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𝐼𝑙 𝑛𝑒 𝑓𝑎𝑢𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑠'𝑦 𝑚𝑒́𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑𝑟𝑒,
𝐿𝑎 𝑛𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙'𝐻𝑜𝑚𝑚𝑒, 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑑'𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑡𝑢𝑝𝑖𝑑𝑒.
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Il racle le fond de son dessert, faisant grincer le bout de la cuillère contre le verre, sa mâchoire de serre, les yeux rivés sur ses propres mains, la gorge nouée par le silence qui pèse sur ses épaules.
La table s'anime à peine dans cette ambiance de conflits et de non dits, alors qu'Hisashi plombe l'atmosphère par sa simple présence.
Tous repensant à l'incident d'hier soir, plus personne n'ose prononcer un mot, encore moins lancer la moindre conversation.
La froideur de cet instant s'étend à toute la maison, glaçant les murs et les portes, figeant l'air sur les fenêtres closes.
C'est à peine s'ils s'autorisent une respiration, mais Izuku voit le bout de son calvaire arriver en même temps que la fin du repas.
L'horloge de la cuisine affiche bientôt vingt et une heure, la trotteuse s'empressant de rejoindre sa sœur pour faire passer les minutes.
Vivement demain .. que chacun puisse reprendre son train de vie.
En attendant, Izuku se dépêche d'avaler sa dernière bouchée, avant d'abandonner sa place en se relevant d'un coup net.
_ Où tu vas ? grince son père sans lever les yeux vers lui.
_ J'ai mangé avec vous. J'ai fini mon repas, j'ai rempli ma part du contrat. Maintenant je vais me préparer.
Il n'attend pas de réponse, et se dépêche plutôt de s'éloigner de cette pièce morne et terrifiante de silence.
Il presse le pas jusqu'aux escaliers, qu'il escalade comme on dévore une piste de course, et s'enferme enfin dans sa chambre.
Non pas qu'il ait grand-chose à faire, sinon se changer un peu, mais il devenait urgent de quitter la pièce commune et son ambiance de mort.
Une fois seul, se sachant tranquille pour les quelques minutes à venir, il marche lentement jusqu'à son armoire un peu en désordre, et ouvre les portes coulissantes pour fouiller les étagères du regard, cherchant la meilleure tenue pour cette soirée à venir.
Ses yeux se portent sur plusieurs possibilités, plusieurs nuances de couleurs, mais son choix s'arrête en premier sur un autre pantalon noir. Presque comme celui qu'il porte déjà, sans effet d'usure cette fois.
Puis, sans se prendre trop la tête, il pioche un de ses t-shirt blanc, moulant à souhait pour sentir le tissu sur sa peau.
Jetant le tout sur son lit pour plus tard, il se tourne vers sa penderie, où il récupère une veste sombre, la fameuse "au cas où", qu'il emmènera avec lui en prévision de la nuit à venir.
Il soupire en refermant les portes, voyant son reflet apparaître tout à coup devant lui.
Sa posture laisse à désirer, ratatinée par le stress et la fatigue, et il prend le temps de se regarder se redresser.
Son dos s'étire, ses épaules se dressent plus fermement, il tente aussi de se sourire pour se donner plus de courage.
_ Plus que quelques minutes .. se souffle-t-il à lui-même, pressé de quitter la maison.
Avec cet objectif en tête, il se retourne en prenant son élan, et se débarrasse en vitesse des vêtements qu'il porte.
Laissant tout le tissu tomber à ses pieds, se baladant quelques secondes en boxer dans sa chambre, il chouine en observant son propre ventre, tout lisse et dénué de musculature.
Pressant sa main dessus, titillant les abdos qu'il n'a pas, il grimace d'incrédulité en fixant son nombril dans le miroir.
_ Mouais .. se plaint-il de lui-même en haussant les épaules.
Une seconde, il se demande s'il ne devrait pas tenter de se mettre un peu à une activité physique, puis se résigne en songeant que faire trois pompes maintenant ne lui fera pas pousser des pectoraux d'ici une heure de toute manière.
