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𝐽'𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑠 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑚𝑜𝑛 𝑐œ𝑢𝑟,
𝑀𝑒̂𝑚𝑒 𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑡𝑢 𝑛𝑒 𝑑𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑡𝑎 𝑏𝑜𝑢𝑐ℎ𝑒.
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Huit heure du matin, et il entend déjà crier dans la maison.
Comme d'habitude, il traine aussi longtemps que possible dans sa chambre, là où personne ne vient l'emmerder tant qu'il n'est pas prêt et habillé pour partir en cours, et profite de ce pseudo calme malgré les éclats de voix qu'il perçoit de l'autre côté de sa porte.
Pour perdre du temps, il s'applique plus que de raison à faire son lit, replaçant les oreillers bien côte à côte sur son matelas deux places, puis tirant à deux reprises le pans de sa couverture pour l'ajuster.
Aussi, il prend garde à ne rien laisser trainer sur son sol, vérifie la poussière sur son bureau, et termine sa petite routine en ouvrant les volets de la pièce.
Tout à coup, un rayon de soleil pénètre l'espace, illuminant les quatre murs jusqu'à éblouir ses yeux encore acclimatés à la semi obscurité du réveil. Katsuki apprécie cette saison, quand le ciel se montre clément et que les couleurs reviennent prendre part au quotidien.
En même temps, la brise fraiche d'avant midi souffle sur son visage, réveillant sa peau fraichement sortie du sommeil, et balayant ses cheveux sur son front.
Ce matin, il ne met pas de cire sur ses mèches, parce qu'il se tient une monumentale flemme de passer dix minutes à discipliner sa coiffure, quitte à passer la journée avec cette allure passablement négligée.
En vérité, d'ailleurs, il préfère quand il peut laisser sa chevelure respirer un peu, quand elle s'aplatit plus librement sur son crâne, et qu'il peut passer la main dedans autant de fois qu'il le souhaite sans s'inquiéter de tout déranger.
En plus, il les a lavés hier soir, et ils sont encore tout doux.
Enfin, contraint de sortir de son trou à un moment ou un autre, il jette un dernier regard à son apparence globale dans le miroir de sa chambre, desserre un peu plus sa cravate, froisse légèrement le tissu de sa chemise, et ajuste la ceinture de son pantalon d'uniforme une dernière fois.
En dépit du confort non négligeable de cette tenue, il a hâte de pouvoir profiter à nouveau d'une journée avec des vêtements normaux, dès demain, alors que la semaine se termine ce soir.
Depuis mardi et son après midi de sèche, il a passé le reste de son temps à attendre le week-end pour se reposer un peu, et faire le bilan de ses débuts dans l'établissement de Yuei.
Alors, maintenant que vendredi se pointe enfin, il prie pour que la fin des cours arrive aussi vite que possible.
_ Katsuki bouge ton cul tu vas être en retard ! résonne la voix insupportable de sa mère depuis le rez de chaussée.
_ Arrête de gueuler, peau de vache !
Déjà blasé par les rapports familiaux qui existent dans cette maison, il soupire son âme entière avant de quitter le réconfort de sa chambre, et dévaler les escaliers comme un pachyderme pour rejoindre la cuisine, et le petit déjeuner qui l'attend dessus.
En bas, son père glande tel une larve sur le canapé, encore en caleçon et la gueule endormie, mais déjà à fond sur l'écran de son téléphone, qui affiche un fil d'actualité quelconque.
_ Le vieux aussi va être en retard. dit-il à sa mère en passant à côté d'elle.
_ Masaru ! s'agace Mitsuki en réalisant que son mari n'en branle pas une dans son coin. Habille toi bordel, ça te gênerait de faire quelque chose de tes dix doigts de temps en temps ?
Lentement, sans la moindre pression, le père de famille pivote sur son assise, lâchant graduellement son téléphone du regard, pour lancer une œillade narcissique à son épouse débordée.
