◾️Chapitre 1◾️
NDA : je tiens à préciser que cette histoire n'a rien avoir avec Ciel. Enfin ... un petit peu. Disons que j'ai fais comme si Sebastian avait dévoré l'âme de Ciel, et qu'il a continué à errer à la recherche d'une nouvelle âme.
Il continue donc à vivre jusqu'à notre siècle.
Mise à part les personnages ( sauf l'O.C ) et la « loi » de Black Bulter, tout est inventé,
Donc aucun risque de spoile. Sur ce, bonne lecture ^^
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❝𝗜𝗧'𝗦 𝗙𝝠𝗞𝗘.❞
❝𝗪𝗛𝝠𝗧 𝗜𝗦 𝗜𝗧 𝗙𝝠𝗞𝗘 ?❞
❝𝗠𝗬 𝗛𝝠𝗣𝗣𝗜𝗡𝗘𝗦𝗦❞
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« Aurora. Il est l'heure de te lever. »
Doucement, la jeune fille se frotta les yeux, baillant sans aucune retenue, se qui eut le don d'agacer légèrement le jeune homme à ses côtés.
« Il faut mettre la main devant la bouche lorsque l'on baille. »
Elle soupira, s'enfouit un peu plus dans sa modeste couverture, et enfonça son visage dans son oreiller.
« Tu m'écoutes dis ? Répéta l'homme. Aurora, je te rappelle que la maison d'édition n'accepte aucun retard !
Ladite Aurora se releva brusquement.
- Eh mince ! J'avais oublié ! Tu aurais pu me le rappeler avant Sebastian !
Sebastian posa sa main sur son front, soupirant face à l'attitude peu responsable de la jeune fille.
- Bouge toi plutôt. Répondit-Il simplement. »
Aurora se leva et se prépara à toute vitesse.
Une fois ses longs cheveux noirs coiffés en chignon et son corps habillé d'une élégante tenue, elle s'en alla, accompagnée de Sebastian.
Ce dernier avait porté, comme toujours, une simple chemise noir et un jean de la même couleur.
Il ouvrit la porte, invitant Aurora à passer, et tout deux se dirigèrent presque en courant vers la fameuse maison d'édition.
Tenant fortement son ordinateur portable, Aurora espérait cette fois être accepté.
Sébastian la rassura :
« Pendant que tu dormais, j'ai amélioré ton travail.
- Tu... as fait ça ? En une nuit ?
- N'oublie jamais qui je suis Aurora ! »
La jeune fille sourit.
Mais Sebastian arrivait à voir que c'était un sourire forcé.
Elle n'était pas encore heureuse. Et Sebastian ne pouvait donc pas encore lui retirer son âme. Quelle tristesse. Enfin pour lui.
Il vivait depuis plus de deux ans avec elle. Cette fille qu'il avait trouvé, seule dans la forêt, a supplié qu'on la sauve.
Il avait été attiré par cette âme, emplit de désespoir, qui ne comprenait pas pourquoi elle existait. Cette âme qui était présente physiquement, mais morte mentalement. Cette âme qui ne demandait qu'a goûter à ce même bonheur que les autres avaient pu vivre.
Il fut tiré de ses pensées par Aurora qui lui tirait Le Bras :
« Tu penses que mon histoire était bien ?
Ils étaient dans le bureau, attendant que quelqu'un vienne pour annoncer si le livre était prit ou non.
Sebastian lui dit franchement :
- Elle manquait peut être un peu d'émotion joyeuse. Une jeune avocate qui poursuis un grand criminel sans savoir que ce dernier est son amant ... c'est un très bon thème en soit. Mais elle pue le malheur. Et la fin est peut être bien trop ... sadique.
- Bah quoi ? Il n'a eut que ce qu'il méritait ! Enfin bon ... je prie juste pour qu'elle soit prise ...
- Serais-tu heureuse après ça ?
Les yeux de Sebastian s'illuminèrent d'une lueur rouge.
Aurora sourit malicieusement en voyant a quel point le démon avait faim.
- Peut être ... tu verras bien. »
Elle se leva alors brusquement en voyant l'homme qui pourrait être son future patron, arriver dans la salle.
