Bienvenue à la Colonie des sang-mêlé !
Chapitre 3
Hey ! Désoler pour ce chapitre poster très en retard mais avec les vacances, les sorties etc, ça a été difficile d'avoir le temps ^^' Mais bref ! J'espère que vous avez passer de bonne vacance, et sans plus attendre, bonne lecture !
Abasourdie, en colère et apeurer. Voilà comment je me sentais en ce moment même. Je ne savais pas vraiment contre qui j'étais en colère. Contre moi même ? Contre ce monstre ? Contre Percy ? Le monde entier ? Je n'en savais rien, je me sentais totalement perdu émotionnellement parlant. Aussi vous me direz que je suis biens contente qu'il es tuer ce monstre, mais comprenez moi. Je venais de me faire attaquer par un monstre tout droit sortie de l'imaginaire ou je ne sais quoi et voilà que l'inconnue (qui s'appelait Percy et qui ne m'était plus si inconnue que ça à présent) que j'avais bousculer sans le vouloir venait de tuer la créature abominable qui c'était présenter à moi comme si c'était quelque chose de tout à fait normal.
Perdu dans mes penser pas très joyeuse, le raclement de gorge de Percy me ramena à la réalité.
- Un "merci Percy, mon sauveur, je sais pas ce que j'aurais fait sans toi ! T'est vraiment le plus fort !" Ne serais pas de refus, ironisa-t-il
Je leva les yeux au ciel face à sa remarque et décida d'entrer dans son petit jeu en adoptant une voix très aiguë.
- Oh merci Percy, je sais pas ce que j'aurais fait sans toi ! T'es vraiment le plus fort ! Ironisai-je à mon tour.
- T'a oublier de dire que j'étais ton sauveur.
- La ferme Percy.
- Très biens, très biens. (il leva les mains en l'air en signe de défaite) J'arrête de parler. Mais n'attends pas de moi que je te donne des explication sur ce qui viens de ce passer.
Sa dernière phrase provoqua un "tilt" dans ma tête. J'avais complètement oublier que si je voulais des explication, il fallait que je m'adresse à lui. Je décida donc de ravaler ma fierté (chose peut fréquente chez moi) et de m'excuser.
- Bon écoute, commençai-je, je m'excuse de m'être comporter ainsi. Tu m'a quand même sauver la vie, et à présent, pour le meilleur et pour le pire, j'ai une dette envers toi. Maintenant, si tu le veut biens j'aimerais savoir d'où provient cette créature, et pourquoi elle c'est attaquer à moi.
Il se passa une minute avant qu'il ne recouvre à la parole. Sans doute peser t-il le pour et le contre même si au final ça ne servait pas à grand chose.
- Excuse accepter, lâcha-t-il dans un soupir.
Alléluia il à accepter ! J'ai biens cru qu'il allait refuser.
- Cool, ai-je dit dans un léger sourire, maintenant place au explication.
- Okay mais on a pas beaucoup de temps. Il faut que je t'amène dans un endroit sur. Un endroit pour les gens comme toi et moi.
- Et c'est quoi cet un endroit dont il est question ? Demandais-je.
Il esquissa un sourire tordu, comme si il imaginais déjà ma réaction quand ont arriveraient dans le dîtes "endroit pour les gens comme nous"
- Mais dit moi, ai-je dit d'un ton qui trahissais ma méfiance, comment je peut être sur que je puisse te faire confiance ?
Il me regarda d'un air ahuri.
- Attends t'es pas sérieuse quand même ? S'énerva t-il. Ecoute ont a pas le temps pour les bavardages et puis dois-je te rappelais que grâce à moi tu viens d'échapper à une mort certaine ? Donc à ta place je ne douterais pas de ma loyauté ni de ma confiance !
ses yeux d'un vert océans pourtant si calme m'évoquais à présent une mer en pleine tempête. Mais quelque chose clocher, ça ne pouvais pas être ma réaction qui les mit dans un état pareille. Même si je l'avais peut être toucher dans sa fierté, sa colère sonnait faux.
- Bon excuse moi, pour la deuxième fois. J'aurais pas due douter de toi, marmonnai-je.
Il me semblait qu'il se calma. J'osa enfin le regarder en face, et reprit d'un voix calme :
- Je te fais entièrement confiance. Amène moi à ton endroit si spécial que ça.
A son tour il me regarda en face un moment, sourcil froncé avant de secouer légèrement la tête et de détourner le regard.