_ Tu veux qu'on parle de ce que je sais faire de mes dix doigts ?
_ Putain, parlez de ça quand on est pas là. râle Katsuki en cherchant une tasse propre dans un placard. C'est dégueulasse.
Vraiment, leur manière de ne pas savoir se tenir lui dresse les cheveux sur la tête à chaque fois, et il se demande régulièrement s'ils sont véritablement les adultes de cette barraque.
_ Ca va, vous êtes plus des bébés. tente de se défendre Masaru en quittant le canapé.
_ Peut-être, mais Eri et moi on veut juste prendre un foutu petit déjeuner sans parler de vos affaires de cul. Ta fille a pas besoin de savoir ce que tu fais avec maman et .. et tes putains de doigts là. Tu fais chier, j'ai plus faim avec vos conneries.
Non loin de lui, assise à une chaise avec une tartine à peine mordue devant elle, Eri hoche la tête en signe d'approbation, avant de repousser sa nourriture loin devant elle.
_ Ouais, moi non plus. dit-elle en soupirant .. Et en plus j'ai sport ce matin.
_ Papa. reprend Katsuki en croisant les bras sous sa poitrine. File moi de la thune.
_ Pour quoi faire ?
_ Pour qu'on puisse aller s'acheter un truc à la boulangerie Eri et moi. A cause de toi on peut plus manger ici. C'est de ta faute, donc c'est à toi que je demande.
L'anarchie de cette famille en ferait sûrement pâlir plus d'un. Peut être la faute à la banlieue, à ce train de vie parfois douteux, ou bien simplement à l'irresponsabilité notoire de son père.
Il ne se souvient pas de l'avoir vu sérieux une seule fois dans son existence, et même quand il essaie, il n'est pas crédible de toute façon.
_ Merde. crache Masaru dans un soupir. Prends dans mon porte feuille.
Plus loin dans la pièce, accoudée au plan de travail, Mitsuki observe la scène sans commenter, simplement dépassée par l'attitude de son mari et son incapacité à se tenir devant ses gosses.
C'est vrai, Katsuki et Eri en profitent parfois pour lui demander tout et n'importe quoi, conscients qu'il n'a aucune autorité sur eux, et pour être honnête elle ne peut même pas leur en vouloir.
Masaru est désespérant, et à la place de ses gamins, elle ferait probablement pareil ..
_ Soyez pas en retard quand même. dit elle en les regardant fouiller le porte monnaie de son époux.
_ A ce soir maman ! carillonne seulement Eri en balançant sa main en signe d'au revoir.
Puis, leur argent dans la main et le ventre tout à coup très affamés, Katsuki et sa petite sœur disparaissent derrière la porte d'entrée, fuyant la propriété pour gagner la boulangerie la plus proche.
Dehors, il fait déjà bien jour, et même si la température demeure timide à cette heure ci, ils peuvent profiter pleinement des rayons doux qui couvrent leurs peaux et du calme encore ambiant du début de journée.
_ Eh, on regarde un film ce soir ? reprend la jeune fille en secouant sa longue queue de cheval dans son dos. Maman a refait le stock de bonbons !
_ Ok, mais cette fois c'est moi qui le choisit.
_ Pourquoi ?!
_ Parce que tu m'as déjà fait regarder Titanic cinq fois, et je commence à en avoir plein le cul de Jack.
_ Ok, va pour cette fois ..
En passant devant la gare, et snobant l'arrêt de bus qu'ils doivent normalement emprunter, ils continuent leur trajet ensemble jusqu'au magasin de pâtisseries, alors que les estomacs commencent à gargouiller à l'unisson, quémandant le repas gâché par leur père.
Marchant en tête, Eri balance sa queue de cheval à droite et à gauche au rythme de ses pas, pavanant sa jolie coloration derrière elle, tout en prenant soin de garder la tête haute.