« Mlle Novella ?
Aurora hocha la tête à l'entente de son nom de famille.
- Je suis Wilson Hive. Ravis de vous rencontrer.
Il dirige son regard vers Sebastian, se demandant qui il pouvait bien être. Comprenant le malaise, Aurora intervient :
- V-voici ... euh ... mon petit ami ! Il vient m'accompagner ! »
« Comment ça je suis ton copain ? Tsss... » pensa le démon.
Il ne dit rien, mais n'était pas très content. Déjà, il avait dû jouer l'assistant, puis l'oncle, le frère, et maintenant il devait faire le copain.
Il replaça l'une de ses longues mèches sombres, et écouta d'un oreille attentive :
« Et bien ... tout est très bien écrit. Mais ... les sentiments des personnages ne sont pas très très bien développés, rendant les personnages peu attachant. Vous pouvez garder l'histoire, mais il va falloir continuer de bosser. Je vous met en attente et vous donne ... un mois pour tout améliorer.
- Je vois ... merci pour vos conseils, je tacherai d'être présente. Au revoir monsieur Hive.
- Au revoir Mlle Novella et Monsieur. »
Une fois sortit de l'agence, Aurora se dirigea sans un mot vers chez elle.
Une fois rentrée, toujours suivit de Sebastian, elle se laisse tomber sur le canapé et soupira :
« Jamais je n'y arriverai ... cette vie est vraiment dur ...
- Si tu veux, je peux faire une histoire en gardant ton idée.
-Non. Il faut que l'histoire vienne de moi. Il n'y a que comme ça que je pourrais être fière de moi.
- Tu es compliquée comme fille. Et ce, depuis que je t'ai connu.
- Tu n'avais qu'à pas répondre à mon appel dans cette forêt.
- J'avais faim. Et tu étais parfaite comme plat. Une jeune fille orpheline, sans toit et sans emploi, martyrisée par la société anglaise. »
Aurora ferme les yeux en pensant à cette sombre époque.
Elle a toujours grandit dans un orphelinat. Mais les jours étaient si fade. Et lorsqu'elle a atteint la majorité, elle est partie, ou plutôt enfuit, sans savoir se qu'elle ferait.
Rien ne lui souriait. Enfin si, peut être cette gentille vieille dame qui lui donnait des livres. Mais cette gentillesse fut vite consumé par les flammes de la mort. Elle perdit cette dame encore plus vite qu'elle ne l'avait rencontré, gardant en souvenir quelques vieux livres.
« Si je suis venu à toi, commença-t-elle, c'est parce que je n'en pouvais plus. Je voulais être heureuse. Mais apparement, même toi tu n'arrives pas à me faire sourire sincèrement.
- Si tu me disais se qu'il fallait faire, tu serais dans mon estomac depuis longtemps. Taquina Sebastian.
- Il n'y a pas de recette pour le bonheur. Chaque humain à sa vison des choses.
- Ce qui vous rend encore plus compliqué.
- C'est ce qui nous rend aussi original.
- Si tu veux.
- D'ailleurs ... tu ne m'a jamais dit ton vrai prénom.
- Je porte le nom que tu me donnes.
- Ce n'est pas vraiment moi qui te l'as donné ... je t'ai juste demandé tes précédents noms et j'ai opté pour celui de ton ancien maître.
- Donc je m'appelle Sebastian.
- M'ouais ... »
Aurora se leva, et fila en haut se mettre en pyjamas, pendant que Sebastian se dirigea vers la cuisine afin de préparé le déjeuner.
Depuis qu'il avait signé avec elle, il faisait absolument tout pour qu'elle se sente comme une reine. Il usait de ses anciens talents de majordome pour cela. Que de souvenirs !
Il pensait que si Aurora se sentait comme dans un château, elle serait heureuse.
Vous n'avez toujours pas comprit ce pour quoi Sebastian se tue ?
« Tu me rend heureuse, je te donne mon âme. »
Voilà le pacte. Mais malgré les années passées avec Ciel, Sebastian avait du mal avec la nature humaine.