Tant pis, il se contentera de ce qu'il a ..
Enfin, il observe rapidement ses jambes un tout petit peu trop fines à son goût. Élancées, bien droites, mais qui manquent peut être un peu de .. formes.
Sur ses tibias, sa pilosité toute frisée le fait vaguement sourire, imaginant de quoi il aurait l'air s'il décidait un jour de s'épiler les gambettes.
En attendant, l'heure continue de tourner, et pour ne pas se mettre bêtement en retard, il tape dans ses mains pour s'obliger à bouger, et regagne son lit pour se rhabiller.
Prêt en moins de deux minutes, il n'a qu'à peine le temps de serrer une ceinture sur sa taille que le tintement de la sonnette d'entrée lui glace le sang.
Il s'arrête de bouger, entend du mouvement au rez de chaussé, la porte s'ouvrir lentement, et il devine soudain Mikumo nez à nez avec Katsuki sur le palier.
_ Non non non non non. se répète-t-il en traversant la pièce au pas de course, filant tout droit vers les escaliers.
Arrivé à la moitié des marches, il ralentit la cadence en percevant des éclats de voix, une pointe de contrariété dans la conversation qui s'ébruite à travers le murs, et un tintement d'assiette dans la cuisine.
Au loin, il reconnaît le timbre de Katsuki, bien plus calme que les protestations de Mikumo qui naviguent jusqu'à lui.
Sur la dernière marche, il manque de se retrouver le cul par terre, et se rattrape à la volée en pressant le pas vers l'entrée.
En entrant dans le salon, il remarque immédiatement la porte ouverte, et la silhouette de son cavalier du soir sous le montant, semblant tenir tête à un Mikumo qui joue les dragon gardien de donjon.
Il le rejoint sans tarder, espérant calmer le jeu par son intervention, se permettant de couper la discussion animée entre les deux autres.
_ Salut Katsuki. dit-il dans une petite grimace désolée.
_ C'est pas possible tu te fous de moi ? le reprend Mikumo en se tournant vers lui.
_ Recommence pas s'il te plaît. Katsuki m'accompagne à la soirée, c'était prévu, c'est comme ça.
Encore une fois, son frère grince des dents en le dévisageant de haut en bas, jugeant sa décision comme s'il s'agissait d'une réelle trahison.
Dans ses yeux, il détecte bien plus que de la simple colère, observant jusqu'au mépris qu'il éprouve à l'égard du blond, et son refus de lui laisser la moindre chance.
_ Pourquoi tu me l'as pas dit hier quand on en a parlé ?
_ Ça aurait changé quelque chose ? défie Izuku sans attendre de réponse. Ça m'étonnerait.
Soudain, alors qu'ils s'emploient à se disputer sur le pas de la porte, devant un Katsuki blasé qui attend juste de pouvoir passer à autre chose, la voix profonde et crue d'Hisashi les coupe dans leur élan.
_ C'est quoi encore ce bordel ? clame le père de famille en débarquant à son tour.
Arrivant dans la conversation comme un ours dans un terrier de lapin, il gonfle ses épaules en s'approchant, le pas lourd et le visage agacé.
_ C'est qui lui ?
_ Un mec de l'école qui n'a rien à foutre là. tranche Mikumo sans réfléchir à ses paroles.
_ Arrête avec ça ! défend Izuku dans la foulée.
Déjà, il voit son père perdre sa maigre patience, fusillant l'invité surprise du regard sans la moindre considération.
La tension monte en flèche, poussant Mikumo à s'agiter un peu plus, et Izuku à s'inquiéter d'un possible scandale à venir.
Devant la porte, Katsuki, lui, se sent passablement de trop, dépassé par la scène et incroyablement mal à l'aise en tant que spectateur.
_ Dis-lui de rentrer chez lui. gronde encore Mikumo, tendu comme un arc.
_ Non. T'as qu'à rester ici si tu veux pas le voir, moi j'y vais.