Son uniforme de collégienne lui donne des airs inoffensifs et innocents, et finalement, quand Katsuki y pense, c'est ce qu'elle est. Et lui, il sait combien le monde peut être cruel.
_ Ca se passe bien au collège ? prend-il la précaution de vérifier en accélérant le pas pour la rejoindre.
_ Euh, ouais. Ouais, pourquoi ?
_ Tes cours se passent bien ? Tu t'en sors ?
Ralentissant la cadence pour mieux dévisager son frère, l'adolescente fronce les sourcils en tournant son regard vers lui, replaçant machinalement sa mèche sur la cicatrice de son front.
_ Oui, ça fait que trois jours alors bon .. Mais les profs sont cools et ils expliquent bien.
_ Et le reste ?
_ Quoi le reste ? feinte la plus jeune en plaquant ses cheveux sur son front.
_ Ca fait deux fois que tu remets ta mèche en place Eri.
Et Katsuki connait sa sœur, le complexe important que représente cette cicatrice qui barre une partie du haut de son visage, et la façon dont certains ont déjà pu se montrer méchants à son égard vis à vis de ça.
Il n'a pas besoin qu'elle le dise pour comprendre que quelque chose se passe mal dans ce nouvel établissement où personne ne la connait, et où elle doit de nouveau assumer son imperfection toute seule, sans personne pour la défendre sur place.
_ Quelqu'un t'a dit quelque chose ? insiste-il en la voyant baisser les yeux.
_ Non pas vraiment .. C'est juste .. Rien, tout va bien je t'assure.
_ Et moi je t'assure que je suis le Pharaon, c'est pas pour autant que c'est vrai. T'as rien à me cacher, et si quelqu'un te pose des problèmes, tu sais que je peux m'en occuper.
_ Je sais .. Mais j'aimerais autant que tu ne casses le nez de personne, cette fois .. souffle t-elle en arquant un sourcil entendu.
En raclant sa gorge de malaise, Katsuki détourne le regard en repensant à ce gamin a qui il a appris la politesse, après l'avoir entendu se moquer du visage de sa sœur, et dont la mère a bien failli porter plainte le lendemain.
Il se souvient parfaitement du scandale que ça a déclenché, et de la soufflante que lui a passé Mitsuki en apprenant ce qu'il avait fait, quand bien même il s'agissait de défendre l'honneur d'Eri.
_ J'ai pas l'intention de faire ça .. Mais je veux pas que t'aies des emmerdes à cause d'une bande de petits cons.
_ Ils font rien .. Je les entends juste.. des fois.. dans mon dos.
_ T'es largement capable de leur dire d'aller se faire foutre. T'y arrives très bien avec moi en tout cas. tique Katsuki en lui lançant une œillade. Alors te laisse pas marcher dessus là bas non plus. Tu devrais même pas la cacher, ta cicatrice.
_ Pourquoi tu dis ça ?
_ J'en sais rien. Parce qu'elle fait parti de toi, non ? Tu l'auras toute ta vie et faudra bien que tu composes avec. Et si y'en a qui sont assez bas de plafond pour trouver ça marrant, c'est qu'ils ont rien à foutre sur ta route. T'emmerde pas avec des gens comme ça. Ils te serviront à rien.
S'il y a un domaine dans lequel il la sait instable, c'est quand il s'agit de trouver sa place au milieu de la foule, et de faire valoir sa personnalité sans que tous les regards ne se tournent que sur la cicatrice de son front.
Il le sait, elle est imposante, et profonde, elle mâche une partie de sa peau et détruit la symétrie de son visage. Et dans l'espoir de palier à ça, Eri aime se sentir adorée, adulée, par ceux qui lui sont proches.
C'est un peu un moyen de compenser son complexe, et de se rassurer, mais ce comportement lui a déjà valu des reproches également.
