuplée, imaginant déjà les regards sur eux et la réaction de son frère, il se fait violence pour retirer son bras.
Dans sa tête, il prononce des excuses muettes pour ce geste indélicat.
Une seconde, Katsuki paraît se froisser face à sa réaction, même s'il n'en dit rien et se ressaisit aussitôt. Encore plus maintenant, Izuku voudrait le rassurer en engageant une nouvelle étreinte, mais c'est un risque qu'il ne peut pas se permettre de prendre, pas maintenant. Pas comme ça.
Lentement, il traine les pieds sur le sol terreux, se faufile entre quelques groupes déchainés, alors que la musique lui cogne les tympans.
Avec le stress qui agit sur sa capacité à supporter l'agitation, il se sent trembler de plus en plus fort, perdre l'équilibre dans son esprit, et oublier de respirer par intermittence.
Ses poumons deviennent sérieusement douloureux quand ils arrivent, ensemble, à hauteur de Mikumo et ses potes alcoolisés.
Il n'est même pas surpris de trouver son jumeau dans un sale état, déjà bien gratiné, tanguant comme un culbuto, les yeux rougis par la boisson et les cheveux collants de transpiration.
Avant même de l'interpeller, il le devine complètement déchiré, plus capable de penser, encore moins de réfléchir, et peut être que cette situation lui permettra d'éviter le drame.
Si Mikumo ne pige rien, il ne fera pas de scandale quand Izuku lui annoncera son départ.
_ Mikumo ..? lance t-il timidement à travers la musique ambiante.
Loin d'être frais, son frère tourne la tête vers lui en manquant de trébucher, avant de se mettre à rire de lui même tout en s'approchant.
La couleur de ses joues témoigne de son état, et la façon dont il penche en avant au moment de lui parler également.
_ Oui p'tit frère ?
Inquiet pour la suite, Izuku avale sa salive, baisse les yeux, joue avec ses mains, puis se dandine d'un pied sur l'autre.
_ Tu te souviens que je peux pas rentrer à la maison ?
_ Euuuh, ouais ? balbutie son frère.
_ Du coup.. comme il est déjà très tard, je vais rentrer dormir chez un ami.
_ Un ami ? se ressaisit Mikumo comme s'il venait de décuver subitement. Tu vas où ? Avec qui ? Tu restes pas avec moi ?
La panique se soulève sous la peau d'Izuku, il la sent frémir, lui mordre les doigts, serrer sa gorge.
Les mots s'emmêlent dans sa bouche, ils traînent sur sa langue et manquent de se dissoudre contre la barrière de ses lèvres.
Soudain, les phrases deviennent difficiles à construire.
_ Je peux pas passer la nuit dehors, en plus je me gèle. Katsuki me raccompagne.
_ Te raccompagne où ?!
_ Chez lui .. Je reviens à 11h pour te réveiller, tu sais papa a dit-
_ Je m'en fous de papa là. Tu vas dormir là bas ? Chez lui ? Tu déconnes j'espère ?
Dépité, agacé, Izuku soupire et recule d'un pas. La conversation le dépasse, toute cette situation le dépasse.
Quelque chose semble craquer dans son ventre, juste sous ses côtes flottantes, comme une corde qui se rompt, la patience qui cède à ses limites.
_ Non je déconne pas. Je me retrouverais pas comme un con à pas pouvoir rentrer chez moi si t'avais pas fait un scandale tout à l'heure à la maison. Alors arrête ta comédie avec Katsuki. Donc .. à moins que tu préfères que j'aille dormir sur un banc public comme un clochard, je dors là bas et c'est tout. De toute façon je venais juste te prévenir, pas te demander ton avis.
Sa poitrine lui fait un mal de chien, son cœur bondit.
Les noeuds se multiplient dans sa gorge et son estomac, ils s'entassent, s'entremêlent et pèsent si lourd.
Accusant le mélange de ses propres émotions contradictoires et de celles de Mikumo qui se déchire sous ses mots, il peut entendre sa respiration grincer dans ses oreilles.
