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Chapitre 7 - Rêve de liberté

ılı.lıllılıı.ıllı
ɴᴏᴡ ᴘʟᴀʏɪɴɢ
[Where we used to be]
1:22 ━━━━◉─────── 3:09
◃◃ VII ▹▹
ᴠᴏʟᴜᴍᴇ : ▁▂▃▄▅▆ 100%

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Désolée pour le petit retard sur ce chapitre. Je suis débordée en ce moment et je n'ai pas su trouver le moment d'écrire. Les épreuves communes, tout ça tout ça ET LE FUKING PROF D'HISTOIRE QUI NOUS DONNE +100 PAGES DE COURS À FAIRE EN 1 SEMAINE ET DEMI ALORS QU'ON À LE DEVOIR COMMUN. Hum, hum, enfin bref, je m'égare. Profitez du chapitre 💗🌌

...

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.....

.......

-....elle reprend connaissance...

Quelle est cette chaleur contre ma main ?
Une présence humaine ?

Un brouillard sombre masquait encore sa vue. Une silhouette sombre se dessinait lentement devant elle.
(T/p) peinait à entrouvrir les yeux, la lumière l'aveuglait.

-(t/p), tu m'entends ?

Ses oreilles sifflaient terriblement, la dérangeant davantage pour capter ce qu'on lui disait.

Malgré qu'elle ne voit presque rien, elle répondit.

-Oui ? Qui est là ?

La sensation de chaleur se dévoilait en fait être une main qui serrait la sienne pour la maintenir éveillée.
Son esprit embrumé s'éclaircit.

-C'est Kabuto, tu me vois ?

La (c/c) reconnaissait désormais sa voix. Elle le distinguait à présent de façon très claire penché au-dessus d'elle.

-Oui, je te vois très bien...mais je suis perdu...

Que s'était-il donc passé ? Pourquoi était-elle allongée là ? Qu'est-ce que Kabuto faisait ici et surtout pourquoi elle ne se souvenait plus de rien ?

Elle observa attentivement autour d'elle et reconnut sa propre chambre. Elle était donc toujours dans le repaire d'elle et Sasuke.
Mais en se rappelant du garçon, la (c/c) se souvint brutalement des évènements passés.

-Alors...je ne suis pas morte ?

Le blanc à lunettes baissa les yeux.

-Tu as eu beaucoup de chance. Orochimaru-sama et moi devions nous rendre ici pour parler de choses qui ne te concerne pas avec Sasuke. En arrivant, on a vu du sang un peu partout. Orochimaru avait tout de suite compris qu'il avait du t'arriver malheur.

Il s'assit sur la chaise disposée à côté du lit et se racla la gorge.

-Il s'avère que nous t'avons retrouvé dans un état...plus que déplorable.

Elle soupira.

-C'est déjà assez humiliant comme ça, pas besoin de me le rappeler.

Il reprit ensuite en replaçant ses lunettes d'un geste bref sur son nez à l'aide de son majeur.

-Enfin bref, Sasuke venait de te trancher la gorge. Ce n'était pas une bien grande entaille mais le sang coulait abondamment de ton cou et Orochimaru-sama n'était pas en capacité de te prodiguer les soins nécessaires. C'est donc moi qui m'est chargé de te sauver la vie. Et crois-moi, c'était quasi-mission impossible. Quand je t'ai vu j'étais persuadé que c'était sans espoir, mais il faut croire que je n'ai pas la science infuse, finit-il en souriant.

La (c/c) n'avait encore point bougé. Elle fixait le plafond pensive.

Il aurait peut-être été préférable que je meure à ce moment là.

(T/p) prit une grande inspiration tout en refermant ses paupières un bref instant. Elle tenta de se relever en vain. Une douleur insoutenable la prit irrémédiablement. La jeune femme s'attarda sur son accoutrement. Une robe de chambre teintée d'une couleur verdâtre digne d'un hôpital ainsi qu'une multitude de bandages sur tout son corps excepté son visage.
Quelque chose qu'elle n'arrivait pas à voir correctement était placé autour de son cou, l'empêchant de le bouger.

-Combien de temps s'est écoulé depuis l'incident ?

-2 jours.

-Quoi ? C'est pas possible.

Le subordonné se leva et s'apprêta à sortir de la pièce.

-Au fait, Orochimaru voulait te transférer dans un autre endroit mais un certain Sasuke n'a pas vu ça d'un très bon oeil. Et comme Orochimaru ne peut rien lui refuser et bien... tu restes ici.

