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4.9

Au gré des couloirs animés du collège, Jungkook se laissait emporter par le flot de voix, échappant parfois aux murmures de l'histoire que lui contait Ruby. Dans son esprit vagabond, la nouvelle élève s'était accrochée à lui avec une détermination inébranlable. Malgré les multiples refus de Jungkook de former une amitié, Ruby ne s'était jamais découragée, persévérant jusqu'à ce qu'il s'habitue enfin à sa présence. Comment ignorer quelqu'un qui vous parle sans cesse ? De surcroît, ils partageaient non seulement la même classe, mais se rendaient également au même dojo pour les cours de judo.

Ruby était une cascade inépuisable de mots. Toujours prête à s'exprimer.

« Alors ? Qu'en dis-tu ? » interrogea-t-elle avec impatience.

Jungkook la regarda avec perplexité, réalisant qu'il n'avait rien retenu de sa tirade.

« Tu n'as même pas écouté, n'est-ce pas ? » souffla Ruby avec une pointe de lassitude. « Je disais que j'aimerais teindre mes cheveux en rose. »

D'une indifférence non feinte, il répondit : « C'est interdit à l'école. »

Ruby expira doucement avant de se laisser tomber légèrement contre le casier voisin de celui de Jungkook. Un soupçon de regret se glissait dans ses paroles alors qu'elle partageait sa frustration.

"Il est tellement injuste que la coloration des cheveux soit interdite au collège. En Australie, dans mon ancienne école, on avait le droit de s'exprimer ainsi."

Jungkook déposa ses affaires dans son casier et referma la porte en passant devant Ruby. Son ton était acerbe lorsqu'il répondit entre ses dents.

"Tu n'as qu'à retourner là-bas alors."

Elle soupira et décida de le suivre en silence. Pourtant, la présence de Ruby restait un mystère pour Jungkook, même s'il s'était peu à peu habitué. Il ne pouvait s'empêcher de se poser des questions.

"Pourquoi me suis-tu partout ? Tu parles pourtant avec tout le monde en classe, non ? Pourquoi ne passes-tu pas du temps avec eux ?"

Elle haussa les épaules, puis le dépassa en trottinant légèrement. Cette fille était véritablement étrange.

Ne serait-ce que par la manière dont elle portait son uniforme scolaire. Normalement, toutes les filles devaient mettre des chaussures blanches et basses, mais Ruby optait pour des bottes noires et des collants.

"D'ailleurs, comment se fait-il qu'ils te laissent venir avec des chaussures noires ? Toutes les filles ont des chaussures blanches dans ce collège", fit remarquer Jungkook en rejoignant Ruby dans la classe.

Jungkook prit place sur sa chaise habituelle.

"Au début, ils me réprimandaient souvent, mais ils ont fini par abandonner", répondit-elle avec un sourire.

Jungkook soupira simplement, puis se concentra sur le professeur qui venait d'entrer. Son téléphone vibrait sans cesse dans sa poche, mais il l'ignora. Il savait pertinemment qui pouvait le déranger à cette heure-là.

Qui d'autre que sa mère pour ne pas réaliser qu'il était à l'école ? Elle ne le laissait pas tranquille depuis des mois, et lui, il n'arrivait tout simplement pas à la rayer de sa vie.

Après tout, c'était sa mère et il l'aimait.

°

Lorsqu'il reçut un message sur son portable, le monde extérieur s'évanouit pour Young-Jae alors qu'il se précipitait dans les toilettes, désireux de s'éloigner du tumulte des conversations et des rires insouciants de ses amis. Sa respiration était saccadée, son cœur tambourinait dans sa poitrine, si fort qu'il semblait résonner dans tout son être. Il avait l'impression que le poids de l'inconnu reposait sur ses épaules, et il savait qu'il devait faire face à la terrible vérité contenue dans cette vidéo.

