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Runaway

NDA : Ça m'étonne que cet OS fasse 3200 mots en sachant que je l'ai écrit lors des partiels en pleine nuit sans vraiment avoir d'idées au départ

Résultat des courses je me suis couchée à 4h40 du matin ;)

Bon ce chapitre part un peu (beaucoup mais c'était marrant d'écrire ça) en cacahuète mais est très fluff heureusement !

⚠️🍋 Présence de lemon ⚠️🍋 à la fin du récit ! Si cela vous déplaît ne lisez que les trois quart ! (Pour les gens perverts comme moi passez un bon moment ^^)

Bonne lecture mes chouettes 🦉

* * *

Une fois seul dans sa chambre, John ferma doucement sa porte et soupira longuement en mettant ses mains sur son visage.

Il resta dans l'obscurité et s'asseya en tailleur dans son lit, des flots de larmes coulant sur son visage crispé par l'affliction.

Il les laissa tomber sur son sweat gris bien trop grand pour lui et renifla bruyamment pour essayer de se contenir.

Tout lui revint en mémoire, les regards sombres, les paroles tranchantes, la colère, l'indifférence.

Il accumulait ses problèmes personnels ainsi que ceux des autres depuis bien trop longtemps et malheureusement, il ne pouvait évacuer son malheur qu'avec ses pleurs, dans l'isolement le plus total.

Il avait certes des amis de confiance mais sa pudeur et manque de confiance en soi lui interdisaient de prévenir qui que ce soit de ses soucis "banals" en comparaison avec ceux des autres.

Watson était beaucoup trop gentil, il s'en voudrait pendant des mois si un de ses camarades se mettait à se sentir mal à cause de la peine qu'il lui partage.

C'était hors de question, autant souffrir dans son coin plutôt que d'affecter ceux qu'il aime et risquer de les perdre. L'abandon était sa hantise.

Le blond ferma ses paupières et sécha ses gouttelettes salées en se remémorant divers souvenirs.

Son père n'était plus venu au domicile familial depuis des semaines, sans doute afin de rester avec sa maitresse fraîchement dénichée selon les répliques de sa mère.

Celle-ci broyait du noir toute la journée en restant cloîtrée chez elle ou demandait à son fils d'être à ses côtés, quitte à sécher des heures de cours pour son propre contentement.

Obéissant par nature, Watson resta à chaque fois, ne voulant pas décevoir celle qui avait tout fait pour lui, tout sacrifier, ayant constamment peur pour sa mère.

En effet, elle avait déjà tenté de mettre fin à ses jours un an auparavant lorsque son père et elle se quittèrent violement suite à une dispute, la plus belliqueuse qu'ils aient connu.

Les arguments, lors de cette altercation se sont vite enchaînés, l'un comme l'autre envoyant des petites piques de plus en plus agressives et brutales.

Qui s'occupait le mieux de John ? Qui travaillait sans relâche pour lui payer ses études coûteuses ? Qui avait les connaissances suffisantes pour aider leur fils en biologie ? Qui n'était pas assez ferme avec lui ?

Même si ses parents n'ont jamais souhaité divorcer "pour le bien" de leur enfant, des confrontations les opposaient régulièrement et se terminaient par la fuite provisoire d'un des deux membres.

Le blond s'en voulu énormément (comme à chaque fois) car selon lui, ses deux parents avaient commencé à se chamailler à cause de ses études en médecine qui étaient un pur désastre.

En effet, le jeune homme, même en se donnant du mal n'arrivaient pas à avoir plus de la moyenne dans quasiment toutes les matières, en plus de l'ambiance pesante présente chez lui qui lui empêchait de se concentrer, John était souvent sur son téléphone, non pas par plaisir mais pour appeler ses amis afin qu'ils se confient à lui.

Le soir venu, épuisé, Watson travaillait comme il pouvait jusqu'à tomber de fatigue sur son bureau vers les coups de deux heures du matin.

Il n'avait pas à rejeter constamment l'erreur sur lui mais il ne pouvait faire autrement, il avait grandi sous cette pensée et ses proches ne rataient aucune occasion pour le lui faire rappeler.

