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𝐽𝑒 𝑚𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑡𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑐œ𝑢𝑟
𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑢𝑥 𝑏𝑎𝑡𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑠𝑎𝑐𝑐𝑎𝑑𝑒́𝑠.
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Tout le long du trajet à travers la végétation, il n'a plus décroché un mot, marchant silencieusement sur les petites branches couchées au sol, écrasant quelques feuilles sous ses chaussures dans le plus grand des malaises.
Principalement parce que la présence de Mikumo le rend littéralement malade, le simple fait de le savoir dans les parages, surveillant ses gestes et son dos, lui donne envie de criser.
Mais, pour respecter la demande de trêve d'Izuku, qui semble en avoir déjà par-dessus la tête, il ferme sa bouche et baisse les yeux en silence, pressé d'arriver sur le point de rendez-vous, qui justement apparait enfin comme une véritable libération.

En ce tout début de soirée, la musique diffuse légèrement entre les arbres, insinuant à peine quelques notes, bien que dynamiques, sur le terrain dégagé.
De toute évidence, quelques troncs ont été rasés pour faire de la place ici, en témoignent les souches coupées à ras qui semblent désormais servir d'assises pour les visiteurs.
Le sol terreux, décorés d'une poignée d'herbes en tout genre poussant ici et là, s'éclaire plus que de raison sous les immenses projecteurs lumineux, qui crachent des rayons blancs, presque aveuglants.
En dehors des enceintes et de l'éclairage, aucun autre aménagement ne se dessine au milieu de cette forêt. Une ribambelle de bouteilles posées à même les souches s'accompagnent de verres en plastique, eux aussi posés en vrac sur le bois coupé.

Par terre, directement abandonnés sur place, quelques paquets de chips trainent ici en secours, histoire de s'éponger l'estomac un peu plus tard dans la nuit, quand il faudra assumer -ou non- d'être plein comme des barriques à vin.
Les invités, tous issus des couloirs de Yuei, se regroupent progressivement au centre de cette installation, entamant des conversations à droite et à gauche, certains déjà prêts à se pinter la tronche, tandis que d'autres prennent d'abord le temps de saluer le plus de monde possible.
Une ambiance très festive se soulève immédiatement, amenant les sourires sur les visages, et incitant les organisateurs à monter légèrement le volume de la musique.

Devant tout ça, Katsuki cligne des yeux, avale sa salive, et regarde tous ces gens, relativement bien habillés, se réunir dans un lieu privé pour fêter leur jeunesse.
C'est à dire que, de là où il vient, il n'y avait pas grand-chose à fêter, et surtout pas dans des endroits comme ça, avec de telles installations.

_ Les jumeaux ! s'écrie une voix qui le fait réagir. Finalement vous êtes venus !

Arrivant sur leur gauche, le type aux cheveux visiblement décolorés s'exclame de joie en écartant les bras, vêtu d'une veste noire et longue qui lui confère des allures de mec sorties d'un autre temps.
Puis, en s'avançant, il parait hésiter quelques secondes, pointant les deux garçons du doigt en pinçant les lèvres, cherchant à déterminer qui est qui en espérant ne pas se tromper.

_ Izzz- non, Mikumo ! tente-t-il en s'arrêtant sur la bonne pioche. Et Izuku du coup. ajoute-t-il en tournant le regard vers le second frère. Vous venez avec nous ? Y'a Denki et quelques potes là-bas.

_ Mikumo va vous rejoindre. Nous on va plutôt aller par là. dit Izuku en pointant du doigt une position complètement au hasard.

Puis, sans laisser à son frère le temps de s'étonner, ni à Neito l'occasion de répondre quelque chose, il s'agrippe au bras de Katsuki, l'entrainant à sa suite vers le centre de la pseudo piste de terre, qu'ils traversent complètement afin de s'éloigner le plus possible des deux autres garçons perplexes.
Sans rien dire, Katsuki le laisse faire, et se retient même de toute ses forces de se retourner vers Mikumo, rien que pour le narguer en pavanant son avant-bras dans la main d'Izuku.
Finalement, il préfère ne même pas lui faire le plaisir de lui accorder de l'attention, bien conscient qu'il les regarde déjà, et qu'il rage de toute son âme devant cette scène.

_ Tu m'emmènes où comme ça ? finit-il par interroger après quelques mètres.

_ Ochaco doit être par là-bas. se justifie Izuku en quittant l'espace aménagé.

