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{Chapitre 25} Retrouvailles Et Réunion De Famille ✔️

Une horrible odeur de fumée m'emplissait les narines. Des cris dechraient l'obscurité. On entendait des bruits de pas. Des bruissement d'étoffes. Des voix étouffées. Il m'était impossible d'ouvrir les yeux, comme si l'obscurité qui les recouvrait était trop opaque. Comme si ils ne s'ouvriraient plus jamais.

Un jour, c'est ce qui t'arrivera, Пионер новой эры. C'est ce qui nous attend tous.

. . .

C'était comme si on m'avait privé d'oxygène durant plusieurs heures. James qui était dans le lit d'en face m'a observé quelques instants.

- T'ES AU COURANT QUE J'AI VRAIMENT CRU QUE T'ÉTAIS EN TRAIN DE MOURIR ?

Ouch. C'est qu'il pouvait crier fort quand il le voulait, même lorsqu'il était en train de se rétablir d'une chute de balai. Un instant, j'ai vu le visage de ma mère à sa place. Un instant, je me suis rappellé ce qu'elle me faisait après m'avoir hurlé dessus comme ça. Il m'a fallu un instant pour que je me rappelle de tout ça, et que mon cerveau se rappelle lui aussi que demain, je reprenais le Poudlard Express.

- NON MAIS, ON N'A PAS IDÉE DE ME FAIRE PEUR COMME ÇA ! TU VEUX VRAIMENT MA MORT ? (NDA: Je crois qu'il a hérité des gènes de Molly 😂)

Ces petites informations enregistrées représenteront un trop plein d'émotion. C'était définitivement trop pour moi.

- J'AI CRU QUE JE TE REVERRAIS PLUS JAMAIS BANANE ! TU SAIS L'IMPRESSION QUE ÇA M'A FAIT QUAND TA TÊTE S'EST TAPÉE CONTRE LE SOL ET QUE T'ES DEVENUE TOUT BLANCHE HEIN ? TU SAIS L'IMPRESSION QUE ÇA M'A FAIT ?

L'angoisse me nouait la gorge. Le fait de respirer devenait impossible.

- TU NE RÉPONDS PAS HEIN !? TU- Anastasia ? Anastasia ?

J'ai porté ma main à ma gorge et ai rapidement fait le signe que je ne pouvais plus respirer.

- MADAAAAAAMMMME JOOOOOOOOOYYYYYYYYYY !!!!!

L'infirmière arriva dans l'infirmerie une trentaine de secondes plus tard. Elle était essoufflée, signe qu'elle avait dû courir depuis la grande salle, qui se trouvait à l'autre bout du couloir. En y repensant plus tard, on aurait pu de dire que James avait la voix qui portait.

- OH par Merlin !

Elle était également suivie d'une bonne moitié du corps enseignant, qui me regardaient avec des yeux ronds.

- Elle était comme ça quand vous l'avez réveillée, Potter ?

James s'est tassé sur son lit, puis un éclair de lucidité, puis de culpabilité à traversé ses yeux.

- Il est possible que je lui ait vaguement crié dessus. Et... Je suppose que je lui ai rappellé sa mère. Mère qui, si j'ai bien compris, n'est pas quelqu'un réputé pour sa tendresse. Chez qui elle a une peur viscérale de retourner demain...je ne suis qu'un idiot. J'aurais dû y penser.

Le professeur Lupin a posé une question de plus, contrairement aux autres occupants de la pièce qui étaient tous concentrés sur Mrs. Joy qui m'administrait une potion de sommeil.

- Vous entendez quoi par "pas très tendre" ?

- Je pense qu'elle la bat. Mais si quelqu'un le sait réellement, c'est Scorpius. Il paraît qu'elle lui confie tous ses secrets.

J'ai vaguement entendu Mcgonagall étouffer une exclamation indignée, et j'ai sombré dans un sommeil sans rêves, me promettant de tuer de ma main James Potter dès que je serais réveillée.

. . .

J'errais dans le Poudlard Express à la recherche de James pour le tuer. Sauf que la "superbe" jupe noire et la chemise blanche avec des fleurs me ralentissaient considérablement. Je vais te rassurer tout de suite cher journal, ce n'était pas de mon plein gré que je portais ce genre de vêtements. Mais ma mère serait sur le quai, alors je suppose qu'il n'y avait pas besoin que je m'attise ses foudres dès mon arrivée.

- Ah, les garçons vous tombez bien, dis-je. Je cherche James. Vous savez où il est ?

Ils se sont regardés quelques instants, puis ont pouffé de rire.

-Il se cache on ne sait où. Mais je pense que ça va être dur de le trouver...

Il ont à nouveau pouffé de rire. J'ai lâché un petit soupir. James était vraiment épuisant. C'est sur cette pensée que je suis retourné dans mon compartiment et que je me suis endormie, la tête appuyée contre la vitre.

. . .

- Ana' réveille toi. On arrive dans 15 minutes.

