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𝕾𝖆𝖑𝖚𝖙 𝖑𝖆 𝖈𝖔𝖒𝖕𝖆𝖌𝖓𝖎𝖊 !

Aujourd'hui, je vous partage un petit texte autour de l'univers des « Gardiens de l'Univers », plus particulièrement autour du couple de Lunnat et Batramys.

𝕵𝖊 𝖛𝖔𝖚𝖘 𝖘𝖔𝖚𝖍𝖆𝖎𝖙𝖊 𝖆̀ 𝖙𝖔𝖚𝖘 𝖚𝖓𝖊 𝖊𝖝𝖈𝖊𝖑𝖑𝖊𝖓𝖙𝖊 𝖑𝖊𝖈𝖙𝖚𝖗𝖊 𝖒𝖞 𝖋𝖗𝖎𝖊𝖓𝖉𝖘 !


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La nuit commençait à laisser place au jour. La Lune d'Amalion partant se reposer après sa course. L'astre solaire prenant la relève, sortant de son repos timidement.

Un doux vent souffle entre les cimes des arbres colorés et millénaires de la vaste forêt aux alentours. Sous son souffle frais, tanguant les feuilles aux multitudes nuances démontrant la vivacité et la magie de cette étendue sylvestre. Quelques morceaux d'écorce se retirent du manteau des arbres. Leurs craquements sous le pas des habitants de la forêt et les chants des premiers oisillons se font entendre dans cette nature se réveillant. Ses habitants ne sont pas les seuls à sortir des bras de Morphée.

Dans la grande demeure des Gardiens de l'Univers, la plupart des résidents sortent à leur rythme de leur douillet lit. Certains avec grande difficulté, d'autres restant cinq minutes de plus dans celui-ci et encore quelques-uns, ont quitté leur lit depuis plus d'une bonne heure.

Parmi ces lève-tôt, une certaine Encestrale de l'Immortalité en fait partie. Elle est dehors, debout, le regard fixant l'horizon. Elle semble attendre. Mais qui ? Elle l'ignore. Pourtant, au fond de son âme, elle le sent. Elle ressent cette excitation si familière à l'arrivée prochaine d'une personne que l'on n'en peut plus d'attendre de voir. D'une personne que l'on ne peut plus d'attendre de revoir.

Son âme appelle à rejoindre cette personne. Elle hurle de la revoir. Elle cherche à être de nouveau réuni. Être complète à nouveau. Retrouvé sa paire qu'elle a perdue.

À cette pensée, les yeux d'un violet profond de l'ainée des enfants d'Oria s'écarquillent. Il ne peut que de s'agir d'une seule et unique personne. Elle réalise à cet instant de qui son âme pleure pour la revoir.

Son âme-sœur.

Son âme-sœur qu'elle n'a plus vue après qu'elle-même est disparu. Son âme-sœur qu'elle chérit le plus dans l'Univers.


« - Lunnat... »


À cet instant même, lorsque son esprit à déchiffrer la raison de son appel désespéré de son âme, elle apparut dans son champ de vision.

Sa silhouette qu'elle reconnaîtrai entre mille. Ses cheveux courts d'un blanc si pur volant sous le vent se levant d'un coup. Ses yeux violets et son regard aussi choqué qu'elle.

Elle est là. A quelques mètres en face d'elle. L'amour de sa vie. Sa Lunnat.


« - ... Batramys... »


L'Encestrale des Étoiles ne bouge pas de sa position, essayant de rester forte face à la vision qu'elle voit. Ses jambes tremblent, manquant de la faire s'écrouler sur l'herbe mouillée de la rosée du matin. Elle est effrayée. Effrayée que ses yeux lui jouent un tour. Effrayée qu'elle est encore dans l'un de ses trop nombreux rêves. Effrayée que tout ceci ne soit pas réel. Effrayée de la réalité.


« - Batramys... Tu es là... Dit moi que tu es bien là. Je t'en supplie...

- Je suis là Lunnat... Tu n'es pas en train de rêver. Je suis de retour. »


L'Encestrale de l'Immortalité se rapproche d'elle, un sourire heureux illuminant son visage et des larmes de joie apparaissant au coin de ses yeux.

Ses pas hésitants les premières secondes deviennent assurés, remplaçant sa marche pas une course effrénée. Arrivant en moins d'une minute auprès de sa bien-aimée, la prenant dans ses bras dans une étreinte des plus douces et passionnées qu'elles n'ont jamais connues. Elles s'accrochent désespérément l'une à l'autre. La crainte que si elle ose se lâcher même une simple courte seconde, que l'autre se volatilise à nouveau. Disparaît pour toujours.


« - Tu es là... Je n'arrive pas à y croire... Tu as disparu durant si longtemps... Trop d'années. Trop d'années à espérer que le jour où on m'a annoncé que tu étais morte n'était jamais arrivé. Trop d'années à t'écrire des lettres pratiquement chaque jour, ne voulant pas reconnaitre ta mort. Trop d'année à attendre pour ton retour. Mais tu es là. Tu es vivante. J'ai eu raison de t'attendre. »


La Enzalt déballe toutes ses pensées, toutes ses douleurs et craintes depuis le jour de la disparition de la Gardienne de l'Immortalité. Ses paroles se mélangent aux larmes dévalant ses joues. Ses paroles se lient au tremblement et frisson d'une euphorie incommensurable. La joie et le soulagement se lisant dans ses yeux.


« - Promets-moi de ne plus jamais disparaitre de la sorte.

-Je te le promets. » Conclut-elle en scellant sa promesse dans un tendre etamoureux baiser sous la lumière du soleil levant

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