Sans hésitation, semblant pouvoir flairer la présence de son amie rien qu'en y pensant, Izuku lui fait passer une petite rangée d'arbres, s'éloignant des projecteurs et des souches taillées. Quelques pas plus loin, Katsuki perçoit effectivement quelques voix lointaines, une agitation plus maigre que celle de la piste centrale, et une odeur de fumée un peu brouillonne.
Enfin, ils débarquent sur un petit bout de terrain moins boisé, couvert principalement de fougères couchées et de ronces écartées pour libérer le passage.
Ici, assit par terre, un petit cercle de personnes se partagent ce qui semble être un joint, autour d'un feu de camps un tout petit peu inconscient.
Aussi, plusieurs pack de bières s'étalent près d'eux, dont certaines sont déjà entamées.
Katsuki, songeant qu'il pourraient bien déclencher un incendie d'une seconde à l'autre s'ils ne font pas attention, les observe comme des animaux dans un zoo, la curiosité sur le visage.

Néanmoins, en suivant Izuku, il les rejoint dans le cercle, qui les accueille à bras ouverts, de grands sourire placardés sur leurs lèvres, tandis qu'un brin de musique calme s'échappe d'un téléphone posé sur les genoux d'Ochaco.
Se frayant un chemin, ils prennent place entre deux inconnus -inconnus pour Katsuki tout du moins- et la conversation converge vers eux un petit instant, le temps de se saluer et de présenter le cendré au petit groupe.

_ Je suis contente que tu sois venu Izuku. sourit Ochaco en levant sa bière. Je suppose que ton frère est aussi dans les parages.

_ Neito l'a intercepté, j'en ai profité pour filer.

Dans ce petit coin plus tranquille, Katsuki fait alors la connaissance succincte de Mina, Tsuyu, Tetsu et Hitoshi. Menant ensemble ce qui ressemble plus ou moins à une contre soirée, ils reprennent le cours de leur conversation assez rapidement après les présentations, et Katuki cligne des yeux quand le joint se pointe sous son nez.
Sentant l'odeur désagréable du cannabis lui piquer les narines, il refuse simplement le cadeau en secouant négativement la tête, et Tsuyu hausse juste les épaules en se penchant davantage en avant, transmettant directement le pétard à Izuku.

Hésitant un instant, celui-ci se retourne par mesure de sécurité, s'assurant que son frère ne le surveille pas depuis un buisson quelconque, avant de s'en saisir, tire une seule fois dessus en plissant les sourcils, puis le transmet déjà au suivant.
Soufflant par la bouche, relâchant toute la fumée devant lui, il accepte ensuite les deux bières qui lui sont tendues, en donnant une à son ami avant de décapsuler la sienne.
Sans trembler, Katsuki porte la petite bouteille en verre jusqu'à ses lèvres, versant une gorgée d'alcool sur sa langue, qu'il sent couler le long de son œsophage, laissant une pointe d'amertume sur son passage.

_ Eh. commence Tsuyu en levant les bras. On pense s'écarter un peu dans la forêt après, vous venez avec nous ?

_ Pour quoi faire ? s'étonne Izuku.

_ Je sais pas, se faire peur un peu, tant qu'on est ensemble.

Curieux, Katsuki tourne son regard vers Izuku, observant sa réaction plutôt nerveuse à la proposition de la jeune brune aux cheveux extraordinairement longs.
Outre le fait de gambader dans une forêt lugubre en pleine nuit, il sait que c'est avant tout l'idée de s'éloigner de son frère qui inquiète Izuku, et un réflexe attentif le pousse à poser sa main sur son épaule, espérant l'apaiser dans ses réflexions anxieuses.

_ T'as rien à prouver. C'est toi qui vois, mais ça sert à rien de faire un truc qui te convient pas.

Pas qu'il défende le lien trop étroit qu'il entretient avec son jumeau, mais si l'entreprise ne mène qu'à déclencher une crise d'angoisse au beau milieu de nul part, entouré d'inconnus, et qui lui vaudra en prime de se faire remonter les bretelles par son frère dans la foulée, alors autant s'abstenir.
En touchant son épaule, Katsuki ressent tout à coup une envie prononcée d'effleurer sa joue, ou peut-être ses cheveux, juste pour en découvrir la douceur, et il s'efforce de rester calme en dépit de ses réactions.

Pour l'instant, tout ce dont il peut être certain, c'est l'attirance physique qu'il ressent pour lui, et il est encore très clair pour lui qu'il ne peut pas parler d'amour, non, c'est bien trop tôt. Mais il n'en reste pas moins qu'il lui plait vraiment, et qu'il apprécierait de pouvoir le connaitre de plus près encore.
D'ailleurs, après son geste et ses mots réconfortant, Izuku lui sourit plus sincèrement que jamais, illuminant son visage tacheté et son regard brillant de lueurs vertes.

_ C'est vrai. Je pense qu'on ne vous suivra pas.

_ Courageux mais pas téméraire. défie Ochaco dans un clin d'oeil amical.

_ Probablement. se défend mollement Izuku en haussant une épaule. J'aurai qu'à surveiller le feu pendant ce temps.