Certes, il s'y connaissait bien, mais certain détail lui échappait. Comme la notion de bonheur. Après tout, il n'a jamais réellement vu Ciel heureux. Mise à part le jour de sa vengeance. Mais Aurora ne voulait se venger de rien.
Cette jeune orpheline, qui était venu dans la forêt, à la recherche d'une aide. Elle avait trouver Sébastian. Et le Diable lui avait tendu la main.
Il lui avait d'abord trouver un foyer, une vielle maison. Il l'avait rénové. Ensuite, il lui avait ramené des vêtements et de l'argent. Comment avait-il trouvé tout ceci ? Seul le Diable le sait.
Il avait également trouver un petit job. Aurora était là, car Sebastian voulait la garder à l'œil.
Alors pendant que lui cuisinait des mets succulents qu'Aurora pouvait manger chaque jours, cette dernière servait les clients, avec son plus beau et plus faux sourire.
Et le soir, pendant que la jeune fille dormait plus ou moins paisiblement dans un bon lit confortable, Sebastian améliorait ses écrits d'une façon parfaite :
Il changeait assez de mots et de formule pour rendre le texte meilleur, mais pas assez pour dire qu'il avait « écrit » le livre.
Ainsi, si l'histoire avait du succès, Aurora pourrait être fière d'elle.
« Est-ce ainsi qu'elle sera heureuse ? ».
Aujourd'hui, c'était repos. Aurora était un peu dépitée.
« Tu sais ... commença le démon, je crois que tu devrais aller toquer à la porte d'une autre maison d'édition.
- Ah ? Et pourquoi donc ? Interrogea Aurora.
- Ce chère monsieur n'avait pas l'air de te prendre au sérieux. Va donc améliorer ton texte, envoie le moi pour le corriger, et va dans une maison que je choisirais personnellement. »
Aurora hocha la tête, sans même prendre la peine de le remercier. Après tout, il était là pour ça non ? Et en plus, elle s'adressait directement à son future assassin.
Vous devez sûrement vous demandez en quel honneur Sebastian la tutoie ?
Disons que ce dernière avait juger qu'il fallait jeter les formalités par la fenêtre.
D'une part, cela lui faisait du bien car il avait été traumatisé par Ciel à cause de ça, et d'un autre parce qu'il trouvait que le fait de dire « tu » permettait de crée une certaine proximité avec son interlocuteur. Ainsi, il pensait qu'Aurora se sentirait proche de lui, et qu'elle sera heureuse d'avoir un ami.
« Je crois que la proximité que j'ai instauré est inutile ... c'est tellement dur de savoir se qu'elle veut ! Un ami ne lui suffira pas. »
La jeune fille monta les escaliers, afin de se mettre au boulot, mais elle se souvint :
« Seb' ! Je crois qu'on va avoir un petit problème ...
- Ou-... ah !
- Quoi ? »
Le démon venait d'avoir un déclic ! « Proximité, ami et petit »
Petit ami ! Amour !
Et voilà. Il avait peut être trouver la clé du problème.
Aurora n'avait jamais été amoureuse. Était-ce la solution ?
Sans plus attendre, et se moquant pour le moment du souci de la jeune femme, il s'exclama :
« Aurora ! Tu as déjà ressentit le fait d'être aimée ? Où toi même aimer ?
- Hein ? C'est quoi cette question idiote ...?
- Répond simplement !
- Euh ... non ... je ne sais pas se que ça fait ...
- Tu aimerais ressentir ça ?
- Hein ... euh ... o-... peut être ... je ...
- C'est bon j'ai compris, merci. »
Satisfait, Sebastian s'apprêtait à repartir dans la cuisine, sous la mine gênée et incompréhensible d'Aurora. Mais il se souvint d'une chose :
« Ah et au fait, tu voulais me dire quoi au juste ? C'est quoi le petit problème ?
- ... à cause de toi j'ai oublié ... tu pouvais pas attendre avec ta question sans queue ni tête ?! »
Sebastian rigola doucement, avant de continuer sa tâche, laissant Aurora monter rageusement les marches pour bosser sur son livre.