Dans la quiétude oppressante de la cabine de toilettes, il se sentait à la fois à l'abri et prisonnier de ses propres pensées. Ses mains tremblantes s'agrippaient à son téléphone, les gestes devenant plus difficiles à mesure que l'anxiété grandissait en lui. Le regard fixé sur l'écran, il déverrouilla son téléphone et cliqua sur la vidéo qui avait été envoyée conscient des conséquences dévastatrices qu'elle aurait.

Il avait choisi l'option "vu unique", une tentative désespérée de limiter la propagation des images intimes et humiliantes devant lui. Aucun son n'émanait de l'écran, mais chaque image saisissante transmettait une montagne de douleur et d'horreur. Son propre visage, si vulnérable et désemparé, remplissait l'écran, figeant un moment de sa vie qu'il aurait préféré oublier.

Le souvenir du visage de Hyun-su, oppressant et menaçant, se superposait à la vidéo. Le mélange de colère et de peur déformait la mémoire de cet instant, ajoutant une couche de terreur qui obscurcissait tout le reste. Il coupa rapidement la vidéo, la supprimant de la discussion, comme s'il pouvait effacer les souvenirs douloureux en la faisant disparaître de vue.

Mais les mots cruels qui accompagnaient le message au bas de l'écran continuaient à hanter ses pensées. "Tu parles, la vidéo fait le tour du bahut. On y voit que ton visage après tout. Ils croiront tous que t'es une petite pute qui adore sucer."

Les paroles acerbes semblaient flotter devant ses yeux, résonnant en lui comme des jugements cruels et implacables. Dans cet espace confiné, Young-Jae se sentait piégé entre l'humiliation et la menace de représailles.

Les larmes commencèrent à affluer, un mélange amer de tristesse et de colère. Elles brûlaient ses joues alors qu'elles coulaient silencieusement, fugaces messagers de sa douleur intérieure. Le poids insoutenable de la honte s'abattit sur ses épaules, comprimant sa poitrine et étouffant chaque inspiration. Il voulait crier, mais il résista, ne voulant pas attirer l'attention sur sa douleur invisible.

Le cœur de Young-Jae battait la chamade alors qu'il s'était réfugié dans la solitude de la cabine des toilettes. L'air était lourd, ses mains tremblaient, et l'anxiété prenait le contrôle de son esprit. Chaque battement de son cœur résonnait dans ses tempes, rappelant le déferlement de la panique qui l'envahissait.

Le regard fixe, il revoyait encore et encore la vidéo qui lui avait été envoyée, une preuve tragique et dégradante de son agression. Son visage, clairement visible sur l'écran, reflétait une détresse indicible. Les images se superposaient dans son esprit, créant un tourbillon de terreur et de confusion.

Toutes les sensations semblaient amplifiées à l'extrême. La froideur du métal contre sa peau lorsqu'il avait saisi son téléphone, la rugosité du papier toilette sous ses doigts alors qu'il s'essuyait les larmes qui commençaient à se former. Chaque inspiration était laborieuse, comme si chaque bouffée d'air était un rappel constant de la réalité brutale à laquelle il devait faire face.

La panique déformait sa perception du temps. Les secondes s'étiraient en une éternité, et en même temps, tout semblait se précipiter autour de lui. Il avait l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds, que tout ce qu'il avait connu jusqu'à présent s'évanouissait.

Les paroles accusatrices qui s'affichaient sur son écran ajoutaient encore plus de poids sur ses épaules déjà lourdement chargées. Leur impact s'enfonçait profondément, approfondissant encore davantage la détresse qui le submergeait. Chaque mot ressemblait à des flèches empoisonnées, le transperçant au plus profond de son être.

Les larmes, libératrices mais insuffisantes, ne cessaient de couler sur ses joues. Ses sanglots étaient étouffés par la peur de se faire entendre, de révéler sa vulnérabilité. Les murs de la cabine semblaient se refermer sur lui, devenant de plus en plus oppressants.

Dans cet état de détresse, Young-Jae se sentait englouti par l'ombre de l'agression qui le hantait. Chaque coin sombre de son esprit était imprégné de ce traumatisme insupportable. Les images, les sons, les souvenirs étaient ancrés en lui, comme une toile d'araignée qui ne pouvait être effacée.

