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two: 𝐲𝐯𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐢𝐧𝐭 𝐥𝐚𝐮𝐫𝐞𝐧𝐭.


donghyuck se réveilla en entendant sa mère pleurer. 

il regarda autour de lui, il partageait sa chambre avec son frère mais il était partit à lécole, sa petit sœur également. alors il était seul. 

il se leva, pour ensuite s'étirer. il entendit une nouvelle fois des reniflements venir de la cuisine. alors il haussa un sourcil et se dirigea vers la porte. 

-je sais pas... je sais plus...  

-tout ira bien, ça va aller. 

donghyuck resta discret, regardant sa mère fatiguée, les mains sur son visage assise sur une chaise, les coudes posées sur la table. sur le mur, il y avait des photos d'eux tous ensemble, de leur grands-parents et aussi des peintures accrochés à côté. 

il pleuvait légèrement dehors, ce qui donnait des teintes de gris dans la cuisine, et donghyuck n'aimait pas vraiment l'ambiance que prenait sa maison. 

-on a tellement de chose à payer, je n'en peux plus, dit la maman avant de passer ses mains dans ses cheveux. comment est-ce qu'on va payer les études pour les petits ? et donghyuck ? 

il eut un silence. 

-j'aurais tellement aimé qu'il aille à l'université. 

et la maman se mit à verser des larmes. ce fut silencieux au début, puis ses épaules se mirent trembler et le père se leva pour embrasser sa femme, passant ses mains sur le visage de la femme. 

-on y arrivera, on fera ce qu'il faudra. 

la mère leva son regard vers son mari et le prit passionnément dans ses bras, avant de pleurer de plus en plus fort. 

donghyuck recula et tourna les talons pour rentrer une nouvelle fois dans sa chambre, il ss'y enferma et regarda autour de lui. 

il commençait à paniquer, de plus en plus. 

mais il devait aider ses parents, il ne pouvait plus traîner ainsi. 

alors il prit une grande inspiration et passa ses mains sur son visage. 

c'est alors qu'il se rendit compte qu'il pleurait. 








































-CASSE-TOI ENFOIRÉ ! 

-arrête de crier comme ça... 

jisung fronça ses sourcils, regardant sa mère nourrir ses petits frères et sœurs avant de soupirer. autour de lui, il y avait des affaires par terre, de la vaisselle sale et une table de cuisine remplie de nourriture qui doit dater du début de la semaine. 

il était habillé de son survêt noir et ses cheveux n'étaient pas coiffés. 

il s'était une nouvelle fois, disputé avec sa mère. alors il prit une brioche qui était sur la table et partit mettre ses chaussures. 

-c'est ça ! pars et ne m'aide pas, dit la mère en riant, t'es vraiment qu'un pauvre con, feignant. 

-j'tiens ça de toi, vieille peau. 

-pars vite avant que je t'en mette une. ordonna la femme d'une voix froide et sévère. 

-pas besoin de me le dire une seconde fois, sourit jisung avant d'ouvrir la porte et la claquer derrière lui. il entendit sa mère l'insulter comme jamais, il soupira et regarda à gauche, puis à droite. 

avant de prendre son téléphone et regarder l'heure. il fouilla ensuite dans ses poches pour voir s'il n'avait pas un peu d'argent et sourit en voyant qu'il avait de quoi s'acheter quelque chose à la boulangerie. 

alors il s'y rendit, seul. il marcha, les yeux remplis de méfiance envers toute les personnes qu'il croisait. puis il arriva devant la boulangerie avec une petite queue. alors il y entra, salua les personnes à l'intérieur qu'il connaissait et attendit son tour. 

-je vous le dit madame, déclara soudain le boulanger en attrapant du pain, ce quartier n'en a plus pour longtemps. 

-j'ai vu ça dans le journal ce matin, répondit la vieille dame, ils vont le raser pour en faire des bureaux. 

-un quartier d'affaire, dit le boulanger en soupirant, et les petits commerçant. à la trappe. 

jisung ne comprenait pas ce qu'il se passait. le quartier allait disparaître ? 

-qu'est-ce que vous voulez dire ? dit-il curieux. 

le boulanger rit suivit de la dame. 

-il faut lire les journaux petit, dit la dame gentiment, ils vont faire de notre chez nous des bureaux pour tout ces riches businessman et businesswoman. 

-et nous ? demanda jisung, sentant ses poings se serrer. 

-rien. ils vont surement nous dégager d'ici quelques mois, dit le boulanger en tendant les pains à la dame. tenez madame. 

-c'est impossible ! dit jisung, personne ici ne peut partir, on va être à la rue. 

-je vais surement aller chez ma fille, répondit la vieille, ou en maison de retraite. 

il eut un silence dans la petite boutique. puis le boulanger changea de sujet et jisung put se payer un croissant ainsi qu'une brique de lait. 

il sortit de la boulangerie complètement choqué. comment pouvait-il faire bouger tout un quartier pour des bâtiments inutiles ? ils pouvaient très bien les construire autre part, la ville était assez grande pour en faire d'autre vers le sud. 

puis il comprit. 