Et Katsuki est bien placé pour savoir que l'arrogance, qu'elle soit sincère ou simulée, n'amène jamais rien de bon avec elle.
_ Trouve toi juste quelques potes, fais pas ta connasse avec eux, et reste tranquille jusqu'à la fin de l'année. Quand le collège sera fini, ceux qui t'emmerdent partiront ailleurs, tu les reverras plus, ça vaut pas le coup de pourrir ton dossier scolaire à cause d'eux.
_ C'est ce que tu fais, toi ? sourit-elle avec un éclat malicieux dans le regard.
_ C'est ce que j'ai décidé de faire, ouais. Et pour l'instant ça marche bien.
_ On dirait oui. Izuku a l'air .. très sympa. insiste t-elle dans un clin d'oeil chargé de sous entendu.
Soudain mit mal à l'aise, Katsuki donne un léger coup d'épaule aux diablotin qui lui sert de sœur tout en claquant sa langue à son palais, juste avant de tourner sur sa droite pour entrer dans la boulangerie tant désirée.
Passant les portes automatiques pour se placer à la fin de la file d'attente, voyant plusieurs personnes déjà devant eux, il se racle la gorge et se penche vers elle pour parler plus doucement.
_ Recommence pas avec ça. Je t'ai déjà dit qu'il est trop vieux pour toi.
_ Ah mais je parle pas de moi. ricane t-elle en butant son regard dans le sien. Il t'a encore raccompagné hier, vous avez séché ?
_ N- Non pas du tout. Il s'est engueulé avec son frère, alors il a décidé de trainer un peu avant de rentrer chez lui, et du coup il m'a raccompagné. C'est tout.
_ Il a un frère ?
Roulant des yeux, priant pour se sortir rapidement de cette conversation, il avale sa salive et fait tourner trois fois sa langue dans sa bouche avant de répondre, cherchant la formule la plus appropriée pour ne pas encourager sa sœur à le questionner de trop. Même si, il le sait avec elle, c'est peine perdue.
_ Un jumeau ouais ..
_ Ouuh, deux pour le prix d'un. Les deux t'intéressent ?
_ Sûrement pas. Mikumo est une tête de con qui pense qu'à sa gueule, et il m'a fait chier dès le premier jour.
Puis, tandis qu'il ne reçoit aucune réponse et que les secondes défilent en silence, Eri hausse ses deux sourcils pour donner à son visage une expression entendue, et Katsuki réalise son faux pas dans un sursaut, s'empressant alors de rajouter :
_ Et j'ai jamais dit qu'Izuku m'intéressait.
_ Tu l'as pensé si fort que je suis sûre que même maman l'a entendu.
_ Ne va pas raconter n'importe quoi à maman, elle va plus me lâcher après ! Tu te fais des films. Et je le connais depuis deux jours, je trouve que tu t'emballes un peu.
_ Oui, et Izuku t'a mis le couteau sous la gorge pour que tu fasses une après midi sushis et musée avec lui. Depuis quand tu fais ce genre de choses ?
_ C'était intéressant, y'a rien à ajouter. se défend il en avançant en même temps que la file d'attente.
_ Tu m'en diras tant.
Grognant comme un ogre mal luné, il regrette amèrement d'avoir raconté sa session école buissonnière au démon Eri, il aurait dû se douter que ça se retournerait contre lui à un moment ou un autre.
Avec les années, il se demande encore comment il fait pour continuer de se faire avoir à chaque fois ..
_ Tu sais que je suis pas obligé de tomber amoureux de tout ce qui croise mon chemin. Pour qui tu me prends ?
_ Mais je n'ai rien dit de tel très cher grand frère. Mais tu es aussi asocial que maman en temps normal. T'as beau faire le gentil, moi je te connais, et c'est bien la première fois que tu laisses quelqu'un t'approcher aussi facilement. Il t'a fait quoi ? Il te menace ? Tu lui dois de l'argent ?
_ Je ne lui dois rien du tout ! Il a juste- Il m'a proposé de venir, et j'ai accepté parce que- .. Je sais même pas pourquoi je parle de ça avec toi !
_ Parce que toi et moi on aime tous les deux les mecs, et à défaut d'avoir des copines pour faire la commère tout en matant des culs, je me contente de tes petites histoires.
_ Pitié ..
Voilà autre chose ..
Être la distraction romantique de sa sœur ne l'enchante que très peu il faut le dire, d'autant plus qu'il ne lui fait aucunement confiance pour tenir sa langue ou se comporter normalement en présence d'Izuku désormais.
Alors, c'est vrai qu'il le trouve à son gout, et que sa compagnie lui plait autant que son rire, mais tout de même .. De là à tirer des plans sur la comète comme le fait sa sœur ..
Izuku reste un presqu'inconnu à ce stade, il ne sait quasiment rien à son sujet, et peu importe à quel point il peut trouver ses yeux attirants, ça ne change rien au fait qu'il ne le connait pas plus que ça, et qu'Eri se fait des films quant à ce pseudo coup de foudre qu'elle semble vouloir invoquer.
_ Vous allez faire un truc ensemble ce week-end ? renchérit-elle tout en commençant à chercher son bonheur dans la vitrine.
_ Arrête avec ça j't'ai dit. J'ai même pas son numéro, et non, je compte pas passer le week-end avec lui.
_ Comment ça t'as pas son numéro ?! Sans déconner faut tout vous apprendre à vous les mecs. Tu crois que ça va te tomber tout cuit dans la bouche ? Si tu le veux, ce mec, faut que tu sois entreprenant, bouge toi le cul.
_ Mais qui t'a dit que je le voulais ? peste Katsuki juste avant de faire enfin face à la caissière. Lâche moi avec ça, et dis moi plutôt ce que tu veux bouffer. On va être en retard.
Taquine, Eri fait mine d'hésiter une bonne dizaine de secondes, reluquant tout le rayon en frottant son index sur son menton comme si elle ne savait pas déjà ce qu'elle voulait.
Cette gamine le rend cinglé de jour en jour, et il jure qu'elle finira pas lui faire complètement perdre la boule un de ces quatre.
_ Je veux un muffin, avec plein de chocolat, comme celui là. sourit elle en pointant le petit gâteau du doigt.
_ Je vais prendre la même chose alors. soupire Katsuki en secouant la main devant lui.
Puis, tandis que la jeune serveuse s'occupe d'emballer leur commande dans un joli papier décorée, Eri se hisse sur la pointe de ses pieds pour parler à l'oreille de son frère, qui fronce immédiatement les sourcils de désespoir en percevant son murmure.
_ Et tu prends rien pour Izuku ? Je suis certaine qu'il sera charmé si tu lui ramènes le petit déjeuner.
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Hey !
Alors, avant toute chose, parce que je sais que 70% des commentaires vont porter là dessus, oui Masaru est totalement Out of Character. Et c'est tout ce que j'ai à dire dessus 😅 C'est juste un choix scénaristique, pour une fois il sera le parent irresponsable ✨
Sinoooooon .. Je ne sais pas vraiment ce que je pense de ce chapitre, mais j'aime bien la relation amour vache entre Katsuki et Eri. J'ai trois sœurs, et je sais que je suis capable de les détester et de les aimer en même temps, voire même à être méchante avec elles mais finalement continuer de les adorer. Avec eux, j'avais envie de pousser cet aspect relationnel à son paroxysme, parce que je trouve que leurs caractères respectifs s'y prêtent bien.
Mais ce qui compte surtout c'est que ça vous plaise et que l'histoire avance correctement. Encore une fois, j'ai pas de plan alors je fais un peu à l'aveuglette.
En tout cas, plein de bisous en attendant la suite 😘
Prenez soin de vous ❤
Je vous aime 🦩🦩
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