_ Chouette activité. ricane Mina contre le goulot de sa bière. A deux pour surveiller le feu, vous devriez vous en sortir.

Un peu gêné par sa remarque, comme s'il y inventait lui-même un double sens, Izuku détourne le regard en triturant le verre de sa boisson sous ses ongles, tandis que Katsuki le regarde s'empêcher de rougir en buvant une large gorgée d'un seul coup.
Sa réaction, tout à coup, éveille en lui une douce sensation toute grisante, et un étrange sentiment de satisfaction en songeant que l'idée de se retrouver seul à seul avec lui déclenche quelque chose dans la tête du brun.
Finalement, c'est une très bonne chose qu'il ait refusé cette escapade !

_ Moi aussi j'aurai préféré surveiller le feu. geint Tetsu dans son coin. Je viens uniquement parce que vous me laissez pas le choix, c'est pas juste.

Le garçon, aux cheveux teints de gris et aux dents légèrement plus pointues que la normale, bougonne dans son coin, se plaignant de l'injustice dont il est la victime, alors que personne ne prête attention à ses jérémiades.
A la place, Ochaco siphonne le fond de sa bière en un levé de coude, terminant tout d'une traite à l'instar de Tsuyu, tandis que Mina abandonne déjà sa bouteille vide à côté d'elle.
A sa droite, Hitoshi a fini de boire depuis plusieurs minutes, et s'occupe juste à regarder Izuku tirer les deux dernières lattes du joint, avant de jeter le mégot directement dans le feu.
Et Katsuki lui, regrette de ne pas être assez proche de son ami pour lui faire la morale, contraint de ne rien dire alors que la fumée qu'il souffle entre ses lèvres lui donne envie de l'engueuler.

Néanmoins, il s'apaise et se rassure en voyant les autres se lever, déjà prêts à partir à la conquête de ces bois, armés des lampes torche de leurs téléphones et d'une bière chacun dans la main. Saluant les deux autres qui restent sur place, ils estiment revenir d'ici deux ou trois heures, avant de disparaitre par derrière un arbre, en file indienne et tous contents de se la jouer aventuriers nocturne.
Habillée dans un short court, Mina râle malgré tout après les ronces qui s'accrochent à ses chevilles, sous les moqueries de Tetsu, et l'indifférence à toute épreuve d'Hitoshi.
Les regardant partir, Katsuki avale sa salive, un peu gêné de ne plus sentir que la présence d'Izuku à sa droite, percevant l'écho de son souffle en même temps que son parfum discret dans le vent.

Puis, lentement, il détourne son visage pour fixer le feu, admirant les petites flammes bientôt mortes qui ondulent au-dessus de quelques branches pas bien épaisses, et dont la lumière se fait de plus en plus fine.
D'ici une vingtaine de minutes, il n'en restera plus que des cendres tièdes, et s'ils ne veulent pas finir la nuit dans le noir complet, il leur faudra se déplacer.
En attendant, il se doit de profiter du temps qu'il peut passer ici, avec lui, sans personne pour le déranger.
L'idée lui entortille les entrailles, mais elle réchauffe surtout ses joues et les paumes de ses mains, dans lesquelles il peut désormais sentir son cœur battre, pulsant jusqu'au bout de ses doigts.

_ Tu les connais tous ? entame-t-il maladroitement en gigotant sur son assise.

_ Vaguement. Ochaco traine avec un peu tout le monde, j'ai déjà un peu discuté avec certains d'entre eux, mais sans plus. De toute façon je passe mon temps à sécher la moitié des journées, j'ai même pas l'occasion de rencontrer du monde.

Izuku ricane à sa propre remarque, et Katsuki, le voyant baisser la tête pour masquer son sourire, roule des yeux avant de les arrêter sur son visage de profil, détaillant les taches de rousseur et les cheveux juste assez longs pour taquiner ses tempes.

_ Je comprends toujours pas ce que tu fais à Yuei si ça t'intéresse pas.

_ J'y suis .. pour mon frère. avoue Izuku avec un peu de gêne. Enfin, pour moi et pour mon frère.

_ Je comprends pas.

_ J'arrive pas vraiment à me détacher de lui, et il panique aussi quand je suis pas là .. Faire des études différentes, ça veut dire être dans des établissements différents, et je crois pas qu'on en soit capables.

_ Mais ton frère suit les études qu'il veut, et pas toi. T'as pas l'impression que la balance est déséquilibrée ?

Au travers de ses mots et du ton de sa voix, Katsuki sait qu'il vient de se montrer plus ferme et plus sec qu'à l'habitude, quitte à froisser légèrement son ami, mais la situation de ce dernier le met sincèrement mal à l'aise.
Outre le fait que Mikumo soit clairement trop envahissant dans sa vie, savoir qu'Izuku gaspille littéralement son avenir pour lui parait complètement démesuré.

