𝟑𝐫𝐝 ; "𝐧𝐨 𝐦𝐚𝐭𝐭𝐞𝐫 𝐰𝐡𝐚𝐭 𝐢 𝐝𝐨"
「 𝗡𝗢𝗧𝗘 𝗗𝗘 𝗙𝗜𝗡 」
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Note de fin tant attendue (ou pas) est enfin là !
J'étais censée la publier en même temps que l'OS mais j'ai été très malade ces derniers temps et je voulais vraiment sortir l'OS.
Et j'en ai des choses à dire, pourtant.
Alors, où commencer ? Tout d'abord, je pense que c'est important de vous dire que les histoires de Jisung et Minho font écho à ma propre histoire. Il y a vraiment un bout de moi dans cette petite fiction, alors forcément elle me tient à cœur, c'est un peu ma thérapie, haha. Enfin, je pense qu'un peu tout le monde peut se reconnaître sur certaines choses, au moins un moment parmi tout ce qu'ils ont vécu. Et je tenais à dire qu'on a pas besoin d'avoir vécu une tragédie pour se sentir démuni(e), pas besoin d'être digne d'un héros, héroïne, avec une vie de merde pour que la souffrance soit légitime.
En effet, la mère de Minho a survécu. Ça aussi, c'est inspiré non pas de mon histoire mais de celle d'une amie. Du côté de Jisung, il n'est pas un enfant battu, mais déjà le rejet de sa mère est suffisant pour détruire la vie d'un adolescent.
Encore une fois, je me retrouve beaucoup dans certains éléments des personnages. Des choses qui ne paraissent pas dramatiques, pour certains, certaines, mais suffisant pour briser une vie. La confiance en soi, l'amour de soi, l'acceptation de soi. Toutes ces choses basiques, elles s'apprennent dans l'enfance, et s'il manque une case, ça déraille. Derrière chaque enfant qui souffre, il y a un adulte déséquilibré. C'est tout simplement le développement humain. Les carences affectives, la dépendance affective, le rejet, les relations toxiques, voilà ce que ça fait quand on a manqué.
Et je reviens sur Jisung. Je tenais vraiment à ce que TOUTES ses relations soient consenties, parce que l'idée ce n'était pas de parler d'abus. J'ai fait exprès de ne pas prendre la route des traumatismes d'une telle ampleur. En fait, vous n'avez pas besoin d'avoir vécu ça pour avoir le droit de souffrir. Enfin, je sais pas si souffrir est un droit, mais en tout vous êtes légitimes. Des personnes vont réagir de la même façon à deux choses différentes. Enfin, je vous dis pas de comparer une personne qui s'est renversé de la confiture sur ses plus beaux habits à une personne qui a été abusée.
Mais a-t-on besoin de l'accord des autres pour légitimer notre souffrance ? La souffrance est propre à chacun, c'est tout. Le mécanisme humain est différent chez tout le monde.
Si Minho s'est relevé plus vite, c'est parce qu'il a reçu l'amour que Jisung n'a jamais reçu. Il a manqué la présence petit, mais il a rencontré Chris, il a retrouvé la chaleur d'un foyer. Mais ça ne répare pas l'absence de figure parentale dont il a manqué enfant. Toutefois, il est possible de se relever tout de même. Vous n'êtes pas condamné(e), les choses tournent.
Seulement, Jisung a vécu jusqu'à ses quinze ans sans une once d'amour. L'amitié est aussi la base d'un développement équilibré. La solitude de Jisung l'a littéralement bouffé. Il a vécu comme un fantôme, Minho aussi mais il était réel aux yeux de ses amis à partir du moment où Chris est entré dans sa vie. Il a ensuite rencontré ses amis de la boxe, ça a permis de non pas réparer les pots cassés mais au moins, il se reconstruit. Les enfants harcelés, ou simplement ignorés par ses camarades, par les adultes, par leur entourage, ça mène à un humain bancal. Les relations sociales sont la base pour mener une vie stable et épanouie. La solitude, si elle est involontaire, est une catastrophe pour le développement du cerveau humain. On est quand-même fait pour vivre en communauté à la base.