John avait l'impression d'être un jouet pour eux, une balle que ses deux parents se renvoyait sans cesse. Ils parlaient de son avenir mais toujours sous leur propre espoir, leur rêve, pas les siens.

Le jeune médecin ne savait même plus si c'était par égoïsme ou par gentillesse.

Une seule chose était certaine pour l'étudiant, toujours tout était de sa faute et cela, le monde entier le lui rabâchait à chaque fois.

Si sa mère se sent mal, c'est de sa faute. Son père parti avec une autre femme ? Sa faute. Ses amis l'ont quitté ? Sa faute également. Il n'a jamais eu de petite-amie depuis 18 ans selon ses proches ? Toujours et encore de sa faute.

C'est souvent dans les instants de colère que l'on dit ce que l'on pense réellement et à chaque fois, John en subissait les représailles.

Ne voulant plus se remémorer ces horribles phrases, du moins pour ce soir, le jeune pris son téléphone et un petit sourire se forma en consultant un des rares SMS qui tentait maladroitement de penser à lui.

"John, tu ne m'as pas répondu depuis 07h35 que fais-tu ? Réponds-moi vite.
SH"

Le blond senti son cœur battre la chamade suite à ce message qui paraissait tout à fait normal, voire froid d'un point de vue extérieur, mais connaissant bien Sherlock, Watson savait qu'il faisait des efforts incommensurables en prenant de ses nouvelles.

Il s'inquiétait pour lui.

Le brun avait tout de suite taper dans l'œil de l'étudiant auquel il s'était rapidement approché et attaché même si ô grand jamais Holmes ne fera part de ce genre d'émotion.

Tapotant en quelques secondes une réponse, le blond s'allongea en souriant bêtement.

"Ça va... Soirée tendue comme d'habitude avec ma mère mais ça va et toi ?"

Il sursauta en sentant son portable vibrer près de sa poitrine lorsque son homologue lui donna sa réponse.

"Tu mens. Si "ça allait" comme tu dis tu m'aurait répondu bien plus tôt et avec plus d'entrain alors dis moi la vérité.
SH"

Hésitant, l'apprenti en médecine vida lentement son sac à son plus proche ami et accessoirement petit-ami depuis peu.

Personne à part le couple n'était au courant de leur récente relation, encore moins leurs parents qui les aurait renié et jeté dehors s'il avait su.

Pour les parents de John, il était préférable qu'ils continuent à penser que leur fils reste célibataire.

Sherlock était le tout premier amour de Watson, son organe vital palpitait à chacune de leur interaction et ce soir... Il était le plus heureux des hommes rien qu'en sachant que l'homme qu'il aime se soucie un peu de lui.

"Ma mère me redit les mêmes choses depuis des années... Comme quoi son état dépressif est de ma faute, que je préfère mes amis à elle, que je suis méchant et jamais là pour elle... Elle est aimante et gentille pendant un temps puis égoïste et rancunière durant l'autre... Je ne sais plus sur quel pied danser... Je m'en veux car dans le fond, elle a raison, si papa est parti c'est à cause de moi et mes conneries... Je suis vraiment le pire... Si il lui arrive malheur... Je ne pourrais pas..."

Une larme roulant sur son visage, John l'essuya en un geste avant de recevoir la réponse du brun.

"Tu sors avec Sherlock Holmes. Tu penses vraiment que j'aurais accepté de sortir avec quelqu'un d'égoïste et qui n'en vaut pas la peine ? N'oublie pas que je ne suis en présence que de personne de qualité.
SH"

Le blond était touché par ses propos, jamais encore Sherlock ne lui avait parlé de cette façon.

"Merci tu es gentil... J'essaye de me changer la tête et de ne plus penser à tout ça..."

"Je ne suis pas gentil, je suis réaliste tout simplement. Que fais-tu normalement pour oublier tes problèmes ?
SH"

Watson réfléchit un moment, lui-même ne savait pas trop, il n'y avait pas de solution miracle.

En temps normal, il lisait ou jouait un peu dans sa chambre pour pouvoir être ailleurs, il adorait écrire également, cela lui permettait de fuir cette réalité parfois trop rude.

Mais, ce n'était pas ces solutions là qui le calmait le plus... Depuis des années il s'était réfugié vers une toute autre activité pour contrer son stress et tristesse journalier.

