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ꫂ̽ᨳ᭬ ┊ ˗ˋ ୨ VIRGIN ୧ ˊ˗ ┊˚ ‣⊹
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❛ 𝐒𝐇𝐄 𝐋𝐄𝐀𝐃𝐒 𝐀 𝐅𝐈𝐆𝐇𝐓 𝐖𝐈𝐓𝐇 𝐇𝐄𝐑𝐒𝐄𝐋𝐅 ❜
愛 · . · . · . · . · . · . · . · . · . · . · . · . · . · . · . ⌲

ꕥ SONG ꕥ

𖠺

Tic Tac, tic tac, tic tac.
Le bruit de l'horloge était agaçante.
Une horrible envie de la mettre en pièce et la jeter par la fenêtre venait d'assaillir la blonde. Elle était assise contre le mur d'une petite pièce, une balle de tennis en main, elle la balançait sur la surface qu'elle fixait pour la recevoir tel un boomerang dans sa paume. Elle lui fit faire plusieurs aller-retours, tentant de maîtriser sa colère, elle le faisait régulièrement quand elle était en prison dans une isolation pour avoir déclenché une bagarre. Bobae fut souvent emportée dans un conflit, elle ne les évitait pas non plus cherchant peut-être à mourir ou se faire plus de mal que de bien. Elle avait pris le plaisir de souffrir, combien ça pourrait sonner bizarrement, la douleur la gardait éveillée. Elle était la seule chose qui lui procurait un minimum de sensation et son corps s'était habitué à l'agonie et l'agressivité. Elle avait besoin de décompresser et c'est ainsi que la balle devint sa fidèle amie. Elle par contre ne l'avait jamais trahie et l'écoutait comme un animal domestique.

Bobae fut à nouveau à la rue.
Ni argent, ni vêtement, elle n'avait laissé rien de tout ce qu'elle possédait. Parce qu'elle les avait acquis en vivant avec une famille hypocrite et surdimensionnée. Elle n'avait pas besoin de garder des souvenirs des gens qu'elle méprisait. Des menteurs faisant semblant d'être saints. Dans ses veines une essence brûlait semblable à une lave volcanique qui recouvrait la terre, incendiant les villes, flambant les pêcheurs. Comme Pompéi qui fut détruite lors de l'éruption du Vésuve. Elle avait envie de faire la même chose avec les vies de ceux qu'elle haïssait.

