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Time's Game

NDA : Cet os est vraiment... Plus humoristique qu'autre chose :) (il date des grandes vacances en plus alors...)

Un petit délire entre mes deux acteurs préférés en fait... Et un soupçon de folie Holmesienne.

Bonne lecture mes petits hiboux

* * *

Point de vue extérieur :

Ce matin-là, au 221B Backer Street, Sherlock buvait tranquillement son thé d'une main en tirant de l'autre de manière aléatoire sur le pauvre mur d'en face, défigurant le smiley jaune au sourire éternel.

Vous m'avez compris, le détective s'ennuyait.

Pas une affaire ne l'attirait, pas une nouvelle intéressante, rien.

Il passait donc ses journées à peaufiner son fameux blog sur les cendres, embêter John ou tout simplement faire des expériences mortuaire dans le salon, à l'aide de différents membres humain contenus dans le frigo.

Pendant un certain temps, Watson frôlait la crise cardiaque en remarquant un nouveau bras dans le bac à légume. Mais au fil des semaines, il ne fît plus de commentaires et laissa son coéquipier faire ce que bon lui semblait.

Holmes se retenait tant bien que mal pour ne pas retomber dans la drogue. C'était la seule chose qui pouvait lui faire oublier pendant un petit laps de temps, son ennuis démesuré. De plus, les substances illicites, selon lui, réussissaient à faire tourner ses neurones à plein régime.

Néanmoins, une chose, ou plutôt quelqu'un, l'empêchait de franchir ce cap.

John.

Il y a quelques mois, le brun s'était drogué lors d'une enquête (pour la faire avancer plus rapidement selon ses anciens dires).

Sherlock ne pourra jamais retirer l'image du visage scandalisé et déçu de son ami, lorsque celui-ci avait découvert la vérité sur sa plus grande faiblesse, datant de son adolescence.

Jamais il ne sera capable d'effacer de sa mémoire, le dégoût que le blogueur avait ressenti en son égard.

C'est pour cela qu'il se retenait et que plus jamais il ne voulait recommencer. Du moins, tant que John était à ses côtés.

Complètement perdu dans son palais mental, le détective ne remarqua pas tout de suite l'arrivé fracassante de Watson, essoufflé, criant déjà son nom depuis la porte d'entrée.

Lorsque le sociopathe ouvrit les yeux, il ne lui suffit que d'un simple coup d'œil pour déduire en une seconde cette affirmation.

Sherlock : Enfin... Une affaire originale...

John : Tu ne me croiras jamais...

Le blond s'assit en face de son ami, calmant peu à peu sa respiration puis pose ses mains l'une sur l'autre avant de commencer son récit.

John : Ce matin, Lestrade m'a appelé, prétextant qu'un certain Sherlock Holmes se baladait en ville avec un autre homme à ses côtés.

Sherlock : Usurpation d'identité ?

John : Nous avons pensé à cela ce matin mais en fait non. Lorsque Greg a interrogée les deux hommes, ceux-ci ont demandé où se trouvait l'adresse du 221B Baker Street, ayant envie de rentrer chez eux.

Sherlock : Viens en aux faits John, qui sont-ils ?

John : Si on devait les écouter, ce Sherlock Holmes et ce John Watson proviennent de l'époque Victorienne et mènent une vie similaire à la notre mais... En 1898...

Le brun prit une grande respiration avant de coller ses deux mains l'une contre l'autre près de son visage.

Sherlock : Intéressant... Où sont-ils désormais ?

John : Greg est toujours entrain de les interroger au commissariat. Ce Sherlock-ci est étonné par l'immense prouesse technologique qu'à connu le monde en à peine quelques décennies. C'est fou tout de même, il a apprit à se servir d'un téléphone et d'internet en à peine une heure... Il voudrait même rester ici...

Sherlock : Tu me dis alors que nos alters ego d'un autre temps ont été transporté par je ne sais quelle manière jusqu'au présent ?

John : Exactement. On ne sait pas comment ils sont arrivés ici. Eux même ne s'en souvienne pas. Apparemment, leur Moriarty à eux leur à concocter un vilain tour en lien avec un « saut dans le temps ». Enfin, ceci est la conclusion de Sherlock...

Sherlock : Pourrai-je les voir ?

John : Justement je suis là pour cela, Greg t'attend dans son bureau. Il a dit que « Sherlock veut discuter avec son double » et qu'il « trépigne d'impatience ».

Sherlock : Oh mais moi de même... Allons-y de ce pas !

Holmes se mit tout de suite debout pour aller enfiler sa longue veste grise.

John : Hum, Sherlock ! Juste une dernière précision.