Rien qu'en y repensant, les joues du jeune homme rosirent sous la gêne.

"D'après une étude, 48% des hommes de 18 à 25 ans sortent dehors avec des amis pour oublier le stress, 12% boivent quelques verres, 20% appelle des camarades et les derniers font des activités qu'ils aiment bien. Tout ça reste tellement ennuyeux. Et toi ? Tu mets trop de temps à me répondre. J'ai même eu le temps de lire cette revue people.
SH"

John rit de bon cœur, les mots "Sherlock" et "people" ne collaient absolument pas ensemble.

"Désolé j'étais ailleurs. Et bien pas grand chose... Je lis, j'écris ou je joue... Rien de très passionnant..."

Sa réponse fût sans appel.

"C'est devenu une habitude de me mentir dis donc.
SH"

"Mais non pourquoi dis tu cela ?"

"Ton message n'était pas sincère tu y mettais trop de "." et le tout semblait vague. Que fais-tu de plus ?
SH"

Watson jura, les capacités de déduction de son copain allait le conduire à sa perte ! Il adorait ce "don" qu'il avait acquis mais maintenant cela se retournait contre lui.

Sherlock était très doué. Trop même.

"En plus tu mets bien trop de temps à me répondre, encore une fois, ce qui me conforte dans mon idée.
SH"

"Arrête de dire des bêtises, je ne fais rien d'autre et même, ça te regarde pas"

Le jeune soupira, il garda tellement de chose au fond de son cœur qu'il était frustré et énervé de plus en plus souvent, alors pour se donner un peu de réconfort il se faisait plaisir de plus en plus souvent.

Au début, il n'y prêta pas vraiment attention, faisant cela comme tout autre adolescent de son âge, mais plus le temps passait plus son altitude changea.

Il constata que les hommes étaient constamment présents dans son esprit lors de ses moments intimes et surtout, il y pensait beaucoup, surtout en ce moment.

Bien évidemment, il le contrôlait mais c'était ses pensées qui étaient le plus grisante. Surtout depuis quelques mois, lorsqu'il a rencontré Sherlock.

Il s'imaginait mille et un scénarios dans son esprit, tous plus délirants et sexuels les uns que les autres.

Il n'y pouvait rien, c'était naturel. De toute façon, presque tout le monde le faisait.

Et comment résister, Watson était obnubilé par son petit-ami, pas une heure se déroulait sans qu'il pense à lui et automatiquement son cerveau prenait un malin plaisir à le rendre fou avec toute l'imagination qu'il possédait.

Malheureusement, il savait que Holmes n'était pas attiré par le côté "sexuel" présent dans un couple, déjà qu'être avec quelqu'un était une épreuve pour lui alors plus... Il serait contre à tous les coups.

Donc, pour ne pas le déranger ni le brusquer, le blond préférait fantasmer plutôt qu'en parler.

Il retena un petit cri de surprise en entendant son téléphone sonner, Sherlock lui ayant laissé de nombreux messages.

Son compère lui répondit rapidement, essayant de reprendre contenance.

John : O-Oui ?

Sherlock : Enfin John que faisais-tu ? Cela fait 8 fois que j'envoie un message en attendant ta réponse !

La voix rauque et grave de celui qu'il aime n'arrangea en rien son état, sa chaleur corporelle montant en flèche, tout comme son envie.

John : Excuse-moi... Je devais... J'étais ailleurs...

Sherlock : Tu l'es beaucoup depuis qu'on se parle aujourd'hui... Tu es sûr que tout va bien ?

John : Bien sûr !

Son cœur frappait fortement dans sa poitrine et son souffle langoureux prouvèrent le contraire mais Watson ne pouvait défaillir.

Il posa sa tête contre son oreiller et ferma ses yeux pour se calmer comme il pouvait.

Sherlock : John...

L'étudiant déglutit difficilement, le ton de la voix de son petit ami était incroyablement... Sensuel et grave. Cela ne fait que l'exciter davantage malgré lui.

Il était tellement honteux qu'il s'obligea à se relever pour s'assoir au bord du lit et croiser ses jambes, cachant ainsi la bosse qui c'était formé au niveau de son bas-ventre.