ㅡ Désolée d'avoir pris autant de temps, venait de rentrer Sana dans la pièce en posant des sacs sur une table. Je me suis engueulée avec un débile qui s'est pris une bonne grosse raclée de sa vie, sortait-elle les courses.
ㅡ T'en fais pas, j'ai pas vu le temps passer, elle se leva en s'asseyant sur une chaise. Quand je vais trouver un job qui m'accepte, je vous rembourserai, disait Bobae.
ㅡ T'es folle ? Bien sûr que tu vas nous rembourser, l'argent ne tombe pas du ciel, blaguait Sana à moitié. Plus sérieusement, te presse pas, prends le temps qu'il te faut et on règlera nos comptes après. Tu as décidé de ce que tu allais faire ? elle ouvrait des boîtes de sushi pour elle et Bobae.
ㅡ Pour commencer je vais chercher du travail qui n'a pas besoin d'un CV de cinq étoiles.
ㅡ Des options ?
ㅡ Femme de ménage ? Hum, concierge ? Peut-être bosser dans un garage comme celle qui fait les courses. Où alors travailler dans un recyclage d'automobiles.
ㅡ Tu étais en faculté d'Art, pourqu...
ㅡ J'y allais seulement parce que je sais dessiner et que je ne savais pas quoi faire d'autre. C'était pas spécialement ma passion. Sinon, je peux devenir livreuse de drogue ou alors...
ㅡ Ta gueule et mange, soupira Sana en mâchant son poisson.
ㅡ J'ai presque toute ma vie cherché comment m'occuper, je ne savais pas quelle ambition j'avais. Rien de tout ce que je faisais ne m'intéressait. Et je ne sais pas par quoi commencer les recherches. Qui voudra d'une criminelle.
ㅡ Focalise-toi sur ce que tu aimes vraiment faire et en quoi tu es forte.
ㅡ Je suis forte qu'en dessin et peut-être même gâcher la vie des gens.
ㅡ Moi, j'ai déjà m'a petite idée, avoua la brune.
ㅡ Quoi ?
ㅡ Quand nous étions en prison, il y avait la tradition du ring tu t'en souviens ? Il fallait gagner contre la championne du combat sans règle pour avoir le choix de faire partie de "l'élite" où devenir la risée. Quand quelqu'un se faisait choisir comme victime, tu te proposais constamment en première et tout le temps, tu te faisais défoncer par Gya Na.
ㅡ Merci de me rappeler le pire, souffla Bobae.
ㅡ Attends, je vais venir au fait. Quand je te voyais te battre à chaque fois malgré tes défaites, je me demandais pourquoi tu faisais ça. Au début je pensais que tu étais le genre d'altruiste qui préférait se sacrifier pour les autres mais après j'ai compris. T'aimes la douleur, t'aimes défoncer et te battre. T'aimes l'agressivité et libérer ta rage dans un combat, la vengeance c'est ton élément. Quand Gya Na s'est faite libérer, elle m'avait dit qu'en toi il y avait une flamme difficile à éteindre et que tu avais un potentiel en combat. Que tu étais même faite pour ça mais que tu devais simplement contrôler ta rage et non laisser la colère te maîtriser. Elle m'a même confié qu'elle était choquée par ta persévérance, que tu étais vraiment opiniâtre et qu'elle t'enviait pour ça. Bobae, la fameuse championne Kim Gya Na a dit qu'elle t'admirait, t'imagine ?
ㅡ Je... Je ne savais pas qu'elle...
ㅡ Elle était trop fière de te l'avouer alors elle me l'a dit quand on s'est vues à une cafétéria. Elle disait qu'à chaque fois que tu venais dans le ring, elle t'aidait à améliorer tes coups et que malgré que tu mémorisais les siens, elle continuait à gagner juste pour que tu puisses atteindre ton but de la vaincre. Ce que je veux te dire c'est que je connais une salle d'entraînement pour les combats sans règles. Peut-être que là-bas, ils pourront t'accepter comme stagiaire ?
ㅡ Je n'en sais rien, soupirait Bobae en mangeant. Je vais juste me trouver un boulot pour finir ma vie.

Sana la voyait tourmentée, cependant la façon dont Bobae serrait ses baguettes et que l'expression de son visage était plus ferme, elle avait l'impression qu'elle préparait quelque chose.

Plusieurs jours déjà, Bobae avait tenté de postuler à divers boulots. Elle avait commencé par une agence pour femme de ménage mais on l'avait catégoriquement refusée parce que les clients allaient s'offusquer qu'une ex-criminelle allait ranger leur chambre. Ils craindront de même être victime de meurtre et puis elle n'était pas suffisamment qualifiée pour ça, ses compétences comme serveuse ou barista ne serviront pas. Alors elle poursuivit ses recherches dans des petits restaurants traditionnels, on l'avait plusieurs fois rejetée jusqu'à ce qu'elle trouve un établissement qui ne faisait pas attention au CV mais qu'aux compétences. Embauchée, Bobae comptait se procurer un deuxième travail, elle avait ensuite postulé pour faire le ménage la nuit et avait réussi à se procurer une place dans une entreprise.

La blonde comptait économiser de l'argent, les salaires qu'elle allait recevoir n'étaient pas énorme mais ça lui suffirait de payer son loyer dans un petit studio et de se nourrir pour ne pas mourrir. La vie était devenu encore plus difficile et elle en était bien évidemment fautif. Si par le passé elle n'avait pas fait de connerie, aujourd'hui elle n'en serait pas à là.

Bobae avait débuté son job, la nuit elle lavait le sol dans tout le bâtiment d'une entreprise et le matin elle allait bosser en tant que serveuse. Elle passait la journée à servir, ranger, laver la vaisselle, jeter la poubelle et reproduire la même chose. En fin de journée, après avoir mangé un truc à grignoter dans une supérette, elle se rendait à son second boulot. Quand elle avait des trous dans son emploi du temps, elle allait un peu gagner de l'argent dans un karaoké ou transporter diverses choses dans différents endroits. C'était épuisant, c'était horriblement douloureux où chaque jour était comme un jeu de survie.

La coréenne avait réussi à se procurer son petit logement en haut d'une terrasse, c'était pas les meilleurs conditions mais pour sa paye ça suffisait et cette pensée l'avait fait sourire. Elle était heureuse d'avoir acquis quelque chose par soi-même en un mois. Oui, le temps passait vite mais pour certains il était beaucoup plus lent. Parfois la nuit, Bobae retenait ses sanglots par la solitude qu'elle éprouvait, le matin elle tentait de trouver une raison de vivre. Son cœur avait énormément souffert mais elle se taisait, elle gardait tout pour elle quitte à souffrir. Quitte à avoir mal et avoir une santé de plus en plus fragile.

Quand elle allait bosser, assez régulièrement elle passait devant la salle de sport que Sana avait mentionné, elle voyait plusieurs personnes s'y entraîner et fut envieuse. Elle voyait deux coachs guidant leurs clients et ceux qu'ils préparaient pour des championnats. Bobae savait qu'elle sera jamais acceptée pour y être stagiaire ou même un employé mais admirer les autres faire des efforts la motivait à en faire autant.

En passant devant des jardins, la protagoniste voyait des parents s'amuser avec leurs enfants. Celle-ci se demandait depuis un temps qui étaient ses vrais parents et pourquoi ils l'avaient abandonnée à la rue. Pourquoi sa famille adoptive l'avait prise sous son aile alors qu'ils se fichaient de son cas. Malgré qu'elle faisait son possible de gagner de l'argent, Bobae avait l'intention de mener son enquête. Elle avait essayé de découvrir ses liaisons en fouillant dans son passé, cherchant des indices par internet d'un quelconque incident il y a vingt-et-un ans.

Lors d'une livraison de repas, l'ex-détenue était arrivée devant un grand immeuble, elle rentrait à l'intérieur et voyait pas mal de personnes vêtues de costumes à marcher dans tous les sens menant une routine habituelle. Bobae en voyant comment ils vivaient se sentit assez minuscule, elle fit estomper de mauvaise pensée pour se rendre dans un ascenseur et monter à l'étage du client qui avait commandé après avoir demandé à l'accueil.

En traînant dans les couloirs pour trouver la salle, les mains remplies de sacs de nourriture, elle trouva la pièce en demandant au passant et rentra à l'intérieur grâce à l'aide de quelqu'un. Lorsqu'elle pénétra dans un espace spacieux, elle apercevait un nombre de personnes faire diverses activités. Il y avait un matériel informatique, de tournage vidéo et audiovisuel. Elle ne savait même pas à qui parler tellement ils bougeaient comme si le temps pressait. Un garde du corps s'arrêta subitement face à elle, il commença à interroger la raison de sa présence, elle tentait de lui expliquer qu'elle était venue livrer des repas. Ce dernier disait que personne ne l'avait contactée. Elle s'ahurit en soupirant d'indignation, restant sur le fait qu'on avait bien fait appel pour cette adresse précise, deux autres personnages venaient de rejoindre l'homme pour découvrir le conflit. Bobae se mit à se défendre en leur montrant ses mains qui commençaient à lui faire mal.

En leur disant de payer la commande, on essayait de la virer de la pièce, elle menaçait le garde du corps que s'il osait la toucher, elle allait lui briser les doigts et ce qu'il a entre les jambes. Cela ne l'empêcha pas de la pousser vers l'extérieur, une foule se rassemblait autour d'elle semblable à ce qu'un cirque venait d'ouvrir ses portes. Elle se débattait presque contre des accusations infondées comme quoi c'était une journaliste ou une fanatique qui se faisait passer pour une livreuse.

