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▬▬ ✯ EPILOGUE. ils étaient ensemble jusqu'à la fin.



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                        SI UN JOUR ON AVAIT DIT À OLIVE QU'ELLE REVIENDRAIT VIVRE DANS CE MANOIR HANTÉ, ELLE N'AURAIT CRU PERSONNE. Cela faisait pourtant plus de cinq mois maintenant que Olive avait établi à nouveau domicile ici. Elle était revenu chez elle après cette fameuse nuit où Donna les a quitté. Cette même nuit fut aussi la nuit où sa mère les a quitté. Olive était rentré juste attends pour dire au revoir à sa mère. Pourquoi ce soir-là ? Rien n'arrivait par hasard, rien ne se passait par hasard. Il y avait toujours une réponse cohérente à tous, un message caché derrière tout ça. 

Et Olive l'avait trouvé ; sa mère n'avait plus lieu d'être. Olive avait réussit à canaliser Calamity, réduire au néant sa voix et sa folie, acceptant enfin ce qu'elle était jusqu'à développer d nouvelle capacité —enfin apprendre à les contrôler surtout. Le seul truc qu'elle avait mit du temps à comprendre était qu'elle avait enfin réussi à s'accepter. Olive avait ouvert les yeux sur qui elle était vraiment, sur les problèmes qu'elle se causait et toute cette haine, souffrance et peur qu'elle avait développés envers les autres —envers Dick principalement. 

Olive avait ouvert les yeux, reprit ses exercices de méditation, y ajoutant des exercices d'acceptation de soi. Elle avait même décidé de s'ouvrir à son amie d'enfance, Maps. Olive arrivait à présent à mettre des mots sur ce qui la dérangeait, à mettre des mots sur ses peurs et à enfin dire de ce qu'elle avait peur. 

Olive grandissait à vu d'oeil et n'était pas prête de s'arrêter maintenant. Dans un sens, elle remerciait Donna d'avoir perdu la vie car elle lui avait ouvert les yeux. Parfois, elle se demandait comment les choses se seraient passés si Donna était resté en vie ? Comment les choses se seraient passés si Jason n'avait pas décidé d'enfiler un nouveau costume, rouge et noir cette fois-ci ? Comment Olive aurait évolué ? Comment Dick- où ils en seraient ? 

Pouvez-t-il dire qu'un certain "eux" existait toujours ? Honnêtement, Olive n'en savait rien. 

Bien-sur que non, Dick Grayson ne pourrait disparaitre aussi facilement de sa vie, de sa tête, de son coeur ; pas après y avoir prit tant de place pendant plusieurs longues années. 

Elle aimait Dick Grayson et pourtant elle lui avait fait ses adieux. 

Adieux, adieux... enfin, si elle pensait naïvement qu'elle ne reverrait jamais Dick Grayson, c'était que Olive avait encore beaucoup de travail à faire sur elle-même, car visiblement elle n'y connaissait rien à l'amour encore. 

L'amour, oui. C'était ce truc, ce sentiment que lorsqu'il te prends à la gorge, tu ne peux plus t'en défaire, tu ne peux plus respirer lorsque tu vois la personne. C'est ce sentiment qui te bloques la respiration, qui te noues le ventre mais qui en même temps fait jouir une envolée de papillon toujours plus forte et étourdissante. C'est cette réaction idiote que tu as lorsqu'il pose les mains sur toi, lorsqu'il te dit pour la première fois ces trois petits si insignifiant séparés que lorsque tu les assemble, ils sont la plus merveilleuse des chansons. C'était ça l'amour et visiblement, Olive Silverlock n'y comprenait toujours rien.

Alors que jamais personne ne venait frapper à cette porte, ce fut la première fois en une bonne dizaine d'années qu'Olive entendu la sonnerie de cette porte retentir. Elle descendit les escaliers, en grognant après Bruce.

— Comment veux-tu que je m'en sorte avec un père adoptif aussi tête en l'air, dit-elle en ouvrant la porte. Franchement, je- Dick ?

