Chapitre 2

Je dois avouer qu'il était vraiment mignon mais quelque chose en lui me disais qu'il devait être le "rebelle" du lycée ou un truc dans le genre. Il portait un t-shirt orange avec avec comme dessin ce qui ressemblait fortement à un pégase. Malheureusement - ou pas en vue de la situation dans lequel j'étais à présent confrontée - sa voix me sortie de ma contemplation et je n'eu pas le temps de lire ce qu'il y avait écrit dessus.

- Hé je t'ai parler il me semble ? Dit-il, à présent debout et l'air franchement agacée, avant de froncer les sourcils en me regardent comme si il avait vue un fantôme. On.. on se seraient pas déjà rencontrer par hasard ? J'ai comme l'impression de t'avoir déjà vue quelque part..

Je secoua négativement la tête avant de dire d'un ton pressée :

- Euhh.. non pas dans mes souvenir. En plus je viens d'arriver. Vraiment désoler de vous avoir bousculer, dis-je avant de constater que j'étais encore par terre.

J'allais me relever tout seule mais il me tendit sa main tout en me scrutant, ce que je trouvais vraiment bizarre. J'accepta en le remercient et il me tira d'une tel force que je n'aurais soupçonnée venant de lui. J'épousseta mes vêtements et regarda de gauche à droites, vérifiant si l'horrible déménageur était encore là. Ma panique et mon stresse durent l'alerter car il se racla la gorge :

- Un problème ? Ta l'air préoccupée.. Au faite, je m'appel Percy Jackson. Et toi ? Dit-il en me fixant de ses yeux vert d'eau.

Evidemment que je n'allais pas lui dire pourquoi j'étais aussi préoccupée. Il m'aurait sans doute prit pour une folle si je lui avait dit : " Oh non, trois fois rien ! Je suis juste entrain de me faire poursuivre par un déménageur que je soupçonne ne pas être humain et vouloir ma peau, mais à part ça tout roule ! " Non, il était juste hors de question de dire la vérité. Donc je décida de juste répondre à sa dernière question en évitant la première.

- Oh rien d'important. Je m'appel Alissa Peters, mais appel moi Ali'. Même si c'est sans doute la première et dernière fois que l'ont se verra. Dit-je en tentent un sourire pleins de conviction, qui ne le convainc d'ailleurs pas. Tant pis, je n'avais pas le temps pour inventer un mensonge ou autre, il était temps de partir. Désoler mais je doit y aller !

Et sans attendre une quelconque réponse du dîtes "Percy" je reprit ma course folle. Mais le problème dedans c'est que je n'avais aucune idée de l'endroit où j'irais. A force de courir mes jambes me faisait mal, j'avais les poumons en feu et je n'avais aucune idée de l'endroit où je me trouvais. Je m'arrêta dans une sorte de petite ruelle pour reprendre mon souffle.

- Super.. marmonnais-je pour moi même.

- Effectivement. Dit au loin une voix grave et froide.

Je me tourna vivement vers celle-ci et vit avec effrois qu'elle provenait du déménageur. Je me mit à reculer doucement en sentant mon sang se glacé une nouvelle fois. C'était certain, j'étais la personne la plus chanceuse qui puisse exister sur cette terre..

- On dirait biens que c'est mon jour de chance aujourd'hui jeune sang-mêlé.. reprit-il en me jetant un regard malfaisant et en s'avançant, lentement, comme pour me déstabiliser. Ça m'aura mit du temps pour te retrouver Alissa, mais ça a finalement porter ses fruit. Dit-il en souriant de toute ses dents, révélant une dentitions mal alignée et des dents jaunes avec des bout d'aliments coincée entre celle-ci.

Ce qui me perturbait, mis à part qu'il était juste effrayant, qu'il m'avait appeler par mon prénom et qu'il est visiblement trop tard pour l'appareil dentaire, c'est le fait qu'il m'ai appeler "sang-mêlé". Je ne savais vraiment pas ce qu'il voulait dire par là, mais dans sa bouche ça n'avais vraiment pas l'air de quelque chose d'enviable. Sans prévenir, il se mit à grossir à vue d'œil sous mes yeux apeurée e. A présent ce n'était plus un homme vêtu d'une tenue de déménageur, mais un géant de deux mètres cinquante aux yeux sauvages, aux bras poilus et à la même dentitions qu'auparavant, quoi que ses dents paraissait plus pointues. Je recula sous le choc. Je ne savais même pas qu'elle genre de créature j'avais à faire, mais j'étais au moins sur que l'on ne voyais pas ce genre de monstres dans les contes. Je n'avais qu'une envie c'était de m'enfuir loin, mais si je tentais quoi que ce soit le monstres m'aurait déjà tué.

Il fallait voire les choses en face. Je n'avais aucune chance. J'allais mourir en priant de l'aide, quelconque certes, mais de l'aide quand même. Alors que l'horrible monstre qu'est le déménageur - je comptais l'appeler comme ça jusqu'à la fin de mes jours, qui d'ailleurs n'allais pas tarder - s'avançait vers moi j'entendis une voix que je connaissais biens à présent, criée mon prénom ainsi que celui du monstre. D'ailleurs je n'avais pas très biens saisi comment il l'avait appeler.

- Hé le vilain ! Ça serait pas mieux de t'attaquer à quelqu'un de ta taille ? A moins que tu soit tellement nul que tu préfère t'attaquer à une sang-mêlé inexpérimenté. Dit Percy d'un ton provocateur en esquissant un sourire au coins des lèvres.

Malgré qu'il ai dit ça pour tenter de me sauver, ça me vexa un peu. Je remarqua qu'il tenait dans la main une épée qui me semblait être faite de bronze au vue de la couleur et qui luisait Même si c'est sans doute avec ça qu'il compte tuée le monstre, depuis quand on se promène dans Manhattan avec une épée ? Ça ne choque pas que moi j'espère ?! Enfin bref, la remarque de Percy ne semblait pas trop lui plaire car il chargea vers celui-ci, mais Percy esquiva avant d'avoir pu être toucher. Le temps que le monstre ai pu se retourner et se rendre compte de l'esquive du brun, Percy chargé déjà vers lui et se propulsa en sautant sur une poubelle pour lui planté son épée dans le cœur. Le monstre se décomposa pour ne devenir qu'un tas de poussière doré qui ce fit emporté par le vent.

Je fixa Percy, les yeux ouvert comme des soucoupes, totalement interloqué par ce qu'il venait de ce passer depuis le début de cette après-midi. Je n'en croyait pas mes yeux. Ce mec était-il un tueur de monstre professionnel ? Et puis c'était quoi ce monstre ? Trop de question se bousculer dans ma tête.

Mon sauveur ce tourna vers moi avec son éternelle sourire provocateur et me lança d'un ton sarcastique :

- Oh quel surprise de te voir ici ! Je croyais qu'on ne se reverrait plus jamais, Ali.