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❧ 𝗖𝗛𝗔𝗣𝗜𝗧𝗥𝗘 𝗜𝗩.

Il s'est dépublié pour X raison..

➳ ʙᴏɴɴᴇ ʟᴇᴄᴛᴜʀᴇ.

Bientôt, tu faisais face à la dame d'accueil. Ajax restait derrière toi se contentant d'être intimidant alors que la dame prenait un appel.

- Le généraliste va vous recevoir de suite. Elle sourit agréablement en vous indiquant le bureau de ce dernier.

Tu hoches doucement de la tête alors qu'Ajax posait sa main sur ton dos pour te faire avancer vers le bureau.

Il semblait pressé. Et tendu.

Tu glisses timidement ta main dans la sienne pour le calmer. Il ne fallait pas qu'il soit difficile, pas maintenant.

Ajax sourit tendrement à ton geste et caresse le dos de ta main à l'aide de son pouce.

Tu devais trouver un moyen de te débarrasser de lui.

À quelques mètres du bureau du généraliste, les cieux répondirent à ta prière silencieuse et le téléphone d'Ajax sonna dans sa poche. Tu reprimas un soupire de soulagement alors qu'il pestait.

- Je te rejoins après cet appel. Rassure-t-il en posant un baiser sur ton front avant de s'éclipser, le téléphone collé à son oreille.

Tu étais désormais seule en face de la porte du bureau. Derrière ce bureau se tenait peut-être ton sauveur. Tu avais vu deux ou trois photos de lui donc tu saurais le reconnaître.

Après trois petit coups tremblants contre la porte, tu entendis une voix étouffée par cette dernière te permettre l'entrée. Et alors que tu refermais la porte derrière toi, c'était comme si tout le poids du monde venait de quitter tes épaules.

Tu fondis incontrôlablement en larmes. Franchir cette porte signifiait tellement pour toi.

Tentant tant bien que mal de voir à travers tes yeux embrumés par les larmes, tu pus reconnaître cet homme. Celui qui pouvait te sauver de cette vie.

Il avait l'air confus alors qu'il se levait de son fauteuil pour faire le tour du bureau et te rejoindre. Sa main droite vient passer autour de toi tandis que l'autre te tenait la main pour t'aider à te diriger vers la chaise qui faisait face à son bureau.

C'était commun de voir des patients se sentir mal au point de pleurer, il fallait juste y aller doucement dans ces cas-là et leur donner le temps de s'exprimer.

Ça ne pouvait pas être si grave que ça. S'était-il dit.

Mais ta main s'agrippant à sa blouse comme une dernière bouée de sauvetage le prit fortement au dépourvu alors que tu arrêtais lentement de pleurer.

- Je vous en supplie... Aidez-moi... Tu parvins à dire malgré ta voix dérangée par les soubresauts de ton corps.

Tu avais extrêmement peur. Peur qu'Ajax entre tout de suite. Tu étais si près du but.

- Naturellement, je suis là pour ça. Zhongli sourit professionnellement en posant sa main sur la tienne, celle qui tenait sa blouse afin de se dégager de ta prise.

Ce serait dommage si tu la déchirais.

Mais ta main resta fermement aggripée.

Bon.

- Oú avez-vous mal ? Sa voix se fit le plus calme possible alors qu'il te regardait jeter des regards anxieux en direction de la porte.

Démence ? Ce n'était pas son rayon, ça.

- Mon mari va me tuer.

C'était brutal mais tu n'en avais plus rien à faire.

- Il ne va pas bien, il va me tuer si je reste plus longtemps près de lui ! Je vous en supplie... Aidez-moi.

Un cas d'abus. C'était bien la première fois qu'une femme venait dans son bureau pour demander de l'aide à ce sujet. Mais Zhongli était loin d'être un homme bête.

- Calmez-vous. Souffle-t-il en serrant ta main dans la sienne. Est-ce que votre mari est ici ?

Tu hoches vivement de la tête, tremblante.

- Il n'est pas loin. Il va bientôt venir et... Il va me tuer je vous assure... Il faut- Il faut que vous me croyez.

Ta voix se fit suppliante. Et il compris qu'il était possiblement la seule personne à qui tu pouvais demander de l'aide. Ce genres de comportements s'observaient beaucoup chez les personnes qui ont eu à se plaindre plusieurs fois, sans jamais être crues.

- Je vous crois, ne vous en faites pas.

Ces quelques mots eurent l'effet d'un soulagement absolu. Un sourire soulagé se dessina sur tes lèvres en même temps que d'autres larmes faisaient leur trajet sur tes joues.

- Voulez-vous que je prévienne la sécurité ? Ou alors les autorités compétentes ?

- Non ! Non surtout pas ! Il... Il est haut gradé. Il va s'en sortir peu importe qui nous prévenons ! Et il va me tuer s'il apprend que je suis allée en parler à quelqu'un..

Un haut gradé ? Un Fatui alors. L'un des Exécuteurs peut-être ?

- Comment s'appelle-t-il ?

- Aj... Tartaglia ! Ils l'appellent comme ça...

Eh. En effet...

- Madame-...

La porte s'ouvrit. Et Zhongli pu voir ton visage se figer en même temps que tu détournais le regarde de la porte pour discrètement essuyer tes larmes à l'aide de tes poings. Tu avais retiré ta main de sa blouse.

Zhongli lève le regard vers le nouveau venu pour faire face à un homme. Un roux qu'il devinait être ton tendre époux.

Tartaglia. Il avait eu à le voir dans les journaux. Et son nom passait en boucle dans la bouche des dames. Même les infirmières s'y mettaient.

- Éloignez-vous immédiatement de ma femme. Sa voix se fit froide alors qu'il fermait la porte derrière lui, il semblait prêt à lui bondir à tout moment à la gorge.

Zhongli s'exécute néanmoins, feignant la confusion.

Allons bon, il avait vu pire.

- Il m'examine juste Ajax. Ta voix tremblante se fit entendre alors que tu te tournais pour lui adresser un sourire rassurant.

Le visage du Fatui se tordit d'inquiétude en voyant tes yeux rougis. Il vint immédiatement s'agenouiller près de toi, prenant ta main dans la sienne.

Le tremblement incessant de ton pied gauche. Zhongli le remarqua.

- Tu as pleuré ? Qu'est-ce qui ne va pas ? Il t'a touchée ?

Cette remarque manqua de faire mal à son âme de gentleman.

Jamais il ne penserait à abuser d'une femme, voyons ! Encore moins si elle était déjà abusée par son époux qui faisait semblant de ne pas voir la douleur dans ses yeux. Ou qui n'était pas assez sain d'esprit pour le voir, tout court.

C'était une possibilité.

- J'ai juste mal Ajax... Tu fis une grimace pour appuyer tes dires alors que Zhongli faisait le tour de sa table pour enfiler des gants.

Il avait compris la situation désormais. Maintenant, s'il ne pouvait pas mettre les autorités au courant, comment voulais-tu qu'il t'aide ?

Tu semblais avoir une idée en tête. Il fallait juste trouver un moyen de pouvoir recommuniquer.

- Ce n'est pas normal qu'elle ait autant mal. S'enquit l'homme. Examinez la.

Zhongli hoche simplement de la tête en reposant son stylo sur le bureau. Il enfonça le bout de papier dans sa poche.

- Ajax... J'ai la gorge sèche, ça te dérangerait de m'apporter quelque chose à boire ?

En faisant ta demande, tes doigts ont doucement voyagé dans sa main pour y dessiner quelques motifs imaginaires.

Était-ce un moyen de le distraire ?

Ajax hésita un moment mais hochas de la tête. Il lance un regard méfiant au docteur avant de s'en aller, fermant la porte derrière lui. Tu attendis d'entendre ses pas s'éloigner avant de te tourner vers Zhongli.

- Je vous assure que ce n'est qu'une facette-

- Je sais. Ne vous inquiétez pas.

La manière dont il arrivait à comprendre la situation sans remettre en cause ce que tu disais te soulageait fortement. Cet homme était un envoyé des cieux.

- Je veux fuir. Avoues-tu sans détour.

À ce stade, tu n'en avais plus rien à faire de ce que les autres pensaient de tes choix.

- S'il vous plaît, opérez-moi.

Zhongli se figea. Ancrant son regard dans le tien. Il déglutit doucement alors que sa main venait se poser sur son visage pour cacher son expression.

Il resta silencieux et te fis signe de le suivre sur un lit d'hôpital de la pièce adjacente. Il était relié à plusieurs écrans et tables.

Il comprit ce que tu voulais. Changer d'apparence pour une nouvelle identité, une nouvelle vie. Mais il ne pouvait pas.

- Je ne pourrais pas vous opérer. Annonce-t-il en prenant place sur la chaise près du lit.

Il baisse les yeux en voyant les tiens se remplir à nouveau de larmes. Tu semblais souffrir de ta vie et il ne voulait pas que tous les efforts que tu avais fournis pour parvenir à le rencontrer soient réduits en poussières.

- N'ayez crainte, je peux vous mettre en relation avec d'autres chirurgiens. Ils sont extrêmement compétents.

Non, c'était lui que tu voulais.

Tour au fond de toi, ton instinct te disait qu'il était le seul à pouvoir t'aider. Et tu t'accrochais à ça.

- Vous êtes la seule personne à m'avoir écoutée jusque là ! Protestes-tu en agrippant sa main. Je ne sais pas si je rencontrerai quelqu'un comme vous avant qu'il ne décide de me tuer... Il faut que ce soit vous ! S'il vous plaît...

Mais il ne pouvait pas.

