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²/₆ - 𝙻𝙰 𝙲𝙾𝙻𝙴̀𝚁𝙴

Définitions

Mots imposés -

Obduration : le fait de sentir son cœur se dessécher
Soliloque : Discours d'une personne qui parle toute seule
Coruscant : Qui brille aux yeux de celui/celle qui regarde
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Étape du deuil :

La colère - étape pendant laquelle la personne endeuillée
dirige sa douleur sous forme de colère, envers les personnes entourant le
deuil. Ca peut-être envers ses proches lorsqu'iel ne tolère pas que la vie
continue pour elles/eux. La colère peut aussi se caractériser par le besoin
de désigner un coupable au deuil, générant une haine profonde envers
le/la coupable désigné.e

____

Que reste-t-il d'une vie après sa chute ?

Quatre jours. Il venait de survivre aux quatre premiers jours succédant la disparition de l'homme de sa vie, et son quotidien ressemblait à un amas de vide.
Il s'asseyait à sa table, fixait le mur en face de lui, il tentait si fort de ne pas remarquer tout ce qu'il restait autour de lui.
Les vêtements, le parfum, le chargeur de téléphone, tout ce qui lui rappelait que Hanta vivait là, seulement quatre jours auparavant.

La nuit, il ne dormait pas.
Le lit sentait son odeur et son oreiller demeurait froid. Les draps prenaient des airs de cercueils ainsi, même les murs en tremblaient d'effroi.
La journée, il ne mangeait pas, il ne bougeait pas, ne parlait pas. A force, il ne pleurait même plus, de fatigue, d'épuisement, il ne faisait plus qu'exister tel une ombre.
Il se battait contre l'angoisse, les cris de sa gorge qui secouaient sa poitrine, il se battait jusqu'à l'obturation, il se battait en pensant mourir bientôt de chagrin.

Les samedis, lui et Hanta profitaient de leurs weekend pour fêter leur amour. Chaque instant passé ensemble était une célébration, et ils les chérissaient tous un à un.
Mais ce samedi-là était un samedi d'enterrement, le moment était venu, et dans moins d'une heure Izuku devait se présenter devant les portes des pompes funèbres, bien avant le début de la cérémonie.
Entre temps, il en avait appris davantage sur les circonstances de cet accident, on lui avait parlé de l'autre conducteur, celui qui s'était endormi sur son volant juste avant de percuter Hanta.

Il savait que cet homme, plongé dans un profond coma, risquait fort de ne jamais se réveiller. Et puis, quand bien même il ouvrait un jour les yeux, les séquelles semblaient trop importantes pour qu'il puisse réellement vivre de nouveau.
Mais pour cet individu, dont il ne savait rien en dehors des trois minutes précédant l'impact, Izuku ne ressentait que de la colère, de la haine même, ainsi qu'un infini mépris.
Peu importaient les raisons de sa fatigue, il se moquait de savoir s'il avait une famille, une femme, des enfants, la souffrance de son entourage lui était égale.

Car aucune excuse, aucune explication ne pouvait justifier de la mort de Hanta à ses yeux. 
Il réalisait avec le temps en fuite que son amour ne reviendrait jamais, qu'il ne verrait plus jamais son sourire tout comme il n'entendrait plus son rire, ne sentirait plus sa chaleur.
Qu'il ne partagerait plus d'instant avec lui, plus de regard, plus d'étreinte, plus de caresse, plus de dispute, plus rien.
Il ne le verrait plus s'éparpiller sur le canapé, chanter dans la cuisine, remonter ses cheveux en chignons le dimanche matin.
L'injustice le frappait de l'intérieur.

Hanta était l'innocent de cet accident, il n'aurait pas dû en être la victime.
Et cette rage qui poussait en lui, elle plantait ses racines entre chacune de ses côtes, elle se nourrissait de son sang, de sa peine, elle grondait tel un monstre. Elle voulait tout détruire, elle rêvait de vengeance, de revanche, elle lui répétait que quelqu'un devait payer.
Forcé de l'écouter, il s'évertuait à ne pas lui obéir, mais son cœur lui fait tellement mal qu'il lui arrivait de céder à la fureur.
Dans ces moments, il cognait sur tout ce qu'il trouvait, bien souvent la table, une chaise, les bibelots de la maison, qui ne pouvaient plus que se briser contre le sol, et y rester.

Il n'avait pas bougé de sa place depuis plusieurs heures, mais il voyait les aiguilles de l'horloge se suivre et faire la course, jusqu'à ce que les minutes le menacent d'arriver en retard pour le dernier adieu.
En réalité, il s'imaginait par déni que s'il ne se rendait pas à ce rendez-vous, s'il refusait de lui dire au revoir, alors peut-être qu'il reviendrait, comme si la symbolique de cette cérémonie prévalait sur la réalité.
En vérité, s'il ne se présentait pas, la seule conséquence serait qu'Hanta partirait sans lui, sans qu'il n'ait pu observer son visage une dernière fois, toucher ses cheveux, et accompagner son ultime sommeil.

