
𝔏'ℑ𝔫𝔠𝔦𝔡𝔢𝔫𝔱
PDV Clarion
ça n'a pas été une mince affaire de m'organiser afin de montrer mon monde à mon bien aimé. Après quelques mois, il allait enfin pouvoir voir notre monde... je veux dire mon monde.
Personne ne le sait.
Je vol en direction de la frontière. Et comme promis il s'y trouve.
- Clarion, me salut il. Tu es toujours aussi resplendissante.
- Es tu près ? lui demandais je avant de l'embrasser.
- Je pense oui. Il prit ma main. qu'attendons nous ?
Il saisit ma main. Je l'entraine alors, nous sourions tout deux.
- Bienvenue dans mon monde Milori... murmurais je en lui montrant de la main la forêt de l'automne.
- c'est incroyable mon amour... C'est encore plus beau vu de près, c'est tellement coloré.
- Il y a encore plus incroyable. lui dis je. Je pris sa main et l'entraine. J'ai tant de chose à te montrer !
- Qu'est ce que c'est Clarion ? me demande t'il, en pointant le ruisseau.
- C'est un ruisseau, il va se jeter dans la rivière non loin.
- Oh c'est de l'eau liquide, dans la vallée blanche, nous n'en avons pas. Il fait bien de trop froid, mais nous avons des glaciers.
- As tu déjà vu des papillons Milori ? demandais je alors que nous arrivions dans la clairière de l'été.
- J'en ai déjà vu dans des livres mais jamais en vrai.
- alors regarde... lui intimais je en serrant sa main dans la mienne. Une nuée de papillon de toutes les couleurs s'élève dans le ciel. Milori s'avance dans le ciel bouche bée.
- Ils sont magnifiques. je n'aurais jamais pensé en voir d'aussi près.
Nous rigolons de bon coeur.
Il m'entraîne dans une danse, j'aimerais que ce moment dure toujours, je me sens si bien en sa compagnie. Je me perd dans son regard si mystérieux.
- Je t'aime Milori... murmurais je.
-moi aussi ma reine.
Il est si beau...
- Clarion... Je ne me sens pas très bien... déclare il soudainement en se posant au sol.
- Que se passe t'il ? m'inquiétais je, en le rattrapant.
- mes ailes..; murmure t'il, je ne les sens plus.
il tremble alors
- Oh mon dieux... ses ailes sont comme entrain de fondre.
Je dois faire quelque chose... Il est entrain de prendre un énorme coup de chaud... c'est pour cela que aucune fée de l'hiver ne vient dans les saisons chaudes, leurs ailes ne supportent absolument pas la température. Si je ne fais rien ses ailes vont se briser. Je l'accompagne à l'ombre. Et sous-poudre ses ailes de poussière de fée en espérant qu'elles reprennent.
- Je dois te ramener au plus vite à la frontière ! m'écriais je en voyant que ce que je faisais empirait sa condition.
- Mais...
- C'est pour ton bien Milori, tes ailes ne supportent pas la chaleur.
- d'accord.
- on doit se d'dépêcher le temps joue contre nous.
Je tente de m'envoler avec lui, j'ai beaucoup de mal à le maintenir, étant toute seule. Je dois trouver quelque chose.
je l'aide alors avec de la poussière de fée.
- Tiens bon Milori.
Nous traversons la forêt de l'automne à toute vitesse. Je ne me le pardonnerais pas, c'était une mauvaise idée... Nous n'avons pas réfléchis à nos actes...
Je fis la frontière ce dessiner.
- On y est presque.
Nous arrivons au pont, je traverse avec lui la frontière, et le dépose dans la neige. Le froid s'empare de moi.
- Clarion va t'en, il fait trop froid pour toi. dit il.
- Milori, ton aile... Je suis terriblement désolée mon amour. Dis je les larmes aux yeux. Son ailes s'est rompue... il ne pourra plus volé.
- Je suis terriblement désolée Milori. c'est de ma faute, je n'aurais pas du t'emmener.
- Ce n'est pas ta faute Clarion, nous ne savions pas ce qui pouvait se passer... Clarion va t'en, tes ailes vont se briser.
Je l'embrasse, comme si c'était le dernier baiser que je lui donnais, et je sais très bien que ce saura le dernier.
- Je t'aime Milori, tellement... nous devons ne plus nous voir... Aucune fée de l'hiver ne devra traversé à nouveau cette frontière comme aucune fée des saisons chaudes. Pour nos deux mondes ... c'est le mieux que nous puissions faire.
- Je t'aime Clarion.
- Adieu Milori...Je me redresse et me dépêche de voler vers la forêt de l'automne, le cœur meurtri de ne plus revoir l'homme que j'aime... Le visage inondée de larmes. Je me retourne une dernière fois vers la frontière, voyant deux fées de l'hiver prendre en charge Milori...
-Je t'aimerai jusqu'à ma mort Milori... Je m'évapore en grains de poussière de fée et rentre au grand arbre.
J'espère ne croiser personne, je repris forme alors. hélas mon vœux ne fut exhausser. Les ministres de l'automne, du printemps et de l'été vinrent à ma rencontre. Je sèche mes larmes d'un revers de mains...
- Oh mon dieu très chère, que s'est il passé ? me demande la ministre du printemps.
- Ecoutez moi, ne posez pas de question... A partir de ce jour aucune fée des saisons chaudes ne devra passer la frontière de la forêt blanche, compris ?
- parfaitement majesté. déclare les ministres en coeur.
- S'il vous plait veuillez... diffuser cet ordre au près des fées... J'ai besoin de rester seule un temps.
Sans qu'ils ne disent un mot de plus, je m'en fais dans ma chambre où je m'enferme pour m'écrouler en pleurs sur le lit.
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