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trente-sept: 𝐭𝐡𝐞 𝐫𝐚𝐤𝐞


plus rien n'avait d'importance. 

mark ne savait pas vraiment ce qu'il faisait, il bougeait sans vraiment y penser dans la nuit, les rues vides du quartier. 

il inspirait et expirait fortement, il avait un but. 

le noiraud était longuement dans sa chambre, une semaine, en remettant en question chaque détail, chaque souvenir de sa vie. il attendit alors la tombée de la nuit, ce soir là pour sortir de chez lui, ses parents toujours dans cette immense maison. et pourtant, il se sentait toujours aussi seul. 

il avait pensé à chenle, donghyuck. principalement donghyuck. 

puis des fragments de moments passés avec renjun arrivèrent. 

il s'arrêta en plein milieu du chemin, pour se mettre à courir. 















donghyuck haussa un sourcil. 

dans sa chambre, le noir complet le rendait aveugle et le silence autour de lui se brisa lorsque un coup se fit entendre derrière les rideaux, sur la vitre de sa chambre. 

les yeux à moitié fermé, un simple short de pyjama sur lui, il se leva et grimaça. 

-qu'est-ce qu'il se passe encore...

il ouvrit violemment les rideaux, et sursauta, lâchant un cri étouffé en voyant une silhouette fixe, légèrement illuminé par la lune derrière ses nuages. 

-putain! chuchota t-il. 

il s'écarta rapidement. 

ses yeux grands ouverts, la silhouette lui semblait finalement familière et son coeur ne put s'embêter de battre de plus en plus vite, s'accélérant par la peur, et également par le visage de mark qui tentait désespérément de paraître normal, dans le jardin d'une propriété privé. 

donghyuck se rappela de leur dernière rencontre, et soupira. il passa sa main dans ses cheveux décoiffé par son sommeil et prit une grande inspiration. 

il fit coulisser la vitre. 

mark retint sa respiration. 

les deux jeunes hommes se regardèrent, il n'y avait aucun bruit autour d'eux, comme si mère nature attendait avec impatience leur discussion, les protégeant du vents contre les feuillages, du chant des grillons. 

mark s'approcha, hésitant, aucune vitre ne les séparaient. 

donghyuck ne parlait pas, les bras croisé, il laissait simplement ses yeux prendre en photo l'image de mark en face de lui, comme s'ils allaient ne plus jamais se revoir. une part de lui pensait rêvé, encore légèrement endormis. alors il avança doucement, pensant ralentir le temps et se délécter du visage de mark. 

ils ne se dirent rien. peut-être qu'il n'y avait plus rien à dire entre eux. ou peut-être qu'une part des deux garçons espéraient que ce n'était qu'une illusion, un rêve par la fatigue des derniers évènements, et qu'un mot de l'autre pourrait les réveiller. 

donghyuck avança, sortant alors de sa chambre, sentant l'air frais sur son visage et l'herbe sous ses pieds. 

mark affaissa ses épaules longuement levés. donhgyuck décroisa ses bras et lentement... 

lentement, il leva son bras, une expression douloureuse sur le visage, elle exprimait tout ce qu'il ne pouvait ou n'osait pas dire. mark lui offrit la réponse qu'il attendait temps. 

il attrapa la main levé du brun, et la posa doucement, dangereusement sur sa joue. 

ce n'était pas une illusion. 

la chaleur de la paume de donghyuck vint réchauffer sa joue, et il ne put s'empêcher de sourire. 

-je suis... désolé. chuchota donghyuck. 

mark garda la main de ce dernier sur sa joue et ferma ses yeux. 

il ne parla pas, il ne répondit pas au parole du brunet et se laissa simplement emporter par le toucher de la personne qu'il aimait tant. 

puis, après ce qui pouvait paraître des heures, donghyuck n'était plus qu'à quelques pauvres centimètre de l'homme et sous ses mains, une joue froide le faisait frissonner. il examina le visage de mark, fatigué, des yeux un peu gonflés et une blessure sur la tempe. 

alors, lorsque le noiraud leva ses yeux, donghyuck comprit que ce dernier l'avait pardonné. il n'avait pas besoin de le dire, ils n'avaient pas besoin de se le dire. 

le garçon en pyjama leva son autre main, la posant délicatement sur l'autre joue de mark, et ferma ses yeux. 

le noiraud le regarda, et ses deux mains sur chacune de celle de donghyuck, et s'avança, éliminant la distance entre leurs deux visages. 

le baiser était lent, hésitant, coupable et doux. 

le rêve se brisa, c'était la réalité. celle d'un doux pardon silencieux. 

  mark laissa enfin les mots sortir enfin de ses lèvres. 

-dis-moi où est renjun. 

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