ㅡ Mademoiselle, quittez le lieu de tournage immédiatement où nous allons appeler la police.
ㅡ J'en peux plus. D'accord, je vais quitter cet endroit mais d'abord vous me payez parce que je vais me faire virer ! J'ai du mal à vivre un jour, vous vous imaginez ce que je vais faire si on me renvoie ? Passez-moi le fric.
ㅡ Mais quel culot, cette fermière ose être arrogante, s'offusqua une femme. De nos jours les gens sont tellement impolis et immondes. J'appelle la police.
ㅡ Yah, qu'est-ce t'as dit ? Viens là que je te refasse le portrait de la Joconde, s'écria Bobae.
ㅡ Dépêchez vous d'appeler la police !
ㅡ Pas besoin de la police, venait de dire quelqu'un.

Tout le monde se tournait vers la source de cette voix, un jeune homme s'avançait vers eux.

ㅡ Je m'en occupe, il s'approchait avec confiance vers Bobae qui haussa les sourcils.
ㅡ Tae...yong ? s'étonna t-elle.
ㅡ Excuse-les, ils sont un peu trop sur les nerfs. Détendez-vous les gars, on est pas à la guerre, elle est juste venue apporter mon repas.
ㅡ C'est vous qui avez commandé ? demanda la femme qui voulait appeler les flics.
ㅡ Oui, je commande souvent au restaurant Chakorang, les repas y sont délicieux. Je vous conseillerai d'y aller, vous allez vous régaler, il leur souriait vite fait avant de prendre les sacs des mains de Bobae. La prochaine fois apprenez les mœurs d'une bonne éducation et extirpez l'arrogance qui vous illustre hideusement.

Il le disait en tendant les sacs à la femme pour qu'elle les tienne. Taeyong attrapa le bras de sa complice pour l'amener dans sa loge, l'autre employée fut bouche bée de son action. Elle se sentit non respectée. Le bleuté ferma la porte derrière eux et sortit son portefeuille.

ㅡ Combien je te dois ? il sortait des billets.
ㅡ Euh... 45,725 wons.
ㅡ Tiens, garde le reste, il lui posait dans la paume un billet de cinquante mille. Désolé pour ce qu'il s'est passé. J'ai entendu du bruit et je suis sorti en ayant reconnu ta voix.
ㅡ T'en fais pas, où je vais, c'est toujours la fête, blaguait-elle.
ㅡ J'avais remarqué, il souriait en rangeant sa main dans sa poche arrière. Comment tu vas ? Ça fait un mois que je n'ai pas eu de tes nouvelles.
ㅡ Tu sais, je vais bien. J'essaye de gagner ma vie, comme tu vois c'est jamais facile. Et toi ? J'ai remarqué ta notoriété. T'as l'air d'être un boss ici.
ㅡ Ouais, il détournait les yeux. C'est juste pour le boulot, des interviews pour ci et pour ça. Rien d'impressionnant.
ㅡ Je vois, et bien je te souhaite bonne chance. Merci de m'avoir sauvé la mise, sinon je serais peut-être arrêtée encore une fois et virée, elle plissait les lèvres. Contente de t'avoir revu.

Elle balayait sa main avant d'ouvrir la porte et sortir, elle marchait vers la sortie considérée par cette bande de chacals.

ㅡ Attends Bobae, lâcha Taeyong en courant vers elle, elle se retourna. Écoute... euh, il se frottait la nuque. Ça te dirait qu'on dîne ensemble ce soir ? il proposa soudainement.

Bobae fut bien surprise, puis elle jetait des coups d'œil vers les personnes qui murmuraient de l'étonnement. Elle devait refuser parce qu'elle ne se sentait pas à l'aise là maintenant mais lui dire non serait manquer de respect et puis elle serait insultée d'ingrate et d'autres termes plus crus par les autres.

ㅡ Oh, je... je veux bien, elle le dit en regardant la femme qui se tenait non loin de lui, juste pour la faire chier. À ce soir, elle souriait avant de s'en aller pour de bon.

Taeyong se mordait le coin de la lèvre en passant son pouce dessus. Il rentrait ensuite ses lippes pour contenir un sourire, puis il se tournait vers les autres qui le fixait silencieusement.

ㅡ Vous attendez quoi ? il arqua les sourcils insolemment.