ça ne pouvait qu'être une idée pour pouvoir faire disparaître la classe populaire de la ville. faire disparaître les pauvres ou les moyens pauvres de la carte. 

pour rendre cette ville parfaite. 

jisung marcha, furieux. il devait en parler à haechan. mais ce dernier ne répondait pas. 

alors il devait trouver un moyen de se calmer, et aussi de s'en sortir. au moins lui et ses frères et sœurs. ils ne pouvaient pas finir à la rue, ou bien partir dans une ville, ils n'en avaient pas l'argent. 

qu'allait-il se passer ? 

jisung sentit son cœur battre fort, paniquer. 

il décida d'aller vers leur colline, à lui et haechan. 

il sortit du quartier et marcha rapidement, son croissant dans sa main et sa brique de lait dans l'autre. 

jsuqu'à ce qu'il ne bouscule une jeune fille, sa brique de lait tomba, en laissant sur la fille. 

-putain... souffla t-il, heum. désolé. 

jisung s'excusa, sachant que c'était lui qui était en faute, trop dans ses pensées. 

-nan mais ça va pas ? dit la jeune fille. 

le brunet leva son regard vers la fille et comprit qu'il allait passer un long moment. 

la jeune fille était très mince, de log cheveux noir ainsi qu'une frange ramener en arrière par un bandeau, un haut blanc de soie et un jean en patte d'éléphant, des talons rouges et un maquillage ainsi que des bijoux qui avaient l'air... cher. 

une riche. 

-tu sais combien coûte ce haut ? dit-elle en regardant jisung de haut en bas. 

-c'est bon j'me suis excusé, répondit jisung agacé. 

-c'est n'importe quoi ! elle se mit à crier. 

-tu vas pas me casser les couilles toi, déclara jisung. 


-eh. 

jisung entendit une voix grave et regarda derrière la jeune fille en train de faire toute une scène. 

-nayeon, qu'est-ce qui se passe ? 

-ce cassos vient de mettre du lait sur mon haut. 

-mais ferme ta gueule... 

jisung avait envie de partir, ça n'était pas le moment pour lui de se battre avec une pauvre fille pourri-gâté et son mec. 

-tu parle autrement à ma copine toi, dit le gars en s'avançant vers le plus jeune. 

jisung gonfla ses joues, frustré. la journée avait commencé parfaitement pour lui. 

-tu vas faire quoi ? dit-il furieux. 

l'inconnu s'avança vers lui et on entendit pas loin d'autres garçons arriver. 

-t'éclater la gueule. 

et le jeune garçon lança son poing sur le visage de jisung. 






























































-DONGHYUCK ! 

-jeno, tu travaille pa-

-JISUNG ! 

donghyuck haussa un sourcil et jeno était venu jusqu'à chez lui, essoufflé il ravala sa salive avant de continuer. 

-qu'est-ce qui se passe ? 

-il se fait démonter par des gars et je sais pas pourquoi-

-quoi ? 

le brunet ouvrit grands ses yeux et jeno lui expliqua que quelqu'un était entré dans la supérette en parlant d'un jeune homme en suvêt' qui se battait avec des garçons du quartier des riches. 

donghyuck lui ordonna de l'y emmener. 

jeno et donghyuck se mirent courir dans tout le quartier, jeno sachant où se trouvait jisung. puis il se mit à pleuvoir. 








































une goutte, deux gouttes. 

puis un torrent. 

une violente averse. 

jisung était par terre, les trois garçons riaient, ainsi que la fille. 

-la prochaine fois, on fera pire. retourne dans ton trou. dégueulasse. 

-JISUNG ! 

les trois jeunes et la fille se regardèrent et partirent. laissant le jeune brunet par terre, le visage couvert de blessures et de la boue sur ses vêtements. 

quoi de mieux pour commencer une journée. 

donghyuck et jeno coururent vers leur ami et tentèrent de le relever. 

-jisung, ça va aller , tu peux marcher ? 

le blessé gémit de douleur et tenta de marcher, mais ce fut vain. alors jeno le porta sur son dos. 

-on peut pas aller à l'hôpital, on a pas l'argent. 

-putain, dit donghyuck. 

la pluie s'abattait de plus en plus violemment sur eux. 

-PUTAIN PUTAIN PUTAIN ! 

jeno ouvrit grands ses yeux, voyant donghyuck devenir furieux. 

-donghyuck, on peut aller voir xiaojun et renjun. ils sauront quoi faire. 

le brunet prit une grande inspiration et serra ses poings, pour se calmer. 

-on y va. 

et sur le chemin, donghyuck sentit les larmes monter. 

il les laissa couler, cacher par les larmes des nuages qui s'abattaient sur leurs têtes. 

en plus de leurs douleurs, jisung et donghyuck avait la douleur du ciel sur leurs épaules. 

et ça ne pouvait plus durer, ils ne pouvait plus supporter ça un jour de plus. 

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