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CHAPITRE CINQ დ

― Est-ce que ça va ? répéta à nouveau la même personne, avec une douce voix suave.

     La tête de la jeune femme se retrouvait pressé étroitement contre un torse chaud, qui se soulevait dès que l'inconnu prenait une bouffée d'oxygène. Elle pouvait sentir comme une brise légère le souffle de celui-ci, qui caressait le haut de son crâne, faisant virevolter quelques mèches de ses cheveux. Shim Na Yung n'était pas sûre de pouvoir supporter cet ascenseur émotionnelle. Elle pouvait entendre son cœur qui battait à une vitesse ahurissante, comme elle ne l'avait jamais connu auparavant. 

     Sûrement à cause des hormones, se murmurait-elle intérieurement. Na Yung releva de quelques centimètres sa tête de façon à ce qu'elle puisse croiser le regard de son sauveur, et son cœur ne voulut pas se calmer pour autant lorsque la beauté de l'inconnu la frappa. Les traits fins de son faciès lui donnait un air de grâce assuré, comme un prince dont en rêve toutes les jeunes filles à l'âge de cinq ans. Pour accentuer sa beauté, une touche originale venait s'y ajouter par un grain de beauté qui trônait fièrement sur le haut de sa pommette droite.

     Pendant sa contemplation, le jeune homme asiatique rencontra son regard, c'était comme s'ils s'aimantaient l'un à l'autre. Il était impossible pour la jeune femme de vingt-et-un ans de détourner sa pupille du jeune homme qui se trouvait face à elle. Toujours dans ses bras, elle pouvait y sentir la puissance qui s'y dégageait. Pensant à l'événement précédent qui s'était produit, elle eut des frissons qui la parcoururent durant d'interminables secondes. Elle aurait pu se faire renverser par une voiture à quelques pas de chez elle si elle n'avait pas été retenu par cet inconnu. 

― Je n'ai pas l'impression que tout va très bien... Devrais-je vous raccompagner ? reprit le jeune homme asiatique. 

     Aux yeux de Shim Na Yung, la question du jeune homme asiatique qui venait de lui sauver la vie ressemblait plus à une affirmation qu'à une question. Mais cela lui était égale, elle ne pouvait contredire qu'elle se sentait déboussolée, et elle ne pouvait savoir si cela venait du fait qu'elle aurait pu y laisser sa vie ou la beauté d'un prince qui l'encerclait de ses bras puissants qui la rendait ainsi. 

― Je... commença-t-elle, hésitante. Vous n'allez pas venir me stalker lorsque vous découvriez dans quel immeuble j'habite, j'espère ? demanda-t-elle, ses sourcils se rejoignant entre eux pour souligner qu'elle restait sur ses gardes. 

     Et pour la première fois, l'inconnu se mit à rire. Une vibration qui sonnait comme un doux tintement de clochettes aux oreilles de la jeune femme de vingt-et-un ans. Elle sentit son armure de tigresse prête à attaquer si jamais elle avait devant elle un homme malveillant comme il en courait des millions sur ce petit bout de terre, tomber rudement tel un fracas à ses pieds. Ses yeux ne pouvaient cacher sa surprise, elle avait envie une nouvelle fois de l'entendre rire juste pour que cette douce vibration puisse lui chatouiller les oreilles à nouveau. 

― Ne vous inquiétez pas, je m'assure juste que vous puissiez rentrer en vie chez vous au jour d'aujourd'hui, lui répondit-il toujours secoué de gloussements. 

― C'est ce qu'aurait exactement dit un tueur à la recherche de sa prochaine proie ! feignit-elle, faussement choquée. 

― Mince, j'ai été découvert dans ma stratégie ! Tu risques de me dénoncer avant ou après avoir pu vous raccompagner ? explosa-t-il de rire cette fois-ci, se prêtant au jeu. 

Pour réponse, Na Yung lui rendit son sourire ses yeux pétillants de malice. 

     Les deux jeunes asiatiques partirent sur le chemin menant à l'appartement de la jeune femme de vingt-et-un ans. Pendant le long du trajet, elle ne pouvait s'empêcher du coin de l'œil de l'observer. Qu'avait-elle fait aux Cieux ou à Dieu pour qu'un ange se retrouve à ses côtés en ce moment même ? Elle avait même pour impression de se croire en plein dans un film à l'eau de rose tellement cela lui paraissait irréel. Peut-être était-elle en plein rêve ? Elle se pinça à plusieurs reprises le bras, comme si elle pourrait s'en réveiller. Mais rien ni fit, le jeune homme marchait à la même longueur qu'elle à ses côtés, examinant chaque recoin de la rue d'un air indéchiffrable. 

