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𝐼𝑙 𝑝𝑎𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠 ℎ𝑖𝑠𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒𝑠
𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑐𝑒𝑛𝑡 𝑏𝑖𝑧𝑎𝑟𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡.
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_ Mikumo ? 

_ Toujours pas. souffle Izuku en refermant son casier d'un geste vif. Son casier est dans la rangée d'en face. Je sais pas, faites un effort. 

Immédiatement après sa tirade, il regrette la dureté de ses mots en se retournant plus calmement, tentant de faire abstraction de l'agitation du couloir autour de lui pour prendre la peine de regarder son visiteur dans les yeux. Son visage lui revient assez facilement du reste, il se souvient de l'avoir déjà vu venir vers lui par erreur à plusieurs reprises, et il reconnait immédiatement son regard désolé, brillant de gêne face à son aura colérique. 

_ Pardon. Je voulais pas m'énerver, c'est juste ... 

Il soupire pour reprendre contenance, et ferme les yeux un instant dans l'espoir d'apaiser le mal de tête qui cogne à son crâne depuis des heures.

_ Je sais pas où il est. Mais sûrement dehors. Il attend toujours le dernier moment pour entrer. 

_ D- D'accord. Désolé. s'excuse l'autre avant de filer comme un voleur. 

De nouveau seul sur son mètre carré de carrelage, Izuku masse longuement ses tempes endolories, percevant les battements de son cœur contre ses oreilles tant la migraine frappe à son front. 
Les bruits alentours font grimper son irritabilité, tout comme le mélange de parfums qui flambe dans l'air et entre dans ses narines comme autant d'agressions physiques. 
Il rêve juste de retourner dormir, maudissant son frère de l'avoir quand même forcé à venir en cours avec lui malgré son état minable. 

D'ailleurs, il pense sincèrement à déserter l'établissement à la première occasion, attendant simplement que son frère ne puisse plus le voir se défiler pour fuir à toutes jambes et regagner son lit bien douillet, qui n'attend que lui dans le confort de sa grande chambre. 
Il l'imagine d'ici, son oreiller tout doux et tout moelleux, sur lequel il viendrait poser sa tête lourde et douloureuse, fermant ses paupières pour mieux apprécier son repos, tandis qu'il enroulerait son corps dans sa couverture tiède et agréable, jusqu'à voir des étoiles dans ses yeux fermés, et s'endormir comme un bébé pour une sieste bien méritée. 
A deux doigts d'en baver, il s'efforce malgré tout de garder les pieds sur terre, et passe une main molle dans les ondulations décoiffées de ses cheveux emmêlés pour se réveiller un tant soit peu. 

Ce foutu mal de tronche l'a choppé en plein milieu de la nuit, si fort qu'il a dû se lever pour avaler un médicament, totalement inefficace d'ailleurs, et les pulsations de sa cervelle ne l'ont plus lâché depuis. 
Les cours qui s'annoncent ne feront qu'aggraver les choses à coup sûr aussi, et il réfléchit sérieusement à se tirer maintenant, sans demander son reste ni se retourner. 
Parce que c'est pas humain de souffrir à ce point.
En plein conflit intérieur, argumentant autant dans un sens que dans l'autre avec lui même, il se perd en réflexion, les doigts pressés sur ses tempes pour tenter de faire taire la douleur qui envahit désormais sa nuque. 

_ Ca va pas Izuku ? 

Tressautant machinalement à la voix féminine qui vient d'interrompre ses pensées pénibles, il plisse les paupières, protégeant ses rétine de la lumière du plafond, et lève doucement la tête vers Ochaco, qui semble l'observer avec une pointe d'inquiétude dans le regard. 

_ Oh, salut. Hum .. Ouais, non, pas trop. J'ai la tête comme une bouilloire. 

_ Ah ? T'es malade ? T'as de la fièvre ? Pourquoi t'es pas resté te reposer chez toi ? 

Perdu dans le trop plein de questions, il balance la tête à droite et à gauche en pinçant ses lèvres, refoulant son irrépressible envie de s'allonger n'importe où et de s'endormir tel quel. 
Pendant ce temps, son amie le dévisage longuement, froissant son visage attentif d'une moue préoccupée, se dandinant nerveusement sur ses deux grosses chaussures. 

_ Non, je- C'est juste ma tête. Et je .. Mikumo voulait que je vienne. 

_ Mikumo a mal à la tête ? 

_ Non pourquoi ? demande t-il sur un ton perplexe. 

_ Alors qu'il s'occupe de lui. Tu vas pas aller en cours comme ça sérieusement. Rentre chez toi Izuku. 

Hésitant une seconde de plus, mais voyant la détermination sur le visage de sa camarade, il finit par céder au ton maternel et autoritaire qu'elle prend tout à coup avec lui. 
Frottant une de ses joues contre le plat de sa main, il souffle dans le vide en esquissant un pas en arrière, balançant maintenant la tête de bas en haut. 

_ Ok. Tu as raison. 

_ Bien sûr que j'ai raison. 

Puis, sur un dernier signe de la main, lui intimant de se dépêcher à rejoindre son lit, Ochaco secoue les clochettes de ses cheveux et les bracelets multicolores de ses poignets avant de faire volte face, s'en allant vers son propre casier. 
Vaseux, Izuku cligne encore une fois des yeux dans le vague avant d'en faire de même, fuyant dans la direction opposée pour atteindre la porte principale et sortir du bâtiment. 
Dehors, l'agitation s'apaise, bien que toujours existante, et il s'élance à contre sens dans la foule d'étudiants qui continue d'arriver sur les lieux. 

En chemin, il manque de bousculer une ou deux personnes, sans relever les yeux pour autant, se contentant de suivre ses propre pas sur le chemin de dalles. 
Ses jambes flageolent, se changeant subitement en coton imbibé d'eau, tandis que ses épaules semblent tout à coup peser dix fois le poids de son corps entier, et un vertige peu agréable l'oblige à s'arrêter une seconde pour reprendre son équilibre. 
La migraine prenant de l'ampleur, jusqu'à boucher ses oreilles et insinuer une nausée insidieuse dans son ventre, il masse une fois de plus son visage, écrasant son nez et ses joues dans ses paumes. 

_ Qu'est-ce que tu fabriques ? résonne douloureusement une voix contre ses tympans. 

Ouvrant les yeux entre ses doigts, puis redressant sa nuque pour reprendre une posture plus naturelle, il avise la silhouette de Mikumo juste à sa droite, qui arque un sourcil en attendant une réponse de sa part. 

_ Je rentre. 

_ Tu vas encore rater les cours ? sermonne son frère en crispant sa mâchoire. 

_ Mikumo s'il te plait, commence pas .. J'ai la tête prête à exploser, tu le sais en plus. 

Izuku sait combien son frère peine à suivre correctement les cours quand il ne peut pas ressentir la présence de son jumeau quelque part dans l'établissement, il sait aussi que son désir de le trainer avec lui malgré sa migraine résulte de ce besoin impermutable de le savoir près de lui. 
Mais aujourd'hui, avec un marteau piqueur entre les tempes, tout ce qu'il demande c'est un peu de calme, et la garantie de retrouver Mikumo sans dispute à la fin de la journée. 
Il déteste quand ils se fâchent. 

_ T'es sûr que t'as pris un médicament ? Ca va peut-être passer. 

_ Oui j'en ai pris un, et non ça passe pas. Ecoute, je veux juste me reposer, et si ça va mieux tout à l'heure je reviendrais pour les cours de l'après midi si tu veux. Mais là je suis K.O, d'accord ? 

Sentant ses forces lui faire défaut, Izuku termine sa phrase en protégeant ses yeux de la lumière, braquant sa main sur son front, alors que ses jambes tanguent maladroitement sur la gauche, manquant de lui faire perdre l'équilibre l'espace d'une seconde. 