Bobae rangeait le matériel du restaurant avant d'éteindre les lumières et sortir du bâtiment avec une autre de ses collègues. Elle lui disait au revoir de la main avant de fourrer ses poings dans les poches de sa veste pour partir, mais elle se stoppa net quand elle aperçut Taeyong s'appuyer contre une barre, les mains de même posées au chaud. Il se redressa lorsqu'il remarqua la jeune femme et la salua d'un geste de main. La blonde retenait à contre volonté une expression amusée, elle ne voulait pas lui montrer qu'elle était contente de le voir.

En se rapprochant de lui, elle admirait son visage, ce dernier avait toujours été aussi attrayant physiquement. Il était vraiment doté de traits horriblement avantageux, elle ne pouvait pas le nier. Taeyong était séduisant, très séduisant...

ㅡ Tu serais un bon boyfriend, elle le taquina en marchant avec lui. C'est très mignon de ta part d'être venu me chercher.
ㅡ Tu trouves ça mignon ? il ricana.
ㅡ C'est juste que... personne ne m'attendait en fin de travail et ça fait... chaud au cœur de savoir que quelqu'un t'attend. Merci...
ㅡ C'est normal, je t'ai proposé de dîner, c'est à moi de venir te chercher.
ㅡ Tu n'as juste pas envie d'avouer que je t'ai manqué, elle le charria.
ㅡ J'étais impatient oui, il confirma alors que ça faisait frissonner Bobae.
ㅡ Et en plus tu ne le nies pas, tss. Alors, où tu comptes m'amener ? J'espère que c'est pas un restaurant de riche, toute ma vie j'ai eu la nausée de dîner quelque part où je vois des gens blindés de fric.
ㅡ C'est un endroit assez tranquille et agréable donc t'en fais pas.
ㅡ Pourquoi... Pourquoi tu m'as demandé de dîner avec moi ?
ㅡ C'est pas évident ?
ㅡ De quoi ? elle ne comprenait.
ㅡ J'ai envie d'être plus proche de toi Bobae. Et ça depuis le lycée. Quand... tu m'as proposé de devenir ton ami le jour où tout s'est produit. J'étais vraiment heureux parce que en réalité, j'étais attiré par toi bien avant ça.
ㅡ Oh, elle fut prise de court. Je... Wow...
ㅡ C'est vrai que tu as souvent été une salope mais plus ou moins dans un bon sens. Tu étais plus mauvaise avec ceux qui faisaient chier les plus faibles en leur mettant la misère. Et même si tu ne voulais pas l'avouer, tu te comportais avec compassion envers ceux qui étaient souvent oppressés. Maintenant je comprends pourquoi même si tu ne m'as pas chéri.
ㅡ Je suis désolée, vraiment. J'étais si horrible avec toi et c'est impardonnable. Je ne sais pas pourquoi tu me parles encore alors que... bon sang, je me hais de t'avoir fait du mal... pardon...
ㅡ Sors avec moi Bobae.

Bobae se figea.
Elle sentait son corps brûler, ses joues étaient fiévreuses et ses yeux brillaient par les larmes qu'elle contenait difficilement. Elle ne s'attendait pas à ça et arqua les sourcils.

ㅡ J'ai envie que tu deviennes ma petite-amie parce que tu peux être quelqu'un de vraiment bien lorsque tu ne cherches pas à te venger ou gâcher une vie. Je dois aussi m'excuser de t'avoir voulu le malheur... Sache que tu me plais parce que tu es naturelle, sans filtre ni masque, honnête, indépendante, brave et j'ai envie de connaître plus ces facettes de toi.
ㅡ Taeyong... Tu t'es cogné la tête ?
ㅡ Jung Bobae, sois ma petite-amie, il posa sa main sur sa joue. Et je te promets que tu ne souffriras plus.

Elle l'avait senti, son cœur chavirer.
Et elle décida que si elle lui plaisait comme elle était, elle devait donc se donner une chance de construire de même un avenir avec lui. Parce que Taeyong était quelqu'un de bon.

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Me frappez pas ;; mais j'voulais trop qu'ils sortent ensemble pcq je trouvais les prochaines scènes que je compte rédiger marrantes donc v'là ~

Sorry si vous attendiez l'apparition de Ji Hyuk. J'avais juste envie d'imposer un peu la situation de Bobae et tout après ça viendra (;