Elle y travailla d'ailleurs, toute la journée, ne s'étant accordé qu'une seule pause pour le déjeuner.
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❝ 𝗣𝗟𝗨𝗦 𝗧𝗨 𝗦𝗘𝗥𝝠𝗦 𝗧𝗥𝗜𝗦𝗧𝗘, 𝗘𝗧 𝗣𝗟𝗨𝗦 𝗧𝗨 𝗦𝗘𝗥𝝠𝗦 𝗛𝗘𝗨𝗥𝗘𝗨𝗦𝗘 𝗗'𝗘̂𝗧𝗥𝗘 𝗛𝗘𝗨𝗥𝗘𝗨𝗦𝗘, 𝗖𝝠𝗥 𝗧𝗨 𝗦𝗘𝗥𝝠𝗦 𝗛𝗘𝗨𝗥𝗘𝗨𝗦𝗘 𝗗'𝝠𝗩𝝝𝗜𝗥 𝗠𝗜̂𝗧 𝗙𝗜𝗡 𝝠̀ 𝗖𝗘𝗧𝗧𝗘 𝗧𝗥𝗜𝗦𝗧𝗘𝗦𝗦𝗘.❞
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« Il est l'heure de dîner.
- Ouais ... j'arrive ... »
Aurora avait lu encore, des centaines de petits poèmes lyriques toute journée. Elle espérait pouvoir communiquer des sentiments dans son histoire grave à cela. Mais pour le moment, elle avait encore du mal. Elle trouvait se genre de choses niais et horriblement ennuyait. Elle se demandait bien qui se souciait de connaître les sentiments des personnages ? Il suffit de dire « je t'aime » pour que l'on comprenne que les protagonistes ont des sentiments. Pourquoi en rajouter ? Pourquoi décrire ce genre de sensations ?
Aurora avait bien du mal à décrire une chose inconnue pour elle.
Elle descendit mollement les escaliers, et vit Sebastian, devant la table à manger, semblant attendre la jeune fille.
Il tachait de faire en sorte de ne jamais laisser la jeune fille seule à table. Bien qu'il ne mangeait pas, il restait assit, en face d'elle, et s'occupait comme il le pouvait, et tentait de discuter avec elle.
Ce soir là, il s'occupait avec son ordinateur portable.
« Qu'est-ce que tu fais ? Avait demandé Aurora, un morceau de viande dans la bouche.
- On ne parle pas la bouche pleine, rappela Sebastian. Et je fais un truc vite fait, t'en occupe pas. »
Aurora soupira de colère : d'une part pour avoir été reprit, et d'une autre pour une réponse incomplète.
Le repas se passa dans un silence absolu. Aurora était perdue dans ses pensées.
Que se serait-il passé si elle n'avait pas eu Sébastian ? Elle serait morte. Où la société l'aurait tué, ou elle l'aurait fait elle même.
Elle n'avait jamais comprit son but et sa raison d'exister. Pour elle, les humains vivaient pour donner naissance à d'autre. Il ne se mariait pas par amour, mais par nécessité.
Toutes ces belles histoires amoureuses n'étaient qu'un pauvre illusion cherchant à alléger la dur réalité. Un simple euphémisme.
Les humains ne s'aimaient pas entre eux. Ils s'utilisaient. Ils profitaient. Et certain aimait la vie seulement parce que cette dernière leur avait sourit. Ils avaient sut avoir ce qu'il voulait.
Pathétique. Voilà le mot qui était sans cesse répéter dans la tête de la noiraude en voyant ce monde.
Elle, elle avait été trop faible. Elle n'a pas profité des autres, mais ce sont les autres qui ont profité d'elle.
« Tu n'as plus faim ? »
Elle fut tirée de ses pensées par Sébastian, qui, toujours les yeux rivés sur son ordinateur semblait s'inquiéter.
« T'en fait pas, je vais finir mon assiette et ça ira. Rassura la future écrivaine.
- Tu n'as pas l'aire d'aller bien ...