Quel genre de monstre serait-il s'il refusait de lui tenir la main au moment de son passage vers le grand inconnu ?
Sûrement du même acabit que celui qui l'obligeait alors à voir son amour rejoindre le grand inconnu ...

Oui, Izuku voyait cet homme comme une bête immonde, qu'importe qu'il fut réellement responsable ou non. Lui et tout ce qui l'entourait de près ou de loin n'avait désormais plus d'autre valeur que celle d'une hydre.
Depuis l'accident, toutes les conversations tournant autour du second automobiliste se soldaient par une explosion de colère, des cris de rage et des insultes au monde qu'Izuku crachait en pleurant toute l'eau de son âme à qui voulait les entendre.
Et même en s'efforçant d'écouter les tentatives de raisonnement de ses proches, il en conservait toujours la même conclusion : on lui avait volé ce qu'il possédait de plus cher. On le lui avait arraché, et cette nuit-là, il était un peu mort aussi avec Hanta.

Enfin, pendant qu'il restait immobile à cogiter encore et encore la même haine, il porta un regard éteint à son téléphone quand celui-ci se mit à vibrer.
Il afficha un message de sa mère, celle-ci le prévenant qu'elle serait là dans une quinzaine de minutes, s'assurant au passage qu'il était bel et bien prêt pour le départ aux pompes funèbres.
Non, il n'était pas prêt. Tant au sens propre qu'au figuré. Qui pouvait, du reste, être prêt pour une telle épreuve ?

Aussi, épuisé par ses longues nuits sans repos, et écrasé par le poids insupportable du deuil, son corps ne pouvait simplement pas se presser, déjà vidé de toute son énergie, et il quitta sa chaise dans un long geste lent et pénible. 
Ses jambes elles-mêmes peinaient à le porter, elle tremblaient de souffrance et d'épuisement, et les faire marcher jusqu'à sa chambre lui demanda un effort douloureux et considérable. 

Se servir dans leur armoire ralluma le feu dans ses yeux, la brûlure insurmontable des larmes qui irritaient encore et encore ses paupières déjà presque calcinées par les pleurs. 
Tout autour de lui témoignait de la vie de son fiancé, tout le ramenait à des souvenirs datant d'à peine quelques jours, à des instants plus anciens, mais tout aussi nets dans sa mémoire, et le simple fait de continuer de vivre dans cette maison lui apparaissait comme de la torture. 
Mais en même temps, il ne s'imaginait pas une seconde quitter les lieux, ni abandonner derrière lui cette enveloppe de vestiges et d'histoires.  

Cet endroit restait le berceau de ses moments de bonheur, le lit d'amour de ses années passées auprès d'Hanta, faire une croix dessus revenait, à son sens, à rompre le lien avec lui-même ... 

Ses cheveux étaient encore décoiffés et indomptés quand sa mère se gara devant l'entrée de la maison, et même s'il portait déjà ses vêtements, ses manches demeuraient toutes froissées, et la ceinture de son pantalon mal fermée. 
Dans sa douceur habituelle, Inko se retint de pleurer à son tour en voyant son fils dans un tel état, le visage marqué de cernes, rougi par le passage répétés des larmes, et la peau aussi pâle que devait l'être celle de son défunt gendre. 
Elle n'émit aucun jugement quant au retard de son garçon, pas plus qu'en ce qui concernait sa tenue chaotique. Elle se contenta de déposer son petit sac à main noir sur le coin de la table, retira son manteau pour laisser apparaitre ses habits de deuil sombres, avant de s'approcher lentement du jeune homme blessé. 

Ce jour-là, elle portait un chignon haut, bien plus serré que celui qu'elle se faisait en temps normal, et aucune mèche rebelle ne se permettaient de barrer son front très légèrement maquillé. Juste assez pour dissimuler les marques de fatigue, qu'elle accusait elle aussi en songeant à la peine de son enfant, et à la disparition de son gendre qu'elle adorait. 
Dès leur toute première rencontre, avant même que les deux garçons n'emménagent ensemble et n'envisagent de faire leur vie à deux, elle l'avait trouvé plus que charmant, et ce sous tous les angles. 
Hanta avait le sourire, la joie, la patience, la présence d'esprit, la délicatesse et l'humour d'un homme bien et serein, capable sans nul doute de rendre Izuku heureux. 

Elle l'appréciait sincèrement, tout autant qu'elle portait les parents de ce dernier dans son cœur. 

_ Je vais t'aider. assura-t-elle dans un murmure. 