Puis, pour accompagner ses paroles, Izuku s'empresse d'enfiler une paire de chaussures, le cœur battant dans tous les sens, piégé par le malaise et la peur de faire fuir Katsuki.
Ses mains tremblent légèrement, en même temps que son souffle qui se vrille, mais il s'obstine à tenir tête à son frère, se préparant à quitter la maison.
Pourtant, la panique s'empare en vitesse de son jumeau, qui le voit s'éloigner de lui, et ses réflexes l'obligent à prendre sa suite, mettant sa colère de côté pour ne pas le laisser disparaître seul.
Passant la porte à son tour, ignorant Katsuki pour ne pas perdre la face, il ne s'interrompt qu'en entendant à nouveau la voix rageuse de son père.
_ Mikumo, tu te démerdes comme tu veux mais tu rentres ici demain à midi. Toi, -ajoute-t-il en se tournant vers Izuku-, je veux plus te voir. Tu vas où tu veux mais pas ici.
_ Si ça te fait plaisir.
Enfin, sans se retourner, Izuku saisit machinalement le bras de son ami mal à l'aise, l'incitant à le suivre le long du trottoir, fuyant le palier de la maison et la condescendance du père de famille.
Oscillant un instant sur ses pieds, Mikumo alterne son regard d'un côté et de l'autre, hésitant entre répondre à son père et suivre immédiatement son frère, avant d'opter pour la seconde option, tournant à son tour le dos à son domicile pour s'élancer sur le bitume.
Sans parler néanmoins, se trainant très légèrement en retrait pour garder un oeil sur son jumeau, il se retient de relancer le débat Katsuki en grimaçant d'inconfort.
_ Je suis désolé pour ça. s'excuse Izuku à l'attention de Katsuki, la mine gênée.
_ T'excuse pas. C'était ton père ?
_ Ouais ..
_ Belle ambiance.
_ N'est ce pas .. soupire Izuku en se retournant vers son frère, cherchant malgré tout son regard et sa présence.
Derrière, Mikumo se décide à presser très légèrement le pas en captant l'appel silencieux de son jumeau, s'adaptant un peu plus à sa cadence pour rejoindre sa hauteur.
Quand bien même la compagnie de Katsuki lui hérisse le poil sur les bras, il lui reste bien impossible de se tenir éloigner d'Izuku plus longtemps.
_ Comment on va faire, pour demain ? demande t-il presque timidement, conscient d'avoir lui même envenimé la situation.
_ Comme il a dit .. si tu rentres pas pour midi, tu sais que c'est encore moi qui vais m'en prendre plein la gueule. Fais ce qu'il dit, de toute façon son avion décolle à seize heures, je reviendrais juste quelques heures après toi.
_ Mais tu vas faire quoi tout seul pendant tout ce temps ?
Réfléchissant une seconde, le nez en l'air et la bouche en cul de poule, Izuku fait ensuite siffler l'air entre ses dents, soudain contrarié.
_ Merde .. j'aurai dû emmener de quoi dessiner, je serais allé dessiner le parc ou quelque chose comme ça.
_ On peut toujours te trouver ça quelque part .. se permet d'intervenir Katsuki sans hésitation. On passera chez moi si jamais.
Silencieux, Izuku sourit en même temps que Mikumo grimace, sans oser le contredire pour autant.
Pour une fois disons, il s'incline.
_ Merci Katsuki.
_ Je resterai avec toi. Si ton majordome n'y vois pas de menace.
_ Me cherche pas. grogne Mikumo comme un animal.
_ Arrêtez un peu .. souffle Izuku au moment de se poster sur l'arrêt de bus. Et tenez vous tranquille dans le bus, ce sera déjà pas mal.
Chacun d'un côté de lui, Mikumo et Katsuki se dévisagent en fronçant les sourcils, la condescendance dans le regard et l'amertume sur le visage.