― Voilà, c'est ici que je suis. Maintenant, vous allez pouvoir en profiter pour stalker mes moindres faits et gestes durant plusieurs mois pour ainsi pouvoir mieux connaitre votre proie ! 

     Au pied de l'immeuble, le jeune homme asiatique se mit à rire si fortement qu'il laissa sa tête basculé en arrière pour pouvoir extérioriser ce sentiment qui le chatouillait agréablement de l'intérieur. D'une certaine manière, Na Yung espérait que son regard ne trahissait pas ses pensées en cet instant car elle le trouva soudainement très sexy à exposer ainsi son cou où elle  pu y apercevoir un autre grain de beauté qui jusque-là résidait dans l'obscurité. 

― Au fait, quel est votre nom ? lui demanda-t-elle pour couper court à sa contemplation.

― Je suis plutôt surpris que tu n'aies toujours pas remarqué qui j'étais, Shim Na Yung. 

     La jeune femme sursauta de surprise, elle ne s'attendait pas à ce qu'il la tutoie et qu'il puisse connaître son nom. Mais il lui assurait qu'ils s'étaient déjà croisé or cela devait être impossible. La jeune femme de vingt-et-un ans se serait souvenu d'un aussi bel apollon vu par sa propre rétine ! Na Yung le fixa ouvertement, puis avec ses deux avant-bras elle lui fit un signe d'une croix qui signifiait qu'il n'avait pas le droit d'aller plus loin. Elle commençait à avoir des doutes sur le fait qu'il ne soit pas un vrai stalker-tueur en série à présent, et l'idiote qu'elle était l'avait laissé venir à son propre chez soi. 

― Si tu commences à te faire des films, je te rassure sur ce point là, je suis ne suis vraiment pas un tueur, se défendit-il, les bras levés en l'air comme pour prouver son innocence. 

― Ah oui ? Et comment pourrais-je en être sur, hein Monsieur le Tueur ? sortit-elle ses crocs.

     L'inconnu pouffa soudainement de rire, plié en deux sur lui-même. Au bout d'une minute, voyant que la jeune femme n'avait pas bronché d'un pouce, il essuya une larme imaginaire au coin de son œil en amande. 

― Je m'appelle Park Chul Hei. Je vais à la même Université que toi, j'te signale ! 

― Qu- ? Mais je ne me souviens vraiment pas de toi, c'est étrange... murmura-t-elle à haute voix, en pleine réflexion avec sa personne. 

― J'ai comme l'impression que quelqu'un t'attend.  On se verra à l'Université, et fais attention lorsque tu traverses ! Je tiens à te revoir cette fois-ci, Shim Na Yung. 

     La jeune femme de vingt-et-un ans se retourna vivement en arrière là où le regard de Park Chul Hei était porté. Sa bouche s'entrouvrit, surprise d'y trouver Park Beom-Seok qui la fixait durement elle et l'inconnu d'un peu plus tôt à quelques mètres derrière. Puis elle se retourna vivement vers Chul Hei qui lui donna un sourire à faire tomber une Sainte, son petit grain de beauté qui trônait sur le haut de sa pommette droite termina d'achever le cœur de Shim Na Yung qui se mit à battre beaucoup plus vite qu'à la normale. 

    Chul Hei qui lui avait déjà tourné le dos, prêt à partir, s'arrêta d'une secousse dans sa démarche pour se retourner. Ses yeux tombèrent dans ceux de la jeune femme de vingt-et-un ans, comme des aimants qui se cherchaient continuellement. Le jeune asiatique Apollon lui fit un air charmeur, accompagné d'un clin d'œil qui confirma la mort de celle-ci instantanément. 

     Lorsqu'elle entendit un soupir, elle comprit que Beom-Seok se trouvait à ses côtés. Il avait une moue boudeuse dont elle n'en comprenait pas le sens, les bras croisés sur son torse musclé qui lui rappela soudainement celui de Chul Hei auquel elle avait été étroitement serré. 

― C'est bon, quand est-ce que tu vas arrêter de baver sur lui ? se plaignit-il, ses yeux prêt à lui envoyer des éclairs s'il le pouvait. 

― Quoi ? T'es jaloux parce qu'il est plus beau que toi ? se moqua-t-elle de Beom-Seok, n'omettant pas de lui tirer la langue tel une enfant.

― Répète un peu  pour voir ? 

     Park Beom-Seok était indigné face à cette moquerie que venait de déblatérer Shim Na Yung à son propos. Il était bien plus beau que celui-ci, et il allait le lui prouver ! 

     Il attrapa brusquement le poignet de la jeune femme de vingt-et-un ans, et la plaqua sur la première surface en béton proche d'eux. Il pressa son corps contre celui de Na Yung, la bloquant au passage d'un moindre fait et geste. 

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