Sherlock : John je sais ce qu'il se passe...

Étant à deux doigts de lui raccrocher au nez pour apaiser son désir, Watson ne démentit pas et se mordit la lèvre pour évacuer sa frustration dévorante.

John : Tu ne peux pas savoir...

Sherlock : Tais-toi un peu. Je sais ce dont tu as envie. Cela fait des semaines en fait que tu te comportes de façon étrange avec moi.

Ne comprenant pas là où il voulait en venir, John feignit l'ignorance.

Sherlock : À chaque fois que j'essaie d'être plus proche de toi ou plus tactile afin de te faire plaisir, tu fuis directement ou trouve une excuse pour partir quelques instants... J'ai vite compris ce qui se tramait. Tu cachais tes envies sexuelles. Physiquement aussi, tout était contre toi, tes rougeurs, ta gêne, ta manie de baisser ton haut beaucoup trop bas. Mais aussi le fait que tu ne veux jamais parler de cela avec moi. Ça ne fait aucun doute, j'ai raison, même certains soirs en appelant par surprise je t'ai à de nombreuses reprises, entendu me parler avec un souffle erratique et la voix brisée.

Le dénommé ne répondit rien, bien trop gêné et rougit très fortement.

Sherlock : Mais John, c'est normal tu aurais juste dû m'en parler...

John : Je sais très bien que tu n'aimes pas ça... J'avais peur que tu me rejettes à cause de ça...

Sherlock : Je tiens à toi... Et même si pour le moment le sexe ne m'intéresse pas je... Je veux bien essayer de m'y intéresser un peu... Pour toi... Et sache que tu ne forceras pas, je le fais de moi-même.

John : Tu est s-

Sherlock : Oui. Je t'aime alors la ferme.

Souriant tous deux derrière leurs écran, Holmes avait une petite idée derrière la tête.

Après un petit moment de blanc, Sherlock prit la parole après une courte réflexion.

Sherlock : Je veux tenter quelque chose, comme une sorte de jeu si tu préfères. Allonge toi.

La gorge toujours sèche, le jeune abdiqua et se blotti sous les draps en gardant ses yeux clos.

John : Quel genre de jeu ?

Un rictus sadique vint se former sur le visage du brun et heureusement, John ne pu le remarquer. Bien que celui-ci fût très porté sur le sexe, il n'en restait pas moins quelqu'un de très naïf parfois.

Sherlock : Un jeu qui va te faire plaisir.

N'étant pas vraiment expérimenté dans le milieu, Sherlock avait tout de même pris le soin de se renseigner dans le domaine lorsqu'il s'était mit en couple et désormais, il ne le regrettait pas le moins du monde.

Sherlock : Déshabille-toi en t'imaginant que c'est moi qui le fait.

Rien qu'à ses mots, Watson se senti encore plus à l'étroit sous son jean et lâcha un petit couinement, adorable aux oreilles de son amoureux.

Sherlock : Je vais te guider...

Le blond suivit alors chaque directive de son petit-ami et retira tout d'abord son haut en appliquant tous ses conseils.

Ses mains frôlèrent ses abdominaux naissants et Watson s'imagina que les longs doigts agiles de son chéri étaient sur son corps à la place des siennes.

Il remonta son index et son pouce contre ses boutons de chair et les pinça doucement sous ses ordres puis plus violemment, lui causant quelques gémissements appréciateurs au passage.

Une mélodie divine pour Sherlock qui devint vite accros à cette méthode. Il adorait entendre son petit copain soupirer de plaisir sous ses paroles, cela lui provoquant une drôle de sensation de brûlure au niveau de son entrejambe.

Ensuite, le blond déboutonna son pantalon puis descendit la braguette avant de baisser légèrement son pantalon en expirant de soulagement, étant déjà bien plus à l'aise.

Il suivit toujours à la lettre chaque réplique de son chéri et caressa son ventre en haletant.

John : Sherlock... S'il te plaît...

Mais malgré ses supplices et jérémiades, Holmes resta impassible.

Comme sa marionnette, le blond frôla avec une horrible lenteur son membre gonflé toujours prisonnier de son sous-vêtement, se retenant de se prendre franchement en main.