Lorsqu'elle ouvrit la porte, ce n'était pas Bruce, mais Dick qui se trouvait devant elle, un léger sourire timide sur les lèvres. 

Que faire ? Se jeter dans ses bras ? Lui dire combien ces cinq derniers mois avaient été long ? Lui crier dessus ? Le gifler ? Que faire ? 

Olive se contenta de faire demi-tour, sans un mot, le laissant décider lui-même de ce qu'il voulait faire. 

— Tu ne comprends pas quoi dans adieux, Grayson ?

— Oh, c'était des adieux ? Je n'avais pas remarqué, je pensais juste que tu m'embrassais pour me dire à demain chéri ?

Elle fonça les sourcils.

— Qu'est-ce-que tu fais là ?

— Je venais voir Bruce.

— D'habitude tu le fais lorsque je ne suis pas là, dit-elle en fouillant dans le frigo. Alors, dis-moi vraiment ce que tu fais ici ?

Dick qui se trouvait dans l'encadrement de la porte, regardait Olive qui se tenait derrière l'ilot centrale. Cette scène leur étaient familière, c'était surement ce qui perturbée autant Olive —à moins que cela soit la beauté de Grayson— et qui faisait bien rire Dick.

— Tu me manque, dit-il après avoir prit une grande inspiration.

— Que maintenant ? Roula-t-elle des yeux. Dick, ça fait cinq mois. 

— Je sais, Olive. Tu me manques depuis le début, depuis que j'ai compris que tu ne reviendrais pas.

— Alors, qu'est-ce-que tu fais là maintenant ? Je pensais que tu étais passé à autres choses.

—Je vais pas te cacher que j'aurais aimé, sourit-il. Mais je voulais voir comment allez la Destinée ?

— Quoi ?

Olive fronça les sourcils, visiblement elle ne voyait pas de quoi parlait le grand brun. Dick souriait, il s'approcha de l'ilot centrale et balança dessus le journal d'aujourd'hui. Olive s'approcha et le prit dans ces mains. Les gros titres du jour parlait visiblement d'un nouvel héros  sur Gotham. Olive cligna des yeux à plusieurs reprises en essayant de rester impassible face à Dick avant de commencer à lire l'article.

" Gotham n'avait jamais été aussi calme que ces derniers temps. 

Après avoir vu un bon nombre de super-héros ou justicier, selon votre point de vue, nous voici aujourd'hui de retour dans cette ère de justice et d'être plus extraordinaire les uns que les autres. Dans la même lignée que la chauve souris, nous avons pu voir son bras droit Robin, changer deux fois d'identité avant de disparaitre pour de bon. 

Aujourd'hui, nous faisons face à tout autres choses. Non pas un héros, mais une héroïne, dans un costume noir et argenté, une longue chevelure blanche et le mythique bandeau noir sur les yeux, laissant ressortir ses incroyables yeux oranges. Qui est cette nouvelle héroïne ? Bien différente des autres, elle semble opter pour des pouvoir mystiques tout droit sortit des divinités Grecques. Cette nouvelle héroïne, cette nouvelle justicière semble laisser toute la ville bouche-bée et faire l'unanimité. 

Un ange tombé du ciel ? Une divinité ? Une gentille sorcière ? Non, elle était bien plus que cela. 

Voici, la Destinée.

Article rédigée par Maps."


Olive ferma le journal et releva doucement les yeux vers Dick qui affichait un large sourire sur son visage. Olive roula des yeux, mais il ouvrit à nouveau le journal et lui indiqua en bas de la page un nouveau petit paragraphe, accompagné d'une photo ; Dick et elle, il y a cinq mois de cela.

— On parle de moi, sourit-il.

— "Robin n'est plus, place à Nightwing une nouvelle version du justicier, indépendant de Batman...", lit-elle avant de relever la tête vers lui. Pour une fois qu'on ne cherche pas à te rendre coupable.

— Continue de lire.

