Je vois une statue s'animé. C'est l'ours des combattants. Il rugit.

Je vient a peine d'amorcer un mouvement vers lui que le koala des artiste se met lui aussi en mouvements. Toute les statue s'anime les une après le autres. Mon cœur bondit dans ma poitrine.

Que faire? 

Pourquoi? 

Je vois un mouvement du coté de la louve des tueurs. En me tournant je me rend compte que la pierre se fissure.

Je me retourne pour alerté les chefs des mauvaises conditions d'entretien de leurs statues, quand je remarque qu'ils ont disparue. Je suis seul. Dans ma chambre chez les neutres.

Je la reconnais du premier coup d'œil: rien qui ne la différencie des autres, mais rien a voir.  Des animaux s'approche doucement de moi.

C'est fou: ils sont comme les statues. Ho non! C'est, les statues. Elles se rapprochent encore. J'entend la voix de Loupa dans ma tête:

-Choisie moi.

-C'est lâche ce que tu fait loupa, dis une voix  assez jeune, ha, oui: moi c'est Greta!! Je suis la colombe. S'il te plait rejoins les neutres.  Nous t'avons bien élevé, non?

-Vos gueules, c'est une voix très grave et rauque surement l'ours, Moi c'est Artio. Des combattants. Tu serais une bonne recrue. Nous aimerons te compté dans nos rangs.

- Chut. Je dormais. Ho! Une nouvelle recrue!!! Enfin, ça fait combien de temps? 1 000 ou 2 000 ans?

2 000 ans!!! C'est énorme pourquoi moi?

-Mais ou est passé Elemence? demande le koala.

-Qui ça? demandais je

-Moi.

C'est une voix douce, calme et tendre. Comme la voix d'une mère.

Enfin celle qu'elle aurait pue avoir.

je me retourne et ouvre les yeux en me rendant compte qu'ils étaient fermé.

Un phénix se dresse devant moi. Il ne vole pas et est posé a environ cinq mètres de moi.

-Une phénix. précise la fameuse Elemence, Comme tu t'en doute je représente la caste de ta mère et de ta grand mère. Celle des Gardiens. De la paix. Des secrets. Le Ying et le Yong, Le bien et le mal. La vérité et le mensonge, la haine et l'amour, les castes entres elles. Toi et les autres.

Elle était un savant mélange de beauté, de majesté, de grâce et de puissance. 

Le temps que je pris a cligné des yeux, une femme l'avais remplacé. 

Ils était tous, maintenant en forme humaine. Tous de mon âge a peu près. Ils s'assirent sur des trônes de manière très élégante comme datant d'un autre siècle. Et d'une seul voix ils dirent tous avec la lassitude qui apparait après des dizaine de répétition, un discours qui m'entraina dans un autre siecle: le leur.