Elle resta un instant sans rien dire avant de commencer à s'affoler.

-Non, Kabuto c'est impossible. Je ne peux pas rester avec lui tu comprends ?!

-Je n'y peux rien (t/p), Orochimaru sait très bien de quoi Sasuke est capable avec toi et même en sachant cela, il ne change pas d'avis.

La (c/c), malgré la douleur profonde qui l'animait, réussit à se relever et à se positionner au bord du lit.
Contracter le moindre muscle lui donnait l'impression que ce dernier allait se déchirer.

Kabuto revint vers elle en la sollicitant à se recoucher.

-Tu as besoin de repos, allonge-toi et-

-Je ne veux pas rester ici, je ne pourrais pas le supporter !, cria-t-elle désespérée en perdant totalement le contrôle de sa personne.

-Qu'est-ce qui se passe ici ? C'est elle qui crie comme ça ?

(T/p) tourna la tête accompagnée de Kabuto vers la personne dans l'encadrement de la porte.
Son coeur se serra, sa gorge se noua et les larmes lui montèrent presque aux yeux.
Elle fixait l'argenté de ses orbes (c/y) dans le désarroi le plus total, priant pour qu'il ne la laisse pas seule avec l'Uchiha.

Mais que pouvait bien faire Kabuto après tout, il avait bien raison. Orochimaru n'avait que faire de sa parole face à celle de sa prochaine enveloppe charnelle.

Sasuke fixait l'homme à lunettes, attendant toujours une réponse.

-Rien, juste...la douleur. Elle n'est pas encore remise de ses blessures voilà tout.

Malgré les regards suppliants de (t/p), Kabuto du quitter les lieux à contrecœur. Il adressa une dernière phrase à Sasuke avant de s'en aller.

-Mais il serait bon que tu apprennes à te contenir la prochaine fois. Sur ce, je vous laisse, conclut-il en passant la porte.

Le brun lui lâcha un regard mauvais et serra le poing. Ils n'étaient plus que tous les deux, seuls, dans la même pièce.
(T/p) baissait les yeux, ne sachant que faire ou que dire.

-Tu m'attires tellement d'emmerdes, c'est quand même dingue.

Elle voulait baisser la tête histoire de se faire toute petite, mais cela lui était impossible avec ce qui lui maintenait le cou. La seule chose que la jeune femme faisait était de se triturer les doigts nerveusement.

-Mais de toute façon, tu ne peux pas comprendre. Tout ça, ça te dépasse.

Les larmes lui montaient aux yeux sans qu'elle ne puisse s'en empêcher. Comment pouvait-il lui dire ceci sans même se rendre compte du mal qu'il lui faisait ?
Pas la moindre excuse, pas le moindre regret ou la moindre remise en question de sa part.

Il avait raison quelle qu'en soit la situation.

-Je...je suis désolée..., finit-elle par prononcer d'une voix tremblotante.

C'était tout de même le comble de voir la victime demander pardon au fautif.

-Je ne t'ai pas demandé de tes pitoyables excuses, cracha-t-il plein de haine.

-Enfin bref, tu resteras cloîtré ici pendant quelques jours encore avant de pouvoir te lever. Sache également que tu n'as plus le droit de sortir de cette maison et de voir qui que ce soit à part moi jusqu'à nouvel ordre.

Ne plus sortir, ne plus voir personne hormis cet homme ?
Inconcevable pour la (c/c).
Rien qu'entendre cela la rendait déjà dingue.
Mais elle savait qu'elle ne devait en aucun cas remettre en cause sa parole et s'opposer à lui.

Elle hocha difficilement la tête en guise d'approbation.

-Et tu vois ses deux chaînes de part et d'autre du lit ? Elles sont réservées rien que pour toi, tu devrais t'en réjouir.

En effet, deux chaînes en métal avec au bout de ses dernières des menottes sortaient du mur derrière elle. Bizarrement, elle ne s'en était pas rendu compte jusqu'alors, la (c/c) ne pouvait que difficilement tourner la tête à vrai dire. Le brun s'approcha et lui prit les poignées qu'il plaça dans les menottes prévu à cet effet.

-Pourquoi ceci ?, demanda-t-elle perplexe.

Il était vrai qu'au vu de son état, elle ne représentait pas un bien grand danger.

-On ne sais jamais avec toi, je préfère m'assurer que tu ne puisses tenter quoi que ce soit.