— " Il semblerait que le justicier soit devenu l'équipier de notre nouvelle héroïne. La ville serait-elle chanceuse que le destin les aient réunis ? Les habitants de Gotham devraient se réjouir de pouvoir mettre les pieds dehors sans à avoir à se soucier de leur survies. Les Envoyés de dieu seraient là pour assurer leur sécurités."

Olive ne savait pas quoi dire. Elle releva la tête vers Dick, bouche-bée.

— Les Envoyés de dieu ? lit-il. Ça sonne plutôt bien.

— Pour deux personnes qui ne croient absolument pas en la religion, roula-t-elle des yeux.

Olive sortit de la cuisine pour fuir Dick et ses idées farfelues. 

— Tu serais partante ? Hurla-t-il à travers le couloir.

— Partante, pour quoi ?

— Qu'on soit à la hauteur de leurs espérances ? 

Olive avait commencé à monter les escaliers mais s'était arrêtés en plein milieu pour écouter les imbécilités de Grayson.

— Dick, la seule chose qu'on a jamais réussi ensemble c'est de se faire souffrir.

— C'est du passé.

— C'était il y a cinq mois, lorsqu'on était chacun d'un côté du pays. Effectivement, la ça fonctionnait très bien.

— Ça peut marcher.

— Qu'est-ce-que t'en sais, toi ? 

Dick monta quelques marches.

— Il y a des choses qu'on ne peut pas expliquer, sourit-il.

— Et y'a des choses qu'on peut prévoir, répondit-elle. Comme le fait que ce serait un échec total.

— Olive, je t'aime.

Elle se mit à pouffer de rire sans vraiment assimiler ce qu'il venait de lui dire.

— Oh et grâce à la force de l'amour tu penses que ça fonctionnera ? Tu es trop naïf, Grayson, ça ne- Attends, tu as dis quoi ?

Dick rigolait doucement, tout en continuant de monter plusieurs marches.

Olive avait le coeur qui s'emballait, le souffle coupé et le ventre qui se nouait. Oh, voilà l'amour. Elle se tenait à la rambarde de escaliers, prise au dépourvu continuant d'assimiler les mots qu'il venait de prononcer. Dick s'approcha d'elle, il n'était plus qu'à quelques centimètres d'elle. 

Assez près pour sentir son souffle chaud mais assez loin pour la désirer. Olive avait du mal à respirer et il ne l'avait pas manqué. Il y avait peu de chose qui pouvait lui faire perdre et pied, mais Dick Grayson était l'une des raisons qui lui faisait perdre pieds, qui lui faisait perdre la raison. 

Olive posa une main chaleureuse sur l'une de ses joues. Olive ferma les yeux un instant, essayant de capter les moindres parties de sa peau sur la sienne, les moindres picotements qui venaient chatouiller sa joues et venait lui traverser le corps. 

Dick affichait toujours un magnifique sourire, avant de poser son front contre le sien. 

— Tu sais très bien qu'on est la meilleure équipe que ce monde ne pourrait avoir, chuchota-t-il. C'est inévitable, Olive, tu le sais...

Mieux que n'importe qu'elle réponse, mieux que n'importe quel gestes ou mots, Olive s'empara de ses lèvres dans la seconde qui avait suivit. Elle avait attrapé son visage rugueux par cette barbe naissante entre ses petites mains, maintenant ses lèvres toujours plus forte contre les siennes, lui transmettant tout l'amour qu'elle avait retenu ces derniers mois. Dick entoura Olive délicatement avant de sourire contre ses lèvres et de poser son front contre le sien.

Les yeux dans les yeux, le coeur en tête à tête. Olive n'aurait jamais pouvoir dire ça un jour, dans cette maison, dans ces escaliers avec Dick Grayson —avec cet abrutit de Dick Grayson— mais c'était inévitable. C'était leur destinée, leur vies, leurs futurs. Tout ça, toute ces années, toutes ces promesses, toute cette haine, tout cet amour, tout ces mots prononcés parfois sen pleurant, en criant ou en s'embrassant, c'était eux. 

C'était Dick Grayson et Olive Silverlock, jusqu'à la fin.

1825 mots.

partie suivante ; remerciements, petit mot de la fin.

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