Se retournant, le détective privé regarda son meilleur ami, attendant sa réponse.

John : Bien qu'il ne te ressemble pas physiquement, ce Sherlock est vraiment... Ton portait craché... Trait pour trait, c'est fascinant.

Un mince sourire se fit voir sur le visage du génie.

Sherlock : Dois-je être jaloux John ? Tu vas donc fuir avec ce bel inconnu ?

Tout deux rièrent de bon cœur avant que John ne réplique.

John : Il a déjà « son » John Watson... Et puis pourquoi voudrai-je changer de Sherlock ? Tu es bien trop énervant pour que je m'en aille !

Sherlock : Je te reconnais bien là John !

Les deux compères partirent alors rapidement, un large sourire se dessinant sur leur visage.

* * *

Quelques temps plus tard :

À Scotland Yard :

Lestrade n'en pouvait plus.

Les deux Watson regardaient leurs Holmes en mettant une main à leurs fronts.

Anderson entra deux secondes dans la pièce, puis fût littéralement jeté dehors par les Sherlocks qui critiquaient son QI de manière intransigeante.

**NDA : Pour différencier les deux Holmes dans le dialogue, je compte rajouter un (B) pour Benedict et (R) pour Robert ;) Donc, le prénom des deux acteurs pour savoir qui est qui (je ferai la même chose pour Watson).**

Une guerre était en train d'éclater. Mais pas n'importe laquelle...

Sherlock(B) : Ne soyez pas ridicule... Tout le monde sait que le Sherlock des temps moderne est bien plus intelligent et charismatique que vous !

Un rire moqueur se fît entendre et le plus petit Sherlock s'avança pour lui faire face.

Sherlock(R) : Ah oui ? Balivernes... Moi au moins Monsieur, je ne me rends pas dans l'endroit le plus prestigieux de Londres en... Draps !

Sherlock(B) : Mon frère m'a forcé à y aller... Enfin là n'est pas le sujet ! En plus d'être le meilleur détective de tous les temps, j'ai le meilleur des associés et des amis qui soit ! En soit le John Watson le plus parfait !

La mine du brun en chemise blanche changea à la mention de John, il déposa son regard noisette dans le sien et sourit.

Sherlock(R) : Ils sont toujours prêts à sauver notre peau... Même si on a été...

John(M) : De parfaits idiots...

John(J) : Des manipulateurs sans vergogne...

Greg se releva enfin de sa chaise en soupirant.

Greg : Messieurs, je ne voudrai pas vous interrompre dans ce débat des plus... Vif... Mais revenons en aux faits !

Sherlock(R) : Gérald a raison, assez palabrer sur vous même Mr. Égoïste...

Sherlock(B) : Il se nomme Graham... Vous n'avez donc point de mémoire ? Cela met en lumière ma supériorité par rapport à vous ! Une nouvelle fois !

Greg : Que les choses soient clair une fois pour toute... Premièrement, je me nomme Grégory et vous devez m'appelez Greg ! Pas Graham, ni Gilbert, ni aucun autre nom ! Et secondement, vous ressemblez tous deux à des gosses qui ont un peu trop le melon ! Quoique pour vous ce serait plutôt une pastèque géante tant vos ego sont surdimensionnés ! Alors arrêtez de vous chamailler à propos de qui a eu la meilleur enquêtes, la meilleur fois avec John ou je ne sais quoi !

Les deux Watson rougirent fortement face à ce lapsus.

John(J) : Je ne suis pas en... Relation avec lui !

John(M) : Moi aussi enfin ! Je ne suis pas homo !

Leurs Sherlocks se regardèrent en même temps et dirent dans une synchronisation parfaite.

Sherlock(s) : Bi.

Lestrade leva de manière magistral ses mains au ciel.

Greg : Formidable vous êtes d'accord sur ce point !

Le détective à la longue veste rapprocha son oreille de celle de son « nouvel ami » et rit un peu en se relevant.

Sherlock(B) : Sachez que... Nous nous entendons plutôt bien dans le fond !

Sherlock(R) : Tellement bien que nous avons eu envie de jouer à un petit jeu !

Sherlock(B) : Honneur aux invités ! Sherlock tu commences !

Le Holmes en question se dirigea près de l'inspecteur et se mis à l'observer très attentivement.

Sherlock(R) : Vous pouvez bien nous faire la morale sur notre manière de nous comporter mais... Vous cachez bien votre jeu Lestrade...

L'homme aux cheveux grisonnant recula d'un pas, craignant la tournure des événements.

Greg : Que voulez-vous dire par là ! Je n'ai rien à cacher !

Sherlock(R) : Mais bien sûr... Hier soir, vous aviez un rendez-vous galant... Dans un lieu très chic. Un petit restaurant dans... Le centre-ville, près de la quatrième avenue. Vous avez mis le paquet dis donc... Costume et cravate sombres, parfum et même... Un cadeau ! Vous l'aimez vraiment... *pause* Tout de même c'est étrange, pourquoi offrir un parapluie personnalisé à celui que l'on aime ?

Lestrade ne pouvait retenir ses rougeurs et ne fît aucun commentaires, ne voulant même pas savoir comment Sherlock pouvait déduire tout cela.

Sherlock(B) : Alors mon petit Gabriel... Toujours aussi bavard ? Apparemment, le fait que vous sortiez avec mon frère devez rester secret...

John se releva, glissant sa main dans sa tignasse blonde et partant vers la sortie la plus proche, exaspéré par leur comportement de ces deux "génies".

John(M) : Vous vous êtes bien vengé ? C'est fini ? On peut arrêter maintenant et comprendre le pourquoi du comment ?

* * *

Un peu plus tard :

Au 221B Baker Street :

Sherlock(R) : Je ne suis pas votre client. Je peux me sortir moi même de cette situation.

Le Sherlock et John des temps modernes étaient assis l'un en face de l'autre dans de vastes divans noirs à côté de deux chaises, dont une vide. Ces places sont réservés aux personnes quémandant l'aide du détective.

Encore debout, le brun passa une main dans sa barbe de quelques jours et toisa son John, qui lui avait désobéit, s'étant mis sur la chaise en bois.

John(L) : Ne fais pas l'enfant Sherlock et assis toi. Plus vite on aura résolut ce mystère, plus vite on sera de retour chez nous.

Sherlock(B) : Nous voulons juste vous aidez, écoutez les propos sages de votre ami.

Sherlock(R) : Ah ? C'est dans vos habitudes à vous t'écouter Watson ?

John(M) : Il fait semblant de m'écouter...

John(L) : Même chose pour moi...

Sherlock(B) : Bon bref. Prenez une décision Holmes. Soit vous voulez rester ici et je vous pari que vous serez rentré chez vous pour ce soir, soit vous partez régler votre affaire seul ou en compagnie d'Anderson... Ce qui avouons le, prendra des siècles.

Son interlocuteur soupira longuement puis s'affala sur la chaise en croisant les bras.

Sherlock(B) : Bien, racontez nous tout depuis le début...

Les deux enquêteurs se fixèrent, et s'installèrent dans la même position jusqu'à ce que l'un des « clients » ne prenne la parole.

John(L) : Tout à commencé avec une lettre de Moriarty, en bas de la porte. Elle ne contenait qu'un petit bout de papier, avec une adresse et quelques mots. Je le cite : « Rejoins moi à 12h Sherly, on va bien s'amuser... Ramène ton petit Watson domestique pour égayé le tout ! The game is over honey... JM »

John(M) : Lui aussi est ressemblant à notre Moriarty...

Sherlock(B) : Laissez moi deviner... Curieux comme est Sherlock, il n'a pas pu résister à l'envie de passer voir le plus grand criminel de tous les temps.

John(M) : Et sans prévenir John bien évidemment...

Sherlock(R) : Exact. Je m'y suis rendu à l'heure indiqué, avec un plan en tête qui...

Sherlock(B) : N'a pas marché.

Sherlock(R) : Certes... La dernière chose dont je me souvienne, c'est d'avoir pénétré la porte du bâtiment, être aveuglé par une lumière blanche éclatante et... Me retrouvé allongé au milieu de Baker Street... En 2019.

Sherlock(B) : Et comment Watson a-t-il pu être avec vous ?

John(L) : Dès que Holmes me cache quelque chose, je le sais tout de suite alors... Je l'ai suivis... Et suis également entré dans l'ancienne usine désaffectée...

Sherlock(B) : Ancienne usine ? Hum... Vous avez encore l'adresse ?

John(J) : Bien sûr !

John(M) : Alors allons-y de ce pas ! Nous trouverons peut-être un indice une fois la-bas !

Les quatre coéquipiers se mirent alors en route vers l'usine et décidèrent de faire la route en taxi, le bâtiment se trouvant à l'autre bout de la ville.

Vous devriez deviner que la route fût mouvementée, surtout pour le conducteur de taxi qui ne comprit pas un traître mot de ce qui se passait sur les banquettes arrières.

L'enquête des plus originales risque d'être éprouvante pour tout le monde.

Et surtout pour le narrateur en fait...

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