- Je t'ai dit que ça allait ... et toi, que fais-tu avec l'ordinateur ? »
Sebastian semblait perturbé par la question, et d'une vitesse ahurissante, il ferma la page, ouvrit une autre et alla sur un site de recette de cuisine. Cela faisait deux fois qu'elle lui posait la question. Il craignait le pire.
« Je cherche de nouvelles recettes.
- Humm. »
Elle ne chercha même pas à voir s'il disait la vérité.
Le démon soupire de soulagement. Que se serait-il passé si la jeune femme avait surpris le démon sur un site de rencontre, en train de l'inscrire ?
Une fois le repas terminé, Aurora posa son assiette, son verre et ses couverts dans l'évier. Une fois cela fait, elle marcha jusqu'à salon, s'allongea sur le canapé et alluma sa télé.
Ce qu'elle s'ennuyait ! Et Sebastian était tellement occupé à crée ce foutu compte qu'il n'avait même pas remarqué cela.
Aurora se mit a broyé du noir.
« J'en ai marre »
« Pourquoi je n'arrive pas écrire ? »
« Même un démon en deux ans ne me rend pas heureuse »
« J'en ai assez »
« Devrai-je abandonner ? »
« Peut être que je n'ai aucun don pour écrire ... »
Ayant fini sa mission secrète, Sebastian s'assit près d'Aurora et posa l'une de ses grandes mains sur sa tête. Il avait comprit.
Doucement, il prit la jeune fille dans ses bras, et la rassura comme à son habitude :
- Arrête de penser à ça. Tu n'es pas nul. Tu es juste encore en apprentissage. Si avoir du succès avec des livres seraient simples, tout le monde serait célèbre. Mais ce n'est pas le cas. Ainsi, il faut travailler dur. Plus tu te diras que tout ira bien, et plus tout ira bien. Et puis ... si tu doutes de mes capacités, je t'arrête. Rien n'est impossible avec moi. Ne t'en fait pas. Jamais je ne te lâcherai, tu as ma parole. Et tu sais que je ne mens jamais. Jamais je ne t'abandonnerai. Tu m'auras toujours à tes côtés. Jusqu'à ta mort.
Aurora ferma les yeux. Elle avait besoin de ce câlin, et de ces paroles. Elle était apaisée. Comme toujours lorsqu'elle était près de lui.
Il avait toujours été là pour elle. Et une femme ne peux rester insensible à des gestes aussi tendre.
De l'affection ? De la gratitude ? De l'amour ? Quel était ce sentiment ? Pourquoi son cœur battait plus vite à chaque fois que Sebastian lui caressait les cheveux pour l'endormir, la prenait dans ses bras pour la réconforter, lui disait des mots doux pour lui donner le courage de continuer.
Mais de toute évidence, elle se mettait une barrière. Après tout, Sebastian ne faisait pas cela car il en avait envi. C'est une évidence. Il le faisait car il voulait son âme.
Lorsque la dure réalité la rattrapa, elle tenta de se dégager. Mais ces bras ne répondait pas. Car sa tête avait beau avoir envi de partir, son cœur lui, restait accroché fermement à cette illusion.
N'est-ce pas là, la pire manière de jouer avec le coeur d'une fille ?
Sebastian, lui, n'y voyait rien. Il avait déjà du mal à comprendre un coeur humain. Il s'avait simplement que s'il est désespéré, il s'accroche à tout, aussi futile, inutile et ridicule soit-il, quitte à faire tomber les autres avec lui. Il s'avait aussi que les humains pouvaient s'accrocher fermement à leur rêve, leurs ambitions.
Mais ... en ce qui concerne l'amour et tout ça ... ce n'était pas sa dose. Et sans s'en rendre compte, en voulant éviter à son « repas » d'être triste, il était en train de crée en elle une multitude de questions qui la tourmentera pendant longtemps.
Sans dire un mot, Aurora se leva, repoussant Sebastian, et monta dans sa chambre.
« Je suis fatiguée. A demain. »
Sebastian la regarda partir, légèrement étonné.
En entendant la porte de la salle de bain se fermer, Sebastian comprit qu'elle allait faire sa toilette, et se coucher directement.
Il se leva à son tour, et se mit a chercher une occupation pour la nuit.
A suivre ...
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