John : Je t'en supplie... Dis-moi de me toucher... J'en peux plus...

Commençant à être compatissant, le bouclé succomba à sa demande et c'est avec un geste hâtif que celui qu'il aime baissa son caleçon bien trop serré et gémit en sentant son long enfin libéré se tendre contre son ventre.

Sherlock : Ne te touche pas encore... Glisse tes mains contre l'intérieur de tes cuisses...

Au comble du désarroi, Watson se força à obéir et toucha cette zone en soupirant, l'endroit lui étant sensible.

Sherlock quant à lui ne parvint pas à rester insensible à ce spectacle auditif et avait d'ores et déjà retiré ses habits pour caresser son érection, n'ayant jamais encore fait cela de sa vie.

Sherlock : Touche toi en même temps que moi...

John prit fermement la base de son organe durcit entre ses doigts et essaya de se caler au rythme bien trop lent de son son petit-ami.

Ils gémirent ensemble lorsqu'ils atteignirent leur extrémité sensible, le jeune médecin ne pu s'empêcher que d'accélérer ses va-et-vient, sentant ses veines se tendre sous son emprise et son membre se dresser plus encore, il n'avait jamais été dans un tel état.

Sherlock : Ralenti. Immédiatement.

Sa demande fût réalisé par un John plus en manque que jamais, prenant soin de soupirer le nom de son amant afin de le rendre dans un état ressemblant au sien.

Et cela fonctionnait à merveille.

En âge, le blond récoltait quelques gouttes de liquide séminal et l'étala sur sa hampe pour la rendre plus glissante, titillant en même temps ses parties génitales puis son frein en remontant doucement de nouveau vers son bout légèrement rougit.

Sherlock : Tu... Tu peux accélérer...

Holmes perdit pied petit à petit en même temps que son petit ami qui tenta de retenir les sons obscènes qui sortirent de sa bouche. À présent plus aucune gêne n'était présente, seules des vagues de plaisir intenses réunissaient les amoureux.

Les deux se dirent des mots tendres en même temps qu'ils gémirent.

John avait totalement quitté cette réalité, il n'y avait que Sherlock, juste sa voix si sexy et son imagination en chaleur.

Se sentant venir, Watson reserra sa main autour de son objet de désir qui se raidit au maximum, étant plus sensible que jamais.

Il ne voulait cependant pas jouir sans avoir eu l'accord de son Sherlock, il se crispa et serra avec force sa base pour retenir son extase.

John : Sherlock je... Est-ce que je...

Un gémissement plaintif suivi sa phrase tant la sensation qu'il éprouvait était douloureuse et plaisante à la fois.

Sherlock : Je veux t'entendre jouir pour moi...

Le blond se donna alors quelques coups de poignets langoureux et ne mit que quelques secondes avant de basculer la tête en arrière en sentant la jouissance se répandre dans son corps.

Alors qu'il continua de se masturber lentement pour évacuer les dernières gouttes de liquide contre son torse, il ouï, comme un écho lointain un râle de bien-être suivi de respirations profondes.

Pendant un petit moment, ni l'un ni l'autre ni pipa mot, restant dans le brouillard épais de l'extase.

John retira sa main et sourit un peu tout comme Sherlock.

Sherlock : Ça va mon cœur ?

Le blond rit légèrement en entendant ce surnom.

John : Le sexe doit vraiment te faire tourne la tête si tu m'appelles comme cela...

Sherlock : Je suis sincère c'est tout...

John : Tu sais très bien comment je me sens, tu l'as assez entendu je pense... Merci chéri...

Sherlock : Merci à toi aussi de m'avoir... Initié pour ainsi dire... C'était plutôt agréable...

L'étudiant sourit et ferma ses yeux en baillant, épuisé par toutes ses émotions.

John : Je t'aime tellement... Merci pour tout mon Sherlock...

Aucune réponse ne se fit entendre, laissant ainsi penser que Holmes se soit endormi.

Son chéri sourit et garda son téléphone allumé avant de s'endormir à son tour, complètement affaibli mais tellement heureux et comblé par son homme.

Lui était le seul capable de lui faire tout oublier, même lors des journées les plus compliquées.

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