C'est comme ça que Jisung a fini par être incapable de s'aimer, d'avoir confiance en lui, d'avoir des relations saines. Il se réfugie dans les relations sexuelles avec des inconnus comme pour combler son manque affectif. Cependant, une fois seul, il se rend compte que le manque est toujours là, voire pire, le sentiment d'abandon est décuplé. A l'inverse, Minho se réfugie dans les livres pour oublier son quotidien, il rêve d'une vie qu'on ne retrouve que dans les romances. Il est tant plongé dans ses fantasmes qu'à son réveil, c'est-à-dire au moment où il sort de son imagination, le retour à la réalité le ramène à son manque. Dans les deux cas, ils se remplissent de quelque chose d'éphémère qui ne les comble pas, voire qui accentue le sentiment de solitude. Et dans les deux cas, ils sont entourés mais pareil à des fantômes. Jisung n'a même plus d'identité, il est juste « le gamin » au milieu de ces gens dont il ne connaît rien en dehors du fait qu'ils sont plus âgés. C'est comme s'il rentrait dans un monde qui lui était interdit, et rentrer dans l'interdit, c'est grisant. Mais l'adrénaline du nouveau ne dure jamais longtemps.
Aussi, je voulais éviter que Jisung rentre dans les drogues dures. Encore une fois, ne pas banaliser l'extrême, il est assez lucide pour ne pas y toucher, tout comme il fait toujours attention à se protéger pendant les rapports.
Alors, le débat du cannabis, je vous laisse champ libre. Je pense qu'il y a du pour et du contre, ce qui est problématique c'est la dépendance, mais on en revient toujours au même point, dépendances affectives, dépendances à la drogue. Et autre problème que je n'ai pas mentionné, se sont les comportements à risque, mais aussi la mauvaise réaction à la substance. Si jamais vous y touchez pour la première fois, soyez entouré(e) par des gens qui sauront gérer la situation, et ça marche pour les drogues douces ou dures. ATTENTION, en aucun cas je n'incite à en consommer. Surtout les drogues dures, s'il vous plaît, ça peut être vraiment dangereux ! Les risques ne sont pas négligeables, crise paranoïaque, crise cardiaque, hallucination, comportements à risques, trouble panique.
Pour en revenir à la confiance en soi, qui est quand-même le sujet principal de cette histoire, j'en ai entendu des choses. Il faut s'aimer avant d'être aimé. Il faut avoir confiance en soi pour que les autres aient confiance en nous. Si on n'a pas confiance en soi, on doutera toujours des autres. Alors, oui, certes. Mais l'amour, il faut bien que ça commence quelque part. Et comment ça marche ? J'ai l'impression d'être dans un épisode de « c'est pas sorcier » haha.
Le premier amour d'un individu, c'est l'amour de ses parents, ou autre personne qui s'occupe de l'enfant depuis sa naissance. Grâce à cet amour, l'enfant sait qu'il mérite d'être aimé, en fait il ne se pose même pas la question puisqu'il l'a toujours connu, ce sentiment d'être aimé. Pour lui, c'est la norme, c'est comme ça et puis c'est tout. Mais un enfant dont on a pas donné toutes ces belles choses, il a toujours vécu dans le rejet ou l'ignorance, alors pour lui, c'est ça la norme, sa norme. Oui, car en plus, il voit les autres enfants recevoir de l'amour et lui, il n'en a pas le droit ? Comment vous voulez que cet enfant puisse s'aimer ? Comment avoir confiance en soi après ça ? De l'injustice ? Va-t-il le ressentir un jour ? Puisque les choses ont toujours été ainsi ?
Alors, les morales, les citations toutes faites, elles peuvent quoi face à ça ?
« Tu mérites d'être aimé » on a besoin de l'entendre pour y croire. Vous ne croyez pas ? Sinon, ça ne vaut rien.
Enfin, je « dénonce » les discours moralisateurs mais je sais pas si je le fais pas moi-même. Non, mais j'ai juste du mal avec les personnes qui font la morales et qui disent à qui veut bien l'entendre ce qu'est la vérité. C'est un peu une lettre ouverte, je me suis pris pour Zola je crois en fait, haha.