_ Ow, ok ok ! s'affole Mikumo en le maintenant par l'épaule. Mais là je te laisse pas rentrer tout seul comme ça. Manquerait plus que tu fasses un malaise dans le tram. 

_ C'est bon, ça va aller. Rate pas tes cours toi, c'est important. 

Tout à coup, il discerne d'importantes lueurs de regrets dans les yeux de son frère, qui mord sauvagement sa lèvre inférieure en braquant son regard sur son corps affaibli. 
Les migraines ne lui prenaient plus trop ces derniers temps, mais force est de constater qu'elles viennent de trouver un second souffle inattendu, et Izuku espère simplement que celle ci restera exceptionnelle. 
En dépit de tout ce qui l'éloigne de son père, il fallait que le seul héritage que celui ci lui ait filé soit ses tendances migraineuses, à croire que tout était savamment préparé pour qu'il le déteste jusqu'au bout. 

 _ Je te dis que je te raccompagne, tu rentres pas tout seul. 

_ Ecoute. tranche Izuku au bord de la crise de nerfs. Je t'appelle si y'a quoi que ce soit, et je t'envoie des messages dès que je monte et que je descends du tram. Et du bus. Et quand j'arrive à la maison. Ok ? 

Ce n'est pas qu'il ne veut pas de lui, bien au contraire à vrai dire. S'il se l'autorisait, il embarquerait son frère dans son sillage et l'inviterait à squatter sa chambre pour se rassurer de sa présence jusqu'à la disparition de ses symptômes. 
Mais contrairement à lui, Mikumo tient vraiment à ces études à Yuei, et lui faire louper une partie des enseignements lui pose un véritable problème de conscience. 

_ Je suis pas franchement rassuré. 

_ L'administration t'a dans le collimateur en plus. Si tu te présentes pas en cours, tu vas avoir des problèmes pour rien. 

Persistant encore une fois ou deux, Mikumo finit néanmoins par céder aux arguments de son frère, qu'il laisse partir non sans lui répéter à deux reprises de faire bien attention, et de ne pas hésiter à l'appeler si quoi que ce soit venait à mal se passer. 
Enfin, avant de le laisser complètement filer, il s'élève sur la pointe de ses pieds, plaquant ses deux mains de chaque côté du visage de son jumeau, pour déposer un baiser fraternel sur son front. 

_ T'as de la fièvre. conclut-il après coup. Tu veux que j'appelle maman pour la prévenir ?

_ Ca va aller, merci. 

Finalement libéré, et malgré tout bien content de pouvoir regagner sa maison -et surtout son lit- Izuku fait face une nouvelle fois à la douleur qui enferme son crâne dans un étau, marchant jusqu'au trottoir qui borde l'école. 
Fixant son regard droit devant lui pour ne pas se laisser complètement tanguer, il accuse sa vision floue et ses oreilles complètement bouchées, qui l'empêchent de prendre parfaitement conscience de son environnement. 

_ Eh ! l'interpelle la quatrième voix de la journée, surgissant de nul part. 

 _ Hein ? 

Tout paumé dans le temps et l'espace, il cligne des yeux, plisse son front encore plus qu'il ne l'était déjà, et avale la salive pâteuse qui baigne sa bouche en tournant la tête dans une direction au hasard. 

_ Hum. C'est contagieux ton truc ? Non parce qu'on dirait que tu vas claquer d'une seconde à l'autre là. 

_ Hein ? répète t-il, complètement à l'ouest.

Cherchant son interlocuteur sans défroisser ses sourcils, sentant la peau de son front devenir douloureuse à force de la contracter, il pousse sur ses jambes pour pivoter légèrement, et enfin apercevoir l'expression intriguée de Katsuki, planté là à un mètre de sa misérable carcasse.

_ Ah ouais quand même. commente le blond en voyant son visage pâle et ses yeux cernés. Tu t'es fait renverser par le bus ?