- Excuse accepter, une nouvelle fois. D'ailleurs je trouve que tu t'excuse un peu trop, a-t-il dit d'un ton taquin.
Je sourit légèrement face à sa remarque mais aussi à son changement de comportement. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'étais "heureuse", mais plutôt soulagée de constater qu'il n'était plus aussi en rogne. Mais je n'avais pas oublier la manière dont il s'était énerver car il est clair que ce n'était pas seulement à cause de moi qu'il s'était énerver. Il y avait autre chose selon moi et je comptais biens savoir quoi.
- C'est ce que je me disais aussi. Je songe même à arrêter, lui répliquai-je d'un ton égal.
Il sourit légèrement (ce qui lui donna un côté super mignon, mais pardon je m'égare..) avant de me dire :
- Bon finit la taquinerie pour le moment, ont doit bouger et vite avant que d'autre monstres rapplique, d'ailleurs avec une aura comme la mienne ça m'étonne que depuis le temps ils ne soit pas déjà arriver.
J'acquiesça sans dire un mot de plus. Il recapuchonna son stylo-épée qu'il avait garder depuis le début sous sa forme d'épée pour qu'il redevienne un stylo et se mit à farfouiller dans les poche de son jean. Finalement après quelque seconde de fouille intensive dans ses poches de jean il trouva enfin ce qu'il cherchait.
- Une pièce en or ?! m'exclamai-je, à quoi es ce que ça va nous servir ?
- Stêthi, O harma diabolês ! a t-il crié en une langue qui m'était inconnue.
Mais bizarrement, je comprit ce qu'il venait de dire. Il avait dit : « Arrête-toi, chariot de la damnation ! »
- Euh Percy.. t'es sur qu'invoquer un chariot ayant pour nom " chariot de la damnation " est une bonne idée ? m'inquiétai-je.
Pour la deuxième fois il ne répondit pas ( ça commencer à devenir une habitude chez lui, je veillerais à me venger !) et à la place il lança la pièce de monnaie dans la petite ruelle, mais au lieux d'atterrir à plat en tintant, elle fut comme engloutie par l'asphalte.
Au début, il ne c'est rien passer. Mais après, à l'endroit même où la pièce c'était faite engloutie, l'asphalte c'est mit à noircir. Pour ensuite fondre en un espace rectangulaire grand comme une place de stationnement, où bouillonnait un liquide de couleur rouge sang. Soudain, une voiture à jailli de ce magma.
Plus précisément, un taxi New-Yorkais. A la différence que celui-ci fumée, littéralement. Le taxi était fait de fumée comme si on pouvait passé à travers. Vous devez sans doute vous demandez qu'elle a été ma réaction fasse à encore plus de bizarrerie, mais à présent, voir un taxi jaillir du sol ne m'étonna pas plus que ça Il y'avait quelque chose d'écrit sur la portière mais j'y fit abstraction parce que d'une ; je suis dyslexique, donc je n'aurais pas comprit ce qu'il y aurait marquer dessus et de deux ; Percy se tenait juste à côté de moi, je n'avais qu'à lui demander et puis c'est régler.
Percy passa devant moi et ouvrit la portière arrière du taxi, il me fit signe d'entrer.
- Après toi ! ai-je répondu un peu trop précipitamment, euh.. hum je veut dire entre d'abords..
Il me regarda, une leur amusée dans le regard et entra dans le taxi . Je me mit a hésiter. Si ce taxi ne m'inspirais pas confiance mais je n'avais pas d'autre alternative. Alors je respira un grand coup et entra à mon tour dans le taxi.
Percy lui était assis à gauche. Je me mit donc à droite, la place du milieu nous séparaient. L'intérieur était du même gris fumée qu'à l'extérieur, mais heureusement elle donnait biens l'impression d'être dur. Elle ne différenciait pas énormément des autre taxi, la banquette était tout aussi inconfortable et craquelée que les autre, par contre il n'y avait pas de cloison qui séparait le côté passager de celui du conducteur. Ou plutôt des conductrices !
Elles étaient trois, serrées à l'avant, ayant toutes les trois des doigts presque squelettique, doté toutes trois d'épaisse tignasse grise qui leurs couvraient les yeux et vêtu de robe en tissue anthracite. L'une d'elle se tourna vers nous. Elle parlait en bafouillant bizarrement comme si elle avait bu deux cafetière entière de café avec un supplément d'une brique de jus, pour vous donner une idée.
- Alors c'est pour où ? C'est pour où ? demanda t-elle.
- Deux passager pour la Colonie des Sang-mêlé, a répondu Percy.