Le manque de confiance en soi mène à des relations toxiques. Alors, je voudrais avoir votre avis, la relation entre Minho et Jisung est-elle toxique ? N'est-il pas possible d'être aimé comme on est, avec nos carences affectifs, avec notre côté bancal, avec nos insécurités ?
Mh, je voulais ajouter que se forcer à avoir confiance en soi, c'est un peu se mentir, non ? Par contre, à mentir en faisant comme si on avait confiance en soi, ça peut attirer les autres, et donc en échange, on est vraiment aimé. Mais n'est-ce pas malhonnête ? Et si ça fonctionne pas ? Ça ne fera que renforcer l'idée qu'on ne mérite pas le monde. C'est compliqué le cerveau humain, haha. En fait, il y a une différence entre la théorie et la pratique je pense. C'est facile de tenir ce genre de discours quand on a soi-même confiance en soi. La morale, c'est joli, mais ça n'aide pas. En revanche, les débats, ça c'est intéressant. Accepter que la morale, ça fonctionne pas toujours, écouter.
Tiens, ça me rappelle les paroles de l'Odeur de l'essence « tout le monde s'exprimer, personne s'écoute » d'Orelsan.
La relation de Minho et Jisung, d'ailleurs. Je ne sais pas si vous avez noté l'évolution des personnages. En fait, ici, pas de héros, pas de sauveur, pas de sauvé. Ils se portent vers le haut, malgré leurs carences, leurs insécurités, leurs doutes, ils sont ensemble, et c'est qu'il y a de beau, c'est ce qu'il y a de fort. C'est leur façon d'avancer sans se mentir, être honnête avec l'autre, lui parler de ses craintes, de ses peurs, c'est ça avancer. Après, je ne dis pas que mes mots sont la vérité, j'espère que ça fera sens chez quelques-uns, mais c'est pas pour ça que ce que je dis est forcément vrai. En fait, n'a-t-on pas chacun, chacune, notre vérité ? A quoi bon dire ce qui est bien, ce qui n'est pas bien ? Chaque situation est propre à chaque histoire.
Au fur et à mesure du récit, on découvre différentes facettes des personnages. Enfin, j'espère que c'est ce qui ressort. Jisung est celui qui a l'air sûr de lui, mais finalement, il tremble dans les bras de Minho à le supplier de ne pas l'abandonner. Minho qui semble plus sensible, est celui qui le tient dans ses bras. Pour autant, Jisung le guide vers la sexualité, il est le premier à parler de sentiment, c'est lui conduit la relation. Tout ça pour que, finalement, Minho soit celui qui encourage leur relation, dans l'espoir qu'ils construisent quelque chose de fort. Chacun leur tour, ils prennent le rôle principal, ils sont un peu le héros de l'autre tout en étant celui qui a besoin d'être rassuré, d'être guidé.
D'ailleurs, à leur première fois, Jisung a plus d'expérience, il le guide, mais pour autant, c'est Minho qui est « au-dessus » enfin j'aime pas ce mot mais vous avez compris. D'ailleurs, les mots de Jisung font que leur première relation sexuelle soit si bonne. Le plus important, c'est d'écouter les désirs de l'autre, c'est un moment à deux, un souvenir qu'on se crée ensemble. Si chacun écoute les envies de l'autre, ça ne peut être que beau. C'est un échange de plaisir, on donne, on reçoit, on reçoit, on donne. La communication est de toute façon toujours la clé peu importe le sujet.
Ouh là, moi aussi je tombe dans le piège de la morale ?
En fait, c'est juste des choses essentielles, mais j'espère que je le tourne de la bonne façon. En plus, on est souvent les premiers, premières, à pas respecter ce qu'on se tue à dire. C'est pas un peu vrai ?
Et puisque je suis sur le thème de la sexualité, on va faire une belle transition pour parler d'un autre sujet, important ici.