_ Non. répond il comme si sa question était sérieuse. Excuse moi, j'ai juste une sale migraine.

_ Et tu vas où comme ça ?

_ Chez moi.

_ Tout seul ? Il est où ton frère ?

Fatigué de devoir discuter, alors qu'il pourrait déjà être en chemin pour son lit si tout le monde n'avait pas décidé de le retarder, Izuku soupire lourdement en fermant complètement les yeux.

_ Je peux rentrer tout seul, je suis pas une poupée en porcelaine.

_ Tu t'es regardé ? insiste Katsuki en s'approchant de lui. On dirait un cure dent en équilibre sur une allumette.

_ Merci du compliment. Je peux y aller maintenant ?

_ Je te raccompagne.

_ Putain mais qu'est ce que vous avez tous ce matin ? s'emporte Izuku dont la patience atteint sa limite.

Réagissant avec une pointe d'agacement dans les regard, Katsuki ouvre de grands yeux inquisiteurs, balançant ses pupilles de haut en bas comme pour le juger de la tête aux pieds. 
Son front se plisse de multiples rides, tandis qu'il retire ses mains de ses poches pour croiser ses bras sous sa poitrine, adoptant une posture de défi en réponse à l'agressivité d'Izuku. 

_ Putain, heureusement que je te reconnais par rapport à ton frère, parce que je pourrais croire que j'suis en face de Mikumo. 

_ Tu- bloque Izuku avant de se racler la gorge de malaise. Je suis désolé mais je me sens juste pas très bien. 

_ Ouais je vois ça. 

_ Mais je t'assure que je peux rentrer tout seul. Rate pas tes cours. 

_ Tu peux assurer ce que tu veux, tu ressembles à un cadavre fraichement déterré. Et les négociations c'est pas mon activité favorite, alors ton caprice je m'en fous. Viens là. 

Pour valider ses propos, Katsuki s'avance rapidement de deux larges pas, venant attraper fermement son bras, refermant solidement sa main dans le creux de son coude pour marquer sa détermination, avant de le trainer à sa suite le long du trottoir. 
Silencieux, et un peu mal mené malgré lui, Izuku le suit en s'appliquant à ne pas s'entraver dans ses propres pieds, subissant la cadence imposée par l'autre jusqu'à l'arrêt de tram. 
Enfin, quand ils s'arrêtent sous le petit abri en plexiglass, le blond l'assoit de force sur le banc vide, le jetant presque comme un sac sur l'assise. 

_ Aïe. se plaint-il en atterrissant brutalement sur les fesses. Doucement ... 

 Puis, plus tranquillement, le cendré prend place à ses côtés, étendant ses jambes devant lui pour adopter une posture nonchalante, et tourne son visage vers Izuku, l'observant avec attention. 

_ C'est déjà arrivé deux ou trois fois à ma mère, la migraine. J'crois que c'est les seuls moments de ma vie où je l'ai vu fermer sa gueule pendant plusieurs heures consécutives, alors j'imagine que ça doit être sacrément violent. 

_ T'es pas obligé de louper des cours pour autant. Je serais rentré tout seul. 

Triturant ses doigts dans la douleur, il se fait en même temps la réflexion que, quand Mikumo apprendra qu'il ne l'a pas laissé le raccompagner, mais que Katsuki l'a fait à sa place, il devra faire face à une astronomique crise de jalousie, en plus de devoir se justifier pendant au moins une bonne heure avant de pouvoir clore l'incident. 

_ Je crois que tu te rends pas compte de la tête que t'as. 

Haussant les épaules, tout en voyant arriver le tram tout près d'eux, Izuku détourne le regard en soupirant, se sentant de plus en plus gêné d'apparaitre sous une telle apparence, si maladive. 
Aussi, la culpabilité le rattrape en repensant à sa réaction de tout à l'heure, quand il s'est énervé sur Katsuki, alors que ce dernier tenait juste à lui apporter son aide. 
Vraiment, ces épisodes douloureux ne lui réussissent pas. 