Je me retourna vers lui et le regarda en haussent un sourcil comme pour lui demander si c'était ça l'endroit où nous devions allez. Il me fit signe que oui accompagné d'un léger sourire et en secouant frénétiquement ses deux mains comme pour me dire "Surpriiise ! " Je laissa échapper un léger rire face à sa bêtise. C'était réconfortant de savoir que je n'étais pas seule dans toute cette histoire.
- Au fait, m'a dit Percy, tu ferrais mieux de t'attacher avant que le trajet ne commence. Ça va secouer un max.
Je fit ce qu'il dit et m'attacha. Ce serais vous mentir de vous dire que le trajet c'est biens passer. On devrait retirer le permis à ces trois vielles folles ! Elles conduisent vite, si vite qu'un radar n'aurait même pas eu le temps de les flasher. Tous d'abords, un message enregistré sort du haut-parleurs où il était question d'un certains Ganymède qui nous conseillaient de toujours attacher notre ceinture comme lui le fais quand il va acheter du vain pour Zeus. Juste ridicule. Comme si les Dieux Olympiens existaient.
Ensuite les trois veilles - qui d'après Percy s'appellent les Sœurs Grise en réalité - n'ont pas arrêter de se chamailler pendant le trajet, Mais la meilleurs, c'est qu'elles n'ont qu'un seule œil pour elle trois alors je vous raconte pas le trajet.. ont a biens failli se prendre des panneaux et autres. j'ai biens cru que j'allais vomir mon déjeuner.
Je me suis tourner vers Percy et ai constater que son teint était aussi pale que moi.
- Dit moi, ai-je commencer d'une voix très mal à l'aise, y'avait pas un autre moyens que celui-ci ?
Il parut réfléchir un instant avant de se taper le front.
- Blackjack ! s'est-il exclamer. J'avais complètement zapper !En plus ça m'aurais éviter de gâcher un drachme.
J'inspira et j'expira, essayant de garder mon calme.
- Donc t'es entrain de me dire qu'il y'avait un moyens moins dangereux pour ce rendre à cette Colonie ?! demandai-je avec une pointe d'énervement dans la voix.
- A conditions biens sur que tu n'es pas le vertige, m'a t-il répondue avec un haussement d'épaule.
- Je devrais t'étrangler sur place rien que pour ta bêtise. ai-je dit entre mes dents.
Heureusement pour moi, le trajet ce termina. Je descendis en vitesse du taxi et Percy de même. Le taxi repartie aussi vite qu'il n'était arriver pour ne laisser qu'un sillons de fumée grise et une trace de pneu. Je me rendis compte que nous étions au milieu de nul part. Il y avait la route et de l'autre côté, une forêt d'où on pouvaient distinguer une colline. Et derrière nous c'était pareille une forêt immense pleine d'arbre.
- Avant qu'on ne s'engouffre dans cette forêt pour rejoindre cette Colonie, j'aimerais des explication. ai-je dit d'un ton impatient.
- Pour commencer, tu connais la mythologie grecque ? me demanda t-il.
- Ouaip mais c'est quoi le rapport ? répliquai-je.
- Eh biens..
Je ne lui laissa même pas le temps de répondre que je le coupa tel une furie.
- Oh non j'y crois pas ! m'écriai-je. T'es entrain de me dire que tous ces mythes existent encore ?
- C'est ce que je comptais faire, oui. grommela t-il.
- Mais c'est impossible ! m'exclamai-je. Et nous qu'est ce qu'on avoir la dedans ?
- Justement les Dieux, les monstre de la mythologie existent encore. Et ils se trouvent que les Dieux enfante encore. Ce qui donnerait naissance à un demi-dieux. A moitié Dieux, à moitié mortel. Et c'est ce que nous sommes. Dans cette Colonie ont apprends à se battre et a pouvoir se défendre contre les monstres comme ceux qu'on a croiser aujourd'hui. Car nous les demi-dieux dégageons une aura qui attire les monstres et notre aura devient plus forte quand ont prend connaissance de notre statut de sang-mêlé. Mais l'aura d'un enfant des trois grands, c'est à dire Zeus, Poseidon et Hadès et encore plus puissant alors t'imagines le truc..
J'en suis rester sans voix. Cela voulait dire que l'un de mes parent était un Dieux. Le fait de savoir qu'un de mes parent était un dieux ou une déesse ne me réjouie pas, biens au contraire. Toute ma vie j'avais accepter le fait que je ne connaîtrais pas mes parents biologique et cela m'allait très biens. Du moins c'est ce que j'essayais de me faire croire. Mais à présent j'avais une grosse boule en travers de la gorge. J'avais envie d'éclater en sanglot de criée, de balancer mon sac. Si mon père ou ma mère était un Olympien, pourquoi n'était-il pas venue me rendre visite ? Même un petit signe m'aurait suffit. Alors je décida de contenir mes émotions comme je le faisait si biens et d'hocher la tête avant de sourire légèrement.
Mais je crois que Percy vit clair dans mon jeu et secoua la tête.
- Allisa je.. (c'était biens la première fois qu'il m'appelait par mon prénom) Ça sert à rien de faire comme si tout allait biens je voit que ça va pas.. Et croit moi d'habitude j'ai du mal à percevoir les sentiments des autres et les miens. (il posa amicalement sa main sur mon épaule et sourit d'un sourire réconfortant) Tu peut tout me dire.
Je secoua la tête et dégagea sa main de mon épaule. Les contact physique c'est pas trop mon truc.
- Tu peut pas comprendre Percy, laisse tomber y'a rien. (je lui lança un regard qui voulait dire de na pas insister et c'est ce qu'il fit) Dit moi plutôt par où ont entre.
Il hocha la tête, dépiter par ma réaction et pointa du doigt la colline.
- C'est par là bas l'entré de la Colonie. On va devoir traverser la forêt.
J'hocha à mon tour la tête.
- Eh biens ne perdons pas de temps et allons-y. ai-je dit solennellement.
Ni une ni deux, je m'engouffra dans la foret suivit de près par Percy. Il passa devant moi pour je cite : « Me guider à travers cette forêt. » Le trajet fut silencieux. Cela ne me dérangea pas plus que ça car je n'avais fait que parler depuis la petite ruelle jusqu'à maintenant. Aussi, il se retournait quelque fois pour s'assurer que j'étais toujours derrière, comme si j'aurais pu m'enfuir. Et où est-ce que je serais aller de toute manière ? Pas chez mes parents, du moins pas pour le moment.
En y repensent j'avais complètement zapper mes parents. C'est comme si j'avais prit une douche froide en repensent à eux. Comment avais-je pu les oublier ? Et si ils leur étaient arrivait quelque chose ? Je m'en voudrais jusqu'au restent de mes jours. Et biens sur je ne pouvais pas leur téléphoner car je n'avais pas de téléphone. J'avais envie de rebrousser chemin et de les rejoindre pour m'assurer qu'ils aillent biens mais je ne savais même pas où j'étais et comment j'allais les rejoindre.
Je fit taire mon inquiétude et m'arrêta devant un très grand Pin. Sur une des branche pendait une sorte de grand tapie dorée fait en peau d'animal, une toison je crois. Soudain ça me revint la toison qui pendait à la branche n'était autre que la fameuse Toison d'Or. J'avais lu une histoire par rapport à ça en latin, où un certain Jason devait la récupérer pour une raison que j'avais oublier.
Devant moi se dressais l'entré de la Colonie. Les Colonne qui soutenait l'espèce de pancarte en marbre usée était de style grec. Je m'y connais un peu en style d'architecture, mais passons. Sur l'espèce de pancarte était écrit quelque chose en une langue qui m'était étrangement familière. C'étais la même que Percy avait parler pour appeler le chariot de la damnation. Sans que je comprenne comment, je déchiffra ce qu'il y'avait écrit dessus : « COLONIE DES SANG-MÊLÉ »
Percy m'emboîta le pas, très vite imiter par moi. L'endroit qui se trouvait devant moi était juste incroyable. Il y'avait des adolescent en tee-shirt orange semblable à celui de Percy, certains s'arrêtèrent et nous regardèrent mais la plupart ne s'occupaient pas de nous. Sans doute avaient-ils l'habitude de voire débarquer des adolescent à l'air aussi perdu que moi. Il y en avaient même qui à partir de la taille avait des jambes de moutons, super bizarre.
A mesure que j'avançais, je constata qu'il y'avait une tour d'escalade. Mais pas une tour d'escalade normal non, c'était une tour pleine d'obstacle d'où de la lave couler. Je passa devant plusieurs autres bâtiment, dont certains était de style grec. Percy s'arrêta enfin, et ce fut devant une grande maison. Elle grande et imposante. La bâtisse bleu-ciel était entourer d'une terrasse.
Percy se retourna, tout sourire avant de déclarer :
- Et au faite, bienvenue à la Colonie des Sang-Mêlé !
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