_ Tu vas faire quoi de ta vie ? renchérit-il face au silence de son ami. Rater le diplôme ? Emménager avec ton frère pour ne pas le quitter ? Et s'il a une femme et des enfants ? Vous allez vivre tous ensemble dans la maison jusqu'au bout de ta vie ? Pendant que tu finiras tonton alcolo et célibataire parce que t'auras jamais osé lui dire que t'aimes les mecs ?

_ Non ! Tu exagères je-

_ Ah ouais ? Alors c'est quoi ton projet de vie ? En partant du principe que tu n'iras nul part sans ton frère.

Tout à coup refermé sur lui-même, Izuku baisse encore les yeux, les jambes croisées en tailleur, les coudes appuyés sur les cuisses, et la tête enfouie dans ses mains pour dissimuler la déconvenue.
La tension s'élève un peu et, si Katsuki s'en veut de lui mettre ainsi la pression, il réalise qu'Izuku ne remettra jamais en question sa relation avec son frère si personne ne le met au pied du mur.
Alors quitte à faire le sale boulot, autant le faire bien et jusqu'au bout.

_ Tu vas faire quoi après Yuei ? continue-t-il encore.

_ Je sais pas encore mais-

_ Tu veux faire quoi toi ?

_ Hein ? sursaute Izuku en relevant la tête.

Comme si Katsuki venait de balancer une information ahurissante, Izuku le dévisage longuement, la bouche entrouverte et les yeux clignotants.

_ Je t'ai demandé ce que toi tu veux faire. C'est quoi qui te plait ?

Puis, se dandinant comme si ses vêtements lui brûlaient la peau, Izuku tergiverse dans un sens et dans l'autre, semblant ne plus tenir en place tant le malaise lui chatouille les jambes. Il se racle la gorge, passe sa main sur sa nuque, et prend une grande inspiration.
A croire qu'énoncer une volonté sans l'aval de son frère risque de l'envoyer en enfer d'une seconde à l'autre.

_ Eh, je t'ai pas demandé de te jeter dans le feu hein. le rassure Katsuki qui le voit paniquer. Je te demande juste ce qui te plait dans la vie. Y'a bien un truc que t'aimes faire, et que tu te verrais bien faire toute ta vie.

_ Jouer du piano. balance Izuku de but en blanc, avant d'ajouter sur un ton plus frêle : et dessiner aussi, des fois.

_ Et tu crois qu'en étudiant des chiffres et des méthodes commerciales à Yuei, tu vas finir sur une scène à jouer du piano ?

_ Je peux toujours en jouer le week-end, juste pour le plaisir.

_ Hm hm, et être malheureux du lundi au vendredi ? Chouette choix de vie.

Son discours oblige Izuku à faire tourner ses idées et ses pensées, et il voit dans ses yeux que sa cervelle se retourne déjà dans tous les sens, tandis que son regard semble se brouiller, puis se voiler.
Coupable d'y être allé un peu fort, et de n'avoir pas pesé un seul de ses mots dans cette discussion, Katsuki soupire en devinant les larmes qui s'apprêtent à mouiller les joues de son ami.

_ Ecoute. tente-t-il pour se rattraper. Ce que j'essaie de te dire, c'est que ta vie n'est pas celle de ton frère, c'est la tienne. Donc y'a aucune raison pour tu restes indéfiniment l'ombre de ton frère, ça te mènera à rien.

_ Mais si jamais il le supporte pas et-

_ Et quoi ? Il va s'enchainer aux gouttières de ta maison comme un manifestant ?

_ Je veux dire que ça lui fera du mal.

_ Et toi ? Qu'est ce qui te fait du mal ?

De toute évidence, quand il s'agit d'interroger Izuku sur ce qu'il ressent, indépendamment du point de vu direct de son frère, la réponse patine longuement, comme s'il se trouvait incapable de se prononcer de lui-même, et tout particulièrement au sujet de ses sentiments.
Si Mikumo défend Izuku comme un chien de garde de toute menace extérieure, Izuku lui, protège son frère de tout ce qui pourrait atteindre son cœur, quitte à mettre son existence entière entre parenthèse pour ça.

_ Dis .. souffle Izuku discrètement en essuyant sa joue humide. Je crois que je préfèrerais aller faire un tour. Tu veux bien venir avec moi ? Pas trop loin, juste pour .. marcher un peu.

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Hey !

C'est un peu tristounet pour un début de soirée, mais les sujets sérieux débarquent sur le tapis, et c'est nécessaire pour qu'Izuku arrive à ouvrir les yeux ..
De toute façon ils n'ont pas fini de parler, ni d'apprendre à se connaitre 😛

En attendant la suite, j'espère que ce chapitre vous a plu !

Mille bisous sur vos joues (+1 pour la route) 😘

Prenez soin de vouuuuuus 🦩❤