❧ 𝗖𝗛𝗔𝗣𝗜𝗧𝗥𝗘 𝗩.
➳ ʙᴏɴɴᴇ ʟᴇᴄᴛᴜʀᴇ.
☙ TW : Contenu sexuel :
— Masturbation.
Ajax avait des choses à faire ailleurs. Il t'avait alors quittée dès l'instant où il fut sûre que tu étais allongée sur votre lit, tes pillules sur la commode près de toi ainsi qu'un grand verre d'eau.
Tu t'es alors enfermée.
Ta main plongea dans ton soutien gorge pour en faire sortir le papier complètement repassé met courbé comme s'il avait prit la forme de ton sein. Il était également légèrement humide. Mais heureusement les écritures y étaient toujours. Et les chiffres étaient clairs.
Il fallait que tu les mémorises avant de te débarrasser de ce morceau de papier.
Pendant les trente minutes suivant, tu mis corps et âme à la mémorisation de cette suite de chiffres. Une fois qu'elle fut ancrée dans ta tête, tu laisses ton corps s'effondrer sur le lit. Tu te sentais épuisée.
C'était sûrement les pillules qui faisaient enfin effet étant donné que la douleur dans ta tête s'était adoucie.
Mais tu devais te débarrasser du papier. Ton regard se pose sur la cheminée, éteinte. Il fallait que que tu appelles Hannah, ou n'importe qui pour la rallumer.
Mais tu tombas dans un profond sommeil.
Si il était à peine dix-heure quand tu fermas les yeux, tu les rouvris pour voir que l'horloge affichait dix-neuf heures piles. Ce sont les bruits dans le couloir qui t'ont réveillée.
Le bout de papier était toujours dans ta main et tu t'empresses de le fourrer dans la taie de ton oreiller quand la porte s'ouvrit sur Ajax.
Il pouvait bien se déchaîner contre toi encore. Cela se terminera bientôt de toute façon.
Tu t'étais préparée à tout. Mais Ajax s'est juste allongé près de toi en soupirant lourdement tandis que sa main venait déboutonner sa chemise.
— Oh ? Son regard se pose sur toi. Tu dormais ?
Un sourire se dessine sur ses lèvres alors qu'il se blottissait contre toi, laissant ses cheveux roux te chatouiller le nez. Son dos s'arque alors qu'il s'étirait dans un long râle de fatigue puis il te pris simplement dans ses bras.
Il était... normal.
— C'est quoi ce regard ? Marmone-t-il en souriant malicieusement. Je ne vais pas te manger.
Sa main vient doucement glisser en-dessous ta robe pour remonter jusqu'à ton flanc. Il caressa la lettre doucement, comme s'il l'affectionait.
— D'habitude, à cette heure, tu es violent. Tu finis par avouer en baissant les yeux.
Si cette remarque était destinée à lui faire réaliser l'impact de ses actes sur toi, elle n'en fit rien. Ajax détourne simplement du regard semblant réfléchir avant de hausser les épaules, pressant ton corps contre le sien.
— Je m'en souviens plus. Murmure-t-il en dépêchant ses mains en-dessous de ta robe.
Tu fermes les yeux, reprimant un soupir. Il était incorrigible.
Prenant place au-dessus de toi, Ajax enterre son visage dans ton cou pour y poser de doux baiser. Ses mains saisissent les tiennes pour guider tes bras autour de son cou avant qu'il ne vienne remonter ta robe à l'aide de ses mains gantées.
— Ajax...
— Je ne ferai rien. Assure-t-il en prenant en coupe le galbe de tes seins dans ses grandes mains. Je veux juste te toucher.
Ses lèvres viennent planter un baiser sur ta poitrine par-dessus le tissus de ta robe, ses yeux ne quittant jamais les tiens.
Il avait dit qu'il n'allait rien faire. Pourtant tu sentais son sexe dur contre ta cuisse alors qu'il reniflait profondément ton parfum depuis ton cou.
— Ajax...
Ajax fredonne simplement en réponse en plaçant son avant bras au dessus de ta tête, mettant son visage au niveau du tien. Il t'adressa un sourire carnassier.
Sa main prend doucement la tienne, la guidant doucement dans l'espace entre vous.
— Aide-moi. Murmure-t-il en laissant ta main s'accrocher à la ceinture de son pantalon. Je ne te toucherai pas, mais ça me ferrait plaisir si tu m'aidais à me soulager. C'est un peu de ta faute, après tout.
Tu déglutis et hoche simplement de la tête.
Ça va, tu savais le faire. Ce n'était pas la première fois.
Ajax sourit sans te quitter des yeux. Ton visage rouge et ta moue troublée étaient mignons.
Tes mains vinrent doucement retirer sa ceinture avant de déboutonner son pantalon. Ajax rit doucement en voyant la lenteur à laquelle tu allais. Comme si tu craignais quelque chose.
Ce n'est que quelques minutes plus tard que son membre fut libéré de ses vêtements. Ajax souffle en sentant ton contact et relève doucement ta robe te faisant paniquer.
— Shh... Je vais rien faire, promis. Juste... Je veux juste te toucher.
Sa voix était haletante et tremblante alors que la sueur commençait a se faire voir sur son front. Saisissant à nouveau ta main, Ajax t'invite à l'enrouler autour de son membre et immédiatement, il étouffa un gémissement.
Ses yeux étaient fermés et il mordait sa lèvre infiniment, comme s'il s'empêcher de gémir à ton contact.
Tu finis par doucement le caresser, bougeant ta main de haut en bas. Doucement.
— Aah... Halète-t-il en levant légèrement les hanches pour plus de contact. Plus vite, s'il te plaît.
Tu obéis, accélérant tes mouvements autour de lui et presque aussitôt, Ajax enfouis son visage dans ton cou, cessant de se retenir pour gémir désormais.
Ton toucher. Juste le tiens. Ton toucher était divin. Il n'y avait que toi pour le mettre dans cet état. Surtout avec cet air troublé et ce visage rouge que tu portais.
C'était infernal d'avoir à se retenir pour ne pas te briser d'avantage.
Sentant ton pouce venir caresser son gland, un autre gémissement plus fort lui échappe. Sa main qui ne serrait pas le drap au dessus de vos têtes vient s'agripper à ta taille afin de rapprocher ton corps et presser son sexe contre ton ventre.
Il aimait bien ton ventre ces derniers temps.
Étouffant son dernier gémissement dans un baiser, Ajax jouis sur ton ventre, se pressant intensément contre toi, s'imaginant t'imprégner. Te faire porter son bébé.
Ajax s'éloigne doucement de tes lèvres pour reprendre son souffle. Ses yeux étaient vitreux et tu sentis son pouce venir enduire sa semence sur ton ventre. Un sourire absent se dessine sur ses lèvres.
C'était incroyable.
— Je vais me nettoyer... Murmures-tu en posant une main sur son épaule pour t'éloigner de lui.
— Attends un peu...
Il tend la main pour ouvrir un de tes tiroirs de la commode pour en sortir des lingettes. Il se dégage enfin de toi et te nettoie le ventre en clignant doucement les yeux. Comme s'il essayait de s'empêcher de s'effondrer.
Il revient quelques secondes après avoir jeter les lingettes qu'il venait d'utiliser. Il était à nouveau vêtu d'un autre bas.
Sans détour, il se laisse tomber sur toi, sa tête contre ton ventre et ses bras autour de toi.
— Merci. Marmone-t-il avant que tu ne sentes sa respiration se faire régulière.
Il s'endormit rapidement.
❧
Il faisait nuit. Environ deux heures du matin. La pièce était trop sombre pour que tu puisses voir l'heure affichée par l'horloge. Mais tu ne dormais pas.
Ajax avait changé de position, son bras était autour de toi et sa tête plongée dans ton cou. Il dormait profondément.
Cela faisait bientôt cinq minutes que tu cogitais. Il te fallait un téléphone. Un téléphone que tu cacheras quelque part pour pouvoir l'utiliser quand Ajax ne sera plus là afin d'appeler le numéro que Zhongli t'avait remise. Tu priais pour que ce soit le sien.
Prenant ton courage à deux mains, tu soulèves doucement le bras d'Ajax de ton corps et te dépêche de quitter le lit avant de reposer doucement son bras dessus.
Il dormait toujours.
Le souffle tremblant, tes pas se firent discrets et silencieux alors que tu avançais doucement dans la pièce essayant de voir à travers la faible luminosité.
Ajax avait un téléphone qu'il utilisait tout le temps. Mais il en avait d'autres dans son bureau. Dans le sixième tiroir de la bibliothèque en partant de la gauche.
Tu ouvris doucement la porte du bureau. Sans enlever ta main du poignet de la porte, tu lances un regard vers le lit, Ajax y était toujours. Tu entres alors doucement dans le bureau sans fermer la porte.
Tes mains tremblantes tâtonnent les murs afin de te diriger vers la bibliothèque sans faire de bruit. Sentant la texture d'une suite de couverture de livre sur le bout de tes doigts, tu t'abaisses doucement et commence à compter les tiroirs au toucher en partant de la gauche.
Arrivée au sixième, tu l'ouvris doucement. Ta main y plonge et tu tâtonnes encore une fois avant que ta main ne heurte la forme familière est lisse d'un écran.
Un souffle de soulagement t'échappe. Il y'en avait plusieurs.
Tu pris le premier qui te tombas sous la main et l'allumas en priant pour qu'elle ait assez de batterie.
Quarante-sept de pourcentage. Ça devait le faire.
Rangeant le tout comme tu pensais l'avoir trouvé, tu ressors du bureau et fermes la porte derrière toi. Ton regard ne quitte pas le lit où Ajax dormait encore.
Tu quittes alors la chambre, descendant les marches pour te rendre au rez-de-chaussée. Juste près de l'entrée du manoir, dans le couloir, il y'avait un large commode rempli de prix et de diplômes d'Ajax. Ainsi que certains cadres photo. Aucun domestique n'était autorisé à l'ouvrir et seul la vitre était nettoyée tous les jours.
Tu caches le téléphone à l'intérieur, écran vers le bas et en mode silencieux. Juste derrière deux cadres. L'un avec son frère, Teucer, dessus et l'autre avec vous deux, le jour de votre mariage.
Tu fermes violemment les yeux en refermant la vitrine priant pour que le bruit ne se fasse pas entendre.
Mission accomplie.
Tu entrepris de remonter les escaliers. Il te fallait juste retourner au lit maintenant et tu pourras enfin calmer le rythme frénétique de ton cœur.
En fermant doucement la porte de la chambre derrière toi, ton cœur rate un battement quand tu t'es tournée pour faire face à Ajax. Il était assis sur le bord du lit. La lampe de chevet était allumée te permettant de le voir clairement.
Depuis combien de temps est-il réveillé ?
— Où étais-tu ? Marmone-t-il en se frottant les yeux à l'aide de son pouce et de son index.
Il était encore dans les vapes.
Tu t'empresses de profiter de la situation, t'approchant de lui pour éteindre la lumière et lui caresser le dos.
— J'avais un peu soif, c'est tout.
Ajax marmona quelque chose d'inaudible en entoure ton corps de ses bras avant de vous faire tomber sur le lit, son visage enfouie dans ta poitrine couvert par le tissus soyeux de ta nuisette.
Tu l'avais mise peu après qu'Ajax ait sombré dans un sommeil profond.
— Le lit est froid sans toi...
Tu plonges doucement ta main dans ses cheveux pour le détendre. Ça marchait à merveille.
Bientôt, tu le sentis se détendre contre toi, plongeant à nouveau la pièce dans le silence.
Les battements de ton cœur se calmèrent enfin et tu pus souffler un bon coup. Tout était bon maintenant. Enfin, presque.
❧
Ce n'est qu'en prenant ton petit-déjeuner le lendemain que le papier te revint en mémoire. Tu l'avais enfoncé dans la taie d'oreiller par peur qu'Ajax le trouve.
Immédiatement, tu laisses tomber la tranche de pêche que tu dégustait avant de quitter la table et de te précipiter vers la chambre.
Ajax était dans son bureau, il fallait que tu fasses vite.
En ouvrant la porte, tu retiens un mouvement de recul en voyant Hannah et Luli, une nouvelle, ranger la chambre. Les taies avaient été changé.
— Madame ? Vous allez bien ? Vous avez l'air toute pâle. S'enquit Luli en relâchant la couverture qu'elle tenait pour se précipiter vers toi.
— Ah, Luli... Je— J'ai égaré un petit bout de papier... Vous ne l'aurez pas vu par hasard ?
— Vous devriez demander au Maître, tous les papiers égarés lui sont rapportés dans son bureau ! Et j'ai clairement mis ce papier dans le pile, jaune avec un numéro dessus, c'est bien ça ?
Misère...
— Oh, oui oui ! M... Merci. Tu souris nerveusement et elle s'incline légèrement avant de saisir la couverture qu'elle avait laissée tomber plutôt.
Elle et Hannah finirent leur travail dans la chambre avant de la quitter en te saluant en passant. Tu leur rendis leur sourire et fermes doucement la porte, tremblante. Ton regard se pose sur la porte fermée du bureau d'Ajax.
S'il trouvait ce numéro, il allait te tuer.
Doucement, tu avances vers la porte du bureau. Tu l'ouvris doucement et dès que ton regard embrumé par la panique se posa sur lui, tu déglutis.
Il te fixais comme s'il t'attendait.
Tes mains viennent doucement saisir le tissus de ta robe alors que tu avançais doucement. Comme pour te rassurer, les chiffres du numéro se mirent à défiler dans ta tête.
Ouf, tu n'avais pas oublié.
— Je suis de bonne humeur aujourd'hui. Je te laisse m'expliquer. Sourit Ajax en posant le bout de papier sur la table, entre vous deux. Ce n'est pas à moi.
— Ajax—...
— Hum ?
— Je voulais qu'on y aille ensemble, c'est tout. Souris-tu nerveusement en faisant le tour du bureau pour te tenir près de lui.
Un long vase posé au sol te fis de l'œil.
— Où donc ? Ses doigts vinrent saisir une de tes mèches alors qu'il te souriait.
— En face de l'hôpital qu'on a visité, i— il y'a un café. Viktor dit que c'est sympa. Expliques-tu sans même savoir où tu voulais en venir.
— Et ce numéro ? Est-ce le numéro du propriétaire du café ou quelque chose comme ça ?
— Oui ! Oui, c'est ça ! Je— Je voulais te faire la surprise.
Ajax fredonne en posant un baiser sur tes mèches sans jamais te quitter des yeux. Tu mentais.
Il le savait. Et tu savais qu'il le savait.
Tu avais l'air d'un petit lapin égaré alors que tu tremblait en détournant le regard, redoutant ce qu'il allait te faire.
Ajax sourit.
Mignonne.
— Et si on les appelait ? Pour se renseigner sur le menu, peut-être.
Tu tentes tant bien que mal de garder ton sang froid.
Il s'amusait de la situation, c'était clair.
Posant un doigt sur le papier, Ajax l'aplatit pour voir clairement les chiffres qui y étaient. Il se tourne ensuite pour saisir le téléphone fixe afin de le composer.
Et c'est là que ça a dérapé.
Tu ne savais pas ce qui t'a pris, mais le vase était désormais brisé, Ajax gisait au sol gémissant de douleur tandis que du sang s'ecoulait par petite quantité sur le tapis et tes mains tenaient ce qu'il restait de cette magnifique décoration en verre.
Avant qu'il ne puisse reprendre pleinement conscience, tu saisis le papier sur le bureau et sort du bureau en courant aussi vite que possible.
C'était maintenant ou jamais.
— [Y/N] !!!
Le cri d'Ajax était furieux et bruyant manquant de te faire sursauter. Il était hors de question que tu refasses demi-tour.
En déboulant les escaliers, tu saisis un fusil qui était accroché au mur. Tu te servis de sa base pour briser le vitre de l'armoire où tu avais gardé le téléphone la veille avant de saisir ce dernier et de sortir du manoir en courant.
𝗠𝗔𝗦𝗖𝗔𝗥𝗔𝗗𝗘.
Miam pêche
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