Il lui déposa ensuite un petit déjeuner sur la petite table à côté d'elle, puis, s'en alla de la pièce, la laissant seule, enchaîné.

Quand il fut parti, (t/p) se jeta sur son petit déjeuner comme une morfale.
Elle mourrait de faim, cela allait de soi après avoir passé deux jours le ventre vide.
Quand elle fut bien rassasiée, elle s'allongea difficilement dans son lit et commença à vagabonder dans ses pensées.

Tant de choses la traquassaient. Pire que ça, cela en devenait même une obsession.
Quand (t/p) repensait à tout ce qui lui était arrivé ici, elle regrettait amèrement de ne rien avoir dit à Karin. Peut-être que si elle avait osé parler elle ne serait plus dans cet endroit maudit et avec cet homme sans coeur...Oui, peut-être...

Peut-être qu'elle aurait pu s'enfuir et aller à Konoha, retrouver les gens avec qui elle avait sympathisé.
Naruto, Sakura, Hinata, et tant d'autres.
Oui, elle regrettait vraiment.

Parce que maintenant elle ne pouvait plus partir, il était trop tard.

En pensant à tout ça, la captive ne put s'empêcher de laisser ses larmes couler, couler encore et encore sans pouvoir, non, sans vouloir s'arrêter. Cela lui faisait un bien incroyablement fou.
Comme si cela la déchargeait d'une partie de ses peines.
La (c/c) aurait tant aimé que quelqu'un soit là pour l'écouter et la réconforter.

Les heures passaient et semblaient se changer en journées entières. (T/p) n'avait rien à faire hormis jouer avec ses chaînes ou dormir.
Sasuke venait lui apporter à manger de temps en temps, toujours avec sa joie de vivre habituelle.
Les repas étaient presque toujours les mêmes.
Du riz à foison accompagnée de légumes et d'une soupe miso le matin.

Les jours passaient lentement mais sûrement. Pour (t/p), cela devenait un calvaire. Ses chaînes commençaient à lui faire mal et à la démangeait mais le brun ne voulait nullement les lui retirer. De plus, le riz commençait sérieusement à lui taper sur les nerfs. Rien qu'à la vue de son plat, elle avait parfois des remontées qui la prenait.

Et puis enfermé comme cela à ne rien faire, on commençait à perdre la notion du temps. On s'endort à 16h pour se réveiller à 2h du matin. Cela l'épuisait plus qu'autre chose.
La chambre semblait rétrécir au fil du temps, comme si la pièce allait finir par l'écraser et briser ses os.
Elle devenait à moitié folle.

Sasuke avait tout de même fini par lui retirer cette chose autour du cou qui l'empêchait de le bouger. Quelle délivrance se fût pour la (c/c). Elle avait même commencé à se lever à nouveau du lit pour se positionner en équilibre sur ses deux pieds.
Pouvoir se remettre debout la faisait sourire bêtement bien que ses chaînes soit encore présentes.

Les jours se transformaient en semaines. Oui, il fallut au total 3 semaines à (t/p) pour reprendre a peut près toute sa vigueur.
C'est à ce moment que l'Uchiha la libéra enfin de ses chaînes, laissant apparaître de grosses marques rougeâtre et brunâtre sur les poignets de la captive. Cette partie de son corps était bien la dernière qui la faisait encore souffrir et elle s'en réjouissait.

Maintenant, il fallait qu'elle trouve le moyen de négocier ses libertés avec Sasuke. (T/p) avait encore espoir, elle essayait tout du moins. Que pouvait-elle bien faire de plus ? Sa force n'était pas suffisante et si elle tentait une seconde fois de se rebeller contre le brun, on n'entendrait plus jamais parler de (t/p) (t/n), à coup sûr.

Si elle voulait tenter de négocier avec lui, alors, il fallait au moins lui proposer quelque chose en échange, quelque chose qui pourrait l'intéresser.
Mais avant de se créer cette opportunité, il fallait qu'elle ait le comportement le plus irréprochable qui soit. La (c/c) s'en sentait capable, oui, elle y arriverait forcément à un moment où un autre.

Pour le moment, elle reprit ses tâches quotidiennes dans le repaire. L'entretien de la maison constituait sa principale occupation. À côté de ça, elle reprenait petit à petit les entraînements.
C'était sûr qu'elle n'avait plus la même vivacité qu'avant, mais cela restait correct.