_ Aller viens. reprend le blond en se relevant. Tu descends où ? 

Le front lourd, la nuque courbée sous le poids de son propre crâne, il souffre subitement de l'agitation bruyante de l'intérieur du véhicule, plaquant une main sur sa tête tout en donnant les indications nécessaires à son accompagnateur. 
Puis, se frayant un chemin entre les sièges, ils parviennent à trouver deux places assises, sur lesquelles ils s'installent pour les vingt minutes de trajet qu'ils doivent supporter avant de changer de moyen de transport. 

Dans le bus aussi, l'air se fait irrespirable pour Izuku, dont les tempes semblent gonfler comme des ballons prêts à éclater, et sur lesquels on lancerait des aiguilles. 
Mais, quand arrive enfin le moment de sortir de là, et de terminer le trajet restant à pieds, il regrette finalement sa position assise, alors que ses jambes tremblent comme des quilles sur le point de basculer. 

_ Tu tiens debout ? s'assure Katsuki en marchant près de lui. 

_ Je crois. Je suis pas encore par terre, donc j'imagine que c'est positif. 

Hésitant, Katsuki semble vouloir mettre une main dans son dos pour le soutenir, mais ses gestes s'interrompent finalement d'eux mêmes après quelques secondes d'indécision. 
Sans plus parler, se concentrant simplement sur l'équilibre du malade pour qu'il ne finisse pas le cul sur le béton, ils avancent lentement le long du trottoir, croisant quelques voitures ici et là, avant d'arriver devant la résidence Midoriya. 

_ C'est là. souffle Izuku en s'arrêtant. 

Un instant, il voit Katsuki cligner des yeux devant la grande maison, le devinant médusé par la superficie de la propriété, et estomaqué par les balcons personnels de l'étage qu'ils peuvent distinguer depuis la route. 

_ C'est .. grand. constate le blond en se ressaisissant. 

_ Merci de m'avoir raccompagné. Vraiment je m'en veux de te faire rater des cours .. 

_ C'est rien. Je vais y retourner, j'aurai juste loupé le premier. 

Hochant la tête en forçant un sourire malgré les martellements qui lui assomment le crâne, Izuku le remercie une dernière fois, avant de se tourner complètement vers son portail, rêvant déjà de son lit et de son oreiller. 
Son corps menace de le lâcher à la seconde où il mettra un pied sur le parquet de sa chambre, mais il doit se faire violence pour encore quelques pas. Ensuite, il pourra enfin se terrer sous ses draps, et espérer s'endormir jusqu'à ce la douleur s'estompe d'elle même. 

_ Alors.. On se voit lundi ? dit-il en se préparant à entrer chez lui. 

_ Ouais. A lundi. 

Enfin, déverrouillant la grille, qu'il referme immédiatement derrière lui, il se dirige lentement vers la porte d'entrée, les yeux flous et la mâchoire contractée par la douleur infernale. 
Priant pour que sa mère ne lui pose pas trop de questions, et ne le retienne pas trop longtemps au rez de chaussée, il pose sa main sur la poignée en retenant son souffle. 

_ Eh ! Izuku ! clame soudain la voix de Katsuki derrière lui. 

_ Oui ? 

Difficilement, il pivote le haut de son corps pour accorder son attention au blond, qui claque sa langue à son palais en détournant le regard comme si la gêne l'enveloppait soudainement. 

_ Avant que tu rentres .. Je peux prendre ton numéro ? 

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Coucou 🥰

Bon, c'est un peu transitif et pas très animé, mais il faut bien que ça commence de quelque part 
Rien de transcendant dans ce chapitre, mais il fallait quand même que je case ces petits moments pour en arriver là où je voulais aller
J'espère que les petits détails bkdk que j'y ai glissé vous ont quand même fait plaisir 🦩

Des bisous bisous 😘

Prenez soin de vous ❤



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