Sans réagir, Izuku la laissa simplement approcher davantage, et venir ajuster le tissu de sa tenue, remettre en place les éléments de son costume, et passer ses doigts de mère dans ses cheveux ondulés. 
Longuement, elle replaça les mèches et lissa quelques frisottis, jusqu'à s'éloigner de nouveau une fois son travail terminé. 

Puis, sans parler, parce qu'elle savait que les mots ne veulent rien dire dans ces moments d'effondrement qui brisent les gens, elle apporta une veste sur les épaules de son fils, enfila à son tour son propre manteau, puis son sac à main, avant de passer un bras réconfortant dans son dos pour l'accompagner jusqu'à la sortie de la maison. 
Lentement pour ne pas le brusquer, elle le guida jusqu'à sa voiture dont le moteur tournait encore, avant de dégager le frein pour partir ensemble vers le cabinet des pompes funèbres. 
Le long du trajet, Izuku ne parla pas, demeurant aussi silencieux qu'un fantôme, le crâne contre l'appui tête et les yeux enfoncés dans le paysage défilant par les fenêtres. 

Savoir sa mère à ses côtés accentuait ses violentes envies de pleurer, songeant qu'il pourrait lui supplier de faire quelque-chose, de le sortir de cet horrible cauchemar, de réparer la fatalité, comme quand il était enfant et qu'il croyait encore qu'une mère possédait tous les pouvoirs du monde. 
Désormais, il savait qu'elle ne pouvait rien faire dans cette situation, mais son instinct semblait le dépasser, son cœur s'imaginait par lui-même qu'il était encore possible de revenir en arrière et de changer le cours des évènements. 
Inko, elle, ne disait rien, elle respectait le mutisme de son fils, consciente qu'aucun soliloque ne saurait être le bienvenu dans le silence du deuil. 

Personne ne pouvait lui affirmer que tout irait bien, tout comme personne ne pouvait se contenter d'affirmer sa présence en guise de réconfort. 
Aucune présence ne peut panser l'absence quand celle-ci vient de détruire une vie. 

_ On est arrivés. chuchota-t-elle seulement en coupant enfin le contact. 

A cette heure, seuls les proches choisis par la famille de Hanta pouvait se trouver sur les lieux, quelques minutes avant la fermeture du cercueil et le départ vers le point de cérémonie. 
L'endroit était calme, plat, décoré par la pluie ruisselant le long de la façade, les arbres ensommeillés attendant tristement le printemps, et les nuages menaçants des giboulés de mars. 
Tout transpirait la mort et la peine, à croire que la terre elle-même s'offrait une minute de silence pour honorer la disparition d'Hanta. 

Izuku marcha lentement jusqu'à l'entrée du bâtiment, sa mère sur les talons qui semblait s'assurer qu'il ne s'évanouisse pas à mi-chemin. Il poussa la porte en verre, et dans la petite salle d'accueil, trouva sa belle-famille. 
En premier, la mère de son fiancé se dirigea vers lui, en larmes et en sanglots, pour le prendre dans ses bras, elle s'accrocha à lui comme on agrippe une bouée de sauvetage, elle pleura contre son épaule, et à son tour, il craqua une fois de plus. 

_ Je ne peux pas y croire Izuku. Je ne peux pas. trembla-t-elle contre lui.

Quand il s'écarta, il sécha des larmes qui revenaient déjà avant de saluer plus sobrement son beau-père qui, malgré ses yeux rougis et son visage déformé de douleur, parvenait à garder les paupières sèches depuis plusieurs minutes. 
L'homme se battait clairement contre les cris qui s'entassaient dans sa gorge, sa posture le trahissait. 

_ Il est dans la pièce à côté. Tu peux y aller. assura-t-il avant de baisser la tête, prêt à perdre son masque fragile. 

En regardant autour de lui, Izuku hésita à demander à sa mère de l'accompagner dans l'autre pièce, inquiet et terrifié à l'idée de passer seul cette porte maudite, derrière laquelle il savait se trouver le corps éternellement endormi d'Hanta. 
Sa poitrine, serrée et vandalisée depuis des jours, se brisa totalement sur ces quelques secondes de réflexion, et en sentant les pleurs le menacer à nouveau, il s'obligea à se faire violence pour cacher son effroi. 
Il accepta sa solitude, et passa l'horrible porte en bois. 

A l'intérieur de cette seconde salle, il faisait tout à coup très froid, bien plus que dans l'accueil de l'établissement. La lumière du plafonnier demeurait éteinte, mais, contre les murs, une demi-douzaine d'ampoules à l'éclairage orange et tamisé enfermait les lieux dans une atmosphère de recueillement. 
En fond sonore, il perçut les notes discrètes d'une mélodie au piano, aussi douce qu'un endormissement calme, tenant poliment compagnie à l'homme sur le départ, allongé au centre de ce décor très sobre. 
Délicatement couché entre les quatre parois d'un cercueil de bois, recouvertes d'un élégant linceul blanc, Hanta dormait là, parfaitement étendu sur le dos, le visage droit, et les mains doucement posées sur son ventre. 