Ça fait mal, tellement mal, qu'il doit se reculer encore d'un pas pour tenter de garder les pieds sur terre.
Mikumo essaie de s'approcher en retour, le visage couvert de peine et de peur, essayant de le retenir du bout des doigts en secouant la tête.
_ C'est ... Ce n'est que quelques heures. Je suis crevé, je reviens pour te réveiller tout à l'heure. S'il te plaît ...
_ Pourquoi tu t'éloignes de moi ?
_ Non. Non c'est pas ça. Je te jure que j'ai juste besoin de dormir, et tu es avec tes potes, tu t'amuses, ça passera vite.
Les yeux toujours aussi rouges, Mikumo semble cette fois prêt à pleurer de panique.
Il inspire difficilement, redresse ses épaules, et jette un regard inquiet à Katsuki, qu'il considère pour la première fois depuis le début de la conversation.
_ Et s'il t'arrive quelque chose ? Si tu as un problème et que-
_ On peut s'appeler, et je ne suis pas tout seul, toi non plus.
Il jure qu'il se fait violence pour prononcer ces mots, prenant l'exemple sur ceux de Katsuki plus tôt dans la soirée.
Au fond de lui, une voix derrière son front lui ordonne d'arrêter cette maudite expérience et de prendre son frère dans ses bras, de rester à ses côtés, de veiller sur lui et de ne pas l'obliger à souffrir de son départ.
Pourtant, en même temps, il perçoit encore et toujours la présence de Katsuki juste là, qui l'empêche de revenir sur sa parole.
Il doit tenir, même si c'est dur, même s'il a peur, même s'il ne sait plus ..
_ Mais tu- commence Mikumo avant de bloquer. Je n'aime pas ça quand je ne sais pas où tu es.
_ Je t'ai dit que je serai chez Katsuki. Tu pourras m'appeler.
Hésitant, l'expression pleine d'incertitude, Mikumo laisse filer plusieurs dizaines de secondes, oubliant la musique et l'agitation pour prendre le temps d'observer son frère et son ami.
Puis, comme en guise d'avertissement, il s'approche de Katsuki, suffisamment près pour parler à son oreille sans devoir crier pour se faire entendre malgré les baffles hurlantes.
_ Si tu fais le moindre truc bizarre, je te défais la façade. Je te fais pas confiance tu le sais.
Sans répondre, Katsuki se contente d'un regard hautain et d'un silence provocateur, tandis que Mikumo s'éloigne pour rejoindre son frère.
Inquiet, acceptant ce départ à contre cœur, il s'empresse alors de le prendre dans ses bras, le suppliant de rester vigilant, de faire attention à lui, et de lui envoyer des messages toutes les demi-heures jusqu'à ce qu'il s'endorme.
Sûr de lui, au moins autant que paniqué malgré tout, Izuku accorde à son frère chacune de ses requêtes, promettant encore et encore que tout ira bien, comme s'ils se séparaient pour les trois années à venir.
De l'extérieur, c'est vrai, la scène doit paraitre ridicule et totalement abusive.
Mais c'est si difficile de se séparer d'une partie de soi, même pour quelques heures, encore plus pour partir vers une sorte d'inconnu, une situation nouvelle sur laquelle ils ne possèdent aucun contrôle ni l'un ni l'autre.
Néanmoins, il est temps de se faire violence, d'aller au bout de cette initiative et, sur un dernier signe de la tête, Izuku parvient à s'éloigner de trois pas, avant de tourner péniblement les talons, tournant son regard vers le chemin qui les ramènera sur la route.
Soufflant son désarroi, puis pressant le pas pour ne pas se retourner, il s'échappe en pinçant ses lèvres et retenant sa respiration, percevant tout juste la présence de Katsuki à ses côtés.
Il entend ses pas sur la terre, entre les petites herbes sauvages qui poussent même sur le chemin tracé par l'homme, et à mesure que l'ambiance et la fête disparaissent derrière eux, ramenant le calme et le silence sur leur trajet, il se concentre de plus en plus sur sa compagnie.
Comme tout à l'heure, le blond illumine la route sous le flash de son téléphone, et Izuku se permet finalement d'orienter son regard vers lui l'espace d'une seconde.
En dépit de son esprit embrouillé, il prend la peine de s'interroger sur ce que doit penser son ami en cet instant, que ce soit au sujet toute cette mascarade avec Mikumo, ou concernant la distance qu'il a imposé entre eux juste avant d'aller voir son frère.
Repensant à son geste, aussi maladroit qu'il l'imagine désagréable pour Katsuki, il baisse les yeux pour ramasser son courage près de ses chevilles, espérant agir de la bonne manière, et jouer les bonnes cartes pour ses propres volontés.
Il faut dire qu'Izuku ne sait pas trop comment prendre des décisions indépendamment des attentes et des besoins de son jumeau, lui qui a toujours suivi les lignes de Mikumo pour avancer, se retrouve bien démuni au moment de réfléchir uniquement pour lui.
Alors, avec tout le stress que lui impose chacun de ses mouvements, il crispe machinalement son dos, braque ses épaules et contracte ses abdominaux, avant de chercher très très timidement le contact de Katsuki.
Aussi lentement que s'il risquait de se casser un os, il balance sa main jusqu'à trouver son poignet, là où ses doigts se posent avec une infinie délicatesse, craignant sans doute de se faire renvoyer au poulailler instantanément.
Pourtant, Katsuki se contente de baisser légèrement la tête en percevant la minuscule étreinte et, sans rien dire, il le laisse naviguer discrètement jusqu'à trouver plus précisément sa paume, qu'il plaque à la sienne sans excès.
Sans croiser leurs phalanges, ni se parler, ils se tiennent simplement la main comme deux enfants dans le rang, arpentant le petit chemin froissé et poussiéreux dans le plus grand des calmes.
Soudain, le cœur d'Izuku s'emporte. Pas comme quand il doit se séparer de Mikumo, ni quand il doit lui tenir tête, ou même affronter son père. Il s'emballe d'une autre manière, plus semblable à ce qu'il a pu connaitre quand il se déshabillait en secret dans la salle de musique après les heures de cours, alors que Shoto admirait ses gestes en pinçant ses lèvres.
Cette sensation le ramène à des émotions fortes, une explosion d'euphorie, des instants puissants où tous ses sens entrent en ébullition, qu'ils se mélangent et lui donnent le vertige.
Pourtant, il ne s'agit même pas de se donner à lui, mais simplement de lui tenir la main.
Et si le simple contact de Katsuki se compare déjà à des moments bien plus sensuels de sa relation avec Shoto, jusqu'où ce débordement de sentiments est-il capable d'aller ?
S'il venait, par exemple, à se rapprocher un peu plus ...
Depuis quand sa bouche est-elle devenue si sèche ?
Il lui semble tout à coup que toute l'eau de son corps s'est évaporé en une seconde, en un claquement, sa poitrine toute entière se met à cogner, elle pulse sous sa peau, si fort qu'il jure qu'il peut la voir bouger sous ses vêtements.
L'adrénaline lui monte à la tête, des frissons venus de nul part envahissent ses bras, ses jambes, son dos, et ce besoin si soudain et incontrôlable de tester la puissance de ses sensations le pousse à chercher finalement les espaces libres entre les doigts de Katsuki, qu'il investit précautionneusement, pour lier complètement sa main dans la sienne.
_______
Hey !
Vous aussi vous êtes joie ?
Moi je suis joie de ce petit moment singulier entre eux
Mikumo n'est pas au bout de ses surprises avec eux 😅 Ça va être épique ! Et j'espère que ça vous plaira
D'ici là, comme toujours, des bisous bisous 😘
Prenez soin de vous ❤️🦩
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro