Poème retrouvé dans la poche d'un marine américain. Original et traduction.

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Oorah, ooh oorah, oorah ooooorah oorah rah oorah,
Ma bien aimée, celle que j'aime plus que manger mon crayon,

Oooooooorah oorah rah oorah, oorah oorah rah ooraaaah,
Celle que j'aime plus que, sans parachute, sauter d'un avion,

Oorah, rah. Oorah, oooorah oorah rah oorah ooh oorah,
Tu me manques cruellement. Chaque rire que je lâche, nié,

Oorah rah oooooorah, oorah oorah, ooh ooh oorah oorahhh.
Après avoir tué un débile d'ennemi, t'es entièrement dédié.

Oooraaaah oorah oorah, oorah oooooraaah rah oorah, rah,
Toi que j'aime plus que ce si bel uniforme de grand soldat,

Oorah oorah rah rah oorah oo oorah oorah oorah oorah rah,
Que j'aime plus que de me venter d'appartenir à ce groupe-là,

Ooorah ! Oorah oorah, oorah rah oorah oooorah rah oorah,
Je t'en prie, ne m'en veux pas, si de toi ou d'une autre beauté,

Ooooooorah ooh oorah oorah, oorah oooooorahhh rah oorah rah :
Je suis tombé fou amoureux de mon bébé, de ma petite arme adorée :

Oorah ooorah rah. Ooh oorah oorah. Oorah rah oorahh oorah ooh rah.
Elle peut tuer des gens. Tu ne peux pas. Voilà ce qui fait la différence.

Oorah oorah rah, ooh, oorah rah oorah, ooh oorah rah oorahh.
Je ne t'oublie pas, mais je suis un marine, et j'ai mes préférences.

Ooraaaahhh--
Ooraaaahhh~~