Zhongli baisse doucement le regard dans un soupir et te rallonge sur le lit quand il entendit la porte se rouvrir. Le Fatui les rejoint avec un gobelet dans sa main droite. Il le pose sur la table et s'avance doucement pour caresser le front de sa femme, l'air de rien.

Zhongli te vis lui adresser un léger sourire, comme si de rien n'était.

- Est-ce qu'elle va bien ? Demande-t-il en posant un léger baiser sur ton front.

C'était le comportement d'un homme obsessionnel.

- Oui, elle va avoir des maux de tête pendant un moment alors il lui faudra beaucoup de repos et une prise régulière des pillules que je vais lui prescrire. Explique Zhongli professionnellement en rejoignant son bureau pour prescrire une ordonnance.

Son cœur s'est douloureusement serré quand il vit ton regard vide et dénué de tout espoir alors qu'il tendait l'ordonnance à ton mari.

Il vous raccompagna à la porte. Et juste alors que tu allais quitter le lieux où tu t'étais sentie bien pendant moins de quinze minutes, tu sentis quelque chose se glisser dans ta main avant que la porte ne se ferme.

Un léger tâtonnement te confirme qu'il s'agissait d'un papier. Un tout petit papier, de la taille d'un emballage de bonbon. Et en l'examinant discrètement du coin de l'œil, tu vis qu'il s'agissait d'un numéro de téléphone.

Ton cœur rata un battement.

Il allait t'aider ?

Reprimant ton sourire, tu te tournes vers Ajax qui semblait trop occupé à discuter avec la dame d'accueil.

Dès qu'il eut fini, il te rejoint en ajustant son manteau. Tu t'agrippes légèrement à celui-ci.

- J'ai froid.

Ajax retira immédiatement son manteau et le passa autour de tes épaules te laissant l'occasion de dissimuler le bout de papier entre ton soutien gorge et ton sein gauche sans qu'il ne puisse te voir.

Ajax te sourit et passe un bras autour de toi avant de te faire monter dans la voiture. Il tend l'ordonnance à Viktor lui ordonnant de chercher les pillules qui y étaient prescrits.

Regardant par la fenêtre avant qu'elle ne soit remontée, tu vis Zhongli. Il vous fixait du haut de son bureau se situant au cinquième étage. C'est comme si vos regards s'étaient croisés pendant un moment mais il était trop loin pour que tu puisses en avoir le cœur net.

Ajax te tira dans ses bras, laissant ta tête se reposer contre son torse alors qu'il soupirait lourdement.

- Tout ça n'aurait pas eu lieu si ces domestiques ne laissaient pas les serpillières traîner partout. Marmone-t-il en te tendant le gobelet que tu lui avais demandé.

Tu l'acceptes sans rechigner et en bus une gorgée. Du jus d'orange frais. Cela faisait du bien à ta gorge asséchée par toutes ses épreuves.

- J'étais inquiet.

Tu reviens vite sur terre.

Venait-il de dire que ta chute était entièrement la faute des domestiques ?

- Si j'ai glissé... C'était parce que j'ai paniqué en te voyant foncer vers moi, Ajax.

Tu ne savais pas d'où te venait ce courage mais tu lui avais dit. Et c'était la vérité. Pourquoi se voiler la face ?

Ajax semble déconcerté un moment.

- Tu n'aurais pas glissé s'il n'y avait de serpillières sur ce sol.

- Cela fait depuis que j'habite avec toi qu'il y'a des serpillières dans notre salle de bain ! Je n'ai jamais glissé dessus.

La colère l'avait emporté. Comment osait-il rejeter la faute sur autrui ? Comment osait-il le faire alors que pas plus tard qu'une heure, il te caressait les cheveux avec ce regard empli de culpabilité ?

Était-il seulement sincère dans ses expressions ?

- Je ne m'en... souviens pas. Finit-il par marmonner, étonné par ta colère soudaine.

Période ?

- Je te promets que ça ne se reproduira plus.

Tu levas les yeux au ciel.

Et c'est reparti.

Promesses sur promesses. Promesses qu'il ne tenait jamais. Promesses qui n'avaient plus aucune valeur à tes yeux.

Combien de fois t'étais-tu accrochée a ça en espérant un changement en lui ? Pour finir déçue.

Ajax ne changera jamais. Tu avais accepté ce fait.

- Ne soit pas en colère contre moi. Marmonne-t-il en pivotant ton menton pour ancrer son regard dans le tien.

Une légère moue était présente sur son visage. Tu lui aurais pincé la joue en riant si c'était le Ajax dont tu étais tombée amoureuse.

Mais tu souris simplement. Un sourire aussi faux que ses promesses.

Tu devais tenir un bon. Juste un tout petit peu.

𝗠𝗔𝗦𝗖𝗔𝗥𝗔𝗗𝗘.

Je n'ai pas réussi à trouver un compte du créateur malheureusement..

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