Le plus dur dans son quotidien était sans nul doute de supporter le garçon. En effet, depuis sa remise sur pied, il ne faisait que la rabaisser, la traiter comme une moins que rien, voire même comme un animal.
Parfois même il s'amusait à l'affamer pendant un ou deux jours juste parce qu'il en avait envie.

Un jour en particulier marqua vraiment la (c/c). Cette journée-là, elle avait oublié de nettoyer dans la chambre du brun.
Sasuke venait de l'appeler pour venir manger, (t/p) s'en réjouit car cela faisait plus d'une journée qu'elle n'avait rien avalé.
Quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit son assiette de riz posé au sol dans un coin de la pièce.

-Aller, c'est prêt, mange, lui dit-il simplement.

Elle s'agenouilla pour récupérer le bol poser au sol mais on la stoppa avant.

-Qu'est-ce que tu fais. On ne t'a jamais appris que les animaux ça mange par terre ?

La (c/c) ne comprenait pas. Il voulait qu'elle mange par terre, à quatre pattes, comme une chienne ?

-Tu veux que...je mange au sol et sans baguettes ?, demanda-t-elle nerveuse.

Il soupira simplement en s'approchant près d'elle.

-Quelle question stupide. Bien sûr.

C'était bien l'une des choses les plus humiliantes que l'on lui est demandé de faire jusqu'à présent.

Elle remit ses cheveux en arrière et se mit sur ses quatre appuies et approcha ses lèvres du plat qui lui paraissait sans saveur. Mais elle mourait tellement de faim que, même dans ces conditions, elle ne refusait pas son repas.

Sous le regard amusé de son bourreau, elle commença à manger son plat plus que gêné. Il lui apporta également une gamelle d'eau, cela allait de soi. La scène était des plus malsaines.

Elle avait du riz tout autour de sa bouche et même un partout sur le visage. Il lui caressa la tête en disant :

-Bon chien. La prochaine fois tu n'oublieras pas de nettoyer ma chambre c'est clair ?

(T/p) hocha la tête avant de prendre de l'eau comme elle le pouvait. Ce genre de crasse ne l'étonnait même plus à force.
Tout ce qu'elle avait à faire était d'obéir de toute façon.

Après plus d'une semaine passée comme ça, elle se décida à enfin mettre en place ce qu'elle avait en tête. Si cela marchait, la jeune femme avait peur de ne jamais s'en remettre mentalement.

Mais qu'était-elle vraiment prête à sacrifier au prix de la liberté ?
Elle-même ne le savait pas.

Un soir paisible et tranquille, la (c/c) se fit toute belle. Enfin, elle soignait surtout son hygiène pour être une fois de plus irréprochable. Entre autres, elle prit simplement sa douche, prit bien le temps de prendre soin de sa peau et de sentir bon.

Il commençait à se faire un peu tard. Sasuke se trouvait dans le salon à lire des rouleaux de techniques comme souvent. Elle prit son courage à deux mains et s'avança vers lui.

-Sasuke, je...je pourrais m'assoir à côté de toi ?, formula-t-elle hésitante.

Il prit la peine de relever la tête vers la jeune femme.

-Et pourquoi ça ?

-Et bien, simplement j'aimerais parler avec toi, reprit-elle plus sûr d'elle.

Il lui indiqua de siéger à côté de lui. C'était déjà une première étape de passé, mais le plus dur était à venir.

Elle se rapprocha très proche de lui et commença à parler.

-En fait, j'aimerai que...

Ses mains commencèrent à s'aventurer sur un corps qui n'était pas le sien. Ses doigts glissaient lentement contre son bras pour redescendre vers sa main avant de remonter.
Le garçon mit de côté son rouleau et occupa toute son attention à la (c/c).

-J'aimerais que tu me...me rendes une partie de mes libertés, oui, voilà. Comme sortir dehors et surtout revoir Karin ou Suigetsu. Je sais que tu ne voudras certainement pas mais, je pourrais... également te rendre quelques services en échange...

Sa voix se faisait un plus profonde et remplie de sous-entendus. Elle se colla un peu plus à lui jusqu'à ce que sa poitrine appuie contre son bras. Sa deuxième main longeait le longtemps de la cuisse du garçon qui eut un léger frisson. Sa main remontait et redescendait lentement, se rapprochant toujours plus de son entre-jambe. Étonnant, Sasuke ne la repoussa pas.

-Ha oui vraiment ?

Le rythme cardiaque de la captive accélérait. Pour l'instant, tout se passait merveilleusement bien. Elle avait tout de même terriblement peur. Voyant le regard de l'homme dangereux en face d'elle se balader à des endroits incongrus, elle ne put cacher son dégoût.