Mais avant ça, je tiens à le dire. Le sexe, c'est quand on est prêt, peu importe l'âge. Que ce soit à l'adolescence ou à l'âge adulte, où est le problème ? Le principal, c'est de kiffer, non ? Du moment que c'est consenti, protégé, et avec quelqu'un d'à peu près le même âge, genre pas douze ans et trente ans, là ça s'appelle de la pédophilie.
La différence d'âge au moment de l'adolescence est plus subtile car c'est le moment où tout se bouscule. A sa première fois, Jisung avait trois d'écart avec la fille. D'ailleurs, le fait que ce soit la fille ou le garçon qui soit plus jeune, ça change pour vous ? Mais en réalité, il était prêt, il savait ce qu'il faisait, la notion de consentement est hyper importante. Mais pour autant, la fille doute face à l'âge de Jisung. Alors, est-ce que ça vous a choqué qu'elle ait dix-sept ans et lui quatorze ans ? Je suis vraiment ouverte à la discussion, n'hésitez pas à dire ce que vous en pensez. Pour ma part, je trouve que ça va, encore. A la rigueur, il aurait eu treize ans, ça aurait pu être limite. D'ailleurs, assez drôle, Jisung a quinze ans et Minho dix-sept, Jisung le note lui-même, il n'y a finalement qu'un an d'écart par rapport à sa première relation, et ça paraît différent. Comme quoi, à cet âge, un an, ça fait la différence. Mais la question est la suivante, quand Jisung aura seize ans et Minho dix-huit, est-ce que ça changera ? Minho sera majeur et Jisung mineur, pourtant, leur différence d'âge reste la même. Dix-neuf ans et dix-sept ans, encore plus, il est majeur depuis un an. Mais quand il aurait vingt ans et Jisung dix-huit ans, alors tout va bien.
Comme le mentionne la fabuleuse auteure d'Adrénaline, si vous ne l'avez pas lue foncez, il y a une différence entre ce qui est légal et ce qui est légitime. Ah, compliqué tout ça !
Je ne m'étalerai pas sur ce que je pense des adultes qui ont vingt ans d'écart, comme le père de Jisung et sa belle-mère. C'est un débat, encore une fois, mais pour le coup, vingt ans et quarante ans, est-ce choquant pour vous ? J'ai un avis assez précis sur le sujet, mais je vais pas m'attarder dessus, c'est pas vraiment le sujet principal.
Je voulais aussi revenir sur quelque chose que j'avais mentionné dans l'intro mais que je vais changer donc ne soyez pas étonné(e) si vous ne le voyez pas. L'histoire était censée être un peu plus immorale, mais finalement, c'est très bien comme ça. Je vais retirer la mention « mature » mais dîtes-moi si vous pensez que je devrais la remettre, enfin je sais pas trop, j'attends vos retours. Non, parce que mettre « mature » juste pour attirer et que finalement, ce ne soit pas nécessaire ...
En parlant de ça, parlons du comportement des parents de nos deux héros. Brièvement, le père de Minho, il était tant terrifié à l'idée de perdre sa femme qu'il en a oublié son fils. Est-ce qu'on peut vraiment lui jeter la pierre ? Oui, ça a perturbé l'enfance de Minho, un sentiment de vide, d'être à côté, seul dans une grande maison alors qu'il n'était qu'un enfant. Pour autant, ça se comprend, la femme de votre vie qui est malade, et un fils en bonne santé, certaines personnes peuvent se focaliser sur la personne en souffrance physique. Mais il en a oublié que Minho avait besoin de son amour, de son attention, de sa présence et que lui aussi, il était près de perdre sa mère. Ici, personne n'est vraiment à blâmer en fait. Dans ces moments-là, on fait comme on peut. Et finalement, les deux parents se sont rendus compte de l'impact que ça a eu sur leur fils et ils essaient de se rattraper, n'est-ce pas une preuve d'amour ? Oui, les parents de Minho aiment profondément leur enfant. J'espère que ça se ressent dans mon écriture.