Après avoir quitté les toilettes et rafraîchi son visage, Young-Jae émergea dans les couloirs, à la recherche d'un répit, d'une échappatoire à la menace qui pesait sur lui. Combien de temps avait-il passé là-bas ? L'espace du temps semblait flou, insaisissable. Mais pour le moment, il était déterminé à enfouir ses souffrances au plus profond de lui-même.

Le sourire charmeur qu'il avait si habilement créé se dessina à nouveau sur son visage. C'était sa façade, son rempart contre le monde extérieur. Il savait que cela pouvait paraître arrogant, mais il préférait cela à la vulnérabilité qu'il ressentait à l'intérieur. Il cachait si bien ses douleurs derrière cette expression étudiée, qu'il était difficile pour les autres de voir à travers les fissures de son masque.

Soudain, la voix de Mi-Rae, la vice-déléguée de classe, brisa sa solitude.

"Young-Jae, je te cherchais", dit-elle avec empressement, brandissant des papiers devant lui. "J'aurais besoin que tu les signes ici."

Young-Jae prit les documents entre ses mains, cherchant à dissimuler l'angoisse qui montait en lui. Il tenta de percer le mystère en posant une question prudente :

"Qu'est-ce que c'est ?", demanda-t-il d'une voix douce.

C'est alors que Mi-Rae lui expliqua, avec une certaine hâte, que la signature de tous les représentants d'élèves était requise par le proviseur. Il aurait à lire les papiers et à les lui rendre avant la fin des cours.

L'habitude prit le dessus et, une fois de plus, il esquissa un sourire, dissimulant ses véritables émotions. Il prit les papiers d'un geste assuré et se dirigea vers ses amis, rejoignant leur groupe avec une grâce feinte.

°

Leur dernière heure de cours venait de s'achever, et alors que le soleil commençait à se coucher à l'horizon, Mi-Rae retrouva sa petite sœur Ji-Ae à la sortie du lycée. Ji-Ae, jeune collégienne en troisième année, était là, pleine de vie et d'excitation. Elles étaient si proches, et leur relation était à la fois celle de sœurs et de meilleures amies.

"Alors, c'est lequel Young-Jae ?", demanda Ji-Ae avec une curiosité éclatante alors qu'elles marchaient en direction de l'arrêt de bus.

Mi-Rae la poussa légèrement pour lui demander de parler plus doucement, puis elle lui désigna Young-Jae, qui passait devant eux en compagnie de ses amis. Elle avait tellement parlé de sa haine envers lui à Ji-Ae qu'elle était curieuse de voir à quoi il ressemblait.

"Mon Dieu, il est incroyablement beau... Pourquoi tu le détestes ? Regarde-le, on dirait ces garçons que nous voyons dans les dramas", s'exclama Ji-Ae avec fascination.

"Justement, avec son sourire, il donne l'impression de se placer au-dessus des autres. J'ai l'impression qu'il pense que tout lui est dû", répondit Mi-Rae, les yeux rivés sur lui.

Sa sœur éclata de rire, faisant écho à sa propre insouciance.

Mi-Rae et Ji-Ae poursuivirent leur chemin, passant d'abord par l'école primaire où leur petit frère était scolarisé, puis par la crèche pour récupérer leur petite sœur. Une fois tous ces détours accomplis, ils entamèrent ensemble la route vers leur domicile. Leur maison était située dans une rue paisible où chaque voisin se préoccupait de sa propre vie, les maisons séparées par des haies taillée.

C'était une maison assez grande, ce qui était bien compte tenu de leur famille de six personnes, parents inclus. Malheureusement, leurs parents étaient souvent absents, laissant à Mi-Rae et Ji-Ae le fardeau des responsabilités domestiques. Lorsqu'ils arrivèrent enfin chez eux, Mi-Rae plaça doucement la petite Su-Jin dans sa trotteuse.

"Jun-Ho, arrête de courir dans les escaliers ! Tu vas tomber !" s'écria Ji-Ae en direction du garçon de neuf ans, surveillant attentivement ses mouvements.

"Je vais voir ce qu'il y a au frigo et commencer à préparer le dîner. Peux-tu t'occuper d'eux pendant ce temps ?" demanda Mi-Rae, se dirigeant vers la cuisine pour prendre les choses en main.

La cuisine était reliée au salon par la salle à manger, créant ainsi une continuité harmonieuse dans la maison. C'était un espace spacieux, soigneusement aménagé, où chaque détail était pensé avec goût. Pourtant, malgré le confort matériel, Mi-Rae et Ji-Ae savaient que rien ne pouvait remplacer la présence aimante et chaleureuse de leurs parents, bien qu'ils travaillent sans relâche pour leur offrir une vie de luxe.

Mi-Rae se plongea dans la préparation du dîner, tandis que Ji-Ae prit soin de leur petite sœur. Quant à Jun-Ho, il s'installa à la table de la salle à manger, se concentrant sur ses devoirs.

"Ji-Ae, pourrais-tu éteindre la télévision s'il te plaît ? Sinon, Jun-Ho ne sera plus concentré sur ses devoirs", lança Mi-Rae depuis la cuisine, cherchant à maintenir une ambiance propice à l'étude.

"Il n'a qu'à les faire dans sa chambre !" répliqua Ji-Ae.

"Mais j'ai peur d'être seul là-bas", se plaignit Jun-Ho d'une voix tremblante.

"Très bien, j'éteins... De toute façon, il n'y a rien de spécial à regarder", consentit Ji-Ae, apaisant les craintes de son frère.

Réunis autour de la table, Mi-Rae initia la conversation quotidienne qu'elle avait instaurée pour compenser l'absence récurrente de leurs parents.

"Alors, Jun-Ho, comment s'est passée ta journée à l'école ?" demanda Mi-Rae tout en nourrissant délicatement sa petite sœur, Su-Jin.

Le garçonnet haussa les épaules, exprimant ainsi son indifférence.

"Ma maîtresse veut voir maman ou papa", répondit-il d'une voix timide.

"Oh, oui... la réunion avec les enseignants, les parents, les élèves... Je vais essayer de trouver une solution, et si possible, j'irai à leur place", dit-elle en souriant, espérant apaiser les inquiétudes de Jun-Ho.

"Allez, Mi-Rae, parle-nous de ce Young-Jae dont tu nous rebats les oreilles !" taquina Ji-Ae, espiègle.

"Arrête avec ça, Ji-Ae !" répliqua Mi-Rae, légèrement embarrassée mais ne pouvant s'empêcher de sourire malgré tout.

Une fois le repas terminé, Ji-Ae s'occupa de la vaisselle tandis que Mi-Rae prit soin des plus jeunes. Une fois cette tâche accomplie, Mi-Rae se dirigea enfin vers ses propres devoirs. C'était ainsi, le quotidien auquel elle était confrontée, rempli de responsabilités et d'accomplissements et pourtant, elle n'avait que seize ans...

°

La soirée enveloppait doucement le jardin du manoir, baignant chaque recoin d'une lumière dorée et apaisante. Alors que la journée s'effaçait doucement, Soekjin avançait paisiblement, se laissant guider par la curiosité qui l'animait. Son regard fut attiré par une silhouette solitaire assise sur la balançoire, et son cœur s'emplit d'un mélange de douce émotion et de surprenante étonnement.

Accompagné d'un pas lent et attentif, l'éducateur s'approcha de Jungkook, dont les yeux étaient fixés sur l'horizon. Une aura de vulnérabilité émanait de l'adolescent, qui semblait percevoir l'éclat du crépuscule d'une manière unique et profonde. Soekjin se glissa sur la balançoire à côté de Jungkook, laissant leurs âmes se mêler dans un silence réconfortant.

La jeunesse de Jungkook transparaissait dans ses mots maladroits et délicate timidité. Il posa sa question, une requête teintée de curiosité et d'une innocence touchante. Soekjin esquissa un doux sourire, laissant l'amour transparaître dans son regard bienveillant.