Si ce n'était pas pour respecter la demande d'Izuku, ils se foutraient bien sur la gueule, là maintenant, quitte à arriver balafrés à la soirée.
Puis, quand le bus se présente enfin, phare allumés sur la route baignée dans la nuit, Izuku y monte en premier dès l'ouverture des portes, gravissant les deux petites marches sans se retourner.
Pourtant, derrière lui, Mikumo profite des quelques secondes de latence qui s'offrent à lui pour s'approcher de Katsuki, et parler près de son oreille.
_ Je sais pas ce que tu lui veux, à mon frère, mais garde tes mains dans tes poches.
_ Va te faire foutre. siffle Katsuki dans un oeillade meurtrière.
Puis, une fois installés à l'intérieur, tandis que le véhicule s'élance à nouveau pour les transporter jusqu'à leur arrêt, l'ambiance se fait plus lourde que jamais.
Pour n'éveiller la jalousie ou le mépris de personne, Izuku décide de ne prendre place ni à côté de Katsuki, ni de Mikumo, s'en allant sur la rangée d'en face en ignorant leur combat puéril de regards.
Cette situation le fatigue tellement, et il commence doucement à s'inquiéter pour la suite des événements.
Avec un peu de chance, Denki et sa troupe entraîneront Mikumo dans un stupide jeu d'alcool, et Izuku pourra souffler un peu sans percevoir la pression de son regard dans son dos en permanence.
Reste à espérer qu'il y ait assez de monde pour leur permettre de se semer mutuellement, au moins pour quelques heures.
_ Ochaco sera là ? demande finalement Mikumo après plusieurs minutes de blanc.
_ Oui. Ça te fera une occasion de t'excuser.
_ Je l'ai déjà fait.
_ Si tu veux mon avis, il va falloir t'y reprendre à plus d'une fois avant qu'elle accepte tes excuses.
Boudeur, Mikumo croise ses bras sous sa poitrine, les lèvres pincées comme un enfant contrarié et les yeux rivés à travers la vitre, observant le défilé sombre des enseignes éteintes.
_ C'est la fille avec les bracelets c'est ça ? interroge Katsuki en se tournant vers Izuku.
_ Oui, c'est elle.
_ Ton garde du corps a aussi un problème avec elle ?
_ Le garde du corps il va t'encastrer la gueule dans le siège si tu continues. s'énerve tout à coup Mikumo, la voix chargée de réelles menaces.
Claquant sa langue à son palais, Izuku calme tout le monde d'un seul regard, dévisageant les deux à tour de rôle tel que le ferait un moniteur de colonie avec deux gamins ingérables.
Le silence retombe aussi rapidement qu'il s'était brisé, obligeant les deux zouaves à se faire plus petits dans leurs assises.
_ Vous voulez bien ne pas vous chercher des problèmes à la moindre occasion ? Mikumo n'est pas mon garde du corps, et personne ne va encastrer personne.
_ C'est lui qui me cherche. se défend son jumeau en haussant les sourcils.
Fâché, et agacé par son refus d'obtempérer, Izuku soupire grossièrement en fusillant son frère du regard, lui rappelant silencieusement qu'ils se trouvent dans un bus avec d'autres personnes, et que ce n'est assurément pas le moment de se donner en spectacle.
Néanmoins, en repensant à la méchanceté dont il a fait preuve plus tôt face à Katsuki, et à son comportement plus que limite en présence de leur père tout à l'heure, il se sent soudain pris d'une envie de vengeance bien méritée.
Alors, en guise de retour de médaille, il croise comme il peut ses jambes entre son assise et le siège de devant, et cale confortablement son crâne contre l'appui tête.
_ Mikumo a décrété un jour qu'Ochaco et moi étions, selon lui, faits pour être ensemble.
_ T'es pas obligé de raconter ça ! tente t-il de l'arrêter, en vain.
_ En fait, pour être plus précis, elle m'a avoué elle même avoir des sentiments pour moi, et j'étais .. vraiment embêté et désolé de devoir lui dire que ce n'était pas réciproque.