En revanche, là où on se pose à mon sens plus de questions, c'est le comportement de la mère de Jisung. Alors, il y a quelque chose que j'ai sous-entendu, mais c'était tellement subtil que je pense pas que beaucoup l'ait compris. A un moment, Minho remarque que Jisung ne ressemble pas du tout à sa mère. Ce que ça sous-entend, c'est qu'il ressemble à son père, et que c'est certainement une des raisons qui la pousse à renier son fils. Le petit frère de Jisung est un peu l'enfant aimé et Jisung l'enfant qu'on rejette. De plus, elle passe sa colère sur le plus vieux car le divorce l'a profondément bouleversée. Malgré la présence du beau-père, elle ne s'en remet pas et continue à en vouloir à l'aîné, même si ce dernier n'y est pour rien on est d'accord.
D'autres raisons la pousse vers la projection de sa colère sur Jisung, c'est que Jisung se met lui-même à détester sa mère. Tout ça pour que la tension ne grandisse, la colère de l'un entraine celle de l'autre et la présence, presque déplacée, du beau-père envenime la chose. Qui aimerait qu'un beau parent intervienne dans un conflit familial qui ne le concerne pas ? Un divorce aussi brutal ne peut qu'avoir un mauvais impact sur les enfants. Enfin, c'était peut-être mieux que le père de Jisung parte au lieu d'être une figure paternelle toxique. Qu'en pensez-vous ?
De plus, je ne sais pas si le message est bien passé, encore une fois je l'ai mentionné de façon très brève, mais la mère de Jisung aime son fils dans le fond car c'est son enfant. Mais le fossé entre eux sera difficile à combler car il dure depuis des années. La mère de Jisung est fatiguée par toutes ses émotions et décident de renoncer. Toutefois, elle remarque que son fils se sert directement dans son portefeuille mais ne dit rien, comme si c'était sa façon de s'occuper de lui. Ainsi, elle se dit qu'elle n'est pas si terrible, elle ne s'occupe pas de lui, mais elle lui fait à manger, bien qu'il ne mange pas à table, et le laisse piquer ses sous. Evidemment, ce n'est pas comme ça qu'on apporte de l'amour à son enfant. Je ne dis pas qu'elle fait bien, mais est-ce que ça fait d'elle une personne mauvaise ? Je dirai plutôt qu'elle est paumée, elle voit ses erreurs mais ne fait rien pour les réparer. Cependant, à la toute fin de l'histoire, elle ouvre la porte à Minho. Elle se souvient de son nom, elle porte donc une certaine attention à l'entourage de son fils. De plus, elle le fait entrer en lui disant que Jisung est dans sa chambre, elle a conscience qu'il ne va pas bien et qu'il a besoin de son soutien.
Oui, elle aussi évolue au cours du récit.
Ce n'est pas la méchante de l'histoire. Mais elle a ses torts, il faut le reconnaître, elle a clairement merdé si on peut dire ça comme ça. Est-ce que leur relation va s'améliorer dans le futur, à vous de me le dire !
Mh, je pense que j'ai fait le tour.
Chacun est libre de s'aimer à sa façon.
Je vais finir cette note de fin avec un dernier débat, mais pour vous, c'est quoi une relation toxique ? Je suis curieuse d'avoir votre avis.
Merci mille fois d'avoir lu « Loser = Lover » !
Pour celles et ceux qui ne l'ont pas noté, elle est vaguement inspirée de la chanson du même titre du groupe TXT. Alors, je dis vaguement parce que les paroles de cette chanson ont plusieurs lectures.
Sachez que je vous aime très fort ! Oui, oui, tous les auteur(e)s disent ça mais c'est vrai vous vous rendez pas compte ! Des personnes qui lisent et aiment ce qu'on écrit c'est incroyable, gratifiant, et ça inspire de fou. Alors, je vous donne tout mon amour ! Enfin, j'en garde un peu pour les Stray Kids, ma principale raison de sourire chaque jour sans limite.
C'est donc sur cette note que se termine « Loser = Lover » !
Je vous souhaite le meilleur, et surtout prenez bien soin de vous. Vous êtes le personnage principal de votre vie.
A très vite sur mes autres fictions ;)
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