Ses cheveux avaient été coiffés, démêlés, ils semblaient aussi soyeux qu'avant sa mort, et Izuku remarqua un brin de maquillage sur sa peau, pour dissimuler les stigmates propres aux cadavres .. 
Ses yeux fermés témoignaient de son repos détendu, mais sa bouche ne souriait plus, collée par les soins du thanatopracteur pour s'assurer qu'elle reste bien fermée tout au long de la cérémonie. 
Aussi, il portait un costume clair, en harmonie avec la personne qu'il était. Lumineux. 

Par réflexe, en se postant auprès de lui, Izuku braqua sa main sur ses lèvres pour étouffer le bruit de ses sanglots, craignant peut-être de perturber la pièce ou le repos de son amour, alors qu'il observait longuement les détails de son image. 
Puis, pendant que sa vue se brouillait de larmes, il chercha malgré tout un ultime contact avec son fiancé, il glissa timidement ses doigts sur sa joue glacée et rigide. Un élan de panique le saisit en touchant ce corps gelé, qui ne réagissait plus au passage de sa paume. 
Pourtant, il donnait tellement l'air d'être sur le point de se réveiller, d'ouvrir ses paupières scellées à la colle, et de se mettre à rire, de le prendre dans ses bras, lui promettre que tout allait finalement bien. 

Il voulut crier, et même le secouer, le supplier. 

Il n'en fit rien. 

Cinq minutes plus tard, il assistait à la fermeture du cercueil dans toute son impuissance, avant de le regarder s'en aller, porté par des hommes inconnus, et disparaitre à l'arrière d'un grand corbillard noir. 
Le cortège démarra le tout dernier voyage d'Hanta de ce côté du monde, et au bout du chemin, Izuku découvrit une foule humaine à l'entrée du cimetière, là où il devait dire complètement adieu à l'homme de sa vie. 
Il ne s'y attendait pas, pas à voir autant de monde, des collègues, des membres éloignés de sa famille, et aussi, des vieilles connaissances. 
Beaucoup de vieilles connaissances. 

Parmi elles, il repéra la troupe de son ancien lycée, que lui et Hanta fréquentaient ensemble au moment de leur rencontre. 
C'est vrai qu'ils se connaissaient, mais pour la plupart d'entre eux, ils ne s'étaient plus vu depuis presque huit ans, et en dehors de quelques nouvelles prises ici et là par leurs réseaux sociaux communs, ils n'étaient plus vraiment en contact. 
Pourtant, ils étaient tous présents ce jour-là, habillés de noir, les visages fermés, silencieux et endeuillés eux aussi. 
En descendant de la voiture, Izuku s'avança en premier vers eux, les joues encore et toujours baignées de larmes avec l'espoir de parvenir à articuler des remerciements. 

Il reconnut Ochaco, plus féminine qu'il y a dix ans, mais bien moins souriante. 
Tsuyu dont les longs cheveux avaient visiblement été coupés en carré. 
Shoto et son visage marqué d'une cicatrice qu'il n'avait pas connu. 
Eijiro aussi, qu'il savait être le meilleur ami d'Hanta pendant leurs années de collège de lycée, et même si la vie les avaient éloignés, ce dernier pleura quand même en tombant dans les bras d'Izuku. 

_ Personne ne mérite de traverser des épreuves pareilles. assura Eijiro en tentant de sécher les larmes de son ancien ami. Je suis désolé. 

Puis, plus en retrait de la foule, il cligna des yeux sur la présence de Katsuki, qu'il définissait comme son plus vieil ami d'enfance, en dépit des dix longues années passées sans se voir. 
Pourtant, ils se connaissaient depuis leurs premiers biberons, et quand il croisa son regard, Izuku s'avança lentement vers lui, la bouche tordue par la douleur, les yeux inondés d'eau et les bras tremblants. 

_ Kacchan. pleura t-il en s'accrochant à ses bras. 

C'était un surnom, un vieux surnom qui datait de leur enfance, mais dont ils ne s'étaient jamais séparés, et en dépit des années de distance et de silence, Katsuki accueillit sa détresse entre ses bras sans rien en dire, et le laissa essuyer ses yeux contre le tissu de sa veste noire. 
Il n'avait pas beaucoup changé, ses cheveux brillaient toujours du même éclat coruscant, dans ses mèches aux reflets de cendre, tout comme ses iris renvoyaient encore les mêmes nuances d'ambre et de feu. 
Il avait juste pris en carrure, et du haut de ses vingt-six printemps, il ressemblait plus que jamais à un homme fort. 

_ Redresse-toi Deku, ce n'est pas comme ça qu'il doit te voir. admonesta le blond en levant le menton. 

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