Chapitre 8
- Plus jamais je ne remonte ce mur ! annonçais-je tel une furie.
J'avais enfin réussie à arriver au sommet de ce fichue mur, sans tomber, mais contrairement à ce qu'avait dit Annabeth, je n'y étais pas arriver au bout de la deuxième ou de la quatrième fois mais plutôt de la quinzième au moins. Je sentais le roussie et avais des égratignure partout sur mes jambes. Et ne parlons pas de mes cheveux. Ont aurait dit qu'un aigle avait décider de faire un nid dessus.
- Ta enfin réussi Ali ! cria Annabeth d'en bas en agitant ses bras.
- Pas besoins d'agiter tes bras, tu sais. J'arrive à te voir de là où je suis ! criai-je à mon tour
- OK ! Maintenant redescend !
Je soupira intérieurement. Redescendre n'étais pas une mince affaire non plus. Mais comme je n'avais pas vraiment le choix, je redescendis tant biens que mal, ne manquant pas de faillir tomber, évitant les jets de flammes.
Une fois que mes pieds touchèrent le sol, je m'écroula sur le sol. J'avais les jambes et les bras qui tremblaient à cause du stress et de la peur de tomber accumulé en montant le mur. Je mit ma main sur mon cœur qui battait à mile à l'heure.
- Tu vois que c'étais pas si compliquer enfin de compte ? dit Annabeth, les main sur les hanches et un petit sourire satisfait au lèvres.
- Tu plaisante ? répliquai-je en me redressant. J'ai failli mourir au moins dix fois !
- Arrête de te plaindre. C'est ça la vie de demi-dieux. Et puis ce n'étais rien comparée à ce que tu vivra une fois que tu sera en dehors de la colonie.
Je souffla et me releva. Trop vite. Mes jambes, encore toute tremblante, n'avaient pas du supporter et avaient lâcher. Résultat je me retrouvais par terre, sur les fesses, et je peut vous dire que c'est plus douloureux que ce que l'ont pense.
- Aïe.., grommelai-je en me relevant pour la seconde fois.
- Bon maintenant il est temps pour toi d'aller t'entraîner avec Percy.
- Ouais, j'espère juste qu'il aura pitié de moi et ne me faira pas trop travailler.., espérai-je
Annabeth fit une drôle de tête, mais sourit tout de même :
- Contente toi de me suivre, le reste est a découvrir.
Je n'avais rien contre les surprises mais j'avais le présentiment que ce qui m'attendais ne risquait pas de me satisfaire.
Je suivis Annabeth jusqu'à l'arène et y vit Percy qui examiné la lame de son épée. Il avait l'air plonger dans ses pensées alors Annabeth toussota pour marquer notre présence. Celui-ci nous remarqua enfin et se redressa :
- Vous êtes en avances, fit-il remarqué
- Comme toujours, répliqua Annabeth. Je t'amenais juste Alissa pour l'entrainement.
- OK, acquiesça Percy, le regard neutre. C'est bon, j'men charge à présent.
C'est juste moi ou je suis vraiment considérer comme une enfant dont on doit s'occuper par Percy et Annabeth ? En puis la façon dont ils se parles me donne envie de m'éclipser, loin, très loin.. La tension entre eux est palpable ce qui doit m'être n'importe qui mal à l'aise.
- Sinon quand est-ce qu'on commence ? lancé-je avec impatiante
L'art d'éviter la troisième guerre mondial, que voulez-vous.
- Tout de suite. On se voit après Alissa, fit Annabeth avant de tourner les talons, sans même regarder Percy. Décidément entre eux c'étais la guerre.
- Pour commencer tu va prendre une épée qui se trouve dans le coins où sont ranger toutes les armes, m'indiqua t-il
Je pris une épée en bronze, à double tranchant, posé avec tout les autres à l'endroit que m'avait indiquer Percy et la soupesa. Elle était plutôt légère, mais pas trop non plus. Je n'étais pas une experte en arme mais je n'avais pas besoins de l'être pour savoir qu'elle était maniable.
- Je prend celle-ci, déclarai-je d'un ton décidé.
- Très biens. Commençons les bases.
Percy m'appris à comment biens tenir une épée et savoir tenir en parfait équilibre lors de combat. C'était très difficile, et il faut dire que plus d'une fois j'étais tomber : car je n'était soit pas biens positionner, soit je ne tenais pas biens mon épée. Mais je ne désespérer pas. Biens que j'en avais très envie.
En plus Percy n'était pas tendre avec moi. Contrairement à ce que je pensais, il ne me faisait aucune pitié, et me répétait sans arrêt que je devais être plus concentrée, que je ne devais faire qu'un avec mon épée, mais je ne me sentais pas particulièrement en connexion avec ma lame.
Je me dis qu'il devait être un adversaire redoutable et qu'il vaudrait mieux ne pas se frotter à lui dans un duel à l'épée.
- Allez relève toi Ali, m'ordonna t-il, impatient.
- Percy je veux biens m'entraîner, mais la je suis à bout de force, soupirai-je en me relevant avec difficulté.
- Peut être mais pour l'instant tu es loin de maîtriser les bases.
- Je sais mais on a pleins d'autre occasion pour s'entraîner, protestai-je, levant les bras au ciel d'exaspération.
- C'est non négociable Ali. Maintenant on continue, répliqua t-il d'un ton ferme en se positionnant face à moi.
Je ne pouvais le contredire et le ton qu'il avait employé était plutôt flippant alors je me résignais et me positionna aussi.
S'enchaîna une série de petit combat, tous très épuisant biens qu'ils ne soient pas vraiment dangereux. Je ne vais pas dire que j'étais devenue une experte en l'espace de quelques heures, disons juste que je me débrouillais assez biens en ce qui concerne mon équilibre et la façon de tenir son épée d'une main biens ferme.
- Entraînement terminer, dit-il en souriant, mais aussi essoufflé.
J'avais le visage en feu, les muscles de mon corps me brûlaient et me tiraient. Je n'avais pas l'habitude de pratiquer le sport à ce niveau. Je me dirigea vers un banc pour m'y assoir et boire un coup. Du coin de l'oeil j'observais Percy qui s'aspergait d'eau. Il avait beau être un demi-dieu tout puissant, il était aussi épuisé que moi.
- Je dois dire que tu a été une bonne élève aujourd'hui, même si à un moment tu a voulus abandonner l'entrainement pour le remettre à un autre jour, me complimenta Percy, le visage complètement trempé.
Je souris et me relevai :
- Merci, je dois dire que tu est un bon professeur, même si tu a été très dure avec moi.
- C'est pour te pousser à donner le meilleur de toi même. Tu me remerciera plus tard, répliqua t-il avec un sourire moqueur.
Il semblait détendu et ça me réchauffais le cœur. Ces dernier temps il n'était pas le "Percy que je connais" même si ça ne fait pas super longtemps que je le connaissais, - même pas une semaine -.
Nous continuâmes à parler jusqu'à ce qu'il soit temps pour nous de nous séparer et d'aller prendre une douche pour rejoindre les autres au réfectoire.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro