memories
Allongée dans un immense champs, je lisais mon ouvrage favori.
La légère brise passait au travers de mes beaux cheveux brun et le blé caressait mon pâle visage.
J'étais plongée dans ma lecture. Ma robe pourpre venait recouvrir mes jambes et quelquefois s'envolait faisant frissonner mon corps.
L'été pourtant installé je ne put m'empêcher d'avoir froid.
Je levais les yeux du livre pour regarder le ciel.
Les nuages prenaient des formes de toutes sortes.
Un en forme de lapin, le suivant en forme de chapeau.
Un léger sourire passait la barrière de mes lèvres.
J'admirais silencieusement le spectacle que le ciel nous offrait.
Je me mis debout et commençait à tourner sur moi même.
Ma robe virvoltait dans le vent.
Je pensais à toi.
Tu aurais apprécier ce paysage merveilleux.
Quelques larmes commencèrent à couler le long de mes joues.
Je supposais que le ciel m'avait remarquer car il se mit lui aussi à pleurer.
Du bleu clair, il passa au gris cassé et froid qui m'effrayait étant plus jeune.
Aujourd'hui je le regardais de mes yeux innocents, émerveillés par ce changement d'atmosphère si soudain.
Les gouttes d'eau tombait une à une sur tout mon corps.
L'une d'entre elle parcourue mon cou et me chatouilla.
Un rire ravi s'échappa de ma gorge.
Je continuais à danser sous cette pluie effrénée.
Te rapelles-tu quand nous valsions ensemble?
Nous avions l'impression que le monde autour disparaissait.
Qu'ils n'y avaient plus que toi et moi.
Nous étions jeunes et insouciant à l'époque.
Mon plus grand souhait serait de te revoir.
Ou de ne jamais t'avoir rencontré.
Tu as rempli ma vie de bonheur et de souvenirs quand tu es entré dans celle-ci.
Mais quand tu l' as quitté, tu es devenu mon souvenir le plus douloureux.
Celui qui prends le dessus par rapport aux jours heureux.
Je t'aimais. Je vivais pour toi. T'avoir à mes côtés était devenu ma façon de respirer. Ta façon de m'aimer était ravissante mais elle est devenu cruelle.
Tu appréciais me rappeler à quel point tu m'aimais mais tu en as profiter pour voler mon cœur.
Le problème était que je t'aimais trop.
J'aurais espèré avoir plus de temps à passer avec toi.
Pouvoir tenir ta main une dernière fois.
Ma tête commença à tourner et ma vue se floutta.
J'étais sûrement tomber malade.
Cela m'apprendra à danser sous la pluie.
Pourtant quand ma tête heurta le sol, je crus apercevoir ta silhouette.
Mes yeux se fermèrent délicatement.
Ma pluie s'était toi.
Et j'étais tombée malade d'amour.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro