Vous le connaissez tous celui là. Mais bon j'aime toujours ajouter mon grain de sel!
Vu que la précédente partie concernait le viol,quoi de mieux pour cette troisième partie que le fameux,le célèbre et incontournable: SYNDROME DE STOCKHOLM! DIE STOCKHOLMER SYNDROM! (Je fais espagnol LV2)

Résumons: Le syndrome de Stockholm,qu'est ce donc? Et bien mon cher Jean-Louis,c'est quand la victime éprouve de l'empathie envers son bourreau! Ou plus précisément dans certains cas de l'affection,voit de l'amuuur!

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FERMEZ LA,NOW! (Pas vous dans le coin à droite la,venez,venez plus près...)
Le syndrome de Stockholm ,c'est loin d'être aussi jojo et coulant de pralines que dans la Belle et la Bête et autres romans d'amour!
La victime souffre tant psychologiquement à cause de son bourreau qu'afin de se protéger,le cerveau le fait s'attacher à celui ci. Pas cool donc.
Vous voulez un exemple? Bien!
Voici Albertine-Huguette,surnommée Albertine-Hug',que nous allons appelés Albertine (ou Alounette pour les intimes).

"Un mois que je suis enfermée dans cette fichue cave. Un mois que mon tortionnaire passe ses journées à me violer et me faire subir milles sévices.... Cependant ,au fil des coups,au fil des humiliations,je sens qu'il ne le veut pas vraiment. Peut être est il une de ces âmes égarés,peut être à t'il besoin d'amour?... De l'amour,c'est ce que je ressent peu à peu pour ce monstre.Je souffre,mais je l'aime tellement! Je ne peux pas le laisser seul. Le cœur a ses raisons,je suppose... "

J'ai pris un exemple de séquestration car c'était le seul que j'avais bien en tête,mais les cas peuvent être variés: Viol,Violences physiques,Harcèlement,Prise d'Otage ect... Analysons.
Albertine se fait séquestrer depuis plus d'un mois par un gros malade mental. Son quotidien est viol et torture. Pourtant ,elle finit par s'attacher à son agresseur et à éprouver des sentiments amoureux pour lui. Voici l'exemple d'un syndrome de Stockholm potentiel.

Le problème ,c'est que beaucoup de fictions clichés (encore) reprennent ce syndrome et le tordent dans tout les sens comme les prisonniers de Guantanamo pour lui donner la forme que les auteurs veulent,négligeant encore une fois l'aspect traumatique de la chose. Il ne faut pas oublier que les relations basés sur le syndrome de Stockholm sont très loin d'être saines,car dans ces cas là,le bourreau a un ascendant psychologique sur la victime. VOILÀ! (Maintenant appelez la police pour sortir Albertine de ce pétrin).

J'espère avoir légèrement éclairer vos lanternes,ce chapitre étant plus court que les précédents ,mais promis on va parler de choses un peu insolites la prochaine fois!