_ Izuku, c'est bon arrête. Promis je me tiens à carreau.
Ignorant ses appels, Izuku poursuit son récit, très attentivement écouté par un Katsuki qui n'en perd pas une miette.
_ Mais Mikumo n'était pas de cet avis, et a décidé que j'étais amoureux d'Ochaco. Parce que selon lui toujours, il était grand temps que je ramène une fille à la maison, et c'était l'occasion parfaite.
_ Pourquoi tu me fais ça ? s'énèrve son frère en se relevant de son siège, tentant de venir le faire taire directement.
_ Alors, une nuit, il est venu me voler mon portable pendant que je dormais, et il a envoyé des messages à Ochaco, qui pensait discuter avec moi. Il lui a fait toute une déclaration en mon nom, il lui a raconté n'importe quoi. Et quand je suis arrivé à l'école le lendemain, j'avais aucune idée de ce qu'il avait fait. Mais Ochaco elle, elle s'en souvenait très bien, et elle pensait que ça venait vraiment de moi. Non seulement ça a mené à une situation extrêmement gênante, mais en plus ça lui a fait beaucoup de mal.
Les paupières de Katsuki clignotent frénétiquement, complètement abasourdi par cette histoire à dormir dehors, la bouche à moitié ouverte et une expression médusée collée au visage.
_ Wow .. dit il simplement.
_ Ça va, sans commentaire. intervient Mikumo en détournant le regard. C'était peut être pas ma meilleure idée, mais mon frère va crever célibataire à ce rythme.
_ La faute à qui ..? insinue Katsuki
La seconde suivante, le regard assassin d'Izuku lui tombe dessus, lui interdisant d'aller plus loin dans ses insinuations, tandis que Mikumo ne comprend strictement rien à ce qu'il a voulu dire.
Le malaise traverse le tronçon de bus pendant plusieurs secondes, obligeant tout le monde à se taire, et la libération jaillit par les portes du véhicule, quand celui ci s'arrête enfin à destination pour les laisser sortir.
Soupirant comme s'il venait de risquer sa vie, Izuku presse discrètement la main sur son cœur au moment de se relever.
Depuis cet arrêt, il leur faudra rejoindre le point de rendez vous à pied, marcher quelques minutes sur les trottoirs, avant de devoir crapahuter sur des chemins de forêt un bon quart d'heure pour rejoindre le lieu de la soirée.
Avec un peu de chance, ils arriveront entiers tous les trois, si l'un des deux marioles qui le suivent ne finit pas pendu par les pieds à un arbre ...
Néanmoins, après quelques centaines de marche, il se réjouit de tomber sur d'autres camarades de Yuei, en chemin pour la même destination, et leur présence lui permet au moins de souffler un peu, songeant que son frère et son ami n'oseraient quand même pas se mettre à se battre au milieu de tout ce monde.
Quoi que ...
Et puis, avec un peu de patience, il devrait bientôt pouvoir trouver plus de sérénité une fois sur place.
Et c'est quand même un sacré comble, pour lui qui préfère le calme et l'ambiance douce d'un cours de piano, de se retrouver à bénir la foule et la musique hurlante pour éviter que ses accompagnants ne se sautent dessus comme des chiens enragés ..
Finalement, il prie simplement pour qu'aucun drame ne lui tombe dessus d'ici demain midi ..
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Hey !
C'est rare mais je poste depuis mon portable aujourd'hui, et il me reste exactement 2% de batterie, alors je fais vite je suis désolée !
(J'ai aussi fait la relecture dessus, alors j'espère ne pas avoir loupé trop de coquilles)
J'espère que le chapitre vous a plu, il évoque enfin l'incident avec Ochaco, et la tension qu'il peut y avoir entre les trois garçons compte tenu de la situation .
On verra enfin la soirée à partir du prochain chapitre, alors j'espère que tout ça vous hype un peu 😁
D'ici là, des bisous bisous 😘😘
Prenez soin de vous ❤️🦩
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