Il sembla rentrer dans son jeu et glissa sa main sur la frêle épaule de la jeune femme. Il remonta pour caresser un instant son doux visage pourtant meurtri à de nombreuses reprises par nul autre que lui-même avant de la passer dans sa nuque.

Il rapprocha son visage du sien et, à contrecœur, elle se laissa embrasser. Leur dernier baiser datait de son viol, un baisé qui n'était toujours pas fait par amour. Les lèvres de L'Uchiha se posèrent tendrement contre les siennes. Ses doigts prirent la mâchoire de la jeune femme pour la forcer à le suivre dans ses mouvements. Sasuke lui procurait de douces caresses tout en continuant leur échange. Il l'incita à entre ouvrir les lèvres pour intensifier cet étrange baiser.
Un baiser qui s'intensifiait un peu trop au goût de (t/p) qui regrettait déjà son marchandage malsain.

Mais elle s'était lancée dedans, elle n'avait plus le choix maintenant.

Avec peu d'assurance, elle bascula au-dessus du brun, à califourchon sur lui.
Il la fixait d'un regard désireux qu'elle se forçait soutenir pour maintenir cette tension entre eux.

-Tu serais vraiment prête à vendre ton corps pour quelque chose d'aussi futile ?

Quelque chose d'aussi futile ? Non, quelque chose de vital pour (t/p). Elle perdait la tête plus qu'autre chose, son esprit était à bout. Alors oui, voir d'autres personnes ou même sortir de dehors la rendrait au combien heureuse.

-Oui...si c'est comme ça que tu le vois, avoua-t-elle.

-Je ne te pensais pas capables de ce genre de choses. Il faut croire que quand je te traitais de chienne, ça te correspondait plutôt bien..

Déshonorée, elle continua :

-Alors tu es d'accord pour ce marché ?

-Hm...J'y réfléchis.

Ça veut dire quoi ça "j'y réfléchis" ? Qu'il me dise clairement oui ou non !

En tout cas, il n'avait pas l'air d'avoir envie d'arrêter ce qu'ils étaient en train de faire.
(T/p) commença à l'embrasser dans le cou et à descendre plus bas. Le brun profitait simplement du moment en basculant sa tête vers l'arrière et en fermant les yeux. La (c/c) bougeait lentement son bassin contre celui de l'homme qui était plus que réceptif à toutes ces avances.

Elle laissa glisser le haut du brun, laissant à découvert sa peau aussi blanche que neige.
La captive en profita pour se délecter de sa chair, l'embrassant, la titillant, tout ça pour stimuler davantage le garçon qui laisse échapper un gaspe de plaisir.

Elle déposa de nombreux baisers papillon tout en descendant vers son bas-ventre. Le regard de la (c/c) remonta pour fixer l'Uchiha, comme pour lui poser une question silencieuse en attendant sa réponse.

Approuvant sa requête, il détacha sa boucle violacée pour la laisser continuer son affaire. Elle n'avait jamais fait de choses comme ça, elle avait terriblement peur de mal faire les choses et que le disciple ne soit pas satisfait. Malgré cela, elle continua.

(T/p) posa tendrement sa main sur le bas-ventre du garçon qu'elle descendit vers son boxer. Le garçon se redressa pour la prendre par le cou et l'embrasser violemment. Sa poigne de fer la forçait à se coller contre lui. Tandis qu'il profitait de leur échange, la main de la jeune femme attrapa le membre du garçon et le sortit de sa prison de tissu.

(T/p) n'avait jamais été aussi gênée de toute sa vie. Elle n'arrivait pas à croire ce qu'elle était en train de faire.

Sa main commença un lent va et viens tandis que Sasuke lâcha un léger roque de plaisir.

Il la força ensuite à descendre vers son membre. La captive ouvrit la bouche et se laissa manipuler par le brun qui lui tirait les cheveux pour la faire bouger. Toujours plus profond il la faisait aller, avec toujours plus de force. Elle le sentit arriver au bout de sa gorge et elle crue vomir. Mais la (c/c) était plus forte que ça, elle regarda l'Uchiha d'un regard défiant. Cela excita davantage le garçon qui continuait de renforcer son plaisir en le trouvant dans la souffrance de la jeune femme. La seule chose qui la faisait tenir dans ce jeu horriblement malsain était cette unique pensée :

«Pour ma liberté»

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