Je me suis redressée immédiatement. Rose était penchée sur moi, et c'était elle qui venait d'interrompre le rêve que je faisais. Rêve assez étrange, je dois bien l'avouer. Dumbledore resçucitait, le monde partait à nouveau en sucette et à la fin, tout le monde se transformait en chocogrenouille. Un bordel total, quoi.

- Je pensais que tu voudrais que je te réveille.

- Tu as bien fait.

J'ai commencé d'enlever ma robe de sorcière, sous les yeux ébahis de Rose.

- Rassure moi, la grande Anastasia, femme indépendante, féministe assurée et prôneuse de la confortabilelté des jeans ne porterait pas une jupe. Et une chemise !

Elle a fait mine de prendre ma fièvre.

- Ah, bah non, t'as rien. Je suis sûre que c'est une maladie indétectable.

Nous avons toutes les deux ri, et j'ai récupérai mon manteau et ma valise.

Prête à rentrer dans l'antre des serpents siffleurs ?

-Plus que jamais.

Ma détermination était de fer. Fer qui, je ne le savais pas, fondrait comme neige au soleil dès que j'aurais posé un pied sur ce quai.

. . .

J'ai pris une longue inspiration. Mon manteau était correctement posé sur mes épaules, mes cheveux étaient correctements attachés... Tout était parfait. Trop parfait, peut être.

- Allez... Au pire c'est qu'un mauvais moment à passer.

J'ai fait un pas sur le quai. Puis un autre. J'ai reconnu la lourde cape noire de ma mère. J'ai vu Rose me jeter un regard d'encouragement.

- Mère, dis-je en posant ma valise à côté de moi et en tendant la main devant moi, pour qu'elle la serre.

J'ai entendu le bruit d'une valise qui eurtait le sol, et j'ai vu les Potter au complet qui me regardaient avec attention.

- Je pensais que tu pourrais être plus respectueuse envers moi. Je suis ta supérieure, tout de même.

Elle a attrapé ma main et l'a vivement serrée.

- Tu n'attendais pas de moi que je te fasses la révérence non plus ?

Elle n'avait manifestement pas aimé ma répartie sarcastique et encore moins le fait que l'on ait entendu les Potter et les Weasley pouffer de rire, car elle s'est penchée vers moi, mettant son index au long ongle sur ma joue.

- Tu sais ce que cet affront te coûtera, Anastasia.

Dans sa bouche, mon nom sonnait comme une insulte. Elle m'a légèrement entaillé la joue, et j'ai senti un mince filet de sang couler sur mon visage.

- Bien. On y va. Prends tes valises.

Elle s'était redressée et avait commencé de partir.

- Dépêche-toi !

J'ai attrapé mes deux valises et la cage de Moony, et je me suis préparée psychologiquement à ces deux semaines.

- Oui, mère.

Je le suis mise en marche, et je parie que les Potter on bien remarqué le filet abondant de sang qui coulait de ma blessure.

. . .

Ce manoir me fichait la frousse. Littéralement. Il y avait quelque chose dans cette maison qui n'était pas net. Comme si toutes les horreurs que l'on avait pu y commettre sous Voldemort étaient restées ancrées dans chaque poussière, chaque recoin sombre.

- Descends dire bonjour à mes amis, Anastasia !

La voix de ma mère venait de briser ma petite divagation. Ses amis, hein... Plutôt ses sous-fifres de mangemorts...
J'entrais dans le grand salon alors que la voix de mon oncle retentit dans le couloir.

- Alors, ma nièce préférée ne me dit même pas bonjour ?

La voix se Regulus m'avait tellement manqué, qu'avant que je ne réalise, il m'engageait dans une étreinte chaleureuse.

- Tu n'as qu'une seule nièce. Il est donc obligé que je sois ta préférée !

Il m'a souri. Regulus avait toujours été gentil avec moi. C'est lui qui m'avait appris à lire et qui l'avait enseigné les rudiments de la magie avant que ne rentre à Poudlard. Je ne le voyais pas souvent, mais il comptait beaucoup pour moi. Il m'a légèrement poussé dans la pièce, me permettant d'apparaître aux yeux des occupants.

- Mais tu dois être Anastasia !

Bellatrix, ma grand-tante s'était quasiment jetée sur moi. Elle était vraiment totalement illuminée,d'après ce que j'en savais. Un homme à l'allure sévère l'a retenue par le bras.

- Je suis Rodolphus Lestrange, s'est-il présenté en me tendant la main.

Je l'ai serrée, et ce fut tout un cortège qui se présenta à moi. Des dizaines de noms tournaient dans ma tête, s'entremêlaient pour ne former plus qu'un vague souvenir.

- Fenrir Greyback.

C'était donc lui qui avait tué Remus Lupin, le père de mon professeur de DCFM. Tous les adultes se sont assis autour de la table, discutant tous à voix basse entre eux.

- Remonte dans ta chambre, Anastasia. Je t'ordonne de ne pas en sortir.

J'ai fait quelques pas en direction de la porte.

- Oui, mère.

J'étais dans le couloir lorsque la petite voix me stoppa totalement dans mon élan.

Regardes-toi. Tu obéis docilement. Ça ne te ressemble pas. Tu vaux mieux que ça,пророчица. Bien mieux que ça.

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