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Chapitre 4

Je ne reviens pas de lui avoir dit ça. Lui non plus apparemment.

Il me regard, son regard est plus dure que je ne l'ai jamais vue.

Son sourire reviens sur ses lèvres, comme si il imaginait déjà la manière donc il allais me faire payer ces mots.

Une petite boule lui saute dessue, et le roue de coups. Au début, il ne réagit pas, trop sonner pour esquisser un seul geste.

Puis, il envoie valser le petit Paul qui s'étais accrocher a ses épaules pour lui faire "mal".

Paul était au sol. Contre un mur, dans ses yeux on ne voyait que de la peur. Tous courage avait déserter.

Mon. . . Père attrapa quelque chose dans sa poche, un pistolet, le leva doucement. 

Très doucement.

Je ne pouvais plus bouger et je ne pouvais que regarder mon père braquer son pistolet sur un petit enfant innocent.

Le coup pars. Le son retentie quelque seconde après. 

Paul regarde le troue dans sa poitrine, comme si il ne savais se que s'était.

Puis il s'écroula. Inerte. Mort, encore un.

Encore une personne morte par ma faute. 

IL me regarde son pistolet toujours en l'air.

Il sourie, ravis de son coup. 

Je le déteste.

Son nom abjecte: Octave. Octave, Werlinenem. 

Les géants me lâchent. Enfin. 

Je masse mes bras endolories.

Tous les petits sont autour de Paul.

Ne se rendent ils pas que c'est trop tard pour lui?

Sont il aveugle a se point? Innocents?

Dans quelques années, si ils survivent jusque là, ils seront encore traumatiser et lui, celui qui me fait office de père, ne baladera encore dans la nature l'aire de rien et sa ne l'empêcherait même pas de dormir.

Quel salopard!

il fait souffrir toutes les personnes qui croisent sa route.

Je relève la tête, et le voit écrabouiller contentieusement le doudou qui était perdue tous a l'heure.

La tête se décroche avec un bruit de déchirement.

La petite est en pleure. Elle le regarde quand même.

Je tourne la tête, ça ne sert plus a rien de regarder, il m'anéantie a petit feu, en prenant tous sont temps.

Il est sur le bas de la porte, sort, et fait demi-tour se retourne vert moi et dit ces mots horrible:

-Et chérie, je t'ai dit que si tu essayais seulement de passer le test je te tuerais? 

-Oui, tu me l'a déjà dit.

-Alors, je rajoute quelque chose: Ta copine,. . . Camille, je crois? Ne le passera pas non plus, sinon je l'a démembre devant toi, puis je lui fait pire que se que ne t'ai jamais fait. Compris?

-... Je n'est pas le choix? 

-Exacte.

Bam. Il claque la porte. Plusieurs personnes de chez les neutres arrive au pas de course. Ils ne regardent même pas le sol, ils savent déjà. L'inévitable cadavre pourrissant déjà sur le carrelage blanc nacré.

Le cadavre fait tache dans le décors bien rager des lits fait, des jouets empiler dans l'armoire.

Encore une fois IL a filer sans que rien ne lui arrive.

Je sort difficilement du dortoir. Mon pas est trébuchant, maladroit.

Je m'effondre une fois sortit de la salle. Mes jambes tremblent. J'ai envie, pour la première fois de la journée, de pleurer toutes les larmes de mon corp. Jusqu'à ce que mon cœur s'achèche pour de bon.

Une ombre me recouvre.

Je l'a trouve plutôt rassurante, cette ombre

Je sens ma tête basculer en arrière, l'ombre se précipite. Pourquoi il fait si noir tous a coup?

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Je me réveil dans une odeur de . . . comment dire? 

Musqué. Voila, musqué, c'est le mot que je cherchais.

Et agréable. Rassurante. Masculine.

Je suis dans un grand lit, les draps sont tellement doux! 

Un petit coup a la porte vient me distraire de ma rêverie.

Une tête pointe par la porte. C'est un homme, un adolescent apparemment.

Il a les cheveux noir, un nez délicat. Et des yeux. Si beau. Ils sont provoquants, rieurs, rassurant. Ils sont gris, d'une pâleur surnaturel. 

Avec ses yeux si étrange, il me demande si il peux rentrer.

Je lui fait signe que oui. 

Il s'assoie sur le lit. Il sens bon. La même odeur que les draps. Ce doit être les siens. 

Je me relève en position assise sur le lit. 

-Depuis combien de temps je dort ici? je finie par demander, Longtemps?

-Une seule nuit. 

Sa voix est grave et chaude. Elle me faire frémir.

Sa veste est ouverte sur une chemise blanche,. Mouiller par la sueur. Le premier bouton est ouvert. 

Malheureusement ce jolie spectacle est cacher par une magnifique cravate verte.

Et laisse apparaitre un torse fort et puissant.  

-Ouf!

Un sourire pointe sur son visage se qui fait pétiller ses yeux. 

-Comment t'appelle tu? me demande il, Est-ce qu'une telle déesse a un nom?

-Une déesse? Tu peux garder ce nom. Il me vas comme un gant. D'où vient il? Et toi?

-...Romane, je m'appelle Romane. C'est mon petit frère qui t'a nomme ainsi quand je t'ai amener ici hier soir. C'est dans sa chambre que j'ai dormi cette nuit. Vu que tu dormais dans la mienne.

-Ha, oui. C'est vrai. Désoler.

-Non sa vas, on a la place. Tu peux rester autant que tu veux.

-Merci.

Il se retourne pour partir. Il s'arrête sur le bas le la porte.

-Ha, oui! Maintenant que j'y pense, tu as déjà passer ton Test?

-Non, pas encore.

-C'est quand? Cette semaine, non?

-. . . . Oui, c'est sa. Comment le sait tu?

-L'instinct. Suis moi, je vais te faire visiter. Enfile les vêtement qui sont dans le placard.

Me dit il en me montrant une penderie. Et il sort de la pièce. 

Je souffle. Me calmer. Il faut se calmer. Ce n'est pas parce qu'un beau gosse vous laisse dormir chez lui qu'il faut s'arrêter de respirer, voyons.

Dans moins d'une semaine, j'aurais passer le test. Et je devrais choisir. 

Vivre. Ou mourir.

Lui obéir ou tuer de plein grée ma meilleure amie.

Laisser vivre mes proches ou les tuer.

Gabriel est mort. 

J'ai mal.

J'ouvre la penderie. Il y a un t-shirt blanc, une petite veste noir. Il y a aussi un jeans.

Je les enfile les habits. Il sont tous a ma taille. Heureusement. 

Je regarde mon poignet.

Mon bracelet en cuir y est toujours.

Je me souviens quand je l'ai fait.

A l'époque, Gabriel s'entendait bien avec sa mère, il y allait souvent a son atelier. 

Elle lui donnait les chutes de tissue donc elle ne se servait pas. 

Avec il se fabriquait des figurines, des portes clés, des chose comme ça.

Un jours il m'avait donner un morceau de cuir. Pas un cuir exceptionnelle. Juste du cuir. 

Grace a ce geste, ce bout de cuir est devenue un symbole du notre amitié.

Eternel, même après la mort.

A tout jamais.

Je le regarde une dernière fois, me lève et vais rejoindre Romane.

Il m'attend dans le couloir.

Et quand je le vois, une question surgit dans ma tête:

Et lui, est-ce qu'il a passé le Test?



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