"Comment as-tu su que tu étais amoureux d'un... d'un garçon ? Est-ce que c'est différent avec une fille ? Si moi, par exemple je tombais amoureux. Comment le saurai-je?"

"L'amour, c'est un langage universel, Jungkook", commença-t-il doucement, ses mots se glissant dans l'air telles des notes de musique légères. "Il ignore les conventions et les barrières, que tu aimes une fille ou un garçon, cela n'a pas d'importance. Ce qui compte, c'est la beauté de ce que tu ressens au plus profond de ton être."

Un frisson parcourut délicatement l'échine de Jungkook, tandis qu'il semblait se fondre dans les paroles de Soekjin, avide de comprendre les subtilités de ce monde complexe.

Jin regarda Jungkook avec bienveillance, comprenant que cette question était importante pour lui. Il prit une profonde inspiration pour trouver les mots justes, désireux de transmettre à son jeune protégé une vision respectueuse et ouverte de l'amour.

"Il n'y a pas de règles, Jungkook", commença-t-il, sa voix douce enveloppant l'air. "L'amour est quelque chose de complexe, quelque chose de profondément personnel. C'est quelque chose que tu ressens au plus profond de toi, dans ton cœur et dans ton âme."

Les yeux de Jungkook brillaient d'une lueur d'innocence et de curiosité. Il semblait s'abandonner aux paroles de Jin, avide de comprendre.

"Parfois, tu peux te sentir attiré par quelqu'un, que ce soit un garçon ou une fille, d'une façon qui te fait te sentir différent. Tu peux ressentir des papillons dans ton ventre lorsque tu es près de cette personne, ou tu peux te perdre dans ses yeux sans pouvoir t'en détourner. C'est là que tu commences à réaliser que tu es amoureux."

Jin prit une pause, observant le soleil se coucher lentement derrière les arbres. Les ombres dansaient doucement autour d'eux, créant un tableau poétique et intime.

"L'amour est un sentiment puissant, Jungkook. Il peut te rendre heureux et te faire sourire comme rien d'autre ne le peut. Parfois, il peut aussi te rendre vulnérable, car tu te donnes complètement à cette personne. Mais tout cela, vient du cœur. C'est une connexion profonde et précieuse que tu partages avec une personne spéciale."

Jungkook baissa les yeux, semblant réfléchir aux paroles de Jin. Son visage, autrefois empreint de timidité, était maintenant rempli d'une lueur d'espoir et de compréhension.

"Et comment sais-tu si cette personne ressent la même chose pour toi ?" demanda-t-il avec une légère anxiété dans sa voix.

Jin sourit tendrement, conscient des inquiétudes que pouvait ressentir Jungkook.

"Parfois, tu peux sentir une connexion particulière avec cette personne. Il y a des signes subtils, comme des regards prolongés, des sourires timides ou des conversations qui te font souhaiter que le temps s'arrête. Mais la seule façon de savoir avec certitude est de te laisser aller et d'exprimer tes sentiments. La communication honnête et ouverte est essentielle dans toute relation, quelle qu'elle soit."

Les derniers rayons de soleil se dissipaient doucement, illuminant le visage de Jungkook d'une lueur dorée. La nuit s'installait calmement autour d'eux, créant une atmosphère sereine.

"J'espère que cela t'aide à comprendre un peu mieux, Jungkook. L'amour peut être complexe, mais c'est une beauté que tout le monde mérite de ressentir et de partager. Reste vrai à toi-même et écoute ton cœur. Il te guidera toujours vers ce qui est juste pour toi."

Jin posa délicatement sa main sur l'épaule de Jungkook, offrant un soutien silencieux et une présence rassurante. Les deux restèrent assis sur la balançoire, partageant un moment de connexion et de compréhension, alors que la nuit étoilée s'étendait devant eux, remplie de promesses et de possibilités infinies.


J'ai Beaucoup adoré le petit moment entre Jin Et Jungkook c'était un régal d'écrire cette partie.

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